Beaurains-lès-Noyon est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
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Beaurains-lès-Noyon est un village périurbain picard du Noyonnais jouxtant Noyon et situé à 36 km au nord-ouest de Soissons, 24 km au nord-est de Compiègne, 66 km au nord-est de Beauvais et 35 km ai sud-ouest de Saint-Quentin.
Le territoire communal est limité à l(ouest par le tracé de l'ancienne route nationale 334 (actuelle RD 934 Amiens - Soissons).
Plusieurs bvras de la Verse drainent le territoire communal. La Verse est un affluent de l'Oise en rive droite et donc un sous-affluent de la Seine.
La commune est traversée du nord-ouest au sud-est par le Canal du Nord sur une longueur d'environ 5 km.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
Moyenne annuelle de température: 10,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ribecourt», sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2°C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Saint-Quentin», sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10°C pour la période 1971-2000[11] à 10,3°C pour 1981-2010[12], puis à 10,8°C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Beaurains-lès-Noyon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (54,5%), forêts (27%), zones urbanisées (12,8%), zones agricoles hétérogènes (4,5%), prairies (1,2%)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 152, alors qu'il était de 128 en 2013 et de 117 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 92,1% étaient des résidences principales, 2,6% des résidences secondaires et 5,3% des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,1% d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,9% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beaurains-lès-Noyon en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,6%) supérieure à celle du département (2,5%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,9% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (96,6% en 2013), contre 61,4% pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
2,6
2,5
9,7
Logements vacants (en%)
5,3
7,1
8,2
Toponymie
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Le nom de Beaurains dérive du latin Bello Ramo (beau bois)[21].
Histoire
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Au Moyen Âge, les droits de banalité des moulins situés sur la Verse sont vendus au roi Philippe le Bel par Gauthier de Thourotte en 1292; l'évêché de Noyon les reprit en vertu du retrait féodal, avec les droits de pêche, à la condition de curer la rivière en amont, jusqu'aux aulnois du seigneur de Beaurains[21].
Le 17 août 1522 a lieu sur la place de Beaurains la revue d'une compagnie de cinq cents hommes de pied, commandés par Jehan de Castille, écuyer. Cette revue fut passée par Louis de Laverdin, chevalier, seigneur de Bonnay[21].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse faisait partie du bailliage et de l'élection de Noyon[21].
Émile Coët indique «on a exploité pendant longtemps à Beaurains des dépôts de cendres noires, pyriteuses que l'on répandait sur les terres pour les fertiliser[21]».
La commune, instituée par la Révolution française, est fusionnée de 1828 à 1832 à celle de Genvry[21].
Au milieu du XIXesiècle, la cendrière n'était plus exploitée, et on comptait un moulin à vent dans la commune[22].
Le village est considéré comme très largement détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[23] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24].
Article connexe: Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.
.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Noyon[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Noyon
Articles détaillés: Liste des cantons de l'Oise, Conseil départemental de l'Oise et Liste des conseillers départementaux de l'Oise.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives de l'Oise et Liste des députés de l'Oise.
Intercommunalité
Beaurains-lès-Noyon est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
La commune s'est dotée d'une nouvelle mairie, accessible aux personnes handicapées, ce qui a permis d'aménager dans les anciens locaux une salle pour les associations et les nouvelles activités périscolaires[28].
Enseignement
Les enfants de la commune étaient scolarisés avec ceux de Genvry et de Bussy dans le cadre d'un Regroupement pédagogique intercommunal 'RPI), qui a fusionné en 2021 avec celui organisé par Catigny, Sermaize et Campagne. Ce regroupement a permis d'offrir aux 93 élèves scolarisés en 2021-2022 des services de cantine et d’accueil périscolaire et de réduire les risques de fermetures de classes[29],[30]. L'école de Beaurains accueille désormais la classe de CE2.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2019, la commune comptait 338 habitants[Note 8], en augmentation de 14,19% par rapport à 2013 (Oise: +1,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1836
1841
1846
1851
1856
184
212
209
205
176
182
187
185
189
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
188
197
199
205
171
165
164
183
176
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
167
194
137
158
145
144
182
170
194
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
2018
193
233
234
284
264
280
284
296
338
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
338
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4%, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8% la même année, alors qu'il est de 22,8% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 171 hommes pour 167 femmes, soit un taux de 50,59% d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,0
90 ou +
1,2
7,6
75-89 ans
4,2
19,9
60-74 ans
22,8
21,6
45-59 ans
21,6
15,8
30-44 ans
18,6
17,0
15-29 ans
13,2
18,1
0-14 ans
18,6
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[35]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,3
75-89 ans
7,5
15,1
60-74 ans
15,8
20,9
45-59 ans
20,1
19,5
30-44 ans
19,4
17,9
15-29 ans
16,5
20,8
0-14 ans
19,4
Culture locale et patrimoine
Le monument aux morts sur monté d'une croix latine.L'église St-Germain.
Lieux et monuments
L'église Saint-Germain. Celle-ci a été de 1686 à la Révolution française, le siège d’un petit prieuré cure desservi par un chanoine de l’Abbaye de Prémontré. De nos jours, l'église présente un portail armorié aux armes de l'abbaye. La nef a été fortement remaniée au XVIIesiècle La sacrystie et le choeur ont été très remaniés après les destructions de la Première Guerre mondiale. La cuve baptismale porte la date de 1678 et le nom de son donateur, Nicolas Cocquel, prieur de Saint-Crépin d’Offémont[36].
Personnalités liées à la commune
Joseph-Jacques Ramée, né le 26 avril 1764 au fort de Charlemont près de Givet dans les Ardennes et mort le 18 mai 1842 au château de Beaurains-lès-Noyon près de Noyon, est un architecte, décorateur et paysagiste néoclassique français.
Armand d'Artois, auteur dramatique et librettiste français né à Beaurains (1788-1867).
Achille d'Artois, auteur dramatique et librettiste, frère du précédent, né à Beaurains (1791-1868).
Théodore d'Artois, auteur dramatique, frère des précédents, né à Beaurains (1786-1845).
Le nom de certains seigneurs de Beaurains nous est parvenu[21].
.:
Guy et Raoul de Beaurains sont, cités dans un acte de 1200; comme petits-fils de Simon de Béthancourt, et de Marguerite sa femme. Ils approuvent la donation que fait Simon à l'Abbaye Notre-Dame d'Ourscamp;
Jehan de Beaurains, chevalier lègue en 1276 aux frères d'Ourscamp, un muid de blé à prendre sur sa terre de Beaurains.;
Pierre de Beaurains , chevalier, est cité également dans le cartulaire d'Ourscamp, comme seigneur du lieu.
Gabriel d'Aussy, chevalier est seigneur de Beraurains en 1545; sa fille Françoise épouse en 1547, Guy des Marets auquel elle apporte en dot la seigneurie de Beaurains.
Guy Des Marest, écuyer, seigneur du Plessier-Saint-Nicaise et donc de Beaurains, est maréchal-des-logis de la compagnie de monseigneur de Piennes;
Son fils François Des Marest, écuyer, est seigneur de Beaurains; il légue à la fabrique de l'église de Beaurains, une rente annuelle de trois livres à la charge d'un obit solennel;
Louis Des Marets, fils de François, seigneur de Beaurains et de la Motte, est assassiné près de la Sole-Saint-Martin, le 31 janvier 1653, laissant pour lui succéder son fils Claude, mort subitement en 1702
Jacques-Armand Des Marets, neuvième enfant de Claude, chevalier, est seigneur de Beaurains, capitaine au régiment de Pertoi. Il meurt le 21 septembre 1742 est fut inhumé dans le chœur de l'église, près de Jean Des Marets et de Madeleine de Longueval, épouse de Charles, vet décédée en 1662.
Armand-Emmanuel Des Marets, né en 1723, est seigneur de Beaurains, chevalier de Saint-Louis et chef de brigade du corps royal d'artillerie. Sous la Terreur, il est arrêté et enfermé dans le château de Chantilly, avec sa femme Claude-Félicité de Bichoufftz et ses deux filles. Des Marets est remis en liberté après l'exécution de Robespierre, et rentre dans son château de Beaurains, où il meurt le 8 octobre 1815.
H. Lhomond, «Notes historiques sur Beaurains-lès-Noyon: Lectures faites aux séances des 28 juillet 1932 et 1erjuin 1933», Société historique, archéologique et scientifique de Noyon, Comptes-rendus et mémoires, t.XXX, , p.62-91 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
Carte spéciale des régions dévastées: 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462p. (lire en ligne), p.235-238, sur Gallica.
Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Noyon, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 231p. (lire en ligne), p.55-57, sur Google Books.
Cécile Wachez, «Les terrains vendus en direct par les communes, un bon filon dans le Noyonnais: Dix des 15 parcelles proposées par la Ville de Noyon ont trouvé preneurs, sous le Mont Saint-Siméon. La mairie de Porquéricourt a elle aussi réussi son opération», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )«À Beaurains-les-Noyon, l’initiative est en revanche couronnée de succès: sur les 12 parcelles mises en vente à partir de 2009, il n’en reste plus que trois de disponibles».
Stephane Lebarber, «Dans le Noyonnais, le pari d’un mariage entre villages pour éviter les fermetures de classes: Six villages ont proposé la fusion de leurs regroupements scolaires pour que la présence des enfants profite à tous. La classe unique de l’école élémentaire de Catigny et la maternelle de Sermaize comptent respectivement 11 et 13 élèves», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
Stephane Lebarber, «Dans six villages du Noyonnais, le regroupement scolaire XXL leur fait gagner des élèves: Le regroupement scolaire en vigueur depuis la rentrée de septembre fait déjà ses preuves, grâce notamment aux services de cantine et d’accueil périscolaire proposés dans certains villages qui en étaient auparavant privé», Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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