Dommartin est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
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La commune est limitée à l'ouest par la Noye et l'Échaut, qui y confluent, et côtoient de nombreux étangs.
La Noye est un sous-affluent du fleuve côtier picard la Somme par l'Avre.
Urbanisme
Typologie
Dommartin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (84,2%), zones urbanisées (6,1%), forêts (5%), prairies (3,8%), zones humides intérieures (0,9%)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
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Histoire
La gare en 2008.
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Le village est desservi par le chemin de fer quelques années après l'ouverture de la ligne de Paris-Nord à Lille en 1846 par la Compagnie du chemin de fer du Nord[9], avec la mise en service d'une gare.
Première Guerre mondiale
Lors de la Première Guerre mondiale, le village subit des destructions de guerre[10].
Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [11].
Articles détaillés: Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouvait de 1793 à décembre 2016 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme[12], date à laquelle elle a été rattachée à l'arrondissement de Montdidier[13]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Boves[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Noye.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du Val de Noye, créée par un arrêté préfectoral du [14], et qui succédait, conformément aux dispositions de la Loi Chevènement, au district du Val de Noye, créé en 1994.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[15], la préfète dévoile en octobre 2015 son projet qui prévoit la «des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye», le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[16],[17]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[18] et de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[19] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du 22 décembre 2016[20], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2019, la commune comptait 347 habitants[Note 3], en augmentation de 0,87% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
276
337
333
324
397
375
400
401
394
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
400
383
375
358
358
316
309
301
312
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
303
291
252
241
238
250
251
262
278
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
255
281
280
352
380
387
390
387
352
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
350
347
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
L'école primaire locale fait partie du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) constitué des communes de Cottenchy, Dommartin, Fouencamps, Guyencourt-sur-Noye et Remiencourt. L'aspect financier est géré par un SISCO (syndicat intercommunal scolaire ) basé à Cottenchy[26].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Martin[27], construite toute en brique, au XIXesiècle, en remplacement d'un édifice antérieur[28].
Monument aux morts: le nom de 14 soldats tués y est gravé.
Chapelle à Notre-Dame de Brebières. Construite en 1825, en brique et pierre, sur une élévation de terrain[29].
Personnalités liées à la commune
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Carte spéciale des régions dévastées: 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Site Gares Picardie (site officiel région Picardie), Ligne 22: Paris - Amiens «les TER effectuent également des arrêts aux haltes suivantes: (...) Dommartin...»lire en ligne (consulté le 4 juillet 2010).
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Audin (Jean Marie Vincent, M.), Guide hittoresque du voyageur en Belgique. Itinéraire artistique, industriel et manufacturier, 7eédition, L. Maison, 1852, p.17 «D'Ailly, à Boves, la station la plus voisine, on traverse les communes de Guyenbourt, Remiencourt, Dommartin, ...»lire en ligne (consulté le 4 juillet 2010).
Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, «Haute-Somme: La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents: La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits», Le Courrier picard, (lire en ligne).
Carlos Da Silva, «Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand: Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye», Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
«Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI», Décideurs en région, (lire en ligne).
«Le maire de Dommartin, Christian Pallier, raccroche: Après 25 ans passés à la tête de la commune, le maire passe la main mais aidera son successeu», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Christian Pallier était entré au conseil municipal en 1989, à la suite du décès de Pierre Chanoine. Il est élu premier adjoint en 1992 et maire en 1995. Christian Pallier termine ainsi son 4e mandat (25 ans)».
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4e trimestre 2003, 302p., p.204 (ASINB000WR15W8).
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