Beaurepaire est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes et, autrefois rattachée à l'ancienne province du Dauphiné.
Géographiquement, le territoire de la commune de Beaurepaire se positionne dans le sud-est de la France à l'est de la vallée du Rhône, dans le territoire de Bièvre-Valloire qui est un des treize territoires de l'Isère.
Cette commune fit partie de la communauté de communes du Territoire de Beaurepaire dont elle hébergeait le siège avant d'être rattachée à la Communauté de communes Entre Bièvre et Rhône.
Les habitants de la commune se dénomment les Beaurepairiens[1] ou Beaurepairois[2].
Géographie
Plan du territoire de Beaurepaire
Situation
Le territoire communal est situé dans le sud-est de la France, et plus précisément dans la partie occidentale du département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La commune est située, par la route, à 69 km de Grenoble, chef-lieu du département de l'Isère, 62 km de Lyon, chef-lieu de la région, à 282 km de Marseille , ainsi qu'à 522 km de Paris.
Description
Petite ville de la Valloire, vallée sans rivière notable, mais ancienne zone marécageuse, la cité de Beaurepaire, ancien bourg fortifié avec un plan en damier propre aux villes nouvelles du Moyen-Âge entourant son église, possède quelques reliques architecturales anciennes[3].
Malgré la disparition progressive de sa ligne de chemin de fer qui la reliait à Saint-Rambert-d'Albon et Rives, et le déclassement des deux grandes routes nationales qui la traversaient, la ville a su garder un certain dynamisme avec ses zones d'activités périphériques et reste le siège de sa communauté de communes.
Géologie
Le territoire de Beaurepaire se situe dans une large vallée dénommée Bièvre-Valloire par les géographes. Il s'agit d'une vallée ouverte sans cours d'eau important positionnée entre celle de l'Isère, au sud et dont elle est séparée par le Plateau de Chambaran, la vallée du Rhône, à l'ouest, ainsi que la plaine du bas-Dauphiné située plus au nord, quelques collines boisées dénommées Balmes viennoises la séparant de cette dernière. La Bièvre est la partie la plus orientale de cette vallée mais aussi la plus élevée en altitude, la Valloire où se situe Beaurepaire étant la partie la plus occidentale et la moins élevée.
Les cartes de Pierre Mandier, professeur de géolologie à l'université de Lyon indiquent que le vallum morainique frontal datant de la Glaciation de Riss du glacier de l'Isère se situait quatre kilomètres à l'est de la ville de Beaurepaire. Le tracé des courbes de niveau relevé dans les environs du territoire de la commune de la Côte-Saint-André permet de comprendre que le glacier du Rhône confluait, à ce niveau de la plaine de Bièvre, avec celui de l'Isère. La Valloire fut donc le déversoir de cet ensemble glaciaire remplissant ainsi le secteur d'alluvions datant du quaternaire. Petit à petit avec le recul, puis la disparition des glaciers la Valloire s'est transformée en vallée morte sans cours d'eau vraiment notable[4].
Le secteur du département de l'Isère où se situe le territoire de Beaurepaire, positionné en bordure nord du département de la Drôme, connaît un climat méditerranéen altéré par des influences océaniques.
Les pluies sont apportées majoritairement par les perturbations atlantiques, en toutes saisons avec quelques possibles épisodes neigeux en hiver et dans une moindre mesure par les dépressions méditerranéennes, particulièrement en automne.
Hydrographie
La ville de Beaurepaire est sillonnée par quelques cours d'eau de dimension modeste:
L'Oron, d'une longueur de 27,8 km est un affluent des Collières et donc un sous affluent du [ Rhône[5].
Le Suzon d'une longueur de 17,6 km est son affluent[6]
Voies routières
La RD 538 entre Revel-Tourdan et Beaurepaire, la veille d'une étape du Tour de France, le 13 juillet 2013.
Le terriroire beaurepairois est traversé par de nombreuses axes routiers.
La route départementale 519 (RD519) dénommée ainsi entre Davézieux et Beaucroissant se dénommait Route nationale 519. Cette ancienne route nationale reliait Annonay à Grenoble a été déclassée en 1972
La route départementale 538 (RD538) dénommée ainsi entre Vienne et Salon-de-Provence se dénommait Route nationale 538. Cette ancienne route nationale reliait Vienne à Marseille a été déclassée en 1972.
La route départementale 73 (RD73) qui sert de déviation afin d'éviter le transit des véhicules dans le bourg centrale de Beaurepaire.
Transports publics
La Gare en 1913.
Lignes d'autocars
Le réseau interurbain de l'Isère, connu sous l'appellation locale Transisère relie la ville de La Beaurepaire aux autres villes de l'Isère.
La gare SNCF de Beaurepaire, située sur la ligne entre Saint-Rambert-d'Albon dans la Drôme et Beaurepaire n'est uniquement utilisée de façon ponctuelle que pour le transport de fret.
Article connexe: Ligne de Saint-Rambert-d'Albon à Rives.
Aéroport
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Grenoble-Isère, situé à moins de 15 km de Beaurepaire. Les lignes d'autocar 7200, puis 7350 permettent de relier cet aéroport[7].
Urbanisme
Typologie
Beaurepaire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Beaurepaire, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 5 862 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaurepaire, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (68,3%), zones urbanisées (14,6%), zones agricoles hétérogènes (10,7%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5%), forêts (2%)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
L'agglomération se présente sous la forme d'un centre urbain de taille relativement importante, dont les constructions (petits immeubles et maisons individuelles) se sont progressivement installées le long d'un réseau routier en étoile et dont le centre correspond au vieux bourg central.
Hameaux, lieux-dits et écarts de la commune
Voici, ci-dessous, la liste la plus exhaustive possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Beaurepaire, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[17].
En Vachère
le Poulet
le Ballay
la Grange Neuve
la Picollière
les Pierelles
les Granges Neuves
les Seiglières
Degaud
le Temple
les Naix
le Pouloux
la Maladière
les Fromentaux (Zone industrielle)
le Pré Mornay (Zone Artisanale)
Pied Menu
les Brosses
le Cros
Chantabot
le Fayaret
la Grange Robert
Combalon
Fayaret
la Guillotière
le Grand Chemin
la Ferrière
les Copières
Logements
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Risques naturels et technologiques
Risques sismiques
Article connexe: Risque sismique dans l'Isère.
L'ensemble du territoire de la commune de Beaurepaire est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme l'ensemble des communes de la plaine de Bièvre-Valloire et de la vallée du Rhône[18].
Selon André Planck, spécialiste en toponymie des villes du département de l'Isère, le nom de Beaurepaire dériverait du latin «Belli Riparii» signifiant belles rives qui pourrait désigner une élévation surplombant une vallée[22].
Il existe de nombreux Beaurepaire dans la zone de langue française, tous formés sur l‘adjectif beau et le mot repaire, avec le sens en ancien français de «séjour, demeure, logis» [23]. C’est aussi le sens de l’arpetan Byo Rœpeyrœ[20].
Histoire
Article connexe: Histoire de l'Isère.
Préhistoire et Antiquité
Préhistoire
Territoire des Allobroges
Durant le Néolithique moyen, des agriculteurs ayant migrés du sud de l'actuel territoire français actuels remontent vers le nord et colonisent la région. Des individus appartenant à la civilisation chasséenne qu'ils diffusent rapidement, de la Méditerranée jusqu'au nord de la Bourgogne.
Trois sites d'habitat préhistoriques datant de cette période situés à proximité de Beaurepaire ont été révélés: sur le site la Croix Trouva à Bressieux, sur le territoire des communes voisines Lapeyrouse-Mornay et de Moras-en-Valloire. À Primarette, soit quatre kilomètres au nord de la commune un nucléus à lamelles de silex a été découvert [24]
Antiquité
Des Celtes parviennent sur le territoire de ce qui sera le bas-Dauphine. Une de ces tribus, les Allobroges (terme signifiant: les gens venus d'ailleurs) arrivent autour du Vesiècleav. J.-C.. Le territoire contrôlé par cette peuplade dont la capitale sera Vienne, s'étendra de Genève au mont Pilat, en passant par Cularo (future ville de Grenoble).
Article connexe: Allobroges.
Moyen Âge
Beaurepaire est une ville nouvelle fondée en 1309 par le Dauphin de Viennois par détachement de terres de la châtellenie de Moras[25].
Temps Modernes
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Époque contemporaine
Beaurepaire est une des premières communes d'Europe à avoir bénéficié de l'éclairage électrique. Dès 1883, un artisan-mécanicien, Louis-Michel Villaz, utilisa sa machine à vapeur de battage, une dynamo et des lampes à arc pour éclairer quelques rues de la ville. L'inauguration de l'équipement muni de lampes à incandescence Edison eut lieu le .
Ce dispositif a fonctionné jusqu'en 1902. Un immeuble et une avenue de Beaurepaire portent le nom du pionnier Louis-Michel Villaz. Une fresque représentant l'éclairage des rues de Beaurepaire orne un mur à l'une des entrées de la ville[26].
La Seconde Guerre mondiale
Dans la nuit du au , sur un terrain clandestin un parachutage a lieu comportant des armes et des explosifs pour le maquis de Ratières[27]
Le , un parachutage de matériel que le Special Operations Executive destinait au maquis de Castellane tombe à Beaurepaire, à 200 km de sa destination[28].
Politique et administration
Administration municipale
Le conseil municipal de la commune de Beaurepaire compte vingt-sept membres dont treize femmes et quatorze hommes, dont un maire, six adjoints au maire et vingt conseillers municipaux [29]
Tendances politiques et résultats
Élections municipales
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans l'Isère.
On constate qu'à Beaurepaire, tous les sièges ont été pourvus dès le premier tour.
On peut noter qu'en ce qui concerne les deux tours de ce scrutin, la candidate du Front National a effectué un meilleur score à Beaurepaire qu'au niveau national.
Conseiller général de l'Isère (1936-1940, 1945-1951)
mars 1971
mars 1977
Marcel Lugaz
mars 1977
mars 2008
Christian Nucci
PS
Enseignant Député (1978-1982, 1986-1988) Ministre délégué chargé de la coopération et du développement (1982-1986) Conseiller général de l'Isère (1976-2015)
mars 2008
mars 2020
Philippe Mignot
PS
Instituteur
mars 2020
En cours
Yannick Paque
SE
Les données manquantes sont à compléter.
Jumelages
La ville de Beaurepaire est jumelée avec une ville européenne:
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].
En 2019, la commune comptait 4 977 habitants[Note 3], en augmentation de 5,42% par rapport à 2013 (Isère: +2,9%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 322
1 800
1 954
2 275
2 137
2 370
2 322
2 326
2 480
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 607
2 661
2 598
2 543
2 555
2 613
2 749
2 668
2 779
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 881
2 988
2 859
2 656
2 850
2 740
2 933
2 733
2 912
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
3 132
3 583
3 666
3 793
3 735
3 839
4 297
4 360
4 676
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 921
4 977
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Enseignement primaire
La commune héberge trois écoles primaires sur son territoire[37]
l'école Gambetta
l'école La Poyat
l'école privée de Luzy-Dufeillant
Enseignement secondaire
La ville possède un collège, qui compte environ 600 élèves, le collège Jacques Brel, ainsi que le collège privé Luzy-Dufeillant.
Équipement sanitaire
L'hôpital public local Luzy Duffeillant présente une capacité totale de 119 lits[38]
Moyen séjour: 35 places
Hébergement (EHPAD): 84 places
Équipements sportifs
La ville de Beaurepaire présente les équipements sportifs suivant[39]:
deux gymnases (l'un étant à usage communal et l'autre à vocation un intercommunale)
quatre terrains en herbe (pour l'usage du football et du rugby)
un terrain omnisports synthétique
quatre courts de tennis
une piscine intercommunale
cet équipement, géré par la Communauté de communes du Territoire de Beaurepaire, est composé de trois bassins (dont un grand bassin de 12,5 mètres x 25 mètres), a été rénové en 2008.
un terrain pour la pratique de la pétanque et un terrain pour les jeux de boules
Équipements culturels
La ville de Beaurepaire présente les équipements culturels suivant:
une école de musique intercommunale, l'école de musique Manu Dibango[40]
une salle de cinéma, le cinéma l'Oron, qui accueille chaque année les Rencontres Internationales du Cinéma de Beaurepaire[44],[45],[46]
Associations et clubs
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Médias
Presse écrite
Le Dauphiné libéré
Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Vienne Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Cultes
Culte catholique
La communauté catholique de Beaurepaire et son église (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Saint Benoît du pays de Beaurepaire qui regroupe treize églises de la région. Cette paroisse dont le siège (maison paroissiale) se situe à Beaurepaire, est rattachée au Diocèse de Grenoble-Vienne [47].
Culte musulman
La ville compte deux mosquées: l'une intégrée à l'association culturelle franco-turque, ainsi qu'une deuxième dans le bourg de la commune.
Économie
Secteur industriel et commercial
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Secteur agricole
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Tourisme
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La place du Jeu de Paume en 1912.Monument aux morts de la commune.
Maisons pittoresques (Moyen Âge et Renaissance)
Château de Barrin
Église paroissiale Saint-Michel dont certains éléments datent du XVesiècle
Maison dans laquelle s'est caché Louis Mandrin (1725 - 1755), le célèbre brigand et contrebandier dauphinois de l'Ancien Régime. Aujourd'hui détruite, cette maison qui se trouvait près de la Salle du Rocher a laissé place à un parking.
Tour Florie Richard, qui tire son nom du propriétaire attesté en 1595.
Monument aux morts communal.
Événements culturels et festifs
Fêtes et célébrations
Une grande vogue annuelle de six jours est célébrée au cœur de la ville à chaque rentrée de septembre[49]. Un marché de Noël est également organisé en décembre en centre-ville, ainsi qu'une brocante hebdomadaire, dans le secteur de la gare.
Rencontres internationales du cinéma de Beaurepaire
Chaque année, à la mi-octobre, la ville accueille les Rencontres Internationales du Cinéma de Beaurepaire, organisées par l'association Autour de l'Oron (l'Oron est la rivière passant sous Beaurepaire qui a donné son nom à la salle de cinéma qui reçoit le festival). À cette occasion, l'association invite des acteurs du Cinéma Français à venir présenter leurs derniers films, tels que.
Lionel Abelanski: Poltergay,..., en 2006
François Berléand, en 2006
Michel Boujenah, en 1989
Zabou Breitman, en 2006
Roger Carel: voix, dont celle d'Astérix, en 1995
Jean-Pierre Castaldi en 2006, 2007 et 2008
Audric Chapus: le Raphaël Cassagne de la série télévisée Plus belle la vie, également neveu du cordonnier de Beaurepaire.
Sylvie Flepp: Plus belle la vie, en 2010
Stéphane Henon: Plus belle la vie, en 2010,2014
Anne Canovas: Plus belle la vie, en 2010
Sami Bouajila, en 2007
Sandrine Bonnaire, en 2012
Pascal Elbé, en 2007
Jean-Pierre Darroussin, en 2008, 2009 et 2011
Antoine Duléry, en 2008 et 2009
Ariel Zeitoun, en 2007
Philippe du Janerand, en 2012
Artus de Penguern, en 2005
André Dussollier, en 2011
Pep's, en 2012
Booder, en 2011
Frédéric Gorny: Avocats et Associés,..., en 2008, 2010, 2011, 2012 et 2013
Christine Lemler, en 1995
Bernadette Lafont, en 2012
Roger Hanin: Navarro,..., en 1989
Gérard Jugnot, en 1995
Mireille Darc, en 1994
Danièle Évenou, en 1994
Alain Doutey, en 1994
Rochelle Redfield, en 1995
Joséphine Japy, en 2009
Lio, en 2011
Patrick Préjean, en 1994
Yolande Moreau: Les Deschiens,..., en 2008
Pascale Pouzadoux, en 2009
Henry-Jean Servat, en 2011
Daniel Prévost, en 2006, 2008, 2012 et 2013
Sophie Mounicot, en 2011
Serge Papagalli, en 2009
Guy Bedos, en 2011
Samy Seghir, en 2009
Djamel Bensalah, en 2011 et 2012
Firmine Richard, en 2010
Pascale Arbillot, en 2009
Augustin Legrand, en 2012
Atmen Kelif, en 2011 et 2013
Salomé Stévenin, en 2008
Stéphane Freiss, en 2011
Marthe Villalonga, en 2008
Jacques Villeret, en?
Maureen Dor, en 1997 et 2013
Lucien Jean-Baptiste, en 2013
José Garcia, en 2013
Isabelle Doval en 2013
Jean-Paul Salomé en 2013
Jean-Michel Ribes en 2014
Laurent Gamelon en 2014
Chantal Neuwirth en 2014
Alexie Ribes en 2014
Les Chevaliers du Fiel en 2014
Pierre Santini en 2014
Patrick Braoudé en 2014
Personnalités liées à la commune
Antoine Français de Nantes (1756-1836): écrivain, haut fonctionnaire et homme politique français né à Beaurepaire. Député, pair de France (1831), il est connu pour ses chroniques fantaisistes dont le personnage central est «Monsieur Jérôme».
Le 20 mai 1894, le tueur en série Joseph Vacher assassina puis viola Eugénie Delhomme, 21 ans.
Christian Nucci, né le à Sabra (Algérie), responsable politique, enseignant, maire de Beaurepaire de 1977 à 2008. Il a été député socialiste de l’Isère (1978-81), réélu en 1986, ministre de la Coopération et du Développement de 1982 à 1986. En mars 2008, il a cédé sa place de maire à son ancien premier adjoint, Philippe Mignot.
Marcel Lugaz, né le à Paris, décédé en 1998, instituteur puis directeur du CCB et CEG à Beaurepaire de 1943 à 1966, officier de la Légion d'honneur, officier des palmes académiques, maire de Beaurepaire (1971-1977), fondateur de plusieurs associations dont le club de tennis (1933).
Louis-Antoine Michel-Villaz, né à Tullins, Isère, en 1843, décédé à Beaurepaire en 1911. Pionnier de l'éclairage électrique, il est connu pour avoir installé l'un des tout premiers réseaux publics de France en éclairant sa commune de Beaurepaire dès le , date de signature officielle du contrat de sa concession avec la mairie. Sa tombe au cimetière de Beaurepaire présente un médaillon rappelant son souvenir. La commune l'a honoré par une avenue à son nom et une stèle où figure son buste réalisé par le sculpteur lyonnais Francisque Lapandéry. Une fresque à l'entrée de la commune rappelle ces faits. La commune de Tullins, dont il est originaire, a également honoré sa mémoire par un monument comportant son buste. Son fils Louis né en 1883 participa avec lui à la gestion du réseau beaurepairois et réalisa l'électrification de très nombreuses communes du Bas Dauphiné et de l'Ardèche (Saint-Agrève, Saint-Martin-de-Valamas…). Il est à l'origine de la SHED (Société Hydroélectrique de la Durance); enfin il conserva la concession de la commune de La Tronche près de Grenoble de 1929 jusqu'à la nationalisation de l'électricité en 1946-1947. La commune conserve précieusement son matériel électrique d'origine, notamment la locomobile à vapeur, une dynamo et divers souvenirs légués par la famille Michel-Villaz. Un projet de musée a été évoqué pour mettre en valeur ces souvenirs dont les Beaurepairois sont si fiers.
Le docteur Gaston Barbier a donné son nom au stade municipal.
Les de Barrin, vieille famille de Beaurepaire, sont toujours propriétaires du château situé sur les hauteurs de la ville.
Yves Payet-Maugeron est un écrivain local qui a publié plusieurs ouvrages sur le patrimoine de Beaurepaire ainsi qu'une nouvelle intitulée La Vie Cachée de Jeanne Sappey, vieille célibataire qui aurait légué sa fortune aux garçons de Viriville, Isère, afin qu'ils puissent chaque année faire une fête. [réf.nécessaire]
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de l'Isère.
Blason
Parti de sinople et de gueules, à un dauphin d'or brochant[50].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
Nicolas Payraud, Châteaux, espace et société en Dauphiné et en Savoie du milieu du XIIIesiècle à la fin du XVesiècle, Thèse de doctorat d'Histoire, dirigée par Étienne Hubert, Université Lyon-II, Lyon, 2009, p.195[lire en ligne].
Jean Garcin, De l'Armistice à la Libération dans les Alpes de Haute-Provence 17 juin 1940 - 20 août 1944. Chronique: essai sur l'histoire de la Résistance avec un prologue 1935-1940 et un épilogue 1944-1945, Digne: Imprimerie B. Vial, 1990. p.248.
Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère: Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741p. (ISBN2-911148-66-5), p. 668.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии