Endoufielle (Endofièla en occitan) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Savès, une petite province gasconne correspondant au cours moyen de la Save.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Save, la Boulouze, le ruisseau de Laurio, le ruisseau d'en Peyblanc et par divers autres petits cours d'eau.
Endoufielle est une commune rurale qui compte 506 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Endoufiellois ou Endoufielloises.
Géographie
Localisation
Endoufielle est une commune située en Gascogne dans le Savès en Rivière-Verdun, entre L'Isle-Jourdain et Samatan.
Carte de la commune de Endoufielle et de ses proches communes.
Communes limitrophes
Endoufielle est limitrophe de sept autres communes. Elle est limitrophe du département de la Haute-Garonne par un quadripoint.
La superficie de la commune est de 1 710 hectares; son altitude varie de 146 à 235mètres[2].
Endoufielle se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].
Voies de communication et transports
Accès avec la RN 124 puis la départementale D 634 ancienne route nationale 634. Par le train en gare de L'Isle-Jourdain sur la ligne SNCF Toulouse - Auch.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Save, la Boulouze, le ruisseau de Laurio, le ruisseau d'en Peyblanc, le ruisseau d'Azimont, le ruisseau de la Harre, le ruisseau de Saint-Germier, le ruisseau de Taillepé, le ruisseau du Merlé le ruisseau du Pinon et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[5],[Carte 1].
La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 46 communes[6].
La Boulouze, d'une longueur totale de 19,7 km, prend sa source dans la commune de Lahage et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans La Save à Marestaing, après avoir traversé 10 communes[7].
Réseaux hydrographique et routier d'Endoufielle.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]
Moyenne annuelle de température: 13,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 5,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Isle-Jourdain», sur la commune de l'Isle-Jourdain, mise en service en 1967[13] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3°C et la hauteur de précipitations de 705,4 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Toulouse-Francazal», sur la commune de Cugnaux, dans le département de la Haute-Garonne, mise en service en 1922 et à 26 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 14,1°C pour la période 1971-2000[17], à 14,1°C pour 1981-2010[18], puis à 14,3°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[20],[21],[22].
Urbanisme
Typologie
Endoufielle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[I 1],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (79,1%), zones agricoles hétérogènes (20,9%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Endoufielle est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Save et la Boulouze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2017[29],[26].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Endoufielle.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 250 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 250 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 93% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1993, 1999, 2003, 2011 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[26].
Le nom de ce lieu est connu depuis le milieu du XIesiècle par celui d'Aton, seigneur d'Endoufielle[42], mais l'attestation de la forme primitive fait défaut.
Il s'agit sans doute d'un nom de lieu mérovingien en -villa qui a donné -viala en languedocien, vièla en gascon, francisé par la suite en -ville, -vielle ou -fielle dans la même région.
Le premier élément est sans doute le nom de personne Andulfus, forme latinisée d'un anthroponyme gotique cité par Marie-Thérèse Morlet[44], -vielle serait passé à -fielle, par assimilation du [v] de -villa au [f] de l'anthroponyme. Quant à l'initiale primitive An-, elle paraît avoir été tardivement modifiée en En-, peut-être d'après les très nombreux toponymes en en[45] + noms de personnes attestés dans le Gers.
Le nom de personne Andulfus se perpétue peut-être dans le patronyme Andou attesté dans le sud ouest à époque ancienne[46], et certainement dans le patronyme italien Andolfi.
L'hypothèse d'une origine gothique du premier élément est renforcée par le fait que -ville est précédé le plus souvent par un nom de personne germanique, ainsi que par l'existence, dans les environs immédiats, du village de Goudourville qui remonte, selon Albert Dauzat et Charles Rostaing[47], à Gothorum villa « village des Goths ».
La même variante en -fielle se retrouve par ailleurs dans Renoufielle (ancienne paroisse, aujourd'hui lieu-dit à L'Isle-Jourdain: Renoufielle 1595[48] et 1763[49], Renouffiel 1763/1788[50], Renouffielle 1753/1785[51]) et dans Ségoufielle (Seguenvilla 1196[52]).
Histoire
Divers seigneurs d'Endoufielle peuvent être identifiés:
Aton d'Andoufielle (11e s.), fils de Raymond Aton, seigneur de l'Hille (future Isle-Jourdain), et frère de saint Bertrand (né vers 1047), archevêque d’Auch. Aton prit le nom de la terre de son apanage. Il épousa la fille du baron de Montaut, dont il eut Guillaume, autre archevêque d'Auch[42].
Étienne du Gout, écuyer, seigneur d'Andoufielle et de Saint-Germier, écuyer d'écurie du comte d'Armagnac, qui épousa Claire de Galard, dame de Saint-Germier. Il est nommé dans deux actes datés des et [53].
Alain Frédéric d'Ornezan, seigneur d’Andofielle, mort en 1569[32].
Jean de Lastours, seigneur d’Andofiella, responsable en 1570 d'une compagnie de soldats en garnisons à Lisle-sur-Tarn[33].
Messire François de Bonfontan, baron d’Andoufielle, cité dans un arrêt du Parlement de Toulouse rendu contre lui le [35].
Philippe de Bonfontan, chevalier, seigneur, baron d'Endoufielle, comte du Puy, seigneur de Lissac, Labatut et autres places, capitoul-gentilhomme, cité en 1786 et 1787 en tant que membre de la nouvelle administration déterminée par arrêt du Conseil et l'ordonnance du Roi du [54].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[55],[56].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes de la Gascogne Toulousaine et du canton de L'Isle-Jourdain et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de la Save Lisloise.
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2014 dans le Gers.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[59].
En 2019, la commune comptait 506 habitants[Note 6], en diminution de 8,17% par rapport à 2013 (Gers: +0,58%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1841
1846
1851
1856
761
811
927
915
885
870
867
853
823
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
808
790
742
720
726
679
656
668
621
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
622
591
483
538
520
521
504
416
402
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2014
348
310
312
397
446
514
531
561
543
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
506
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
Endoufielle fait partie de l'académie de Toulouse.
Manifestations culturelles et festivités
Salle des fêtes d'Endoufielle.
Salle des fêtes,
Activités sportives
Chasse, pétanque,
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de la Gascogne Toulousaine[66].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 206 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 507 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 320 €[I 4] (20 820 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 340 personnes, parmi lesquelles on compte 81,1% d'actifs (76,6% ayant un emploi et 4,5% de chômeurs) et 18,9% d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 56 emplois en 2018, contre 83 en 2013 et 79 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 266, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,9% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,6%[I 10].
Sur ces 266 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 40 travaillent dans la commune, soit 15% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 92% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3% les transports en commun, 1,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
36 établissements[Note 9] sont implantés à Endoufielle au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
36
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
6
16,7%
(12,3%)
Construction
5
13,9%
(14,6%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
5
13,9%
(27,7%)
Information et communication
1
2,8%
(1,8%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
10
27,8%
(14,4%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
2
5,6%
(12,3%)
Autres activités de services
7
19,4%
(8,3%)
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,8 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 36 entreprises implantées à Endoufielle), contre 14,4% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les «Coteaux du Gers», une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[67]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 40 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 24 en 2000 puis à 23 en 2010[69] et enfin à 18 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 55% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51% de ses exploitations[70],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 514ha en 1988 à 1 219ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 38 à 68ha[69].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Germier à clocher mur.
Chapelle du cimetière.
Église Saint-Germier
Chapelle du cimetière
Personnalités liées à la commune
Louis Lafforgue (1892-1934): homme politique mort à Endoufielle.
Héraldique
Blasonnement:
Tiercé en pairle renversé: au premier de gueules à la croix cléchée, vidée, pommetée de douze pièces d'or, au second d'argent au lion de gueules, au troisième d'azur à la gerbe de blé d'or liée de gueules[71].
Voir aussi
Bibliographie
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol.I: Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF39151085)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[68].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Archives départementales du Tarn: archives communales déposées de Lisle-sur-Tarn, cote 145 EDT EE 4.
Alexis-Hubert Jaillot, Carte du diocèse de Toulouse, Paris, 1695.
Jean-Baptiste Furgole, Traité des testamens, codiciles, donations à cause de mort et autres dispositions de dernière volonté, suivant les principles et les décisions du droit romain, les ordonnances, les coutumes & maximes du royaume, tant des païs du droit ecrit, que coutumiers & la jurisprudence des arrêts, Paris, 1777, t. IV, p.269.
2eédition. Diocèse de Lombez divisé en V districts, 1727; copie XIXe s. de Jean-Marie Cazauran (1845-1910).
Lattré et R. Bonne, Carte du Gouvernement de Guienne et Gascogne avec celui de Bearn et Basse-Navarre, Paris, ~1783.
Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, Paris, 1804, vol. II, p. 44.
V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
Adrien Salvan, Histoire générale de l'Église de Toulouse, Delboy, Toulouse, 1857, t. II., p. 51.
Cartes d’État-Major (relevés de 1825 à 1866, mises à jour jusqu’à 1889).
Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. I (les noms issus du germanique continental et les créations gallo-germaniques), 1968, p. 36a.
Ce fréquent élément de la toponymie gersoise semble représenter l'altération d'un plus ancien ne (féminin na), particule honorifique probablement issue d'une forme aphérétique du vocatif latindomine / domina «seigneur / dame»; cf. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie gasconne, Éditions Sud-Ouest, Luçon, 1992, p. 88.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN2-85023-076-6), p. 325, article Goudet.
Dans un texte cité in Abbé J. Lestrade, Les Huguenots en Comminges, Paris / Auch, 1900, p. 304.
Henry Delaistre, Carte routière du diocèse de Toulouse, 1763/1788.
Carte de Cassini.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963 (rééd. Guénégaud, avec supplément de Marie-Thérèse Morlet), p. 650a.
Le chevalier de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France: des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, libr. Arthus Bertrand, Paris, 1826, t. VI, p. 64.
le chevalier Alexandre Du Mège, Histoire des institutions religieuses, politiques, judiciaires et littéraires de la ville de Toulouse, impr. Laurent Chapelle, Toulouse, 1844, t. II, p. 459.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии