Argagnon (en béarnaisArganhon ou Argagnoû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
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Argagnon
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Argagnon
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Géographie
Localisation
La commune d'Argagnon se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 12 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Orthez[1].
Sur le plan historique et culturel, Argagnon fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Réseaux hydrographique et routier d'Argagnon.Le gave de Pau entre Argagnon et Maslacq, sur son trajet béarnais.
La commune est drainée par le gave de Pau, le ruisseau de Clamondé et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-Gèdre et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son flanc sud-ouest et se jette dans l'Adour à Saint-Laurent-de-Gosse, après avoir traversé 88 communes[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]
Moyenne annuelle de température: 13,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 5,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lagor», sur la commune de Lagor, mise en service en 1962[14] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,9°C et la hauteur de précipitations de 1 111,5 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 21 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[18], à 13,4°C pour 1981-2010[19], puis à 13,8°C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»[22],[Carte 2]: le «gave de Pau», d'une superficie de 8 194ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[23].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[24],[Carte 3]:
le «réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques» (3 000,84ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[25].
Urbanisme
Entrée dans Argagnon.
Typologie
Argagnon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[26],[27],[28].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Orthez, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[29] et 12 786 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30],[31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orthez dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (45,3%), forêts (21,5%), prairies (17,8%), zones agricoles hétérogènes (9,1%), zones urbanisées (5,2%), eaux continentales[Note 11] (1,1%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Argagnon est une station sans service voyageurs (gare marchandises ou gare de triage) sur la ligne de Toulouse à Bayonne.
La commune est desservie par la route départementale D 817 et par la route départementale N 275.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Argagnon est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le gave de Pau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2013 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2013[38],[36].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Argagnon.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 78,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 12],[40].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Argagnon est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[41].
Toponymie
Le toponyme Argagnon apparaît sous les formes
Arganion (977[42] et XIesiècle[35], cartulaire de Bigorre[43] pour la deuxième date),
Argalhoo (1376[35], montre militaire de Béarn[44]),
Arguanhoo (1385[35], censier de Béarn[45]),
Arganhoo (1546[35], réformation de Béarn[46]),
Argagnon sur la carte de Cassini (fin XVIIIesiècle[47]) et
Argagnon-Marcerin lors de sa réunion avec Marcerin le [35].
Son nom béarnais est Arganhon[48] ou Argagnoû[49]). Brigitte Jobbé-Duval[42] indique qu’Argagnon a pour origine le nom du premier propriétaire, Arcanius, et qu’augmenté du suffixe -onem, le toponyme signifie donc ’domaine d’Arcanius’.
Paul Raymond cite en 1863[35] un fief vassal de vicomté de Béarn, du nom de Castéra, déjà mentionné en 1538[35] sous la graphie Casterar (réformation de Béarn[46]).
Les Castets était un écart d’Argagnon-Marcerin, cité en 1779[35] par le terrier de Marcerin[50].
Marcerin est cité sous les formes
Marcerii (1345[35], notaires de Pardies[51]),
Marsserü (1385[35], censier de Béarn[45]), Marsery (1779[35], terrier de Marcerin[50]) et
Marcery (1793[52] ou an II).
Histoire
En 1385, Argagnon et Marcerin dépendaient du bailliage de Pau[35]. Marcerin comptait à l'époque douze feux.
Les seigneurs d'Argagnon était la famille de Castéra[53],[54]
Jusqu'en 1846 Argagnon fit partie du canton de Lagor[35]. La commune s'unit à Marcerin le pour former la commune d’Argagnon-Marcerin.
C'était, sous l'Occupation, un des postes de contrôle officiels de la Ligne de démarcation.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
avant 1981
mars 1995
Georges Vandesande
SE
mars 1995
mars 2001
Guillaume Defarge
mars 2001
2020
André Cassou
DVG
2020
En cours
Gilles Leveque
Georges Vandesande a parrainé la candidature de Jacques Cheminade à l'élection présidentielle de 1995.
Intercommunalité
Argagnon appartient à cinq structures intercommunales[55]:
la communauté de communes de Lacq-Orthez;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal d’Arthez-de-Béarn;
le syndicat intercommunal d'eau et d'assainissement gave et Baïse;
le syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau.
Population et société
Démographie
En 1385, la commune comptait 9 feux[35].
Le nom des habitants est Argagnonais[56].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58].
En 2019, la commune comptait 702 habitants[Note 13], en diminution de 3,7% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
212
193
205
227
222
238
359
366
348
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
515
491
486
457
464
502
460
442
415
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
415
436
411
393
408
366
330
309
323
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
374
468
505
501
695
711
707
728
703
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
702
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Sobriquet et dicton
D’après Hubert Dutech[61], les habitants de Marcerin étaient appelés perautucs, ce qui signifie ’benêts’. Il cite également le diction A Marcerin, n'i a glèisa ni mouli, mes que i a ua houratèra, oun lou diable apèra, ce qui signifie «À Marcerin, il n'y a ni église, ni moulin, mais il y a une petite grotte d'où le diable appelle».
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Plusieurs camps préhistoriques ont été découverts sur la commune, témoignant de son passé ancien. Le plus important d’entre eux est le Turoû de Dous Garos[61], qui s’élève à 90 mètres. Des fossés l’entourent ainsi que trois remparts de terre. Des vestiges de l'âge de fer y ont été découverts. Le parc du château actuel est situé dans l’ancienne castéra.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Pierre[62] datant de 1866, fut construite sur des vestiges provenant du XIesiècle. Elle est inscrite à l’Inventaire général du patrimoine culturel.
Personnalités liées à la commune
nées au XVIIIesiècle
Raymond Larrabure, né en 1797 à Saint-Jean-Pied-de-Port et décédé en 1875 à Argagnon, est un homme politique français.
nées au XIXesiècle
Henry de Pène, né en 1830 à Paris et décédé en 1888 dans cette même ville, est un écrivain et journaliste français. Henry de Pène se fit aussi appeler Henry de Pène d'Argagnon, du nom du château que possédait son père à Argagnon.
nées au XXesiècle
Robert Sarrabère, né en 1926 à Argagnon, est un évêque catholique français, évêque d'Aire et Dax jusqu'à son départ en retraite en 2002. Du 9 janvier au 2 septembre 2007, il est au service du diocèse de Montauban comme administrateur apostolique pendant la période de transition d’un évêque à l’autre.
Voir aussi
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux: Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167p. (ISBN978-2-35077-151-9, BNF42089597).
Cartulaire de Bigorre - Manuscrit du XVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll.«manuscrits du XVIeauXVIIIesiècle».
Michel Grosclaude (préf.Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416p. (ISBN9782350680057, BNF35515059)..
Manuscrit du XVIIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Marcerin», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
Revue de Pau et du Béarn, Numéros 10-11
Par Société des sciences, lettres et arts de Pau
Armorial français: Cabaumont-Cordes
Par J. H. Willems, H. Lamant, Jean-Yves Conan
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