FontpédrouseÉcouter (catalan: Fontpedrosa) est une commune française située dans le sud-ouest du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Conflent, correspondant à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui «confluent» avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis et Rodès.
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Têt, la Carança, la Riberola, riu d'aigües et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (le «massif du Puigmal» et «Puigmal-Carança»), un espace protégé (les «Rivières la Carança, la Tet et de Maureillas») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Fontpédrouse est une commune rurale qui compte 117 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 890 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Fontpédrousats ou Fontpédrousates.
Géographie
Localisation
Carte de la commune avec localisation de la mairie.
La commune de Fontpédrouse se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[I 1].
Elle se situe à 62 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 23 km de Prades[2], sous-préfecture.
Sur le plan historique et culturel, Fontpédrouse fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui «confluent» avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[4].
Vue sur Fontpédrouse depuis la route nationale en descendant de Mont-Louis.
Plusieurs sommets de la chaîne des Pyrénées sont disposés sur son territoire, dont le Noufonts (2 864 m), le pic de la Fossa del Gegant (2 808 m), le pic du Géant (2 881 m) et l'Infern (2 896 m).
La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[7].
Hydrographie
Le nord de la commune est traversé d'ouest en est par la Têt.
La Riberola s'écoule aussi dans la commune, ainsi que la partie haute de la Carança, qui y prend sa source.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[8].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 10°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 9,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Olette», sur la commune d'Olette, mise en service en 1983[13] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4°C et la hauteur de précipitations de 571,7 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Perpignan», sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 62 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 15,4°C pour la période 1971-2000[17], à 15,7°C pour 1981-2010[18], puis à 16,1°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].
Dans ce cadre, la commune fait partie[22].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune:
les «Rivières la Carança, la Tet et de Maureillas», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 107,3ha[23];
le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[24],[25].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[27].
le «massif du Puigmal», d'une superficie de 8 784ha, présence une richesse patrimoniale avec onze habitats naturels et deux espèces végétales au niveau régional. Ainsi la station de Botryche simple est très importante compte tenu du faible nombre de stations en France[28] et au titre de la directive oiseaux[27]
«puigmal-Carança», d'une superficie de 10 260ha, un site qui a une responsabilité forte ou très forte pour cinq espèces d'oiseaux au niveau régional, dont le gypaète barbu[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[30]:
le «bac de la forêt domaniale de Fontpédrouse» (180ha), couvrant 3 communes du département[31];
la «vallée de la Carança» (4 315ha), couvrant 3 communes du département[32],
les «chaine du Puigmal et vallées Adjacentes» (28 390ha), couvrant 15 communes du département[34];
le «versant sud du massif du Madres» (27 267ha), couvrant 27 communes du département[35].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Fontpédrouse.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Fontpédrouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[36],[I 2],[37].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].
La commune actuelle englobe trois villages distincts:
le village de Fontpédrouse à proprement parler;
le hameau de Prats Balaguer;
le hameau de Saint-Thomas, à proximité duquel s'est implanté l'établissement thermal éponyme, au niveau des sources d'eau chaude.
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (40,8%), forêts (34%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,2%)[38].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La route nationale 116 traverse le nord de la commune parallèlement au tracé de la Têt, en provenance à l'ouest de Mont-Louis et en direction à l'est de Thuès-Entre-Valls.
Le territoire de la commune de Fontpédrouse est vulnérable à différents aléas naturels: inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[39],[40].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[41].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[42]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[43].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations et avalanches[44].
Carte des zones inondables.
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[45].
Sur le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, le Barrage des Bouillouses sur la Têt, un ouvrage de 17,5 m de hauteur construit en 1910[46].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Fontpédrouse est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[47].
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Fontpedrosa[48]. Il signifie en français, fontaine pierreuse ou pétrifiante[49].
Une partie des hameaux de Prats-Saint-Thomas est victime de glissements de terrain à la suite d'importantes précipitations en décembre 1932[51].
La commune connaît un regain d'activité depuis la rénovation de ses thermes, les bains de Saint-Thomas, en 1993, où l'eau sulfureuse peut atteindre 58°C, il s'agit donc d'une eau hyperthermale, l'une des plus chaudes sources naturelles des Pyrénées.
Politique et administration
Canton
En 1790, la commune de Fontpédrouse est intégrée dans le canton d'Olette. Elle en est rapidement détachée pour rejoindre en 1793 le nouveau canton de Mont-Louis, dont elle fait toujours partie à ce jour[50],[52].
Administration municipale
La mairie de Fontpédrouse.
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La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Évolution de la population
1378
1424
1553
1709
1720
1767
1774
1789
17 f
6 f
14 f
112 f
53 f
496 H
120 f
108 f
(Sources: Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol.66: Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378p. (ISBN2-222-03821-9))
Note: 1378, 1424, 1553 et 1709 pour Fontpédrouse et Prats-Balaguer.
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[57].
En 2019, la commune comptait 117 habitants[Note 9], en diminution de 10,69% par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales: +3,73%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
509
560
551
621
737
757
763
858
890
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
868
853
858
821
705
678
656
642
635
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
571
796
573
517
422
379
325
452
319
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
243
188
147
108
138
123
120
118
132
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
129
117
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique
Note: à partir de 1826, les habitants de Prats-Saint-Thomas sont recensés avec ceux de Fontpédrouse.
La municipalité en place a pris la décision de fermer l'école en juillet 2021.
Après une période de fermeture[63], l'école a été rouverte et elle accueille en 2012 moins d'une dizaine d'élèves, répartis entre maternelle et CM2, dans une classe unique[64].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 64 personnes, parmi lesquelles on compte 72,6% d'actifs (59,7% ayant un emploi et 12,9% de chômeurs) et 27,4% d'inactifs[Note 10],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 32 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 38, soit un indicateur de concentration d'emploi de 77,3% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,1%[I 9].
Sur ces 38 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 46% des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 78,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 16,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
16 établissements[Note 11] sont implantés à Fontpédrouse au [I 12].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25% du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 16 entreprises implantées à Fontpédrouse), contre 8,7% au niveau départemental[I 13].
Entreprises et commerces
Les bains de Saint-Thomas disposent de six sources d'eau chaude naturelle sulfureuse.
La commune est dans le Conflent, une petite région agricole occupant le centre-ouest du département des Pyrénées-Orientales[67]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 3]. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (huit en 1988). La superficie agricole utilisée est de 1ha[69],[Carte 4],[Carte 5].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
L'Église Sainte-Marie de Fontpédrouse, située au bourg;
Pont Séjourné;
Église de la Trinité et Sainte-Marie de Prats Balaguer: édifice roman élevé au XIesiècle, à proximité du hameau de Prats-Balaguer, au sud du village-centre;
Chapelle Notre-Dame-de-la-Santé de Saint-Thomas-de-Balaguer.
Chapelle Saint-Joseph de Prats-Balaguer.
Vestiges du château de Prats-Balaguer, à 0,2 km au sud du village.
Église Sainte-Marie de Fontpédrouse
Église de la Trinité de Prats-Balaguer
Personnalités liées à la commune
Le poète Antoine Jofre a été prêtre de Fontpédrouse de 1838 à 1841.
Liste des anciennes communes des Pyrénées-Orientales
Bibliographie
Gérard Raynal, Le pont des illusions: roman, Pollestres (Pyrénées-Orientales), T.D.O. éditions, , 221p. (ISBN978-2-36652-006-4, BNF43501566): une part importante du roman se déroule autour de la construction du pont Séjourné.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[68].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
(ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t.1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796p..
Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France: dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol.66: Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378p. (ISBN2-222-03821-9).
Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales: Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll.«Villes et villages de France», (ISBN2-7399-5066-7).
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