Beauval est un bourg picard de l'Amiénois situé à 5 km au sud de Doullens, 24 km au nord d'Amiens et à 35 km à l'est d'Abbeville, sur la route nationale 25 (RN 25).
En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no22 (Doullens - Villers-Bocage - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés et la ligne no25, le jeudi, jour de marché à Doullens. La ligne no26 (Doullens - Bernaville - Abbeville) permet les déplacements vers Abbeville[1].
Le relief de la commune est celui d'un plateau traversé par une vallée sèche. Le point culminant se trouve à une altitude de 170 mètres, au sud de la commune[2]. Le sol de la commune est de formation tertiaire et quaternaire, on a retrouvé dans le sous-sol de la commune des fossiles de belemnites, de Mosasaurus, de Térébratule de dents de squale. Sous la couche de terre végétale se trouvent successivement des couches de gros galets recouverts de cailloux fins, du calcaire grossier avec des ossements de mammouth[2].
Aucun cours d'eau ne traverse la commune. À la fin du XIXesiècle, la nappe phréatique était située à 35 m de profondeur[2].
Le climat de la commune est tempéré océanique avec vents dominants du nord-ouest.
Beauval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Beauval, une unité urbaine monocommunale[6] de 2 095 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (75,5%), prairies (14,5%), forêts (4,6%), zones urbanisées (4,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1%)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Projets
Lors de la campagne municipale de 2020, le maire sortant Bernard Thuillier, qui a été réélu, proposait de construire de nouveaux logements avec les bailleurs sociaux de la commune ou par la création d'une zone d'aménagement concerté (ZAC), la réalisation d'un hôtel d'entreprises ainsi que de revitaliser le centre-bourg et ses commerces, tout en favorisant les déplacements piétons et cyclistes, afin de renforcer l’attractivité de cette commune qui a perdu près de 150 habitants en 10 ans, et qui a été atteint par la fermeture d'entreprises importantes Rosenlew (2004) et Goodyear (2014)[13].
Ce développement pourrait permettre la requalification de la friche Saint-Frères, avec l'aménagement de logements locatifs et en accession à la propriété, ainsi qu'une maison «Âges et vie» destinées aux personnes âgées en perte d'autonomie[14].
Toponymie
On trouve plusieurs formes pour désigner Beauval dans les textes anciens: Bella Vallis, Belval, Biauval, Biauvalis, Belleaval[2].
Le nom de la localité est attesté sous la forme de Bellavalle au XIIesiècle[15].
Beauval signifierait la «belle vallée». Si le mot val est aujourd'hui masculin, le mot latin vallis lui, est féminin.
Histoire
Préhistoire
Des haches en pierre polie furent retrouvées sur le territoire communal[2].
Antiquité
Des fragments de poteries gauloises et des monnaies romaines de Postume et d'Antonin le Pieux[2].
Moyen Âge
Au Moyen Âge, la châtellenie de Beauval est détenue par la famille Campdavaine. En 1219, Hue Campdavaine octroie une charte communale aux habitants de Beauval.
Au XIVesiècle, sous le règne de Charles V, les Grandes compagnies ravagent Beauval.
Époque moderne
En 1597, le roi Henri IV établit son camp à Beauval après le siège d'Amiens, en poursuivant l'armée du roi d'Espagne.
En 1789, les Cahiers de doléances du tiers état de Beauval demandaient la suppression de la gabelle (impôt sur le sel).
Époque contemporaine
En 1810, trois frères de la famille Saint originaire de Beauval, Pierre-François l’aîné, Jean-Baptiste et Pierre-François, exerçaient à Beauval la profession de tisserands, comme leur père. En 1814, les trois frères s’associèrent pour fabriquer des toiles d’emballage. Pierre-François l’aîné organisa la fabrication des toiles à Beauval, son frère Jean-Baptiste et ses gendres s’installèrent à Rouen, en 1828, pour en faire commerce. Pierre -François, le troisième frère fut chargé à Amiens de l’achat des matières premières, lin et étoupes ainsi que de la vente des toiles. Plusieurs centaines de tisserands travaillaient pour eux[16],[17].
À partir de 1845, les frères Saint produisirent des sacs en toile de jute. Le jute était un produit nouveau dans l’Europe de cette époque, réputé pour sa robustesse. La fabrication de toile et de sac en jute était stimulée par l'essor de la production agricole et industrielle consommatrice de sacs de toile. La fibre de jute, dont la production était localisée aux Indes britanniques, était bon marché et réputée pour sa solidité. L'industrie textile fit la prospérité de Beauval, dominée par la famille Saint pendant un siècle, des années 1850 à 1950[17].
La commune de Beauval est desservie de 1889 à 1949 par un chemin de fer secondaire à voie métrique de la Ligne d'Albert à Doullens. Cette ligne de chemin de fer permit le développement de l'extraction de phosphate découvert dans la commune en 1885 et de silex ainsi que le transport de la production de textile, briques, tuiles vers les centres de consommation de Doullens, Albert ou Amiens.
Articles connexes: Chemins de fer départementaux de la Somme et Chemin de fer secondaire.
Des carrières de sable phosphaté ont été exploitées dans la commune. Appartenant à M. Bernard, elles étaient considérées comme épuisées à la fin du XIXesiècle[18],[19],[20]. Les propriétaires fonciers et se sont fait construire de belles maisons[21].
Beauval à la fin du XIXesiècle ou au tout début du XXesiècle
Gare de Beauval et usine Saint Frères.
Carrière de phosphate
La route d'Amiens et la rue de Bas, avec une voie du chemin de fer des carrières
L'ancienne église en 1887
La nef de l'ancienne église en 1887
Deuxième Guerre mondiale
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La commune a été décorée de la Croix de guerre 1939-1945 le avec étoile de bronze[22].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Doullens[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 14 à 44 communes.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du Doullennais, créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, celle-ci a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie, dont la commune est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
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Article connexe: Élections municipales de 2014 dans la Somme.
L'équipe du maire sortant, élu en décembre 2017 à la suite de dissensions et de démissions en série dans la précédente équipe, a remporté la majorité des sièges du conseil municipal dès le premier tour des municipales 2020[24] avec 57.44% des suffrages exprimés, devançant la liste de B. Candas qui a obtenu 42,55% des voix, lors d'un scrutin marqué par un taux d'abstention modéré, compte tenu de la crise du Covid-19, de 45,79%[25].
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans la Somme.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
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?
?
Pierre Villain
PSU
1986
Jacques Boulogne
Chef d'entreprise Président de la CCI d'Amiens Décédé en fonction
Exploitant agricole Réélu pour le mandat 2020-2026[13],[33]
Population et société
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2019, la commune comptait 2 036 habitants[Note 3], en diminution de 3,69% par rapport à 2013 (Somme: −0,2%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 630
1 801
1 701
2 050
2 302
2 381
2 651
2 584
2 568
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 631
2 716
2 640
2 560
2 478
2 274
2 261
3 709
2 487
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 761
2 979
2 985
2 496
2 405
2 285
2 195
2 249
2 132
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2 173
2 192
2 206
2 274
2 286
2 243
2 151
2 140
2 145
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 101
2 036
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique
Article détaillé: Un siècle (1851-1954) d'exode rural dans la Somme.
Enseignement
Le , on inaugure l'école du Valençon, qui a coûté 5 millions d'euros[13]. Cet établissement compte alors cinq classes de maternelle et sept classes élémentaires. Une salle de repos, une salle de motricité et une salle d'accueil périscolaire complètent le dispositif qui comporte également une salle informatique et un Rased (Réseau d'aides spécialisées pour les élèves en difficulté)[37].
Culture et sports
L'ancienne école primaire est reconvertie en 2020 pour constituer un pôle socio-culturel et sportif comprenant un dojo, une salle de danse, une bibliothèque, une médiathèque ou encore une salle de formation. L'équipement conçu par l'architecte Yves-Franck Kiki est évalué à 1 769 130 € TTC, dont 544 378 € € restent à la charge de la commune[38],[39].
Économie
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Culture locale et patrimoine
Église Saint-Nicolas.
Lieux et monuments
Église Saint-Nicolas, construite en 1888 grâce aux financements des frères Saint (industriels du textile) par l'architecte amiénois Victor Delefortrie, qui a réalisé de nombreuses églises néo-gothiques en Picardie à la fin du XIXesiècle[40],[41], en remplacement de l'ancienne église du XIIesiècle[42],[43],[44],[45].
Article détaillé: Église Saint-Nicolas de Beauval.
Parcours pédestre dit le «Circuit du Papillon», qui permet de découvrir la commune de Beauval et son passé industriel, avec un parcours de 10,700 km[48],[49].
Le cimetière de Beauval, sur trois hectares, lui aussi construit par la famille Saint, un des plus beaux du département[50],[51]. Il comprend une partie militaire où reposent 234 soldats britanniques , 5 canadiens, 8 Australiens et un Néo-zélandais tués lors de la Première Guerre mondiale[52].
Article détaillé: Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme.
Le cimetière
La chapelle funéraire de la famille Saint, édifiée par Victor Delefortrie et restaurée en 1994
Friche industrielle Saint Frères, qui rappelle le passé textile de la commune, dont le bâtiment administratif a été classé monument historique en 2015[53]
Oratoire Saint-Charles-Borromée, archevêque de Milan au XVIesiècle, en honneur à Charles Saint, donateur de l'église moderne[45].
Architecture urbaine en brique, typique des villes du Nord de la France et de Picardie.
Lambrequins de fenêtres
Personnalités liées à la commune
En 1415, le seigneur de Beauval de la famille de Maison de Châtillon meurt à la Bataille d'Azincourt[2].
Horace Colmaire, peintre, portraitiste mort à Beauval. Un de ses tableaux «La vieille picarde» se trouve au musée de Picardie à Amiens. Il peignit également, dans sa jeunesse à Paris, Joséphine Baker à ses débuts.
Charles Saint, né à Beauval, industriel et homme politique, député de la Somme de 1894 à 1902. Il est l'un des créateurs de l'industrie du tissage mécanique du jute; fabricant de toile et de sacs, il est membre du jury des expositions universelles de 1878 et de 1889, vice-président de la chambre de commerce d'Amiens, officier de la Légion d'honneur. et fonde au Tonkin de vastes exploitations agricoles[54].
Érika Sauzeau (1982), athlète paralympique française spécialiste de l'aviron, est originaire de Beauval et vit toujours dans la commune.
Beauval et le cinéma
Peaux de vaches (sorti en 1988), film de Patricia Mazuy, avec Sandrine Bonnaire, Jean-François Stévenin, Jacques Spiesser.
Héraldique
Les armes de la commune reprennent celles des seigneurs de Beauval figurant sur un sceau de Robert de Beauval de 1262:
Blasonnement:
d'azur à trois gerbes d'avoine d'or posées deux et une[55].
Ornement extérieur:
Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze. Citation à l'ordre du régiment du : «vaillante et courageuse commune, atteinte par l'ennemi le 20 mai 1940, et qui n'en a pas moins continué, dans la clandestinité, le bon combat. Détention d'armes, seize de ses fils déportés ou internés, dont trois morts dans les camps de concentration.»
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Notice géographique et historique sur la commune de Beauval, rédigée le 30 octobre 1897 par M. Petit, instituteur, Amiens Archives départementales de la Somme Lire en ligne
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Benoit Delespierre, «Bernard Thuillier veut bâtir à long terme à Beauval: Le maire sortant se présente avec un projet et une équipe pour «ce mandat et les suivants», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Maire sortant, élu en décembre 2017 à la suite de dissensions et de démissions en série dans la précédente équipe, Bernard Thuiller, 65 ans «dont dix-neuf ans de mandats» se présente à la tête d’une équipe qui allie continuité et renouvellement».
Delphine Cattoux, «Les projets pour la friche Saint Frères de Beauval ne manquent pas, mais qui va les porter?: La municipalité planche sérieusement sur la requalification de la friche située en bordure de la RN 25. Encore faut-il trouver les financements pour la voirie», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1138.
Benoit Delespierre, «Bernard Thuillier veut bâtir à long terme à Beauval: Le maire sortant se présente avec un projet et une équipe pour «ce mandat et les suivants», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Maire sortant, élu en décembre 2017 à la suite de dissensions et de démissions en série dans la précédente équipe, Bernard Thuiller, 65 ans «dont dix-neuf ans de mandats» se présente à la tête d’une équipe qui allie continuité et renouvellement».
Benoit Delespierre, «Françoise Boulogne, ancienne maire de Beauval, n’est plus: Elle avait succédé à son mari, Jacques Boulogne, à la fois dans l’entreprise et à la mairie», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Née au hameau Le Petit Selve à Bugny-lès-Gamaches, elle devint beauvalloise par sa rencontre avec Jacques Boulogne, le fondateur de l’entreprise locale de plasturgie qu’elle épousa en 1976 et qui fut président de la Chambre de commerce et d’industrie d’Amiens. Au décès de ce dernier, cette femme d’action et de projets lui avait succédé à la fois à la tête de l’entreprise et de la mairie, où elle se fit réélire en 1989».
«Le maire, René Cazier, est décédé ce dimanche», Le Courrier Picard, (lire en ligne).
«Jacques Rabouille, élu maire sans surprise maire de Beauval», Le Courrier Picard, (lire en ligne).
«Élections à Beauval: la liste de Bernard Thuillier l’emporte», Le Courrier Picard, (lire en ligne).
«Le conseil repart du bon pied à Beauval», Le Courrier Picard, (lire en ligne).
«À Beauval, le maire Bernard Thuillier dans son fauteuil, mais…», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«Ce samedi 23 mai, Bernard Thuillier a retrouvé sans surprise son fauteuil de maire avec 16 voix».
Le Courrier picard, 18 décembre 2014, Picardie maritime, p.19.
«La transformation de l’ancienne école en pôle socio-culturel est en bonne voie à Beauval: Le conseil municipal de mardi soir a évoqué toutes les aides qui vont être demandées pour ce projet d‘un coût estimé à 1 900 000 € hors taxes.», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Benoît Delespierre et Éric Sara, «C’est parti pour la future médiathèque à Beauval: Le conseil municipal a donné le coup d’envoi des travaux du pôle socio-culturel et sportif dans l’ancienne école. À un mois des élections, le sujet a fait débat», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll.«Richesses en Somme», 4e trimestre 2003, 302p., p.170 (ASINB000WR15W8).
Martine Aubry, «Beauval (80630)», Les monuments aux morts France - Belgique - Autres pays, (consulté le ).
Émilie Da Cruz, «Le circuit du papillon à redécouvrir à Beauval: La commune a remis au goût du jour une balade de 10,7 km avec un balisage facilement repérable. De quoi voir les traces du riche passé industriel de Beauval.», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Dans les allées du remarquable cimetière de Beauval: En cette période de Toussaint, certains cimetières méritent un regard différent, tel celui de Beauval, qui abrite notamment le mausolée de la famille Saint, qui a fait vivre des milliers de Samariens», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Benoit Delespierre, «Un pan de l’histoire de Beauval redoré: C’est le plus ancien vestige de la commune. La plaque de marbre située sur l’ossuaire de l’ancien calvaire a été rénovée bénévolement par Bernard Delvallez, l’ancien ébéniste, gardien amoureux du patrimoine local», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
«Un espoir pour la friche Saint-Frères de Beauval (80): Le maire de Beauval rencontrera le 9 février le directeur de l’Opsom pour étudier la possibilité de transformer les anciens bâtiments administratifs en logements adaptés», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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