Brassac[bʁa.sak] (en occitanBraçac[bra.'sak]) est une commune française, située aux portes du Sidobre dans le sud-est du département du Tarn en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Sidobre, un territoire granitique couverts de forêts, à l'est de Castres.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agout, un bras de l'Agout, le ruisseau du Terral et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (Les «vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Brassac est une commune rurale qui compte 1 305 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Brassagais ou Brassagaises.
Géographie
Localisation
Située au sud-est du département du Tarn, au creux de la vallée de l'Agout, Brassac est en bordure du massif granitique du Sidobre, sur le versant ouest des monts de Lacaune, dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Brassac est située à 15 km de Vabre, à 16 km d'Anglès, à 22 km de Lacaune, à 24 km de Castres et à 29 km de Mazamet.
Le principal axe routier traversant la commune est la RD 622, l'ancienne RN 622). La gare de Castres est la plus proche de Brassac, elle est située à 25 km du bourg.
La commune est desservie par la ligne 763 du réseau régional liO, la reliant à Castres et à Lacaune.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par l'Agout, un bras de l'Agout, le ruisseau du Terral, un bras de l'Agout, le ruisseau de Costo Laxo, le ruisseau de Gimbrarié, le ruisseau de Gobert, le ruisseau de Ser, le ruisseau du Verdier, le ruisseau du Verdier, le ruisseau Scapirol et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[3],[Carte 1].
L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[4].
Réseaux hydrographique et routier de Brassac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 11,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Burlats», sur la commune de Burlats, mise en service en 1980[10]et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7°C et la hauteur de précipitations de 918,5 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Albi», sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 45 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,4°C pour 1981-2010[14] à 13,8°C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].
La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[18]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[19],
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: Les «vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou»[21], d'une superficie de 17 144ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23]:
la «rivière Agoût entre le barrage de Ponviel et Brassac» (80ha), couvrant 4 communes du département[24];
les «sagnes de Coujou, du Viala et du Pas de Rieu» (27ha)[25];
les «sagnes du ruisseau de Costo Laxo» (33ha), couvrant 2 communes du département[26];
les «sagnes du plateau d'Anglès et bassin versant de l'Arn» (9 725ha), couvrant 10 communes dont deux dans l'Hérault et huit dans le Tarn[27];
la «vallée de l'Agoût de Brassac à Burlats et vallée du Gijou» (15 868ha), couvrant 17 communes du département[28];
les «zones humides des Monts de Lacaune» (10 888ha), couvrant 9 communes dont une dans l'Hérault et huit dans le Tarn[29].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Brassac.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Brassac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[30],[I 1],[31].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,3% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (74,3%), prairies (15,1%), zones agricoles hétérogènes (5,8%), zones urbanisées (3,7%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1%)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Brassac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier: le risque de radon[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[35]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1996, 1999, 2017 et 2020[36],[33].
Brassac est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8],[37].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brassac.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[38]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 57,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 773 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 720 sont en en aléa moyen ou fort, soit 93%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[39],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[40].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[41].
La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[43].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Brassac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[44].
Brassac est une commune fondée au XIIIesiècle par Eudes, seigneur de Bonnéry.
Subsistent un pont médiéval ("pont vieux de Brassac") et deux châteaux.
Brassac de Belfourtés a absorbé Brassac-de-Castelnau entre 1790 et 1794. La commune fusionnée a pris le nom de Brassac.
La ville se développe au XIXesiècle grâce au textile (laine).
Héraldique
Blason
Deux écus accolés:
de gueules palissé d'argent de deux pièces et demie (Brassac de Castelnau), commune annexée à la fin du XVIIIesiècle,
cinq points de sinople équipolés à quatre d'or (Brassac de Belfortès).
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Mairie.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Tarn.
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1960
mars 2001
Max Caminade
DVD
Agent d'assurances, conseiller général
mars 2001
mars 2014
Damien Cros
Enseignant, vice-président de la communauté de communes
mars 2014
En cours
Jean-Claude Guiraud
Médecin généraliste
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].
En 2019, la commune comptait 1 305 habitants[Note 10], en diminution de 1,95% par rapport à 2013 (Tarn: +2,07%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 500
1 149
1 478
1 616
1 875
1 759
2 055
2 226
2 229
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 646
2 016
2 032
2 025
2 149
2 168
2 223
2 138
2 006
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 997
1 925
1 909
1 693
1 668
1 582
1 566
1 576
1 597
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
1 578
1 611
1 629
1 671
1 539
1 427
1 430
1 438
1 396
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 298
1 305
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
En 2018, la commune compte 610 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 250 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 900 €[I 4] (20 400 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 709 personnes, parmi lesquelles on compte 79,7% d'actifs (69,2% ayant un emploi et 10,5% de chômeurs) et 20,3% d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 700 emplois en 2018, contre 678 en 2013 et 652 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 497, soit un indicateur de concentration d'emploi de 140,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,7%[I 10].
Sur ces 497 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 275 travaillent dans la commune, soit 55% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 73,3% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2% les transports en commun, 15,8% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,7% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
130 établissements[Note 13] sont implantés à Brassac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
130
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
20
15,4%
(13%)
Construction
14
10,8%
(12,5%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
45
34,6%
(26,7%)
Activités financières et d'assurance
4
3,1%
(3,3%)
Activités immobilières
2
1,5%
(4,2%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
10
7,7%
(13,8%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
26
20%
(15,5%)
Autres activités de services
9
6,9%
(9%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,6 % du nombre total d'établissements de la commune (45 sur les 130 entreprises implantées à Brassac), contre 26,7% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[53]:
Filatures Du Parc, préparation de fibres textiles et filature (4 422 k€)
ODC Fermetures, travaux de menuiserie bois et PVC (725 k€)
Brassac'auto, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (718 k€)
La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole située dans le sud-est du département du Tarn. Entre bocages et forêt, cette zone est dédiée à l’élevage de ruminants de races à viande ou laitières. Sur les plus hauts plateaux, de nombreux élevages de brebis laitières produisent le lait destiné à la fabrication du roquefort[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 5]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (28 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 481ha[56],[Carte 6],[Carte 7].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Vieux pont (XIIesiècle).
Châteaux (château de l'hôtel de ville et château de la marquise).
L'église Saint-Georges actuelle remplace l'ancienne église de Brassac qui avait été désaffectée en janvier 1899 car trop délabrée. La nouvelle église a été consacrée en 1923. Elle avait été construite suivant un plan approuvé en 1910. Les fenêtres de l'église ont des verrières réalisées par le peintre-verrier de Gaillac Joseph Fauré - 1883-1967), fils du peintre-verrier Henri Fauré (1836-1911)[57].
Temple protestant de Brassac.
Circuit historique balisé dans le village.
Église Saint-Georges
Château (rive droite) - mairie.
Château (rive gauche).
Pont neuf et Agout.
Monument aux morts
Personnalités liées à la commune
Louis Cavaillès, né le à Castelnau-de-Brassac, qui fréquenta l'école primaire de Brassac, de 1907 à 1912 (d'une famille protestante, il n'était pas admis à l'école catholique de son village), et qui deviendra le mécanicien de Jean Mermoz[58].
Vie pratique
Ludothèque de Brassac.
Service public
Enseignement
Ecole maternelle et primaire publique Louis Cavaillès
Ecole maternelle et primaire privée Présentation Notre-Dame
Collège public La Catalanié
Culture
Activités sportives. Spéléologie (Section Spéléo des Cadets de Brassac)
Grotte de la Balme del Pastre (commune de 12360 Mélagues)
Pêche à la mouche sur l'Agout.
Écologie et recyclage
Pour approfondir
Bibliographie
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Voir aussi
Liste des communes du Tarn
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[42].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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