Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6-7, se compose d'argiles à Palaeotherium, des argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux (Bartonien supérieur à Priabonien inférieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille «no805 - Sainte-Foy-la-Grande» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Carte géologique de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CF :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g1-As :
Calcaire à Astéries: biocalcarénite détritique à rudistes, calcaire bioclastique à rhodolites et polypiers, marno-calcaire et marne à foraminifères à intercalations molassiques ou lacustre (Rupélien marin)
g1-Ml :
marnes à Longirostris: argiles et marnes à huîtres (Crassostrea longirostris), foraminifères, nodules carbonatés et intercalation de micrite (Rupélien marin)
g1-Cc :
Formation du Calcaire de Castillon s.s.: calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
Éocène
e7 :
Formation Boisbreteau inf.: sable fin silto-argileux marron, à petits graviers et débris de cuirasses ferrugineuses, argile silteuse (Priabonien sup. continental)
e7-g1-S :
Molasse du Fronsadais sup. à faciès sableux dominant: sables argileux grossiers feldspathiques, argiles silteuses/sableuses gris-vert et grès carbonatéss. Nombreux chenaux sableux au sommet (Priabonien sup. à Rupélien basal continental)
e7c-A :
Molasses du Fronsadais inf. à moy. (faciès argileux dominant): argiles sableuses bariolées jaunes à vertes à chenaux sableux micacés et feldspathiques (Priabonien sup. continental)
e6-7 :
Argiles à Paléotherium: argiles carbonatées silteuses versicolores à niveaux sableux, à niveaux carbonatés +/- durcis, sables grossiers micacés marron rouge à la base (Bartonien sup. à Priabonien inf. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 18 m et 108 m[5],[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 7,04 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,06 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Lidoire, l'Estrop, le Rieutord et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de six kilomètres de longueur totale[15],[Carte 1].
La Lidoire en limites de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières et Montpeyroux.
Réseaux hydrographique et routier de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Dordogne Atlantique». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[22]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]
Moyenne annuelle de température: 12,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Port Ste Foy», sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, mise en service en 1956[28] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[29],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 802,2 mm pour la période 1981-2010[30].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 32 km[31], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[32], à 13,1°C pour 1981-2010[33], puis à 13,3°C pour 1991-2020[34].
Urbanisme
Typologie
Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[35],[36],[37].
La commune est en outre hors attraction des villes[38],[39].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (27,2%), zones agricoles hétérogènes (22,6%), forêts (21,9%), cultures permanentes (21,8%), zones urbanisées (6,4%)[40].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg du Gaucher où se trouve la mairie, le territoire de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[41]:
Béranger
le Blois
Bonneville
Bourrichou
Calendreaud
Chai Neuf
Colins
Grosse Forge
la Jarthe
la Loubière
le Mayne
le Melon
Métairie Basse
le Pajot
le Petit Calendreaud
le Pont de Palot
Saint-Avit
le Terrier
le Valladoux.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[42]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[43].
Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 77,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[49].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2005, par la sécheresse en 1989 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[42].
Toponymie
Bonneville vient du latin bonavilla[réf.nécessaire], qui signifie «le bon village».
Saint-Avit fait référence à saint Avit, un officier de l’armée d’Alaric II, roi des Wisigoths, qui, fait prisonnier par Clovis, fut converti au christianisme par Clotilde, reine de France. Devenu ermite, il se retira dans la forêt, près de Lanquais, et y fonda un oratoire avant de mourir.
En occitan, la commune porte le nom de Bonavila e Sent Avit de Fumadièras[50].
Histoire
Le nom actuel vient de la fusion en 1836 des communes de Bonneville et de Saint-Avit-de-Fumadières[5].
Les Templiers et les Hospitaliers
Seuls vestiges d’un moulin bâti par les Templiers sur la Lidoire, il reste les arches en bel appareil.
L’église Saint-Jean-Baptiste-de-Bonneville est de fondation romane, elle appartint aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem et relevait de la commanderie de Condat. Dévastée lors des guerres de Religion, elle a conservé ses murs des XeetXIIesiècles et ses restaurations du XVesiècle.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, les communes de Saint-Avit-de-Fumadières et de Bonneville ont fait partie dès sa création du canton de Lamothe qui dépendait du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la «réduction du nombre de justices de paix», les communes sont rattachées au canton de Vélines dépendant de l'arrondissement de Bergerac[51],[5].
En 1836, les deux communes fusionnent sous le nom de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières[5].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[52]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de Montaigne et Gurson.
Intercommunalité
Début 2006, Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières intègre dès sa création la communauté de communes de Montaigne en Montravel. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[53],[54].
Chef d'entreprise Conseiller général du canton de Vélines (2001-2015)
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières relève[57]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Les habitants de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières se nomment les Bonnevillois[58].
Jusqu'en 1836, les communes de Bonneville et de Saint-Avit-de-Fumadières étaient indépendantes.
Démographie de Saint-Avit-de-Fumadières
Évolution démographique de Saint-Avit-de-Fumadières
Démographie de Bonneville, puis de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[60].
En 2019, la commune comptait 322 habitants[Note 9], en augmentation de 8,78% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
375
308
283
303
334
318
336
321
331
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
316
318
323
202
293
279
253
233
258
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
269
283
285
264
250
260
268
279
302
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
247
220
195
214
216
214
292
302
320
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
322
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emploi
En 2015[62], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 133 personnes, soit 42,8% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-sept) a plus que triplé par rapport à 2010 (cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,1%.
Établissements
Au , la commune compte vingt-deux établissements[63], dont six au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatre dans l'industrie, et trois dans la construction[64].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château du Valadou, XVIIesiècle, où séjourna l'écrivain Pierre Loti[65].
Le vieux lavoir avec une fontaine remarquable
Le four du XIesiècle
Les arches en bel appareil. Seuls vestiges d’un moulin bâti par les Templiers sur la Lidoire
L’église Saint-Jean-Baptiste-de-Bonneville. La façade s’orne d’un portail Renaissance. La cloche est datée de 1699.
Cinq lavoirs de l'époque moderne.
Personnalités liées à la commune
L'écrivain Pierre Loti (1850-1923) séjournait au château du Valadou, lorsqu'il rendait visite à la famille de son épouse, Blanche de Ferrières[65].
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[24].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[25].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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