Dions[djɔ̃s] est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le Bourdic, le ruisseau de Braune, le ruisseau de Goutajon, Valat de Gouloubert et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: trois sites Natura 2000 («le Gardon et ses gorges», les «gorges du Gardon» et le «camp des Garrigues») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Dions est une commune rurale qui compte 543 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Dionsois ou Dionsoises.
Géographie
Localisation
Commune située dans l'aire urbaine de Nîmes à 15km de cette ville.
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Article connexe: Gardon.
Le Gardon traverse la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 0,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 15,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 5,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «La Rouvière», sur la commune de La Rouvière, mise en service en 1986[6] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,2°C et la hauteur de précipitations de 918,8 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Nimes-Courbessac», sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 12 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8°C pour la période 1971-2000[10], à 15,1°C pour 1981-2010[11], puis à 15,6°C pour 1991-2020[12].
Voies de communication et transports
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Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[15],[16].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[18]:
«le Gardon et ses gorges», d'une superficie de 7 009ha, présentant une importante diversité des habitats et des espèces. Les nombreuses grottes permettent d'accueillir une bonne diversité de Chiroptères. Dans les gorges, se trouvent des formations de Chênes verts peu perturbées avec des espèces particulièrement rares (Cyclamen des Baléares)[19]
le «camp des Garrigues», d'une superficie de 2 089ha, présentant une richesse avifaunistique marquée notamment par la présence du cortège des espèces des garrigues méditerranéennes. Les principales espèces de passereaux et assimilés caractéristiques des zones méditerranéennes sont présentes dans le camp. Il présente aussi un intérêt majeur comme site de nidification et comme territoire de chasse pour de nombreux rapaces: Aigle de Bonelli, Milan noir, Grand Duc d'Europe, Circaète Jean-le-Blanc et busard cendré[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22]:
les «gorges du Gardon» (5 231ha), couvrant 10 communes du département[23], et
la «rivière du Gardon entre Moussac et Russan» (682ha), couvrant 7 communes du département[24]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[22]:
le «plateau Saint-Nicolas» (15 838ha), couvrant 16 communes du département[25];
la «vallée moyenne des Gardons» (1 848ha), couvrant 24 communes du département[26].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Dions.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Dions est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[I 1],[28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2],[I 3].
Dions est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT) du Sud du Gard et fait également partie des 41 communes du pays Garrigues et Costières de Nîmes.
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,8% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (35,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,5%), cultures permanentes (20,2%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,1%), zones agricoles hétérogènes (3,8%), prairies (2,4%), zones urbanisées (2,2%), terres arables (1,1%), mines, décharges et chantiers (0,5%)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Dions est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gard, le Bourdic et le ruisseau de Braune. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1990, 1994, 2001, 2002, 2005 et 2014[32],[30].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dions.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[33]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 327 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 121 sont en en aléa moyen ou fort, soit 37%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 9] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[37].
Toponymie
Attestée sous la forme Dion en 1157, Dions en 1170 et Dyons en 1256[38].
Ce toponyme provient du gaulois devona/divona, «la divine», présent dans d'autres noms de localités comme Devona Cadurcorum (Cahors, Lot) ou Divonne dans l'Ain[39][sourceinsuffisante].
Ce mot d'origine indo-européenne est à rapprocher du sanskrit deváh, "dieu", du latin deus, du breton doue, du gallois duw, du vieil-irlandais dia, etc[40].
Histoire
Moyen Âge
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Dion en 1157, Dions en 1170, Dyon en 1256, Dyons en 1274, Dions en 1384, Duons en 1463[41],
Époque moderne
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Révolution française et Empire
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Époque contemporaine
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1997
2008
Christian Silbermann
2008
2014
Charles Picolo
Vice-président de Nîmes Métropole
2014
2016 (démission)
Marc Gilbert
SE
2016
En cours
Jean Verdalle
Jumelages
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Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].
En 2019, la commune comptait 543 habitants[Note 10], en diminution de 9,2% par rapport à 2013 (Gard: +2,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
618
663
687
711
720
716
700
700
737
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
737
752
713
665
656
611
573
565
602
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
580
558
539
452
419
426
422
337
288
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
311
378
377
393
453
522
540
522
575
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
599
543
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
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Santé
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Manifestations culturelles et festivités
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Cultes
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Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 263 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 584 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 180 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 368 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5% d'actifs (69,2% ayant un emploi et 9,3% de chômeurs) et 21,5% d'inactifs[Note 12],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 55 emplois en 2018, contre 86 en 2013 et 62 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 257, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,5% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,4%[I 10].
Sur ces 257 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 10% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 95,1% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8% les transports en commun, 1,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 0,8% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
50 établissements[Note 13] sont implantés à Dions au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
50
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
4
8%
(7,9%)
Construction
14
28%
(15,5%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
11
22%
(30%)
Information et communication
2
4%
(2,2%)
Activités financières et d'assurance
1
2%
(3%)
Activités immobilières
1
2%
(4,1%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
7
14%
(14,9%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
5
10%
(13,5%)
Autres activités de services
5
10%
(8,8%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 50 entreprises implantées à Dions), contre 15,5% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 17 en 2000 puis à 13 en 2010[48] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 52% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61% de ses exploitations[49],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 261ha en 1988 à 165ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 11 à 15ha[48].
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
Le château.
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Château.
Temple de Dions
Édifices religieux
Église Saint-Pierre, construite de 1856 à 1862 à la place d'une chapelle[50].
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Moulin à vent de Grès, construit sans doute à la fin du XVIIIe siècle[51], il produisait de la farine. Il a été restauré en 2011 par Bernard Garibald, charpentier-amoulangeur, pour le Syndicat mixte des gorges du Gardon[52]. Ses meules à farine ont été remplacées par une meule à huile parce que le moulin est situé en pleine zone d’oliveraies que le Syndicat veut réhabiliter. Le Syndicat veut remettre en état de marche. «Tout cela pour recréer sur place une culture oléicole», rapportait le journaliste d'Objectif Gard le 5 août 2018[53].
Patrimoine environnemental
Le gouffre Espeluca.
Article détaillé: Gouffre Espeluca.
Le gouffre Espeluca: cavité naturelle située sur la rive droite du Gardon.
Personnalités liées à la commune
Charles-François de Trinquelague-Dions[pourquoi?].
Héraldique
Blason
De vair à la fasce losangée d'argent et de sinople[41].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[36].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard: comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298p., in-4 (BNF30500934), p.73-74
(oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français: embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179p., 2 vol.; 25 cm (ISBN84-499-0563-X, BNF37258238), p.804, t.1
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