Avrillé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
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Avrillé | |
![]() Le tramway à la station Bascule à Avrillé. | |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Pays de la Loire |
Département | Maine-et-Loire |
Arrondissement | Angers |
Intercommunalité | Angers Loire Métropole |
Maire Mandat |
Caroline Houssin-Salvetat 2020-2026 |
Code postal | 49240 |
Code commune | 49015 |
Démographie | |
Gentilé | Avrillais |
Population municipale |
14 443 hab. (2019 ![]() |
Densité | 912 hab./km2 |
Population agglomération |
245 093 hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 30′ 28″ nord, 0° 35′ 16″ ouest |
Altitude | Min. 17 m Max. 62 m |
Superficie | 15,84 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Angers (banlieue) |
Aire d'attraction | Angers (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Angers-4 |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-avrille.fr |
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Elle se trouve en périphérie nord-ouest de la ville d'Angers, et fait partie de la communauté urbaine Angers Loire Métropole.
Avrillé est située dans la périphérie nord-ouest d’Angers à 5 km de celle-ci sur un terrain relativement plat, avec un sol originellement boisé et riche en schistes ardoisiers et grès primaires.
Avrillé est desservie par deux sorties autoroutières du contournement nord d’Angers : Avrillé-Centre et Avrillé-Z.I.
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Longuenée-en-Anjou | Montreuil-Juigné | Cantenay-Epinard | ![]() |
Longuenée-en-Anjou | N | Angers | ||
O Avrillé E | ||||
S | ||||
Beaucouzé | Angers | Angers |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 693,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 86 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].
Avrillé est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[17] et 245 093 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Avrillé, située dans la banlieue nord-ouest d'Angers, fait partie de la communauté urbaine Angers-Loire Métropole regroupant trente communes et une population de 264 689 habitants (2009)[22].
On y trouve plusieurs quartiers, dont :
Une importante opération d'urbanisme a eu lieu sur le plateau de la Mayenne et des Capucins, associant les villes d'Angers et d'Avrillé sur plusieurs années.
La première ligne de tramway, longue de 12 km du nord au sud de l'agglomération, a son terminus à Avrillé et desservira une partie de la ville, créant une urbanisation en cours ou en projet. À côté de ce terminus s'achève la réalisation du nouveau quartier des Ardennes (400 logements[23] individuels et collectifs). Ce quartier devrait connaître une extension sur des terrains contigus proches de la Mayenne[23].
Récemment a été réalisé le contournement nord d'Angers sur le territoire d'Avrillé avec une partie en tranchée couverte de 2 km.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (27,5 %), terres arables (18,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,3 %), prairies (13,3 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,9 %), forêts (3,8 %), eaux continentales[Note 7] (0,4 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Avrillé a fait l’objet de plusieurs études suggérant d’y conserver et développer une agriculture périurbaine voire urbaine[26],[27].
Ville fleurie (récompensée par 4 fleurs au concours national des villes et villages fleuris en 2015[28] et arborée, Avrillé dispose de nombreux espaces verts publics, soit 48 ha environ auxquels il faut ajouter 32 hectares autour de l'étang Saint-Nicolas :
La ceinture verte est un projet à long terme destiné à limiter l'urbanisation.
Dans l’Antiquité Aprilis était le nom d’un propriétaire romain ("avril" en latin) et, par extension, le nom de ses villas. Ce serait l’origine du nom Avrillé.
Note : Aurillac et Orly, tous deux anciens Aureliacum, viennent d'un autre nom latin, Aurelius.
De Aprilis, le nom du site passe à Avrilleium au XIIe siècle, puis Auvrille et Avrilleio au cours du XIIIe siècle, avant de devenir Apvrille aux XVIe et XVIIe siècles. Le nom actuel d'Avrillé ne sera fixé qu’au XVIIIe siècle.
Des bifaces de type acheuléen (paléolithique) trouvés au bas de la Perrière, une hache-marteau en diorite datant du néolithique découverte parmi d’autres objets de pierre polie au Bois du Roy, des traces enfin d’une industrie métallurgique primitive (-500) en divers endroits de la commune attestent la présence ancienne, temporaire ou durable, des hommes sur la commune. Mais on ne peut encore pas parler vraiment de la naissance d’Avrillé, car aucune trace ne laisse penser que s’y trouvait un quelconque village.
L’histoire d’Avrillé est plus facile à retracer à partir du XIIe siècle, quand la paroisse d'Auvrillé fut créée. Jusque-là, le territoire de l'actuelle commune appartenait au comte d'Anjou. En 1129, le comte Foulque le Jeune part en croisade et fait don d’une partie de ses terres à l’abbesse du Ronceray et l’autorise à y créer un bourg. L’église Saint-Gilles est alors construite.
Dès cette époque, et pour la première fois en Anjou, on commence à exploiter les ardoises à Avrillé.
Pendant l’Ancien Régime, Avrillé et ses habitants vivent des ardoisières, de la culture viticole, mais aussi du « nourrissage » (mise en nourrice d’enfants). C’est un petit village rural, assez pauvre. Ses limites territoriales deviennent les mêmes qu’aujourd’hui dès la fin du XVIIe siècle.
Avrillé devient une commune avec un maire et une municipalité en 1791.
Entre janvier et avril 1794, durant les guerres de Vendée, près de 863 à 3 000 personnes (hommes et femmes) sont fusillés en un lieu qu’on appellera très vite « Champ des Martyrs », lieu de pèlerinage en Anjou. Une chapelle est édifiée au XIXe siècle. Le pape Jean-Paul II a béatifié 99 des 2 000 massacrés, dont Odile Beaugard et Marie-Anne Voillot, deux religieuses de charité dont deux rues de la commune portent le nom.
Au XIXe siècle, Avrillé est une petite commune rurale et ouvrière de la banlieue d’Angers. Les carrières à ciel ouvert d’ardoises sont exploitées de façon industrielles. Le village se développe très lentement. Pendant la Première Guerre mondiale, 45 habitants perdent la vie[29].
Pendant l’entre-deux-guerres, quelques travaux d’aménagement relativement importants sont mis en œuvre : en 1925 on défriche le Bois du Roy pour construire un lotissement, l’électricité arrive en 1926 et on commence en 1929 les constructions au Parc de la Haye. En 1939, l’architecte Ernest Bricard construit pour la Compagnie française d'aviation, l’école d’aviation d’Angers-Avrillé, le long de la route nationale 162.
Les nazis utilisent ce site comme base de la Kriegsmarine et pour entreposer leurs chasseurs bombardiers. Avrillé devient alors une cible militaire pour l’aviation alliée qui la bombarde en été 1944. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 15 habitants sont tués[29].
Jusque dans les années 1950, Avrillé est une petite banlieue d’Angers, pauvre, à la fois rurale et ouvrière (respectivement 20 % et 60 % des habitants actifs). Seule la route principale est pavée, les autres rues sont toujours en terre.
Dans les années 1950 et 1960, sous l’impulsion de deux maires successifs (Emile Savigner de 1947 à 1959, puis Yves Besnier, de 1959 à 1977), la ville d’Avrillé se développe et se transforme pour devenir peu à peu ce qu’elle est au début du vingtième siècle. Des logements modernes sont construits, les rues sont goudronnées, la population triple à cette époque (en 1947 les Avrillais sont 1 604, en 1999 ils sont 13 267). Les CSP Plus s’installent dans la commune qui voit les origines sociales de sa population se diversifier.
La ville fait l’objet d’une attention particulière en raison de séquelles particulières de guerre ; l’Armée y ayant jeté environ 7 000 tonnes de munitions non explosées[30] (provenant à 90 % de la période 1914-1918, dont 4 millions de grenades à main) dans le lac situé dans la commune, près de la déchèterie et à proximité des habitations.
Avrillé est devenu la 13e ville de Maine-et-Loire, c’est une banlieue pavillonnaire, très verte qui est récompensée par quatre fleurs au concours des villes et villages fleuris[31] (cinq parcs et plus de 11 000 arbres selon la mairie) et assez dynamique (projet du parc végétal Terra Botanica, tramway Arc-en-ciel, le contournement Nord de l'autoroute A11 ainsi que le quartier du Plateau de la Mayenne.
L'aérodrome d'Avrillé a définitivement fermé en 1998 (transfert de l'aérodrome sur la commune de Marcé)[32].
Il y a eu à Avrillé des ardoisières à partir de 1815, mais cette exploitation n'a jamais été florissante, et plusieurs effondrements et même une faillite ont fragilisé l'entreprise. Un grave accident s'y produisit le 25 janvier 1905, la rupture d'un câble remontant les ouvriers du puits entraîna de nombreux morts originaires d'Angers et d'Avrillé. Cinq ouvriers avrillais victimes de cette catastrophe sont inhumés au cimetière.
Le 17 juin 1944, le terrain d'aviation est bombardé, faisant 22 victimes. Le 8 août 1944, lors des combats pour la libération, on dénombre 5 morts.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1791 | 1800 | François-René Coué | ||
1800 | 1804 | Gastines | ||
1804 | 1813 | Camille Boguay de la Boissière | ||
1813 | 1830 | |||
1830 | mars 1848 | Victorin La Reveillère | ||
mars 1848 | août 1848 | Alexandre Chiron | ||
août 1848 | 1852 | Victorin La Reveillère | ||
1852 | 1860 | Hector Boguay de la Boissière | ||
1860 | 1871 | Richou-Durand | ||
1871 | 1904 | Edmond Raffray | ||
1904 | 1942 | Joseph Boguay de la Boissière | ||
1942 | 1945 | Émile Savigner | ||
1945 | 1947 | Auguste Blot | ||
1947 | 1959 | Émile Savigner | ||
1959 | 1977 | Yves Besnier | ||
1977 | 1983 | Guy Pasquier | PS | Technicien Afpa |
1983 | juillet 2020 | Marc Laffineur[33],[34] | UDF puis UMP puis LR puis DVD |
Médecin anesthésiste-réanimateur Député de la 7e circonscription de Maine-et-Loire (1988-2011 puis 2012-2017) Ancien secrétaire d'État auprès du ministre de la Défense (2011-2012) |
juillet 2020 | En cours (au 5 juillet 2020) |
Caroline Houssin-Salvetat[35] | SE-DVD | Directrice des ressources humaines |
En 2010, la commune d'Avrillé a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[36].
La commune est membre de la communauté urbaine Angers Loire Métropole[37], elle-même membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[38].
Jusqu'en 2014, Avrillé fait partie du canton d'Angers-Nord-Ouest et de l'arrondissement d'Angers[39]. Ce canton compte alors Avrillé et une fraction d'Angers. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton d'Angers-4, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[40].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[41],[Note 8]
En 2019, la commune comptait 14 443 habitants[Note 9], en augmentation de 11,34 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
484 | 591 | 790 | 920 | 1 058 | 1 273 | 1 203 | 1 055 | 1 064 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
985 | 988 | 959 | 964 | 1 003 | 942 | 911 | 1 018 | 1 163 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 063 | 1 047 | 886 | 1 104 | 1 422 | 1 640 | 1 604 | 2 218 | 3 034 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2019 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 603 | 9 386 | 10 811 | 12 878 | 12 991 | 12 242 | 12 808 | 13 699 | 14 443 |
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 6 513 hommes pour 7 552 femmes, soit un taux de 53,69 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,4 | 90 ou + | 2,0 |
9,5 | 75-89 ans | 12,1 |
22,0 | 60-74 ans | 22,0 |
16,4 | 45-59 ans | 18,4 |
16,4 | 30-44 ans | 14,6 |
16,4 | 15-29 ans | 15,9 |
18,0 | 0-14 ans | 14,9 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,8 | 90 ou + | 2 |
6,9 | 75-89 ans | 9,5 |
15,5 | 60-74 ans | 16,3 |
19,4 | 45-59 ans | 18,8 |
18,6 | 30-44 ans | 17,7 |
18,6 | 15-29 ans | 17,5 |
20,2 | 0-14 ans | 18,2 |
Présence de plusieurs établissements : groupes scolaires du Bois du Roy, Jean Piaget, de l'Aérodrome, Saint-Exupéry, écoles privées Sainte-Colombe et Notre-Dame de l'Adézière, collège Clément-Janequin et lycée professionnel Paul-Émile-Victor.
Établissements de santé : clinique Saint-Didier (neuro-psychiatrique), résidence la Fauvetterie (infirmes moteurs cérébraux), foyer les Tournesols (handicapés moteurs), foyers-logements pour les personnes âgées.
Mi-2009, Avrillé compte plusieurs associations sportives regroupées au sein de la fédération des associations sportives d'Avrillé (ASA)[46] : arts martiaux (judo, karaté, kung fu…), athlétisme, badminton, basket-ball, BMX, cyclisme, équitation, escalade, football, golf, gymnastique, handball, natation, tennis et tennis de table.
Lieux de culte : église protestante évangélique, église Saint-Gilles (catholique).
Avrillé a la particularité d’accueillir deux communautés dominicaines contemplatives et traditionalistes:
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 33 073 €, ce qui plaçait Avrillé au 9 088e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[49].
Sur 772 établissements présents sur la commune à fin 2010, 2 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 64 % de celui du commerce et des services et 20 % du secteur de l'administration et de la santé[50]. En 2015, sur les 966 établissements présents sur la commune, 1 % relevaient de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 6 % de l'industrie, 8 % de la construction, 65 % du commerce et des services et 21 % de l'administration et de la santé[51].
Présence de plusieurs zones d'activités, dont le parc d'activités Angers-Avrillé, au nord-ouest de la commune, regroupant trois secteurs : La Croix Cadeau, Le Fléchet, Les Landes I et II. Quelques entreprises implantées : Zach System, Atab, La Poste, Innodes Sa, Eurostranspharma, Soregor, Établissements Petit, Hormann, Ottofond, Man Camion & Bus, Foucteau, Sombat, VM Matériaux[52].
Répartie en deux secteurs adultes et jeunesse, la médiathèque propose en prêt ou en consultation environ 25000 ouvrages, périodiques, ainsi que des postes multimédia. Le fonds de la médiathèque est également en ligne.
Le blason de la commune fut créé en 1981, à l'occasion du jumelage avec la ville allemande de Schwalbach, par Jacques Thomé, adjoint du maire de l'époque Guy Pasquier [réf. souhaitée].
Le blason représente les éléments de la vie d'autrefois :
Écartelé, Au premier d'azur, à trois fleurs de lis d'or ; Au deuxième de gueules, au maillet & burin d’argent Mis en pal ; Au troisième de gueules, au moulin à vent d'argent ; Au quatrième d’azur, à la grappe de raisin d'or.
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