Ambazac se trouve au nord-est de Limoges, près de la limite du département de la Creuse.
Le territoire de la commune se situe sur le piémont méridional des monts d'Ambazac, et touche en son extrémité sud le Taurion, affluent de la Vienne. Le bourg se trouve sur le plateau d'où partent plusieurs cours d'eau qui ont creusé des vallées dans les roches métamorphiques (gneiss). Une plage de galets suspendue, vestige d'une ancienne rivière datant de l'Eocène, comporte un gisement de kaolin et est encore visible au sud de la commune. Ce site a été étudié par des chercheurs de l'université de Nancy entre 1965 et 1970.
La commune est arrosée par le «Beuvreix» dit aussi le «Parleur», affluent du Taurion ainsi que par la Cane, affluent de la Vienne.
L'accès à l'A20 est à 8km en direction de Châteauroux et à 9km en direction de Limoges. Ambazac et accessible par l'A20 par la sortie 27 Ambazac-Bonnac-la-Côte. La ville d'Ambazac est traversée par la RN 714 déclassée en RD 914 qui relie Limoges à Guéret.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 11°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Leger la Montagne_sapc», sur la commune de Saint-Léger-la-Montagne, mise en service en 1998[9] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,1°C et la hauteur de précipitations de 1 415,7 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], «Limoges-Bellegarde», sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 17 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour la période 1971-2000[13] à 11,4°C pour 1981-2010[14], puis à 11,8°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ambazac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Ambazac, une unité urbaine monocommunale[19] de 5 667 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,5% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (50,7%), prairies (18,5%), zones agricoles hétérogènes (18,4%), zones urbanisées (7,9%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1%), mines, décharges et chantiers (0,7%), terres arables (0,5%), eaux continentales[Note 7] (0,5%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ambazac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier: le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Ambazac.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 43,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[28].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, un ouvrage de classe A[Note 9]et de Saint-Marc en Haute-Vienne, classé B, surclassé en A. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Ambazac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[31].
Toponymie
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Histoire
Le nom du bourg apparaît pour la première fois sur une monnaie mérovingienne au VIIesiècle, sous la forme Ambaciaco. La ville est située à une dizaine de kilomètres au sud du site de l'abbaye de Grandmont, située sur le territoire de la commune de Saint-Sylvestre.
Le dalmatique et la châsse-reliquaire dite "de Saint Étienne de Muret", ou aussi châsse d'Ambazac, sont des œuvres importantes pour l'époque médiévale.
Ces pièces de renommée internationale viennent d'être restaurés et installés dans un écrin digne d'elles, avec toute la sécurité et les normes requises de conservation, dans l'église d'Ambazac à laquelle elles avaient été données sous la Révolution après la dissolution de l'Ordre.
Au VIesiècle devait exister à proximité un monastère, qui avait été acquis, vers 1086, par Pierre le Grammairien, abbé de Saint-Augustin-lès-Limoges. La congrégation était placée dès cette époque sous la protection de saint Antoine. L'église paroissiale a été construite peu après mais il ne subsiste rien de ce qui avait été construit au XIIesiècle.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Haute-Vienne.
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2019, la commune comptait 5 593 habitants[Note 10], en diminution de 0,43% par rapport à 2013 (Haute-Vienne: −0,93%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 226
2 174
2 124
2 796
2 825
2 736
2 812
2 943
3 021
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 912
2 925
2 895
3 231
3 389
3 627
3 608
3 669
3 758
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
3 593
3 545
3 649
3 243
3 330
3 076
3 004
3 071
3 312
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
3 655
3 767
3 929
4 657
4 889
4 836
5 132
5 178
5 542
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
5 639
5 593
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Sur l'origine du choix de l'appellation des établissements scolaires, voir l'onglet "discussion"
Course trail Les gendarmes et les voleurs du temps.
Ambazac Savate Boxe Française
Ambazac Rugby Club
Elan Cycliste d'Ambazac
Sprinter club d'Ambazac
Média
Radio locale "Radio Open FM 98.9" la radio FM des monts d'Ambazac et Val duTaurion
Économie
L'économie traditionnelle de la région d'Ambazac - polyculture et élevage - a été modifiée par la découverte, en 1948, d'un gisement d'uranium à très forte teneur. Ce gisement, aujourd'hui épuisé, a été le point de départ d'une prospection systématique de la région. De nouveaux gisements ont été découverts et sont exploités par carrière ou par mine. L'uranium limousin a contribué, de façon notable, à l'alimentation en combustible de l'industrie nucléaire française.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Antoine d'Ambazac.
Châsse-reliquaire dite de saint Étienne de Muret dans l'église Saint-Antoine.
Le musée de minéralogie et de pétrographie.
La chapelle de la Libération.
L'église Saint-Antoine du XIVesiècle contient le trésor d'Ambazac dont les deux pièces proviennent de l'abbaye de Grandmont près de Saint-Sylvestre, la châsse-reliquaire (châsse d'Ambazac)[43] dite de Saint-Étienne-de-Muret (fondateur de l'ordre de Grandmont) et la dalmatique de saint Étienne de Muret;
Le Musée de la minéralogie comprend un espace consacré au photographe Izis[46].
Patrimoine naturel
Ambazac est concernée par plusieurs zones d'intérêt écologique, faunistique et floristique dites ZNIEFF: Monts d'Ambazac - Bois et caves de la zone centrale; cette ZNIEFF est une zone de type I contenue dans la zone de type II intitulée "Monts d'Ambazac et vallée de la Couze"; une autre ZNIEFF de type II qui couvre la vallée du Taurion concerne marginalement la commune. Elle bénéficie également de deux sites Natura 2000: mine de Chabannes et souterrains des monts d'Ambazac (zone spéciale de conservation) et vallée du Taurion et affluents (zone spéciale de conservation) par arrêté du .
Le territoire communal possède encore de nombreuses zones humides: étangs, ruisseaux et prairies organiques ou paratourbeuses. Plusieurs sont remarquables (prairies inondables du Beuvreix, marais de Coqui, Ganne de Jumeau...). Ces habitats remarquables sont activement menacés par le drainage, le remblaiement et l'urbanisation anarchique. Heureusement la présence de communautés végétales relevant de la directive Habitats (aulnaies, bas-marais, prairies maigres de fauche...) et la présence d'espèces végétales protégées (Sibthorpie d'Europe) constituent les meilleurs garants de leur nécessaire préservation.
Personnalités liées à la commune
Jean Clément, (1879-1941), Pharmacien Industriel, officier de la Légion d’Honneur, porteur de La Croix de Guerre 14-18, né à Ambazac, a fondé l’Orphéon Limousin renommé «Société des Chanteurs Limousins» après la Grande Guerre. Une plaque commémorative lui rend hommage au 9 de l’avenue du Général de Gaulle.
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, comédien et auteur (1622-1673), c'est à Ambazac qu'il aurait eu l'idée d'écrire Monsieur de Pourceaugnac;
Le chanoine Landon, épigraphiste et latiniste, curé d'Ambazac;
Raymond de Sèze (1748-1828), avocat et membre de l'Académie française, défenseur de Louis XVI;
Charles Gounod (1818-1893), compositeur: aurait composé Faust dans la propriété de Trasforêt;
Arsène Lejeune, (1866-1938), architecte et urbaniste;
Richard Morris Hunt, (1827-1895), architecte américain, auteur du château de Montméry;
Haviland, Théodore Haviland (1842-1919), fut le fondateur du domaine de Montméry;
Édouard André (1840-1911), jardinier et paysagiste français Le parc de Montméry fut dessiné;
Gilbert Ballet (1853-1916), médecin neurologue et aliéniste, né à Ambazac, membre de l'académie des Sciences;
Albert Besson (1896-1965), médecin et hygiéniste, membre de l'Académie de Médecine: c'est à Ambazac qu'il rédigea son principal ouvrage;
Jean Tricart (1915-2000) est un homme politique français. Agriculteur, résistant (officier FFI), né le à Ambazac;
Maurice Boitel, (1919-2007), artiste peintre, a peint à Ambazac entre 1947 et 1996;
Izis (1911-1980), photographe fut réfugié pendant la dernière guerre à Ambazac avec sa famille. Un espace lui est consacré au sein du Musée de la minéralogie;
Catherine Cesarsky, astrophysicienne française, née le à Ambazac: directrice des Sciences de la Matière au CEA (1994 – 1999), directrice générale de l'Observatoire européen austral (1999 à 2007), présidente de l'Union astronomique internationale (UAI) (août 2006) et Haut-Commissaire du Commissariat à l'énergie atomique du à .
Gérard Braye, adjoint au maire d'Ambazac qui fut aussi le mécanicien de Jacques Anquetil;
Maxime Méderel (1980-), coureur cycliste est un habitant ici;
Thierry Fabre (1982-), ancien international Français de judo, est professeur à l'Olympique Judo Ambazac.
José Gregorio, ancien Champion international de Boxe Française, aujourd'hui producteur d'huile d'olive et professeur de Boxe (Ambazac Savate Boxe Française)[47].
Les armoiries de Ambazac se blasonnent ainsi:
D'argent au tau d'azur, au chef de gueules chargé d'une aigle d'or issant de la partition.
Le blason, dessiné par M. Pierre Faure, a été approuvé par le conseil municipal dans sa séance du [48].
Le Tau, ou croix de Saint-Antoine, rappelle que l'église Saint-Antoine a été fondée près d'un monastère acquis, vers 1086, par Pierre le Grammairien, abbé de Saint-Augustin de Limoges. La congrégation a été, à cette époque, placée sous protection de saint Antoine.
L'aigle placée dans la partie supérieure rappelle les figures d'aigles d'or qui décorent la dalmatique de saint Étienne de Muret faisant partie du trésor d'Ambazac et se trouvant dans l'église Saint-Antoine d'Ambazac.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[29].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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