Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire Mandat
Alexandre Verdier 2020-2026
Code postal
23130
Code commune
23061
Démographie
Population municipale
755 hab. (2019 )
Densité
97 hab./km2
Géographie
Coordonnées
46° 06′ 46″ nord, 2° 10′ 34″ est
Altitude
Min. 482 ou 487 m Max. 551 ou 553 m
Superficie
7,77 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Gouzon
Législatives
Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Chénérailles
Géolocalisation sur la carte: France
Chénérailles
Géolocalisation sur la carte: Creuse
Chénérailles
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Chénérailles
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Géographie
Généralités
L'étang des Brochets.
Dans le centre du département de la Creuse, la commune de Chénérailles s'étend sur 7,77 km2. Elle est arrosée par un affluent de la Voueize, le ruisseau des Planches de Mollas[1] qui prend sa source sur le territoire communal, sur une colline dominant un chapelet d'étangs.
L'altitude minimale, 482 ou 487 mètres[Note 1], se trouve localisée à l'extrême nord-est, au bord de l'étang de Malleret, en limite de la commune de Saint-Chabrais. L'altitude maximale avec 551 ou 553 mètres[Note 2] est située dans le sud-ouest, en forêt communale de Chénérailles[2].
Implanté à l'intersection des routes départementales (RD) 4, 55, 990 et 997, le bourg de Chénérailles est situé, en distances orthodromiques, dix-huit kilomètres au nord de la sous-préfecture, Aubusson, et vingt-quatre kilomètres à l'est-sud-est de la préfecture Guéret.
La commune est également desservie par la RD 7.
Communes limitrophes
Chénérailles est limitrophe de quatre autres communes.
Carte de Chénérailles et des communes avoisinantes.
Communes limitrophes de Chénérailles
Saint-Dizier-la-Tour
Saint-Pardoux-les-Cards
Saint-Chabrais
Issoudun-Létrieix
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 10°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Gouzon», sur la commune de Gouzon, mise en service en 1959[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 10,6°C et la hauteur de précipitations de 841,7 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Clermont-Fd», sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 79 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[13], à 11,6°C pour 1981-2010[14], puis à 12,2°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Chénérailles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[16],[17],[18].
La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (50,8%), forêts (17,1%), zones agricoles hétérogènes (12,9%), zones urbanisées (8%), eaux continentales[Note 8] (6,7%), terres arables (4,5%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Chénérailles est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chénérailles.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 37% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 516 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 105 sont en en aléa moyen ou fort, soit 20%, à comparer aux 25% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chénérailles est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].
Toponymie
La première mention historique connue du lieu date de la période 1154-1158 où sont évoqués des burgenses de Chanalelis et un rector Ecclesiae Chanalelis[27]. Le cartulaire de l'abbaye de Bonlieu mentionne entre 1214 et 1222 les formes Chanalelhas et Chanarelas[27]. Ces graphies ont été rapprochées de canaliculas représentant un diminutif de canalis, signifiant donc «petit canal» ou «petit chenal», en référence possible à des canaux qui auraient alimenté en eau les fossés entourant partiellement la bourgade[27].
L'origine de Chénérailles (Canalis) est fort ancienne. Elle remonte certainement à l'époque romaine, ainsi que le prouvent plusieurs urnes pleines de cendres, mêlées à des médailles des empereurs Maximien, Gallien, Gordien, Licinius, etc. qu'on y a trouvées.
C'était autrefois une ville forte, au milieu de laquelle il y avait une roche élevée dont le sommet était couronné par un château détruit depuis longtemps et dont l'emplacement est de nos jours occupé par l'église paroissiale Saint-Barthélémy (XIIIesiècle) qui abrite un haut-relief dédié à Barthélémy de la Place, prêtre mort en 1300 et considéré comme le fondateur de cette église[29].
Chénérailles a beaucoup souffert de la guerre contre les Anglais au début du XVesiècle. Elle fut même presque entièrement détruite, mais Jacques et Bernard d'Armagnac, comtes de la Marche, la firent reconstruire de 1430 à 1440. Le premier de ces comtes confirma plusieurs privilèges qui avaient été accordés à Chénérailles, en 1265, par Hugues XII de Lusignan. En 1592, cette ville soutint un siège pour la Ligue. Elle opposa aux royalistes une vigoureuse résistance, et ne se rendit qu'après un blocus de huit mois, lorsque la garnison et les habitants eurent épuisé tous leurs moyens de subsistance[30].
La localité a été siège d'un arrondissement du département de Guéret lors de la création des assemblées provinciales. De 1790 à 2015, Chénérailles a été le chef-lieu d'un canton de la Creuse.
Politique et administration
Liste des maires
L'hôtel de ville de Chénérailles.Plaque de rue au nom d'Alcide Sarre, maire de Chénérailles de 1947 à 1970.
Enseignant en taille de pierres au lycée des métiers du bâtiment, Président de la CC Marche et Combraille en Aquitaine (2021 → )
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2019, la commune comptait 755 habitants[Note 9], en diminution de 1,44% par rapport à 2013 (Creuse: −3,52%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
800
709
811
956
1 028
1 089
1 079
1 101
1 106
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 050
1 048
1 099
1 105
1 076
1 155
1 201
1 263
1 149
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 109
1 122
1 028
1 027
965
887
905
872
847
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
770
729
674
685
794
759
740
737
765
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
760
755
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Le groupe scolaire de Chénérailles.
Dépendant de l'académie de Limoges, Chénérailles dispose en 2018 d'un groupe scolaire public regroupant école maternelle et école élémentaire[37] ainsi que d'un collège[38].
Manifestations culturelles et festivités
Foire aux chevaux, chaque année, les deuxièmes dimanches de mai et d'octobre.
Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Barthélémy du XIIIesiècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1960[39] avec boiseries, stalles et fresques. Elle recèle le «tombeau de Barthélemy de la Place», une plaque funéraire de calcaire du début du XIVesiècle, sculptée de 27 personnages[40].
La chapelle Notre-Dame-de-la-Forêt[41], au sud-ouest du bourg, route d'Ahun, au pied du château d'eau.
Le collège de Chénérailles était décoré de fresques réalisées par les élèves du peintre creusois Gabriel Chabrat, qui a aussi décoré de fresques l'église de Sous-Parsat, commune où il a son atelier. Gabriel Chabrat était professeur d'arts plastiques au collège. À l'intérieur du collège se trouve une tapisserie le Trafoujo.
Stand Joseph-Lemasson: installation d'entraînement militaire créée au cours de la Première Guerre mondiale dans la forêt de Chénérailles, qui est aujourd'hui utilisée pour des activités de loisir[42].
Dans les environs, sur la commune de Saint-Pardoux-les-Cards, le château de Villemonteix construit au XVesiècle comprend un pigeonnier, des tours, un donjon, et une exposition de tapisseries d'Aubusson.
À trois kilomètres, sur la commune de Saint-Dizier-la-Tour, trois mottes castrales de l'an mil témoignent de l'apparition sur le site du premier des comtes de la Marche: Boson Ier.
L'église Saint-Barthélémy.
Sa nef.
La tour nord-ouest.
L'ancien bureau de poste.
Maison, place du Puits du Marché.
Monument en mémoire du Docteur Paul Mondon.
Croix de chemin au lieu-dit le Trésorier.
Personnalités liées à la commune
François Goubert (1735-1815), est un homme d'Église et un homme politique français. Fils de Jean Goubert, fabricant de tapisseries, et de Marie Cartier, docteur en théologie, il est prévôt d'Aubusson en 1762, puis curé à Bellegarde et official de Chénérailles. Il est élu le en 1789 député du clergé de la Creuse.
Guillaume Boëry (1747-1822), né à Chénérailles; député du Tiers état en 1789, député au Conseil des Cinq-Cents, membre du Conseil Législatif, chevalier de l'Empire.
Gilbert-Amable Faure-Conac (1755-1819), est un homme politique mort à Chénérailles.
Guy Eclache (1918-1945) était un membre de la police grenobloise durant l'occupation allemande de Chénérailles, de septembre 1943 au mois d'août 1944. SS et tortionnaire, il fut «l'ennemi public no1» à la Libération, traqué et retrouvé par Pierre Fugain, le père de Michel Fugain.
Georges Sarre (1935-2019), homme politique, né à Chénérailles, ancien secrétaire d'État, adjoint au maire de Paris chargé de la sécurité et de la prévention, ancien député, ancien maire du 11earrondissement de Paris.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de la Creuse.
Manteau de cheminée sculpté aux armoiries de Chénérailles.
Blason
De gueules aux trois chênes d'or posés et rangés en bande[43].
Henri Hugon, Chénérailles (Excursion archéologique du 6 Juillet 1924), Extrait des Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, t.XXIII, Imprimerie Betoulle, J. Lecante, Guéret, 1926.
Claude del Puppo, Chénérailles, son histoire, ses histoires, Association «Les Amis du Vieux Chénérailles»
Guy Marchadier et Christophe Ruby, Le canton de Chénérailles, coll.«Mémoire en Images», Éditions Alan Sutton, Saint-Cyr-sur-Loire, juin 2006, (ISBN2-84910-449-3)
Dominique Farigoux, Mon tour de foires, la foire aux chevaux de Chénérailles, Édilivre, 2016, (ISBN978--2-334-23265-4)
Dominique Farigoux, Carnet de foires, chevaux in Chénérailles (illustrations peintes), Abbate-Piolé, 2017, (ISBN978-2-917500-20-0)
Deux valeurs différentes pour l'IGN, 482 mètres sur la carte et 487 sur son ancien site.
Deux valeurs différentes pour l'IGN, 551 mètres sur la carte et 553 sur son ancien site.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«551» sur Géoportail(consulté le 29 décembre 2017)..
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Henri Hugon, Chénérailles (Excursion archéologique du 6 Juillet 1924), Extrait des Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, t.XXIII, Imprimerie Betoulle, J. Lecante, Guéret, 1926, p.3.
Plaque funéraire de Barthélémy de la Place, document disposé à côté de la plaque funéraire, consulté le 2 janvier 2018.
Extraits de la revue Creuse - Géographie-Histoire-Statistique-Administration par V.A. Malte-Brun aux éditions du Bastion, réédition de l'ouvrage de 1882.
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