Maspie-Lalonquère-Juillacq (en béarnaisMaspièr-La Lonquèra-Julhac ou Maspiè-La Lounquère-Yulhac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Juillacq (homonymie), Lalonquère (homonymie) et Maspie (homonymie).
Maspie-Lalonquère-Juillacq
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Pau
Intercommunalité
Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire Mandat
Eliane Capdevielle 2020-2026
Code postal
64350
Code commune
64369
Démographie
Gentilé
Maspiegeois-Lalonquèrois-Juillacquais
Population municipale
250 hab. (2019 )
Densité
23 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 25′ 26″ nord, 0° 08′ 51″ ouest
Altitude
Min. 179 m Max. 336 m
Superficie
10,76 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Pau (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Maspie-Lalonquère-Juillacq
Géolocalisation sur la carte: France
Maspie-Lalonquère-Juillacq
Géolocalisation sur la carte: Pyrénées-Atlantiques
Maspie-Lalonquère-Juillacq
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Maspie-Lalonquère-Juillacq
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Géographie
Localisation
La commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 30 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 27 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4]:
Samsons-Lion (2,6 km), Simacourbe (2,7 km), Gerderest (2,7 km), Anoye (3,2 km), Peyrelongue-Abos (3,5 km), Monassut-Audiracq (4,0 km), Abère (4,3 km), Lembeye (4,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Maspie-Lalonquère-Juillacq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Communes limitrophes de Maspie-Lalonquère-Juillacq[6]
Réseaux hydrographique et routier de Maspie-Lalonquère-Juillacq.
La commune est drainée par le Léez, le ruisseau de Labadie, le ruisseau du Hour et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et traverse le territoire communal dans sa partie est. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[8].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]
Moyenne annuelle de température: 13°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lembeye», sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[14] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 1 059,8 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 23 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[18], à 13,4°C pour 1981-2010[19], puis à 13,8°C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22].
Un espace protégé est présent sur la commune:
le «coteau de Lembeye», un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 97,5ha[23].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: les «coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye»[25], d'une superficie de 220ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[26],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[27],[Carte 3]:
les «coteaux calcaires du Béarn» (461,36ha), couvrant 20 communes du département[28].
Urbanisme
Typologie
Maspie-Lalonquère-Juillacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[29],[30],[31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32],[33].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (51,7%), prairies (22,8%), forêts (16,5%), zones agricoles hétérogènes (6,2%), zones urbanisées (2,7%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Elle est desservie par les routes départementales 143, 207, 604 et 943.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Maspie-Lalonquère-Juillacq est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 2007, 2009 et 2018[37],[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Maspie-Lalonquère-Juillacq.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 65,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[39].
Toponymie
Le toponyme Maspie apparaît sous la forme
Mespie (1385[40], censier de Béarn[41]).
Le toponyme Lalonquère, village de Maspie, est mentionné en 1385[40] (censier de Béarn[41]) et apparaît sous les formes
La Loncquera (1538[40], réformation de Béarn[42]),
Lalonquere (1793[43] ou an II) et
Lalonguerre (1801[43], Bulletin des Lois).
Le toponyme Juillacq, village de Maspie, apparaît sous les formes
Jullac et Saint-Pierre de Julhac (respectivement XIIesiècle[40] et 1227[40], d'après Pierre de Marca[44]),
Jullaq (1777[40], terrier de Gerderest[45]) et
Juillac (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[40]).
Le nom béarnais de la commune est Maspièr-La Lonquèra-Julhac[46] ou Maspiè-La Lounquère-Yulhac[47].
Histoire
Paul Raymond[40] note qu'en 1385 Maspie comptait seize feux, Lalonquère dix et Juillacq vingt-trois. Les trois paroisses dépendaient du bailliage de Lembeye. Lalonquère était un membre de la commanderie de l'ordre de Malte de Caubin et Morlaàs. Il y avait à Juillacq une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
Juillacq fut annexé à l'ensemble Maspie-Lalonquère en 1842[40], lui-même créé en 1833 par l'union de Maspie et Lalonquère.
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
avant 1988
1995
René Canton
1995
2008
André Cazenave
2008
2014
Serge Junca
2014
En cours
Éliane Capdevielle
Les données manquantes sont à compléter.
Intercommunalité
Maspie-Lalonquère-Juillacq fait partie de trois structures intercommunales[48]:
la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].
En 2019, la commune comptait 250 habitants[Note 11], en diminution de 10,71% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
243
228
330
271
374
364
639
644
574
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
573
498
490
468
492
485
438
431
410
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
370
347
331
351
340
334
345
291
274
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
263
233
205
218
233
224
248
252
280
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
257
250
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Culture locale et patrimoine
Toiture vénérable.
Patrimoine civil
À Maspie, les vestiges d'un ensemble fortifié[53] du XIIesiècle témoignent du passé ancien de la commune. Il en est de même à Lalonquère, où au haut Moyen Âge se dressait une fortification seigneuriale[54].
La maison, dite château[55], à Juillacq, date du XVIesiècle. On y trouve une girouette[56] du XVIIIesiècle inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
La commune présente un ensemble de maisons et de fermes[57] des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. L'une des demeures du lieu-dit Coume à Juillacq possède une peinture monumentale[58] de la fin du XIXesiècle représentant Pau et ses environs.
Le moulin[59] de Lalonquère fut construit au XVIIesiècle.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Martin[60], à Maspie, date partiellement du XIIesiècle et celle de Juillacq, l'église Saint-Jean-Baptiste[61], du XVIesiècle. Cette dernière recèle du mobilier[62], des objets[63] et des statues[64], ainsi que des tableaux[65] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel. L'église Saint-Martin est également riche en éléments remarquables inventoriés par le ministère de la Culture, tels que des verrières[66], des sculptures[67], des meubles[68], des peintures[69] et autres objets[70] à usage religieux.
L'église Saint-Germain[71], à Lalonquère, date quant à elle du XVIIIesiècle. On y trouve du mobilier[72], des tableaux[73], une statue[74] et des objets[75] également référencés par les monuments historiques.
Équipements
Éducation
La commune dispose d'une école primaire.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
.
Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll.«manuscrits du XVIeauXVIIIesiècle».
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Lalonquère», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
Manuscrit du XVIIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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