Le sol de la commune de formation tertiaire et quaternaire est argileux voire glaiseux.
Le sous-sol de la commune est essentiellement formé de craie à peu de profondeur au nord-est, de glaise et de calcaire mélangé de couches de sable au nord-ouest[1].
Relief, paysage, végétation
Le relief de Combles est celui d'une cuvette, une vallée sèche recouverte d'alluvions. L'altitude moyenne est de 118 m. Le point culminant de la commune se trouve sur le plateau de Guillemont et de Maurepas (~150 m). Le paysage de la commune est celui d'une plaine. Un ensemble de bois entoure la commune[1].
Hydrographie
Autrefois, un cours d'eau venant d'Albert passait à Combles et confluait avec un ruisseau qui prenait sa source dans le parc du château de Sailly-Saillisel. Une nappe phréatique se situe dans le sous-sol de la commune[1].
Climat
Combles jouit d'un climat tempéré océanique avec vents dominants de nord-ouest et sud-ouest[1].
Géographie humaine
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (81,5%), zones urbanisées (6,8%), forêts (6,1%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,5%)[2].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[3].
Hameaux, quartiers, lieux-dits et écarts
Frégicourt est un ancien village, détruit totalement pendant la Première Guerre mondiale et qui n'a pas été reconstruit.
Le village de Combles a été entièrement reconstruit après la Première Guerre mondiale. La commune présente un habita groupé au chef-lieu hormis deux fermes isolées.
Voies de communication et transports
Combles Passage d'un TGV sous le pont de Combles.
Le terroir de la commune est traversé à l'est par l'autoroute A1: accès à la sortie 13.1Péronne-nord (Albert - Péronne) et par la ligne TGV de Paris-Nord àLille qui jouxte l'autoroute.
Combles est traversée par la D20 reliant Ovillers-la-Boisselle à Bouchavesnes-Bergen.
Par la route, la localité se trouve à une cinquantaine de kilomètres au nord-est d'Amiens et à 13 km au nord de Péronne[4].
La localité est desservie par la ligne d'autocars no39 (Albert - Péronne) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[5].
Combles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].
La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].
Toponymie
Le nom Combles viendrait du roman Combles signifiant lieu aplani, nivelé, vallée. Le terme a été latinisé par les bénédictins en Comblœ, Cumulœ[11].
Histoire
Antiquité
On a trouvé sur le territoire de la commune de Combles des traces de deux villas gallo-romaines[12].
Moyen Âge
La paroisse de Combles fut fondée au XIesiècle dans un lieu écarté de la forêt d'Arrouaise. En 1181, l'abbaye du Mont Saint-Quentin et le chapitre de la collégiale Saint-Fursy de Péronne se disputaient la possession de Combles qui revint à l'abbaye. La seigneurie de Combles était détenue par monsieur de Louvois, marquis de Sailly et monsieur du Priez[13].
En 1193, la dîme de Frégicourt fut cédée à l'abbaye d'Arrouaise. En 1214, Combles était un fief des châtelains de Péronne et, en 1223, Gaudefroy de Combles fut cité au nombre des hommes liges de la châtellenie de Ham.
En 1340, Gilles de Combles fut abbé de l'abbaye Saint-Barthélémy de Noyon.
En 1445, le duc de Bourgogne accorda des franchises à la terre de Combles.
Époque moderne
Village situé à frontière entre le royaume de France et les Pays-Bas espagnols, Combles comptait 300 habitants en 1623.
En 1780, Combles comptait 93 maisons en Picardie et 63 en Artois.
Époque contemporaine
À la Révolution française, avec la formation des départements, Combles fut rattachée au département de la Somme et devint chef-lieu de canton. En 1789, la commune de Combles était la plus peuplée du canton.
En 1814-1815, à la fin des guerres napoléoniennes, les cosaques ravagèrent la contrée.
La commune connut son apogée démographique en 1836 avec 1 679 habitants. Elle subit depuis lors un inexorable déclin.
Guerre de 1870-1871
Au cours de la guerre franco-allemande de 1870, l'armée prussienne occupa Combles le . Le général Manteuffel logea avec son état-major chez Monsieur Guillemont. Monsieur Debray, maire, fut emmené prisonnier à la citadelle d'Amiens. Cinq jeunes gens de la commune sont morts pendant la guerre et la population dut subir des réquisitions de la part des occupants[1]. En janvier 1871, Combles fut l'un des théâtres d'opération de la bataille de Bapaume.
IIIeRépublique de 1870 à 1914
Le bourg était desservi par la ligne Albert-Ham des chemins de fer départementaux de la Somme, un réseau de chemin de fer secondaire à voie métrique de 1889 à 1949. L'arrivée du chemin de fer désenclava quelque peu la commune mais accentua l'exode rural: la population de la commune chuta à 1 154 habitants en 1911.
Première Guerre mondiale (1914-1918)
Le monument aux morts.
En 1916, Combles est un des hauts-lieux de la bataille de la Somme. L'armée allemande qui tenait la position l'avaient fortement fortifié avec souterrains bétonnés qui pouvaient abriter des compagnies entières. Un vaste dépôt de munitions, de matériel et de vivres complétait le dispositif[14].
Le , l'armée française lance une attaque proche de la commune, la 46e division d'infanterie perd 1 200 soldats en une semaine[15].
Les 25 et , la 6e armée française sous le commandement du général Fayolle et la 56edivision britannique reprirent Combles que les Allemands avaient commencé à évacuer, capturant un matériel considérable et 1 200 prisonniers[14],[16],[17],[18],[19],[20],[21],[22]. Les prisonniers allemands sont internés dans un camp près de Étinehem[23].
En 1918, Combles fut repris par les Allemands le 24 mars, lors de leur opération Michael, et définitivement reconquis que le , par la 18edivision[24].
Entre-deux-guerres
Le bourg est considéré comme détruit à la fin de la guerre[25],[26],[27],[28] et la commune a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [29].
Articles détaillés: Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
La reconstruction se déroula durant l'entre-deux-guerres: la mairie, les écoles, l'église, les habitations furent reconstruites. Un monument aux morts fut érigé et deux cimetières militaires britanniques aménagés.
Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le maire de la commune, Georges Guillemont, fut déporté au camp de concentration de Dora où il mourut le [30].
Politique et administration
Intercommunalité
En 1993, est créée la Communauté de communes du canton de Combles qui est absorbée le par la Communauté de communes de la Haute Somme.
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2019, la commune comptait 738 habitants[Note 2], en diminution de 7,98% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 414
1 459
1 519
1 525
1 641
1 679
1 628
1 638
1 620
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 620
1 648
1 627
1 602
1 614
1 597
1 516
1 425
1 440
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 343
1 237
1 154
917
1 017
905
863
762
732
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
707
691
661
648
617
676
704
707
795
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
765
738
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La mairie, reconstruite après la destruction de la précédente en 1916[39]
Église Saint-Vast[40], détruite en 1916[41],[42],[43] et reconstruite après la Grande Guerre.
Article détaillé: Cimetière militaire britannique de Combles où sont inhumés 1 507 soldats (1 467 Britanniques, 7 Canadiens, 22 Australiens et 11 Sud-Africains)[45].
Article détaillé: Guards' Cemetery, Combles, cimetière militaire britannique situé Rue André Briffeuil..
Monument commémoratif de Victor Hallard dit Tredez, du 110erégiment d'infanterie né le à Paris, mort le à Combles à l'âge de 28 ans[46].
Monument aux morts.
Église Saint-Vaast.
Cimetière militaire britannique de Combles.
Cimetière militaire britannique des Gardes.
Héraldique
Blason
D'argent au chevron de gueules accompagné de trois cœurs de même, au comble d'azur.
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918 avec palme. Citation à l'ordre de l'armée du 27 octobre 1920: «Située en pleine zone de feu pendant la guerre a été totalement détruite par les multiples bombardements, au cours des combats acharnés de 1914 et de 1915, a toujours montré dans l'adversité les plus belles qualités de courage et d'abnégation. A dignement mérité de la France»[47].
Détails
La commune de Combles a relevé les armes de l'ancienne abbaye Saint-Nicolas d'Arrouaise disparue à la Révolution et qui se situait sur la commune voisine du Transloy dans le Pas-de-Calais. Cette abbaye donna naissance à une congrégation de chanoines réguliers, la congrégation d'Arrouaise qui connut un grand rayonnement au Moyen Âge. Cependant, ces armoiries ont été complétées d'un comble d'azur en rapport avec le nom de la commune[47],[48].
Personnalités liées à la commune
Théophile Caudron (1805-1848), sculpteur, restaurateur de la cathédrale de Bourges, d'Amiens et de Mailly-Maillet (portails), né à Combles et décédé à Paris.
Gustave Masse de Combles (1791-1863), officier de cavalerie, médaillé de Sainte-Hélène, chevalier de la Légion d'Honneur, maire de Combles, conseiller général de la Somme. Né à Péronne et décédé à Combles (Le Priez).
Albert Masse de Combles (1793-1861), officier d'infanterie, médaillé de Sainte-Hélène. Né à Péronne et décédé à Combles (Le Priez), frère du précédent.
Gontrand Gonnet (1815-1899), homme politique, maire de Péronne (1886-1894), député de la Somme (1889-1893), né à Combles et décédé à Péronne.
Eugène-Alfred Fourrière (1835-1917), prêtre, curé d'Oresmaux puis de Moislains. Catéchiste et mythologue, auteur de diverses méthodes pour l'enseignement du catéchisme aux enfants. Né à Combles et décédé à Évian-les-Bains (Haute-Savoie).
Charles-Léopold-Firmin Marchandise (1844-?), prêtre, curé de Ginchy. Auteur de travaux sur la géologie et versé dans les sciences mathématiques, physiques et naturelles, passionné d'astronomie et de géologie. Né à Combles et décédé à Ginchy (?).
Ulysse-Henri-Théodule Candellier (1849-1921), prêtre, curé de Pozières (1875), de Davenescourt (1893) puis de Combles (1897), fut chanoine de Rodez et chevalier du Saint-Sépulcre, auteur de Histoire locale, civile et religieuse de Combles, Frégicourt, Le Priez, Yvert et Tellier, Amiens, 1904, né et décédé au Quesne (Somme).
Laurent Prache (1856-1919), homme politique, conseiller municipal de Paris (1890), député de la Seine (1906-1910), né à Combles et décédé à Paris.
Charles-Alfred-Adrien Dansette (1894-1916), né à Armentières (Nord), sous-lieutenant (43° R.I.), mort pour la France, devant Combles, le 25 septembre, Bataille-de-la-Somme, 22 ans, décoré de la médaille-militaire, croix-de-guerre, chevalier de la Légion d'Honneur (posthume), fut sculpteur.Le "Monument-Dansette", se trouve à l'entrée du village, au bord de la D.20.
Jean Deloffre (1939), footballeur international français, né à Combles.
Pour approfondir
Bibliographie
Ulysse, Henri,Théodule Candellier, Histoire locale, civile et religieuse de Combles, Frégicourt, Le Priez, Amiens, Yvert et Tellier, , 309p..
J.Rousseau de Forceville:"Théophile Caudron, sculpteur picard (1805-1848)", (Olivier, 1908).
Raphaële Delas:"Théophile Caudron, sculpteur romantique (1805-1848)", mémoire de maîtrise d'histoire de l'art sous la direction de MM.Robichon et Charrey, université de Lille IIII (Villeneuve-d'Ascq, 2000).
Carte spéciale des régions dévastées: 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Notice géographique et historique sur la commune de Combles, rédigée par M. Thoury, instituteur, en 189?, Archives départementales de la Somme
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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Cliché lieutenant de Camondo, Section photographique de l'armée, «Photo: Combles. Vue panoramique prise en avion (vue n°2)», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 26 bis, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Cliché lieutenant de Camondo, Section photographique de l'armée, «Photo: Combles. Vue panoramique prise en avion (vue n°3)», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 26 bis, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
«Betty Sorel succède à Claude Coulon à Combles», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Le nouveau conseil municipal de Combles est constitué. Fort de 15 membres, il a élu Betty Sorel comme nouveau maire; elle succède à Claude Coulon, qui n’a pas été réélu».
«Nous devons repartir de zéro» affirme Betty Sorel, maire de Combles: La nouvelle maire et son équipe, entièrement renouvelée lors du précédent scrutin, ne cache pas avoir du pain sur la planche dans cet ancien chef-lieu de canton», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Combles. La mairie», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 26 bis, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Combles. L'église», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 26 bis, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Combles. L'église: les cloches», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 26 bis, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Section photographique de l'armée, «Photo: Combles. L'église», Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 26 bis, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
Alain Pouteau, «Communal cemetery extension - Combles», Cimetières britanniques & du Commonwealth dans la Somme, sur La Grande Guerre en Picardie, (consulté le ).
Jacques Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, préface de Pierre-Marcel Wiltzer, Préfet de la région Picardie, Préfet de la Somme, Abbeville, 1972, Imprimerie F. Paillart
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