Brélès est une commune littorale de la partie maritime amont de l'Aber Ildut, lequel se jette dans la partie occidentale de la Manche, non loin de sa limite avec l'océan Atlantique. Brélès est à 10km au nord-ouest de Saint-Renan.
Le bourg de Brélès dominant la partie maritime amont de l'Aber Ildut.
La commune est limitée au sud par la partie fluviale de l'Aber Ildut, qui est un fleuve côtier et au sud-ouest par sa partie maritime, qui est à cet endroit un aber et sépare Brélès de Plouarzel. Au nord-ouest, un autre minuscule fleuve côtier, qui se jette dans la partie maritime de l'Aber Ildut, lui sert de limite communale avec Lanildut. Un autre tout petit fleuve côtier traverse la partie centrale du finage communal, passant juste au sud du bourg avant de se jeter dans l'Aber Ildut. La présence de ces trois cours d'eau explique que Brélès ait un relief vallonné assez accidenté, les altitudes allant de 98 mètres dans la partie orientale de la commune, près de Kerdréanton, jusqu'au niveau de la mer.
L'Aber Ildut à marée basse vu des environs du moulin de Bel-Air en Brélès (vue vers l'aval).
L'Aber Ildut à marée basse vu des environs du moulin de Bel-Air en Brélès (vue vers l'amont).
Habitat
Le bourg est situé à une certaine distance de la côte, sur un plateau: c'est là une caractéristique commune à de nombreuses communes littorales bretonnes (par exemple à Plouguerneau, Ploudalmézeau, Landunvez, Plouarzel, Ploumoguer, etc.), les premiers émigrants bretons fixèrent le centre de leurs plous à l'intérieur des terres, probablement par crainte des pirates saxons[1]. Il est excentré dans la partie occidentale du territoire communal.
L'habitat rural est dispersé en un certain nombre d'écarts formés de hameaux et fermes isolées. Brélès étant éloigné des grands centres urbains, la commune n'a connu que peu de création de lotissements périurbains, uniquement au sud-est du bourg traditionnel , et ait échappé à la périurbanisation.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 11,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 0,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 15,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ploudalmezeau», sur la commune de Ploudalmézeau, mise en service en 1998[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9°C et la hauteur de précipitations de 1 006,4 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Brest-Guipavas», sur la commune de Guipavas, mise en service en 1945 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[12], à 11,5°C pour 1981-2010[13], puis à 0,7°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Brélès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Elle appartient à l'unité urbaine de Porspoder, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[18] et 5 116 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].
La commune, bordée par la mer d'Iroise, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[24],[25].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (62,7%), terres arables (14,9%), prairies (11,9%), forêts (5,6%), zones urbanisées (4,8%), eaux maritimes (0,1%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].
Toponymie
Brélès, en breton Brelez.
Brelez: Bre (colline) et Lez (justice) et doit son nom au fait qu'elle était une hauteur sur laquelle autrefois la justice était rendue.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Brélès ne possède pas de monument mégalithique mais des urnes funéraires furent trouvées en 1840 à Kerelegou (dont le nom signifie en breton "village des ossements").
Moyen Âge
Selon Charles Nodier, Justin Taylor et Alphonse de Cailleux, le roi semi-légendaire Conan Mériadec aurait abordé en Bretagne sur les rives de l'Aber Ildut où il aurait fait construire une demeure connue sous le nom de "Castel Mériadec", située entre Plouarzel et Brélès (dans les parages de Bel-Air selon le Chevalier de Fréminville, mais aucune trace archéologique ne vérifie cette assertion), dont des ruines étaient encore visibles au début du XIXesiècle; les débris des murailles auraient servi à la construction d'un moulin[28]. Jean-Baptiste Ogée en 1778 l'avait déjà affirmé: «On remarque à Plourin [en fait à Brélès] le plus ancien monument qui soit connu en Bretagne [sic]. C'est le château que Conan Mériadec y fit bâtir vers l'an 387, qu'il appela de son nom Castel-Meriadec; ce monarque y séjournait assez souvent»[29].
Époque moderne
Au XVIesiècle, Brélès faisait partie de la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan[30].
Le manoir de Brescanvel est construit en style gothique au milieu du XVIesiècle par la famille Le Roux (parmi ses membres, Guillaume Le Roux, écuyer, est seigneur de Brescanvel à la fin du XVIIesiècle). Le décès le de l'abbé Louis-Charles Le Roux, seigneur de Brescanvel et curé de Guilers, fit passer la seigneurie aux mains de son cousin François de Poulpiquet, originaire de Tréménech; en raison du mariage la même année de son fils Louis de Poulpiquet avec l'héritière de Lesmel (en Plouguerneau), la famille vécut à Lesmel, mais accola le suffixe "de Brescanvel" à son nom de famille.
Article détaillé: Famille de Poulpiquet.
Le manoir de Bel-Air, une maison noble, a été édifié en 1599 par un seigneur de Kerangar. Son architecture n'a pas été modifiée depuis le XVIesiècle; sur sa façade ouest des échauguettes et un fossé le défendaient, la cale et le quai, qui donnaient un accès direct à la mer, étant protégés par des canons. L'endroit est si secret qu'on ne l'atteignait par la rive qu'à marée basse; ce site discret permettait, probablement à des corsaires, de décharger leurs prises à l'abri des regards. Selon la légende Bel-Air fut un repaire de contrebandiers pendant la Révolution française; plus tard Victor Hugo serait venu y retrouver Juliette Drouet qui séjournait à Saint-Renan[31].
Article détaillé: Manoir de Bel-Air.
Le moulin de Bel-Air, situé à proximité, a été construit en 1617; ce moulin à marée était alimenté en eau par un étang à marée descendante.
Le château de Kergroadès [Kergroadez] est construit au début du XVIIesiècle par François III de Kergroadez.
Article détaillé: Château de Kergroadès.
Révolution française
La commune de Brélès est créée le . Brélès fut même à partir du 5 fructidor an III () chef-lieu d'un canton, la nouvelle commune formé par, outre Brélès, les communes de Larret, Plourin, Lanildut, Porspoder et Lampaul-Plouarzel, mais ce canton fut dissout le 28 pluviôse an VIII () et Brélès fut rattachée au canton de Ploudalmézeau[32].
De nombreux prêtres réfractaires furent cachés par les habitants; la majorité des paroissiens se refusait à assister aux offices des prêtres constitutionnels; le , jour du pardon, des paroissiennes manifestèrent bruyamment contre le prêtre assermenté de Plourin qui célébrait la messe.
Le XIXesiècle
Auparavant trève de Plourin, Brélès devint une paroisse autonome en 1802, à la suite du Concordat de 1801.
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, présentent en 1843 Brélès de manière très succincte: «Brélès, commune formée de l'ancienne trève de Plourin; aujourd'hui succursale; chef-lieu de perception. Il y a foire le 26 novembre; le lendemain si ce jour est férié. Géologie: constitution granitique»[33].
Une loi datée du remania de manière importante les limites des communes de Plourin, Landunvez, Lanrivoaré, Lanildut et Brélès afin de mettre fin à un découpage très complexe issu des paroisses d'Ancien Régime[34].
Une épidémie de variole frappa Brélès et des communes avoisinantes en 1882[35].
Benjamin Girard décrit en ces termes Brélès en 1889:
«Ancienne trève de Plourin, la commune de Brélès, située à l'extrémité du petit estuaire formé par la rivière de l'Aber-Ildut, est traversée par la route départementale n°6. Le bourg, qui est placé sur cette route,a une population agglomérée de 249 habitants. Ce bourg, aujourd'hui sans importance, était autrefois le siège de la juridiction de la seigneurie de Kergroadès,ayant haute, moyenne et basse justice [36]»
Le XXesiècle
La Belle Époque
En 1903 la famille De Taisne, alors propriétaire du manoir de Bel-Air, vendit le moulin de Bel-Air à un ingénieur chimiste, Vienne, qui le transforma en brûlerie à goémon, puis en fabrique artisanale de savon ("savon Lechien", par analogie au "savon Lechat" fabriqué à Marseille).
L'échec de la première tentative de l'inventaire des biens d'église à Brélès le face aux protestations des paroissiens (journal L'Ouest-Éclair du 18 mars 1906).
Les Frères de Lamennais se virent refuser le droit de poursuivre leur enseignement à l'école des garçons de Brélès le [37]. Le , Marie Le Pape, religieuse de la Congrégation du Saint-Esprit et directrice de l'école ds filles de Brélès, fut condamnée à 80 francs d'amende par le tribunal correctionnel de Brest «pour avoir dirigé après le , sans autorisation, un établissement congréganiste»; les autres sœurs furent acquittés, mais Louise Rivoal, propriétaire des locaux de l'école fut condamnée à 25 francs d'amende et à la moitié des dépens, solidairement avec Marie Le Pape[38].
L'inventaire des biens d'église à Brélès ne put se faire comme prévu le en raison des manifestations des paroissiens, mais put finalement se faire sans trop de difficultés en novembre 1906 car trois agents surprirent le sacristain et lui dérobèrent de force la clef de l'église[39].
En mai 1912 sept sœurs de la Congrégation des Filles du Saint-Esprit furent condamnées pour «reconstitution de congrégation» à Brélès[40].
En 1913, la voie ferrée à voie étroite projetée entre Saint-Renan et Porspoder vit le tracé retenu suivre le bord de l'Aber Ildut entre Brélès et Lanildut; mais cette voie ferrée projetée ne fut finalement jamais construite en raison de la Première Guerre mondiale[41].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Brélès
Le monument aux morts de Brélès porte les noms de 31 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale; parmi eux 2 au moins sont morts en Belgique (Vincent Poumellec, quartier-maître fusilier au 1er régiment de fusiliers marins à Zuydcoote le et Pierre de Lorgeril, maître pointeur au 175e régiment d'artillerie de tranchée, à Poperinghe le ); François Guenneguès, canonnier au 274e régiment d'artillerie de campagne, est mort de maladie à Salonique (Grèce) alors qu'il participait à l'expédition de Salonique; la plupart des autres sont morts sur le sol français[42].
L'Entre-deux-guerres
Guillaume Le Gall, brigadier au 4e régiment d'artillerie coloniale, est mort le à Hanoï (Tonkin), victime d'une insolation; son nom figure aussi sur le monument aux morts de Brélès[42].
En décembre 1936, les époux Forest[Note 7], fermiers à Lanambroas, qui avaient douze enfants, reçurent un «prix de vertu» décerné par l'Académie française[43]. Ils reçurent aussi le prix Cognacq-Jay.
La Seconde Guerre mondiale
Article détaillé: Bataillon de Ploudalmézeau.
Le monument aux morts de Brélès porte les noms de 4 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale dont Jean Cornen, mort en captivité le à Versitorben (Allemagne)[42].
Michel Chevillotte[44], vivant à Brélès, est un militant nationaliste breton gravement compromis dans la collaboration avec l'Allemagne. Il fut sous l'Occupation chef cantonal du PNB à Plougonvelin. Il s'engagea dans la Bezen Perrot en décembre 1943 et surnommé «Bleiz» [«Loup» en breton], il devint rapidement chef du groupe cantonné au château du Bouéxic en Guer. Il participa activement à la lutte contre la Résistance, notamment à Scrignac, Callac, Trébrivan et Saint-Nicolas-du-Pélem. Au moment de la débâcle allemande, en juillet 1944, en route vers l'Allemagne, il participa à l'exécution de 49 résistants à Creney-près-Troyes (Aube) et s'engagea dans les Waffen SS. Il fut condamné à mort par contumace et à la confiscation de tous ses biens par la Cour de justice de Rennes lors de la Libération[réf.souhaitée], mais en fait ne fut jamais inquiété[45].
Les résistants FFI de Lanildut et Brélès étaient abrités à Pérénévez en Brélès[46]. En août 1944, des combats se déroulèrent à Bel-Air entre des résistants FFI et des troupes allemandes.
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Lieux et monuments
Le château de Kergroadès, construit entre 1602 à 1613 par François de Kergroadès, seigneur du dit lieu. En ruine vers 1860, il est alors acheté par Le Jeune, notaire à Saint-Renan. Au XXesiècle, il devient la propriété de la famille Chevillotte qui l'a restauré.
Les ruines du château de Kergroadez en 1860 (dessin de Félix Benoist).
Château de Kergroadès: la façade avant.
Château de Kergroadès: vue d'ensemble de la façade arrière.
Château de Kergroadès: la cour intérieure et le puits.
Château de Kergroadès: le blason.
Le manoir de Bel-Air, construit en 1599 par François de Kerangar, de style Renaissance.
Le manoir de Bel-Air (rive droite de l'Aber Ildut) vu de la rive gauche de l'Aber Ildut (en Plouarzel) 1.
Le manoir de Bel-Air vu de la rive gauche de l'Aber Ildut (en Plouarzel) 2.
Le manoir de Bel-Air vu de la rive gauche de l'Aber Ildut (en Plouarzel) 3.
Le manoir de Bel-Air vu depuis sa cour intérieure.
Pigeonnier près du manoir de Bel-Air.
Le manoir de Brescanvel date du XVIesiècle[51].François de Poulpiquet, cousin de Charles Le Roux de Brescanvel, recteur de Guilers, a hérité du manoir au XVIIIesiècle, c'est l'origine de la famille de Poulpiquet de Brescanvel.
Manoir de Brescanvel: la cour intérieure.
Le château de Keroulas, habité en 1640 par Jehan de Keroulas. Selon une gwerz recueillie par Théodore Hersart de La Villemarqué dans son Barzaz Breiz, Marie de Keroulas, que l'on obligea en 1565 à se marier avec le peu séduisant François du Chastel, seigneur de Mezle et Chateaugal[Note 21], en serait morte de chagrin en 1582. Le château a été reconstruit au XVIIIesiècle dans le style classique.
Le château de Keroulas vers 1900 (carte postale d'Yves Le Bourdonnec).
L'église paroissiale Notre-Dame, en forme de croix latine, fut fondée en tant que chapelle au XIVesiècle par les seigneurs de Kergroadès, avant de devenir église tréviale, puis église paroissiale en 1802. Les armoiries en kersanton d'Olivier du Chastel et Jeanne de Plœuc se trouvent sur son portail ouest. L'église a été largement reconstruite et agrandie en 1855, comprenant désormais une nef avec bas-côtés et deux chapelles latérales en guise de transept ornées de quatre anges musiciens[52]. L'église a conservé son enclos paroissial dont l'entrée est décorée par une porte triomphale qui date du début du XVIIesiècle et porte une dédicace de François de Keringar, seigneur de Bel-Air[53].
L'église paroissiale de Brélès vers 1900.
L'église paroissiale de Brélès.
L'église paroissiale de Brélès et la porte triomphale de l'enclos paroissial.
Voir aussi
Bibliographie
Chanoine Henri Pérennès, Plourin (Ploudalmézeau) et Brélès. Monographie des deux paroisses, Le livre d'histoire, réédition 2004, (ISBN2-84373-484-3).
Articles connexes
Liste des communes du Finistère
Liste de monuments aux morts français surmontés d'une croix latine
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Louis Marie Forest, né le à Plourin, décédé le à Brélès et son épouse Anne-Marie Lamour (1900-1967).
François Léaustic, né le à Plouguin, décédé le à Brélès.
Jérôme Bougaran, né le à Brélès, décédé le à Brélès.
Deux Jean Salaün possibles, soit Jean Salaün (1766-1833), soit plus probablement Jean-François Salaün (né le à Pors Névez en Lanildut et décédé le à Bel-Air en Brélès; meunier.
Alain Leven, baptisé le à Brélès, décédé le au bourg de Brélès.
Gabriel Malaboux, né le à Plouzané, décédé le à Brélès.
François-Nicoles Le Borgne de Keroullas, décédé âgé de 55 ans le à Keroullas en Brélès.
Jean Marc, né le au Cruguel en Brélès, décédé le au bourg de Brélès.
Vincent Quéméneur, né le à Kerigilou en Brélès, décédé le à Kerigilou en Brélès.
Hamon-Marie Kérébel, né le à Kerdivichan Vras en Brélès, décédé le à Brélès.
Jules Perhirin, né le à La Franchise en Brélès, décédé le à Brlélès.
François Lénaff, né le à Lesven en Brémlès, décédé le à Brest.
Mezle est en Plonévez-du-Faou et Chateaugal en Landeleau. François du Chastel est mort en 1599 à Landeleau.
Références
René Largillière, Les saints et l'organisation chrétienne primitive dans l'Armorique bretonne, (lire en ligne).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jean Kerhervé, Anne-Françoise Pérès, Bernard Tanguy, Les biens de la Couronne dans la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan, d'après le rentier de 1544, Institut culturel de Bretagne, 1984.
Alix Delalande et Marie Le Goaziou, "Bretagne. 500 coups de cœur", éditions Ouest-France, 2008, (ISBN978-2-7373-4244-8).
Originaire de Plougonvelin (mais vivant à Brélès), fils d'Olivier Chevillotte, ingénieur agronome (qui fut candidat du Parti national breton à Morlaix en 1936), frère d'Emmanuel Chevillotte (qui fut chef du PNB pour les arrondissements de Brest et de Morlaix pendant l'Occupation) et beau-frère de Joseph de Parcevaux (qui fut chef cantonal du PNB à Saint-Renan)
voir Françoise Morvan, "Miliciens contre maquisards: enquête sur un épisode de la Résistance en Centre-Bretagne", éditions Ouest-France, 2013, [(ISBN978-2-7373-5063-4)]
Georges-Michel Thomas et Alain Legrand, Le Finistère dans la guerre (1939-1945) - tome 2, (lire en ligne), p.128.
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