Gavaudun est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
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Gavaudun
Vue générale.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Lot-et-Garonne
Arrondissement
Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité
Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais Périgord
Maire Mandat
Adrien Teyssedou 2020-2026
Code postal
47150
Code commune
47109
Démographie
Gentilé
Gavaudunois, Gavaudunoises
Population municipale
291 hab. (2019 )
Densité
14 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 33′ 41″ nord, 0° 53′ 18″ est
Altitude
111 m Min. 105 m Max. 243 m
Superficie
21,33 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton du Haut-Agenais Périgord
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
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Gavaudun
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Gavaudun
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Gavaudun
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Gavaudun
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Géographie
Localisation
Située au bord de la Lède en limite du Haut-Agenais et du département de la Dordogne (Périgord noir).
Communes limitrophes
Gavaudun est limitrophe de huit autres communes dont deux dans le département de la Dordogne. Au nord-ouest, Vergt-de-Biron n'est limitrophe que par un quadripoint.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lacapelle-Biron-Pailloles», sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,8°C et la hauteur de précipitations de 903,6 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Agen-La Garenne», sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 52 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour la période 1971-2000[12], à 13,4°C pour 1981-2010[13], puis à 13,8°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Gavaudun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,7% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (61,7%), zones agricoles hétérogènes (18%), prairies (12,2%), terres arables (8,1%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Gavaudun est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Lède. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2008 et 2009[23],[21].
Gavaudun est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[24],[25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[26]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[27].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gavaudun.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 91,3% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2002, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Toponymie
La ville haute est placée sur un éperon rocheux, ancien oppidum, "Gabalo-dunum", dont témoigne l'étymologie gauloise en "-dun " de son nom[30]. Le sens de "Gabalo" est fourche. "Gabalodunum", le fort du gibet[31].
Histoire
Préhistoire
Abri Peyrony
Site du Périgordien supérieur à burins de Noailles[32].
En 1914 Denis Peyrony découvre un gisement préhistorique sous abri en rive droite (côté ouest) de la Lède en face du bourg de Gavaudun, au pied des falaises qui bordent la rivière. La terrasse de l'abri est inclinée vers la rivière. Il le signale à Alban Vergne, industriel de Villeneuve-sur-Lot et amateur archéologue. Vergne fouille le site de 1926 à 1928. Il le nomme «abri Peyrony[33]». Malheureusement il détruit les parties les plus riches du site[34], ne publie qu'un article en 1929 (illustré par D. Peyrony)[33] et le mobilier qu'il a collecté, estimé à plusieurs milliers de pièces, disparaît sans laisser de traces. Son article de 1929 décrit entre autres une plaque calcaire gravée, seul exemplaire de ce type à avoir été découvert dans le département jusqu'en 1994; cette plaque, disparue, est retrouvée en avril 1985 au musée Gaston Rapin de Villeneuve-sur-Lot, ainsi qu'une vingtaine de pièces, silex taillés et éléments de parure (dents et coquillages), provenant également de l'abri Peyrony[34].
Grattoir - Aurignacien - Muséum de Toulouse.
Fléchette - Gravettien - Muséum de Toulouse.
Pointe de la Gravette - Muséum de Toulouse
Flèche type Font Robert
Grotte du Moulin du Milieu
La grotte du Moulin du Milieu est en partie fouillée par Ludomir Combes et l'abbé Landesque[35].
Marcellin Boule visite le site plusieurs fois[36].
Dans la deuxième moitié du XVIIIesiècle, elle est vidée en partie pour y installer un séchoir. La couche supérieure ainsi enlevée était probablement de l'Aurignacien: sur la surface du sol au début du XXesiècle et dans les anciens déblais, Denis Peyrony a noté des assemblages couramment rencontrés dans cette culture y compris des burins de factures diverses, des grattoirs façonnés sur bout de lame et des grattoirs de type Tarté[35]. Les fouilles y sont reprises de 1924 à 1926[36] sous la direction de Chambas[35].
Le mobilier trouvé par Chambas est nettement moustérien: petits «coups de poing», pointes triangulaires à une face plane, racloirs, disques, couteaux, etc. Le silex utilisé se prête mal à la taille et l'outillage contient de nombreuses pièces «de fortune». La faune associée inclut cerf élaphe (dont nombreuses molaires, portions de mandibules droites, incisives et plusieurs astragales), bouquetin (capra ibex), chamois (dont un astragale et un calcaneus), renne (dont molaires et tibia), plusieurs grandes espèces de bovidés, cheval (dont nombreuses molaires qui indiqueraient la présence de plusieurs espèces y compris une de très grande taille), rhinocéros laineux (dont trois molaires), et abondants rongeurs[36].
En 1934-1935, à l'âge de 15 ans, l'archéologue François Bordes obtient un permis pour déblayer le site du Roc de Gavaudun[37].
Site du Moulin de Ratis
C'est une brèche située près du moulin de Ratis qui se trouve en rive gauche (côté est) de la Lède, à environ 1,4 km (à vol d'oiseau) au nord-ouest de Gavaudun[38].
Chaubard et de Raigniac le mentionnent en 1834: ils y trouvent de nombreux ossements de quadrupèdes emballés dans de la marne argileuse, mais n'y font pas de fouilles faute d'équipement approprié[39]. Déjà en 1865 Combes signale que les travaux de construction de la route (l'actuelle D150) ont détruit la plus grande partie du site[40].
Comme son nom l'indique, Gavaudun est un ancien oppidum (dun).
La forteresse de Gavaudun occupe une position stratégique renforcée par la qualité défensive naturelle du site qui est placé sur un piton rocheux.
Il constitue un bel exemple de l'architecture fortifiée du XIIIesiècle.
Au fil des alliances, le château de Gavaudun qui est situé à la frontière entre le Périgord et l'Agenais a été la possession de plusieurs grandes familles du Sud-Ouest.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977
mars 2001
Maurice Caumières
PS
Enseignant
mars 2001
Juin 2020
Éric Congé
PS
Inspecteur d'académie
juin 2020 (réélu en juillet 2020)
En cours
Adrien Teyssedou
SE
Agriculteur
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].
En 2019, la commune comptait 291 habitants[Note 7], en augmentation de 0,69% par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne: −0,57%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
1 554
927
947
1 026
1 078
1 091
1 060
1 027
1 064
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
992
890
853
855
812
794
692
651
617
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
550
530
438
455
441
427
371
322
320
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2014
276
256
269
287
316
286
279
295
285
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
291
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune était habitée dès l'aurignacien, et a livré des outils conservés, en partie, au Muséum de Toulouse.
Le château de Gavaudun du XIIIesiècle classé monument historique.
Les vestiges du prieuré Saint-Sardos de Laurenque construit entre le XVesiècle et le XVIesiècle. Il comporte l'église, le pigeonnier avec son four à pain en rez-de-chaussée qui ont été inscrits monuments historiques le ainsi que le sol archéologique[48]
L'église Saint-Sardos-et-Sainte-Anne de Laurenque, propriété de la commune a été classée monument historique par arrêté du [49].
Église Sainte-Anne-de-la-Castelle de Laurenque.
La vallée de la Lède, à Gavaudun est un site classé[50].
Personnalités liées à la commune
Bernard Palissy, potier, émailleur, peintre, verrier, écrivain et savant français, né au hameau de Saint-Avit commune de Lacapelle-Biron en limite de Gavaudun vers 1510.
Pierre Boissière (?-2022), poète et chanteur, défenseur de la langue occitane, est mort à Gavaudun.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Pierre-Yves,. Lambert, Dictionnaire de la langue gauloise une approche linguistique du vieux-celtique continental, Ed. Errance, (ISBN2-87772-198-1 et 978-2-87772-198-1, OCLC493968532, lire en ligne)
[Le Tensorer 1974] J.-M. Le Tensorer, «Le Périgordien supérieur à burins de Noailles de l'Abri Peyrony à Gavaudun (Lot-et-Garonne)», Bulletin de la Société préhistorique française, vol.71, no2 «E&T», , p.459-468 (lire en ligne[sur persee], consulté en ).
[Vergne 1929] Alban Vergne, «Les stations préhistoriques de Gavaudin - L'abri Peyrony», Bulletin de la Revue l'Agenais, no6, , p.137- (lire en ligne[sur gallica]).
[Morala 1994] André Morala, «La dalle calcaire gravée de l'abri Peyrony, commune de Gavaudun, Lot-et-Garonne», Paléo, no6, , p.315-318 (lire en ligne[sur persee]), p.315.
[Sackett 2014] (en) James Sackett, «François Bordes and the Old Stone Age», Bulletin of the History of Archaeology, vol.24, (lire en ligne[sur archaeologybulletin.org], consulté en ).
[Chaubard & Raigniac] Louis-Athanase Chaubard et A. G. de Raigniac, Notice géologique sur les terrains du département de Lot-et-Garonne (extr. des Annales des sciences d'observation, avril-mai 1830; Nouvelle éd. revue et augmentée d'une 3e partie, par L.-A. Chaubard, Agen, impr. P. Noubel, 1834 (extr. du Recueil des travaux de la Société académique d'Agen, 1ère série, t. 3, 1834)), Paris, impr. H. Fournier, , sur books.google.fr (lire en ligne), p.63-64. Cité dans Combes 1865, p.22.
[Combes 1865] Ludomir Combes, Études géologiques sur l'ancienneté de l'Homme et sur sa co-existence avec divers animaux d'espèces éteintes ou émigrées, dans les vallées du Lot et de ses affluents, Agen, impr. Prosper Noubel, , sur gallica (lire en ligne), p.22.
[Sonneville-Bordes 1953] Denise de Sonneville-Bordes, «Le Paléolithique supérieur du plateau Baillard à Gavaudun, Lot-et-Garonne», Bulletin de la Société préhistorique française, vol.50, nos5-6, , p.356-364 (lire en ligne[sur persee], consulté en ).
[Bordes 1970] François Bordes, «Circonscription d'Aquitaine», Gallia Préhistoire, vol.13, no2, , p.485-511 (lire en ligne[sur persee], consulté en ), p. 507.
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