Boussois est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
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Adhérente à l'intercommunalité de l'Agglomération Maubeuge Val de Sambre, la commune de Boussois fait également partie de l'unité urbaine de Maubeuge qui est la cinquième du département du Nord.
Géographie
Localisation
Représentations cartographiques de la commune
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Avec les communes environnantes
1: carte dynamique; 2: carte OpenStreetMap; 3: carte topographique; 4: avec les communes environnantes
La ville de Boussois se trouve dans le bassin de la Sambre à quelques kilomètres de la frontière avec la Belgique. La ville est située entre les villes d'Assevent à l'ouest, d'Élesmes au nord, de Marpent à l'est et de Recquignies au sud.
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Hydrographie
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat semi-continental ou des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat semi-continental» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
Moyenne annuelle de température: 10°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Maubeuge», sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6°C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Lille-Lesquin», sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 74 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[11] à 10,8°C pour 1981-2010[12], puis à 11,3°C pour 1991-2020[13].
Voie de communication et transport
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Urbanisme
Typologie
Boussois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Elle appartient à l'unité urbaine de Maubeuge (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 22 communes[17] et 110 876 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,1% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (59,8%), zones urbanisées (23%), prairies (11,3%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,8%), forêts (0,2%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
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Histoire
Origine
L’origine du village semble être l’établissement sur la voie romaine entre Bavay et Trèves, son nom évoluera au long des siècles pour passer du romain Buxetum (lieu planté de buis) à l’actuel Boussois.
En 1677, lors de la prise de Valenciennes par Louis XIV, l’église de Boussois est incendiée. L’église de Boussois relevait du chapitre de Maubeuge. Le curé qui la desservait était celui de Recquignies.
La Seigneurie de Boussois
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La Seigneurie de Boussois a successivement appartenu:
Au XIIIesiècle à Gérard de Jauche, seigneur de Gomegnies[24].
En 1295 à Jean Sausses, chevalier, seigneur de Feignies, décédé avant 1333[25].
En 1333 à la famille Du BOIS De Haynne par héritage de Jean Sausset[26].
Au XIVesiècle elle passe dans la famille De Sivry de Buath, seigneur de Pottes et de Méricourt, dont l’un fut prévôt de Maubeuge en 1577.
En 1482, Jacques Boullengier époux de Jossine Loscart, est signalé seigneur de Boussoit et Estrepy[27].
En 1507 avis de père et mère de Jacques BoulengierR, écuyer, seigneur de Boussoit et de Louise Ruffault.
Jean Ruffault fait relief de la terre de Boussoit en 1530, comme mari et bail de Jeanne Boulanger, fille d'Adrien, seigneur de Boussoit[28].
Charles Ruffault, fils des précédents qui teste en 1573 est signalé seigneur de Boussoit.
Jeanne De Rruffault dame de Boussois épouse Jean Longheppe[29]. Elle est fille de Jean Seigneur de Neufville, Spienne, Lambersart, Mouveaulx, et de Jeanne le Boulanger, dame de Strépy et de Boussoit.
Contrat de mariage entre Jeanne De Ruffault, dame de Boussoit et Josse WITS, écuyer, seigneur de Berentrode[30].
Contrat de mariage entre Jeanne De Ruffault, dame de Boussoit et Charles De Lannoy, seigneur de Hautpont et Bersée, fils de Martin et de Jacqueline Cotterel[31].
Louise Ruffault, née après 1530, qui épouse Jean De La Croix (fils de Jean et de Eléonore Resteau) né avant 1563, décédé le 31 novembre 1604[32], Seigneur de Mairieux, La Glisoel, Lisseroel, Aspremont, Wastelin à Flers, Ruelle à Flers.... est signalé dame de Boussoit et de Wattelins, La Ruyelle, Mouvaux, Strépy, Boussoit. Elle est fille de Jean Seigneur de Neufville, Spienne, Lambersart, Mouveaulx, et de Jeanne le Boulanger, dame de Strépy et de Boussoit.
Jeanne De La Croix, dame de Boussoit, fille de Jean et de Louise De Ruffault, épouse en 1604, Robert Du Chastel, fils de Nicolas et de Antoinette D’Avroult (famille d'Averhoult).
On trouve aussi Jacques Danneux seigneur de Boussois (Baptême de Christine Marie Du Brasseur à Rocq le 16 novembre 1633).
Robert François Du Chastel de la Howarderie, seigneur d’Inglinghem relève le 23 décembre 1679 la Terre de Boussoit qui lui était échu par la mort de Robert, son père le 24 décembre 1678.
En 1688 le Marquis de Wargnies vend la seigneurie au chapitre de Maubeuge.
La Seigneurie de Boussois avait sous sa dépendance deux fiefs importants: le fief «de la Motte», consistant en un château avec exploitation agricole et relevant de la terre d’Aimeries; et le second fief en plusieurs fermes et biens, relevant de la terre de Gommegnies[33].
Les autres fiefs:
En dehors de la Seigneurie de Boussois, il existait à Boussois trois autres fiefs importants, à savoir:
«la couture Maille», relevant de la pairie de Barbençon[34]; le second comprenant diverses pièces de terres, relevant du Comte de Hainaut; le troisième comprenant une résidence enclose de fossés avec tourelles et 4 bonniers de prés, 6 journels de terres, et diverses rentes relevant de la mouvance de la cour d’Elesmes. Appelé peut-être le «Fort»: en 1412 Lionnes De Warelles (? de Ghoegnies) possède le Château et Forteresse de Boussoit, «du deshéritement fait par noble homme Lionnes de Warelles, Chevalier, d’un fief de dix livres de rente qui lui appartenoit sur le bois de Naste & qu’il avoit cédé avec trois autres fiefs non nommé, au profit du Comte de Hainaut, en échange du Château et forteresse de Boussoit & de quelques parties de cette terre qu’il lui avoit transportées & de l’adhéritement fait entre les mains de Gerard Engherant Receveur de Hainaut, pour & au profit du Comte de Hainaut. À mons en Hainaut, le 19 mai 1412»[35]. «Lionne de Ghoegnies Ecuyer. Fief à Boussoit»[36].
Les hommes de fiefs:
«Jean Asquillies Bourgeois de Mons. Fief à Boussoit. Jean de Cambray l’a acquis. Messire Nicole d’Anderlues a relevé. Jean Bruniaul fils Jean a relevé.»[37].
«Jean de Cambray. Fief à Boussoit-sur-Sambre. Messire Nicolas d’Anderlues par la mort dudit Jean de Cambray son cousin germain»[38].
«Nicholes de Condeit, chevalier, Sire de Moriaumes.... il reprend du château de Namur, les alleux dépendans du château de Bailleul, tant ceux à lui appartenant, que ceux appartenants à d’autres; savoir: onze vingt livrées de terres à Mairage et à Boussoit, appartenant à Sauses....; 25 livrées en la terre de Boussoit, appartenant à Oste d’Aysau»[39].
«Isabeau Marin veuve de Jean Ronghe, Bourgeois de Mons. Fief à Boussoit[40].
«Pierart Chisaire, Bourgeois de Binche. Fief à Boussoit. Jean Chisaire le tient.»[41].
«Colart de Lobbes dmt. à Enghien. Fief à Boussoit. Aulnes de Lobbes fille dudit Colart épouse d’Englebert de Bures a relevé.»[42].
«Clais de Lobbes dmt. à Enghien. Fief à Boussoit.»[43].
«Willaume de le Joye Receveur des mortes-mains du Hainaut. Fief au terroir de Boussoit. Quantin Canars à causse de Dlle. Jeanne Nockars son épouse. Ledit Quentin à cause de Quentin son fils par la mort de Jeanne Nocarde.»[44]
«Wilaume Helins Bourgeois de Mons à cause de Cathe. de Hoves son épouse. Fief à Boussoit.»[45]
La seigneurie de Marpineau ou ferme du Fagnet:
À l’extrémité Nord, à droite du bois d’Ourdain, se situait la ferme du Fagnet, encore appelée Seigneurie de Marpineau, composée d’un château avec ses dépendances qui appartint pendant longtemps aux sires de L’Esclatière[46].
Au XVIesiècle elle appartient à la famille Pottier qui possédait aussi jusqu’au début de XVIIe celle de Dour (20 km SW de Mons).
Toussaint Pottier vivait à Mons en 1468 originaire du pays de Liège (GBM No 6 page 46), il épouse en secondes noces Jeanne Hauwin (Haussin), dont: Jean Pottier, seigneur de Dour et de Beaufort, il épouse Jeanne Duchatelle dite Wyart, dont: Vincent Pottier, décédé en 1554, qui épouse Marie De La Same (elle épouse en secondes noces en 1555 Jean GALOPIN - GBM No 1 page 53), fille Philippe, seigneur de Quievrechain et de Jeanne Leboucq dont: Philippe Pottier époux de Jeanne Tricart (GBM No 8 page 42), fille de Jean et de Nicole Joye. Il est signalé seigneur de Marpineau et Hausin à son décès en 1622: dont: Philippe Pottier qui épouse en 1610 Jacqueline Adam, fille d’André et de Jacqueline Buisseret, dont: Anne Thérèse Pottier, dame de Marpineau qui épouse avant 1650, Jacques Descamps, seigneur de Mauville, Vaussard... Ecuyer[47].
Jean Baptiste Descamps, leur fils, écuyer, seigneur de Bettrechies, Roussoye et Mauville, hérite de la seigneurie de Marpineau.
Elle passe dans la famille Bureau de L’Esclatière par le mariage avant 1695, de François Joseph Burea avec Anne Marie Ursule Descamps.
XXesiècle
Le 6 septembre 1914, seize habitants de Boussois- Recquignies furent tués par l'armée allemande[48].
Les glaces de Boussois
1898: Création par Georges Despret des Glaceries de Charleroi, plus connues sous l'appellation des Glacerie de Boussois.
1908: Fusion de Jeumont, Recquignies et Boussois. Naissance des Compagnies réunies des glaces et verres spéciaux du Nord de la France.
1914: Destruction des 3 sites. Seul le site de Boussois sera reconstruit et se lance dans la production de verre pour automobile à la fin des années 1920. L'effectif grimpe jusqu'à 2 500 employés avant la seconde guerre mondiale.
1966: Le site est le premier en France à se convertir au "verre flotté" (floot glass), procédé révolutionnaire permettant d'obtenir une surface parfaitement lisse, en versant le verre en fusion sur un bain d'étain fondu.
1972: Intégration des Glaces dans le groupe BSN (Boussois - Souchon - Neuvesel).
1982: Boussois devient une filiale de PPG (Pittsburgh Plat Glass).
1988: Le site est repris par le groupe Glaverbel qui deviendra une filiale japonaise de AGC (Asahi Glass Company) puis AGC Glass Europe en 2010.
En 1900, l'essor industriel de la cité passera par la construction des glaces de Boussois, usine de fabrication du verre qui comptera jusqu'à 2 000 salariés, et fera passer la ville de moins de 1 000 habitants à plus de 3 000 aujourd'hui. Les Glaces de Boussois prendront une part importante dans le développement de la ville par la construction de bâtiments (l’église Saint-Martin, un Foyer des travailleurs...) et d’un quartier d'habitation complet de la ville. Ce quartier, nommé la Cité du Maroc (baptisée ainsi en raison du soleil censé illuminer cette cité laborieuse), fut construite au début du XXesiècle à côté de l'usine. Ces habitations existent toujours.GC.
Les ex-glaces de Boussois.
La grande cheminée des glaces de Boussois.
Déchargement aux glaces de Boussois.
L'entrée des camions aux glaces de Boussois.
Le ballon réservoir.
Le fort de Boussois
La ville possède l'un des édifices militaires, le fort de Boussois, qui faisait partie d'un ensemble de forts et de constructions militaires construits autour de Maubeuge pour la protection de la ville. Ces constructions militaires font partie du secteur fortifié de Maubeuge de la ligne Maginot.
Politique et administration
Situation administrative
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Tendance politique
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Administration municipale
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Liste des maires
Maire de 1802 à 1807: Alexandre Dejardin[49],[50].
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Politique environnementale
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Jumelages
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Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].
En 2019, la commune comptait 3 194 habitants[Note 8], en diminution de 1,05% par rapport à 2013 (Nord: +0,49%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
372
242
279
292
355
352
362
407
426
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
450
529
542
519
537
679
628
837
868
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 310
1 370
1 549
1 770
2 538
2 519
2 531
2 242
2 870
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
3 319
3 575
3 531
3 483
3 461
3 449
3 336
3 237
3 245
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
3 194
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3%, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7% la même année, alors qu'il est de 22,5% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 548 hommes pour 1 664 femmes, soit un taux de 51,81% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[56]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,1
90 ou +
1,2
6,0
75-89 ans
9,3
14,4
60-74 ans
16,4
19,8
45-59 ans
19,5
19,3
30-44 ans
19,2
17,6
15-29 ans
16,3
22,8
0-14 ans
18,2
Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[57]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,1
75-89 ans
8,1
14,3
60-74 ans
15,6
19,2
45-59 ans
18,6
19,6
30-44 ans
18,7
20,7
15-29 ans
19,1
20,7
0-14 ans
18,5
Santé
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Enseignement
Boussois fait partie de l'académie de Lille.
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Sports
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Média
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Cultes
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Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin, dite Notre-Dame des Glaces, construite avec l'aide des ouvriers des Glaces de Boussois, fut terminée trois ans après le début des travaux en 1926, classée monument historique.
La Cité des fleurs, un ensemble de 74 logements, 1948, par Lurçat et Normand, architectes-urbanistes, classée.
Un groupe de maisons dans la Cité ouvrière dite cité du Maroc, 1901, classée.
Le kiosque à musique, type kiosque à concert, peu après 1918, dans la Cité ouvrière dite Cité du Maroc. Il y a deux types de kiosques à musique dans l'Avesnois: le kiosque à danser, surélevé, permettant à un petit l'orchestre de jouer au-dessus des danseurs et le kiosque à concert, qui peut accueillir un orchestre plus grand.
La Glacerie de Boussois, 1899, 1935, classée.
Musée de la Mémoire Verrière de Boussois.
La maison des travailleurs, actuelle maison de la citoyenneté.
Plusieurs monuments aux morts, commémorant des morts de guerres diverses.
Les bords de la Sambre.
Église Saint-Martin.
Kiosque à musique.
Les monuments aux morts.
Poisson en mosaïque.
Le bord de la Sambre.
Personnalités liées à la commune
Georges Despret, industriel, verrier, re-découvreur des pâtes de verre à l'antique.
Ce sont les armes des De Montigny. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pour approfondir
Bibliographie
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Georges Waroquier, Michel Guéritte et Josiane Bertoni, De Buxeide à Boussois: ... de la petite histoire à l'Histoire, Boussois, Essor touristique et Folklorique de Boussois,
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«Gérard de Jauce, Sire de Baudour» SG tome 1 page 396 année 1276
«Boussoit, très-belle terre près de Mons. Sentence des Bailli et Hommes de fief de Wistasse, seigneur du Rœux, au profit de Wautier de Haynne, fils de Huon, contre Henri Desmolins et Marguerite de Bourdiaux, sa femme, qui adjuge audit Watier les fiefs, Ville et Châteu de Boussoit, échu audit Huon, par la mort de Jean dit Sausset, Chevalier, Seigneur de Boussoit, 1333, le jeudi avant St.-Barnabé» SG tome 2 page 1150. «Louis du Bois de Hainne, Maire de Brain-le-Comte, en foi et hommage lige, pour le fief que Messire Jean Sausset, Sire de Boussoit, tenait de Jean de Condé, à Boussoit, par la mort dudit Jean Sausset, à Huon du Bois de Hainne qui le laissa à Watier du Bois de Hainne, son fils, par la mort duquel il est passé à sa sœur, mère dudit Louis, de laquelle il l’a reçu. 1336» SG tome 2 page 1145 et 1151 année 1334, jugement rendu par Gérard, dit Sausses d’Ayne au château de Mons.
SG tome 1 page 1050 année 1504 dans un acte contre Jean De Herbamez seigneur de Maurage
SG tome 1 page 1050
SG tome 1 page 1051 année 1575
(page 1051 année 1576)
SG tome 1 page 1052 année 1580
ADN B 12115[Quoi ?].
«Louis de Sivry, dit de Buath, Chev. Sgr. de Pottes, Méricourt, Prévôt de Maubeuge. 3 J. au terr. de Boussoit-sur-Sambre. le fief de la Motte. Page 315» SG tome 2 page 1430
(«colart. Brougnart dmt. à Maubeuge, par le trépas de Jeanne Colisart» SG tome 1 page 10 - Comté de Hainaut 1473
SG tome 1 page 284
SG tome 2 page 1617 année 1410 prévoté de Binche
SG tome 2 page 1628 année 1410 Prévoté de Maubeuge
SG tome 2 page 1631 - Cartulaire du Comté de Hainaut, en 1410. Bailliage de Lessines
SG tome 1 page 992 année 1284
SG tome 2 page 1615 année 1410 prévoté de Binche
SG tome 2 page 1616 année 1410 prévoté de Binche
SG tome 2 page 1618 année 1410 prévoté de Binche
SG tome 2 page 1627 année 1410 Chatellenie d’Ath
SG tome 2 page 1624 année 1410 Bailliage du Rœulx.
SG tome 2 page 1629 année 1410 Prévoté de Maubeuge.
«Recherches historiques sur Mabeuge, son Canton, et les communes limitrophes» par Z.Pierart - Maubeuge 1851
SG tome 2 page 1292 et GBM No 6 page 46
Edwards, Alfred (1856-1914)., «comment le 6 septembre 1914, 16 habitants de Boussois- Recquignies furent assassinés par les Allemands», Le Matin: derniers télégrammes de la nuit, no13342, (résumé, lire en ligne).
Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
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