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Urbanisme
Typologie
Guyencourt-sur-Noye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,3% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (67,8%), forêts (18,6%), zones humides intérieures (10,1%), zones agricoles hétérogènes (3,5%)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
Le nom attesté depuis au moins 1269 est Guiencourt[9]. Instaurée sous la Révolution française, la commune porte en 1793 et 1801 le nom de Guyencourt, et prend ultérieurement celui de Guyencourt-sur-Noye[10].
Histoire
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Des armes de silex ont été trouvées sur le territoire de la commune.
Le village pourrait avoir eu une forme structurée dès l'époque mérovingienne.
Première Guerre mondiale
À la fin de la Première Guerre mondiale, lors de l'Offensive du printemps, le commandement français occupe la ferme et le château, le 30 mai 1918. Des obus allemands atteignent le village. Les restaurations entreprises après guerre sont encore visibles.
Des bâtiments sont détruits pendant la guerre[11]. Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [12].
Articles détaillés: Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouvait de 1793 à décembre 2016 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme[10], date à laquelle elle a été rattachée à l'arrondissement de Montdidier[13]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de la Somme.
La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [14], et qui succèdait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[15], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la «des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye», le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[16],[17]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[18] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [19] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [20], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2019, la commune comptait 184 habitants[Note 3], en augmentation de 18,71% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
185
182
204
252
287
302
314
324
331
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
332
314
313
284
255
237
242
205
206
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
205
204
179
154
152
147
128
168
155
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
158
147
175
186
196
201
173
162
173
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
184
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La scolarisation des élèves du primaire se fait au sein du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) constitué des communes de Cottenchy, Dommartin, Fouencamps, Guyencourt-sur-Noye et Remiencourt.
L'aspect financier est géré par un SISCO (syndicat intercommunal scolaire) basé à Cottenchy[30].
Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château la Rougédière.
Église Saint-Firmin-le-Confesseur, qui comprend plusieurs objets d'art sacré des XVIIeetXVIIIesiècles[31],[32],[33].
Château de Guyencourt-sur-Noye du milieu du XVIIIeet duXIXesiècle[34].
Chapelle du château.
Le marais de Guyencourt accueille les adeptes de la chasse, de la pêche, les cyclistes et les promeneurs.
Personnalités liées à la commune
Adrien de Rougé, dit «le comte de Rougé»[35], député puis pair de France, parlementaire ultraroyaliste, issu de la famille de Rougé, mort à Guyencourt-sur-Noye.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Charles Rostaing, Albert Dauzat, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 1 vol. (XII-738-XXIII p.), p.339.
Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, «Haute-Somme: La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents: La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits», Le Courrier picard, (lire en ligne).
Carlos Da Silva, «Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand: Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye», Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
«Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI», Décideurs en région, (lire en ligne).
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