Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Bénovie et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (les «hautes garrigues du Montpelliérais») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Ses habitants sont appelés les Galarguois et les Galarguoises.
Galargues est une commune rurale qui compte 733 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier.
Géographie
Carte
Galargues est un village situé dans les garrigues à 21km au nord-est de Montpellier, 14km au nord-ouest de Lunel et 28km à l'ouest-sud-ouest de Nîmes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 18,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Drezery», sur la commune de Saint-Drézéry, mise en service en 1980[6] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,3°C et la hauteur de précipitations de 768,4 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Montpellier-Aéroport», sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 17 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7°C pour la période 1971-2000[10], à 15,1°C pour 1981-2010[11], puis à 15,5°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux: les «hautes garrigues du Montpelliérais»[14], d'une superficie de 45 444ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30% des effectifs régionaux[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[16]:
l'«aven du Mounmaou» (280ha), couvrant 3 communes dont une dans le Gard et deux dans l'Hérault[17] et
la «plaine de Campagne» (1 681ha), couvrant 6 communes dont trois dans le Gard et trois dans l'Hérault[18]
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[16]:
les «plaines et garrigues du Nord Montpelliérais» (13 097ha), couvrant 25 communes dont six dans le Gard et 19 dans l'Hérault[19].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Galargues.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Galargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[20],[I 1],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (42,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39,7%), forêts (11,5%), zones urbanisées (4,4%), zones agricoles hétérogènes (2,3%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Galargues est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Bénovie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 2002, 2003 et 2014[25],[23].
Galargues est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[26].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Galargues.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 68,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 301 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 301 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Galargues est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[29].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 285 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 734 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 220 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 488 personnes, parmi lesquelles on compte 78,7% d'actifs (70,9% ayant un emploi et 7,8% de chômeurs) et 21,3% d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 125 emplois en 2018, contre 135 en 2013 et 124 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 348, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,7%[I 10].
Sur ces 348 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 58 travaillent dans la commune, soit 17% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 89,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2% les transports en commun, 4% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
64 établissements[Note 12] sont implantés à Galargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
64
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
6
9,4%
(6,7%)
Construction
18
28,1%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
16
25%
(28%)
Information et communication
1
1,6%
(3,3%)
Activités financières et d'assurance
1
1,6%
(3,2%)
Activités immobilières
2
3,1%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
12
18,8%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
5
7,8%
(14,2%)
Autres activités de services
3
4,7%
(8,1%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,1% du nombre total d'établissements de la commune (18 sur les 64 entreprises implantées à Galargues), contre 14,1% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[30]:
SARL Reseaux Divers Languedociens, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (2 374 k€)
LC Partner, autres intermédiaires du commerce en produits divers (274 k€)
Lou Distribution, autres intermédiaires du commerce en produits divers (86 k€)
LC Entreprise, fonds de placement et entités financières similaires (73 k€)
Lou'krys, commerce de gros (commerce interentreprises) d'articles d'horlogerie et de bijouterie (54 k€)
Agriculture
La commune est dans le «Soubergues», une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 30 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 28 en 2000 puis à 27 en 2010[33] et enfin à 26 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 13% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67% de ses exploitations[34],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 416 ha en 1988 à 277 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 14 à 11 ha[33].
Histoire
Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée «société populaire des sans-culottes» en l’an II[35].
Depuis le 1er janvier 2013, la commune est membre de la communauté de communes du Pays de Lunel. Jusqu'alors, elle faisait partie de la communauté de communes Ceps et Sylves.
Démographie
Au dernier recensement, la commune comptait 733 habitants.
Article détaillé: Recensement en France.
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
375
389
371
415
427
431
397
405
416
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
432
493
515
510
455
370
416
427
420
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
424
419
408
405
390
386
358
305
281
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
265
279
253
342
404
519
608
629
664
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
734
733
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La façade de l'église et une de ses deux tours.
Église de l'Assomption-de-Notre-Dame de Galargues.
La croix de mission qui la jouxte.
C"est d'abord une Croix de mission consacrée au Sacré-Cœur de Jésus. Un beau travail de croix en fer forgé sur le fût de laquelle sont représentés, en partie basse, un Arbre de Jessé et les Armes du Christ, en partie haute le Triomphe de l'Eucharistie et le Titulus crucis, INRI. Au croisement le Sacré Cœur, sur les croisillons, les palmes de sainteté, symbole d'adoration du Christ. La lanterne du croisillon de gauche, symbolise la rémission des péchés et le Jugement dernier car c'est le croisillon sur lequel on attachait une lanterne pour signaler un décès suspect lors de la grande épidémie de peste qui ravagea le Languedoc dans les années 1630.
Ensuite, le revers de la croix, consacré à la Vierge Marie comme c'est l'usage; de fervents catholiques ont même ajouté une petite statue de la Vierge, au pied de la croix. Mais dans l'urgence, elle a été transformée en monument aux morts des deux guerres mondiales. Ironie de l'histoire, les drapeaux français ont été fixés au sommet de l'arbre de Jessé, une vivante illustration de l'alliance «du sabre et du goupillon»[39], en somme.
Croix de mission.
Monument aux morts.
Carte postale de l'avenue de Sommières (fin XIX - début XXe siècle).
Héraldique
Blason
D'azur à Notre-Dame d'argent, la dextre sur la poitrine.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Personnalités liées à la commune
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Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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