La Calmette est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, l'Esquielle, le ruisseau de Braune, le ruisseau de l'Auriol, le Rouvégade et par un autre cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
La Calmette est une commune rurale qui compte 2 363 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de La Calmette et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Calmettois ou Calmettoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques: le temple protestant, inscrit en 1991.
Géographie
Localisation
La Calmette est située à quinze kilomètres au nord-ouest de Nîmes, sur la route d'Alès (RN 106).
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 17,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 3,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «La Rouvière», sur la commune de La Rouvière, mise en service en 1986[6] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,2°C et la hauteur de précipitations de 918,8 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Nimes-Courbessac», sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 12 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8°C pour la période 1971-2000[10], à 15,1°C pour 1981-2010[11], puis à 15,6°C pour 1991-2020[12].
Voies de communication et transports
Axes ferroviaires
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Axes routiers
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Transports en commun
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Réseau tango ligne 61 toute la journée.
Et des services scolaires.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
La commune fait également partie des gorges du Gardon, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[15],[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17]:
la «rivière du Gardon entre Moussac et Russan» (682ha), couvrant 7 communes du département[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[17]:
le «plateau Saint-Nicolas» (15 838ha), couvrant 16 communes du département[19];
la «vallée moyenne des Gardons» (1 848ha), couvrant 24 communes du département[20].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à La Calmette.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
La Calmette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[21],[I 1],[22].
Elle appartient à l'unité urbaine de La Calmette, une unité urbaine monocommunale[I 2] de 2 200 habitants en 2017, constituant une ville isolée[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].
La Calmette est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard et fait également partie des 41 communes du Pays Garrigues Costières.
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (22,3%), forêts (18,3%), cultures permanentes (14%), zones agricoles hétérogènes (13,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12%), zones urbanisées (11,8%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6%), mines, décharges et chantiers (1,9%)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
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Logement
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Projets d'aménagement
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Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Calmette est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Gard, le ruisseau de l'Auriol, le ruisseau de Braune et l'Esquielle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1994, 2001, 2002, 2005 et 2014[26],[24].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Calmette.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 852 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 852 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[29].
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe A[Note 8] doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté en latin sous la forme villa que nuncupant Calmis in Comitatu Usetico[32] en 1027. Il s'agit d'une formation toponymique médiévale, basée sur le mot occitan calm (souvent écrit can, féminin calma, cauma) qui désignent un plateau rocheux sur une montagne, une lande couverte de bruyère, suivi du suffixe diminutif -etta. La présence de l'article défini la indique une formation toponymique tardive.
Ses habitants s'appellent les Calmettois et Calmettoises.
Histoire
Moyen Âge
L’origine du village est une circulade, Jack Montbrun écrit:
«J’aime aussi à imaginer que ce nom peut avoir une origine gréco-romaine, du grec «kalamé»: roseau, paille, si l’on songe que La Calmette fut à l’origine un village de pêcheurs, près du grand lac vidé par les Romains pour gagner des terres cultivables… Mais là encore les avis divergent, puisqu’on parle même de «légende» en évoquant ce grand lac!»
Le village était en fait trois villages: Massillan (dont demeure une seule bâtisse au mas de l’Habitarelle, sur la route d’Alès au nord), et Estelzin (face à l’Escalette) plus au sud. Sur ce site existait un important monastère de Bénédictines.
Possession au XIesiècle de Bernard Aton, vicomte de Nîmes, puis du roi de France qui, en 1211, la donne aux seigneurs d'Uzès.
Époque moderne
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Révolution française et Empire
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Époque contemporaine
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].
En 2019, la commune comptait 2 363 habitants[Note 9], en augmentation de 15,44% par rapport à 2013 (Gard: +2,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
958
935
971
1 033
1 097
1 138
1 197
1 172
1 258
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 139
1 190
1 098
1 085
1 029
875
900
780
713
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
714
644
664
577
609
625
603
531
574
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
596
712
710
893
1 318
1 635
1 777
1 928
1 942
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 079
2 363
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
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Santé
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Manifestations culturelles et festivités
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Village fleuri. Fête votive le , fête du printemps (mai). Nombreuses associations, 2 manades.
Sports
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Médias
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Cultes
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Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 994 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 2 336 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 380 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]). 46% des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (43,9% dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 406 personnes, parmi lesquelles on compte 76,1% d'actifs (64,4% ayant un emploi et 11,7% de chômeurs) et 23,9% d'inactifs[Note 12],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 533 emplois en 2018, contre 552 en 2013 et 453 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 916, soit un indicateur de concentration d'emploi de 58,2% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,9%[I 13].
Sur ces 916 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 156 travaillent dans la commune, soit 17% des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 89% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2% les transports en commun, 5,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
254 établissements[Note 13] sont implantés à la Calmette au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 16].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
254
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
16
6,3%
(7,9%)
Construction
46
18,1%
(15,5%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
65
25,6%
(30%)
Information et communication
7
2,8%
(2,2%)
Activités financières et d'assurance
8
3,1%
(3%)
Activités immobilières
9
3,5%
(4,1%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
27
10,6%
(14,9%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
47
18,5%
(13,5%)
Autres activités de services
29
11,4%
(8,8%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,6% du nombre total d'établissements de la commune (65 sur les 254 entreprises implantées à la La Calmette), contre 30% au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[39]:
SA Karist, supermarchés (11 894 k€)
Karbu, commerce de détail de carburants en magasin spécialisé (5 261 k€)
Bruyas, fabrication de structures métalliques et de parties de structures (4 209 k€)
Huzo, commerce de détail de viandes et de produits à base de viande en magasin spécialisé (1 751 k€)
Gregory Girard, boulangerie et boulangerie-pâtisserie (1 101 k€)
Revenus de la population et fiscalité
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La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (54 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 233ha[42],[Carte 5],[Carte 6].
Emploi
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Entreprises de l'agglomération
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Agriculture
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Ovins.
Vigne, vergers, asperges.
Artisanat et industrie
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Activités de service
Une zone d'activité importante existe à La Calmette: la ZAC du «petit verger», venue agrandir en 2002 la zone commerciale de «la Carbonnière» ouverte en 1988 sous la municipalité de Jean-Marie Peloux, alors maire – première décision de la municipalité pour une ZAC en 1977. Le centre historique s'est alors vidé de ses commerces de proximité mais il reste cependant un coiffeur, une boulangerie, un café (L’afficion), un restaurant (La Terrasse) et une auto-école. Aux portes et dans le village de nombreux commerces: 3 supermarchés (Casino, Lidl, farfouille), 4 garages ou carrosseries, station-service et fioul, contrôle auto, réparation et vente informatique, bricolage, opticiens mutualistes, vétérinaire, photographe, pressing, bijouterie, magasin de produits et entretien piscines, une couturière et décoratrice d’intérieur, chauffagistes, boucheries, coiffeurs, onglerie, instituts de beauté, esthéticiennes et espaces bien-être, gymnastique et danses, bureau de tabac et presse, fleuriste pépiniériste, artiste-verrier, banques et assurances (Banque Postale, Crédit agricole, Groupama, Banque Populaire du Sud, Allianz), un bureau de poste, un deuxième restaurant (l’Entracte), traiteur (Martinez) et caviste, lavage-auto, ambulances et taxis, cabinet d’avocat, etc. Entreprises du bâtiment et artisans divers dans tous les domaines, électricité, plomberie, étanchéité, isolation, carrelage, couvertures, etc., ébénisterie, une usine d’aluminium, un bureau d’études. Un gîte d’étapes, un karting, un stand ball-trap, etc.
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
Grottes préhistoriques.
Traces de voie romaine, la voie Régordane.
Restes de villas gallo-romaines.
Bourg de plan circulaire ou circulade, en forme de coquille d'escargot dans la partie appelée aujourd’hui le fort
Construction d'un relais de chasse pour le marquis De Valfons par une entreprise de maçonnerie calmettoise, aujourd'hui la mairie, que les habitants appellent toujours le château.
Le château de la Reyranglade, puis château d'André.
Édifices religieux
Article détaillé: Temple protestant de La Calmette.
Église paroissiale Saint-Julien de La Calmette (XIXesiècle). Église recensée au XIesiècle, reconstruite en 1860 par la population, qui l’appelle alors avec fierté la cathédrale de La Gardonnenque[43].
Temple protestant construit en 1846 sous une forme architecturale octogonale rare. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1991[44].
Grande croix en fer forgé de 1794 (réfection en 1816).
Chapelle: restes d'un mur de clôture, d'une petite abside romane dépendant autrefois d'un couvent de bénédictines.
Église Saint-Julien.
Temple.
Monument aux morts.
Patrimoine culturel
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Patrimoine environnemental
Plaine du Gardon.
Rives de l'Esquielle et de la Braune.
Garrigue nîmoise.
Personnalités liées à la commune
Camille Mathéi de Valfons (1837-1907), marquis de la Calmette, fut député du Gard (1871-1881) et maire de la Calmette. Son fils Henri fut également maire de la Calmette (1904-1912).
Christian Chomel, raseteur français, qui a vécu longtemps à La Calmette. Locataire de la manade du Devois sur la route de Saint-Chaptes.
Francis Ardant (1867-1946), officier militaire et écrivain français, y est né.
Héraldique
Article connexe: armorial des communes du Gard.
Les armes de La Calmette se blasonnent ainsi:
De vair à la fasce losangée d'argent et de sable[45].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[30].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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