Anoye (en béarnaisAnoja ou Anouye) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Anoye
Mairie.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Pau
Intercommunalité
Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire Mandat
Alain Lavoye 2020-2026
Code postal
64350
Code commune
64028
Démographie
Gentilé
Anoyais
Population municipale
136 hab. (2019 )
Densité
14 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 23′ 44″ nord, 0° 08′ 11″ ouest
Altitude
Min. 199 m Max. 344 m
Superficie
9,65 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Pau (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
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Anoye
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Anoye
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Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune d'Anoye se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 26 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 23 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].
Sur le plan historique et culturel, Anoye fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
La commune est drainée par le Léez et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10,53 km de longueur totale[21],[Carte 1].
Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et traverse le territoire communal dans sa partie est. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[22].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]
Moyenne annuelle de température: 13,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[26] complétée par des études régionales[27] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lembeye», sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[28] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[29],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 1 059,8 mm pour la période 1981-2010[30].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 24 km[31], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[32], à 13,4°C pour 1981-2010[33], puis à 13,8°C pour 1991-2020[34].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[35],[36].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le «coteau de Lembeye», un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 97,5ha[37].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: les «coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye»[39],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[40],[Carte 3]:
les «coteaux calcaires du Béarn» (461,36ha), couvrant 20 communes du département[41].
Urbanisme
Typologie
Anoye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[42],[43],[44].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[45],[46].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,3% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (46,3%), forêts (33,2%), prairies (18%), zones urbanisées (2,6%)[47].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Anoye est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[48]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[49].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 2007 et 2009[50],[48].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Anoye.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[51]. 65,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[52].
Toponymie
Le toponyme Anoye apparaît sous les formes
Noja (vers 1060[53], d'après Pierre de Marca[54])
Anoia (XIesiècle[55], cartulaire de l'abbaye de Saint-Pé[56] et 1131[53], cartulaire de Morlaàs),
Noye (1212[53], d'après Pierre de Marca[54]),
Noia (XIIIesiècle[55], fors de Béarn[57]),
le casteg d'Anoge (1372[55], titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[58]),
Noye (1385[55], censier de Béarn[57]), Sanctus Orentius de Anoya (1485[55], titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[58]),
Noge sur la carte de Cassini (fin XVIIIesiècle[53]) et
Annoye (1801[59], Bulletin des lois).
Brigitte Jobbé-Duval[62] mentionne que l’origine du toponyme est latine (noda ou noia) et désigne un «terrain marécageux».
La Brouste était un bois de la commune d’Anoye, mentionné en 1778[55] (dénombrement d'Anoye[63]) et 1863[55] (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
Selon Paul Raymond, La Cave était, en 1863[55], un hameau d’Anoye.
Le chemin de la Commande, reliant Momy à Anoye, est une partie du chemin Romiu, nom qui s'appliquait à tous les chemins suivis depuis le XIesiècle par les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, couramment bordés de commanderies, d'hôpitaux ou auberges.
Ce toponyme apparaît sous la forme lo molin deu Pont sur le Lés (1538[55], réformation de Béarn[64]), qui désignait un moulin dépendant de la commanderie de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.
Paul Raymond cite en 1863[55], le hameau Caubin de Sendets, ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, citée sous les graphies
los Ospitals de Sendegs e de Caubin de l'ordie de Sent Johan de Jherusalem (1341[55], titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[58]),
l'Espitau de Sendetz d'Anoya (1492, notaires de Pau[65]),
l'Espitau de Scendetz et l'Espitau quy lo comanday de Cauby thien (respectivement 1538 et 1548, réformation de Béarn[64]),
Caubii de Sendets, Boirie Saint-Jacques et la Commande de Sendets (1585 pour ces trois formes, titres d'Anoye[66]).
Histoire
C'est semble-t-il à partir du château initial construit sur une motte voisine de l'église que le bourg s'est développé[67].
En 1385, lors du recensement demandé par Gaston Fébus, le village d'Anoye comptait 45 feux et dépendait du bailliage de Lembeye. Il y avait un marché, trois à quatre boulangeries et sept échoppes[68].
Anoye était le siège d'un marché concédé en 1472 qui souffrit néanmoins de l'importance prise par Lembeye[67].
En 1648[55], la baronnie de Lons devient un marquisat, qui inclut Abitain, Anoye, Baleix, Castillon, Juillacq, le Leu (hameau d'Oraàs), Lion, Lons, Maspie, Oraàs, Peyrède (fief d'Oraàs), Sauvagnon et Viellepinte.
Anoye était le chef-lieu d'une circonscription nommée la clau d'Anoye[55], comprenant Anoye, Maspie, Juillacq et Lion.
Les Hospitaliers
Brigitte Jobbé-Duval[62] indique que le village, halte sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, est identifié depuis le XIesiècle. Il existait d'ailleurs à Anoye un hôpital tenu par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem sous la responsabilité du commandeur de Caubin.
Paul Raymond[55] note qu'Anoye est un ancien archipréché du diocèse de Lescar, membre de la commanderie de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1995
2014
Jean Puyo
2014
En cours
Alain Lavoye
SE
Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.
Intercommunalité
Anoye fait partie de quatre structures intercommunales[69]:
la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh;
le SIVU de la voirie du canton de Lembeye;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanares.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[71].
En 2019, la commune comptait 136 habitants[Note 11], en diminution de 11,69% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
498
454
480
557
605
543
547
552
535
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
500
438
433
360
379
337
339
330
298
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
294
279
277
233
230
215
202
183
176
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
171
123
111
121
139
142
144
145
154
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
139
136
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[72].)
Histogramme de l'évolution démographique
Anoye fait partie de l'aire urbaine de Pau.
Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Entrée dans Anoye.
Le monument aux morts.
L'église Notre-Dame.
Patrimoine civil
Un ensemble fortifié[73] (motte, basse-cour, fossé, ouvrage d'entrée, église, château) témoigne d'une présence seigneuriale dès le XIesiècle.
On trouve également des ruines d'un hôpital[11] de Sendetz (Saint-Dèce?) des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, fondé en 1315. Il était semble-t-il situé à la sortie du village, sur l'ancien chemin de Saint-Jacques et était encore mentionné avec son église en 1570[67]. Elles recelaient deux bornes[74], dites «maltaises», du XVIIIesiècle, l'une étant à présent au musée de Morlaàs, la seconde ayant disparu. De cet hôpital dépendait un moulin à eau, dit du Pont (1607), sans doute reconstruit en 1838[67].
Anoye possède un ensemble de demeures[75],[14] (dont une ancienne abbaye laïque au lieu-dit Astis[7]) et de fermes[76],[16],[20],[19],[13],[15],[9],[12],[10] datant des XVIIe, XVIIIe et XIXesiècles.
Située à la sortie du village, la maison dite château de Salettes[77] fut construite elle aussi au XVIIesiècle et remaniée aux siècles suivants..
En face de l’église, se trouvait la maison commune[78], reconstruite en 1771[67]. On trouve également dans la commune une fontaine[79] datant de 1652 et deux moulins[18],[17] du XVIIIesiècle et du XIXesiècle.
Le pont[80] sur le Léez date de 1784 et 1790. Il est inscrit à l’Inventaire général du patrimoine culturel.
Patrimoine religieux
L’église Saint-Orens d'Astis est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[81]. L'église est dédiée à saint Orens d'Auch.
Église Notre-Dame d'Anoye
L'église Notre-Dame[82], ancienne chapelle castrale des XIIe, XIIIeetXIVesiècles. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel. L'église est dédiée à Notre-Dame.
Elle fut construite et remaniée en 1757 (à la suite de l'effondrement du toit et d'une partie des murs), 1764 (ajout d'une sacristie), 1777 (couverture) et 1878 (construction d'une chapelle dédiée à la Vierge) et en 1930 (réfection du clocher)[67]. De toutes ses transformations, ne subsiste du XVIe siècle que la porte d'entrée. Elle recèle du mobilier[83], sept verrières[84], des tableaux[85], des statues[86] et des objets[87] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel, tout comme une croix[88] et une dalle funéraire[89] du cimetière.
Le presbytère[90], quant à lui, date du début du XVIIIesiècle (1701) et fut réparé au XVIIIesiècle.
Jusqu'à la fin du XVIIIesiècle, Anoye comptait une autre église (église Saint-Orens[8]) au lieu-dit Astis. C'était la première église paroissiale qui fut abandonnée (1757) car trop éloignée du bourg[67].
Anoye est une étape sur la via Tolosana (ou voie toulousaine), nom latin d'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Personnalités liées à la commune
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Voir aussi
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[25].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[38].
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Michel Grosclaude (préf.Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416p. (ISBN9782350680057, BNF35515059)..
D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn, page 126
Manuscrit du XIVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Caubin - Archives départementales de la Haute-Garonne
Paul Raymond éd. Dénombrement général des maisons de la vicomté de Béarn en 1385 par ordre de Gaston Fébus, réédition Manucius, Pau (ISBN2-84578-018-4).
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