La commune de Ribagnac est située au sud-sud-ouest du département de la Dordogne et dans l'aire urbaine de Bergerac.
Le village de Ribagnac, traversé par la route départementale 13, se trouve en distances orthodromiques, 10 kilomètres au sud de Bergerac et 13 kilomètres au nord-est d'Eymet.
La commune est également desservie par la route départementale 107, ainsi que par un tronçon commun des sentiers de grande randonnée GR 636 et GR 654.
Communes limitrophes
Carte de Ribagnac et des communes avoisinantes.
Ribagnac est limitrophe de sept autres communes dont Saint-Perdoux au sud-est par un quadripoint, au lieu-dit les Trois Tables. À l'ouest, son territoire est éloigné de moins de 150 mètres de celui de la commune nouvelle de Sigoulès-et-Flaugeac.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Ribagnac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e7b-Cc, se compose de calcaires des Ondes, des calcaires clairs à silex et meulières (Priabonien moyen continental). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille «no830 - Eymet» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Carte géologique de Ribagnac.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g2-A :
Molasse de l'Agenais sup. à faciès argileux dominant: argiles silteuses carbonatées vertes, noires à blanches à niveaux de sables ou grès micacés à rares graviers, quelques bancs de calcaires lacustres localement meuliérisés (Chattien continental)
g1-Cmo :
Calcaire de Monbazillac: calcaire lacustre et marno-calcaire localement meuliérisé et argiles carbonatées à nodules calcaires (niveau intercalé séparant les molasses de l'Agenais sup. et inf.) (Rupélien continental)
g1-A :
Molasse de l'Agenais inf. à faciès argileux dominant: argiles silteuses carbonatées jaunâtres à verdâtres à niveaux gréseux tendres à la base (Rupélien continental)
g1-Cc :
Formation du Calcaire de Castillon s.s.: calcaire lacustre micritique dur azoïque à nodules d'argiles vertes (plusieurs mètres d'épaisseur), faciès de meuliérisation localement (Rupélien basal continental)
Éocène
e7c-A :
Molasses du Fronsadais inf. à moy. (faciès argileux dominant): argiles sableuses bariolées jaunes à vertes à chenaux sableux micacés et feldspathiques (Priabonien sup. continental)
e7b-Cc :
Calcaires des Ondes - Calcaire de Sainte-Croix-de-Beaumont (Belvès) - Calc. Saint-Cernin (Duras), Calc. de Langles (Fumel): calcaires clairs à silex et Meulières (Priabonien moy. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 78 mètres et 183 mètres[5],[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9],[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 11,81 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 11,86 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Gardonnette, le Grimoudou et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[15],[Carte 1].
La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[16],[17]. Elle arrose la commune au nord sur plus de cinq kilomètres dont quatre et demi servent de limite naturelle face à Colombier, Monbazillac et Rouffignac-de-Sigoulès.
Son affluent le Grimoudou prend sa source au lieu-dit les Rhodes Basses et rejoint la Gardonnette en contrebas du château de Bridoire, en limite de la commune de Singleyrac.
La Gardonnette en contrebas du château de Bridoire
Réseaux hydrographique et routier de Ribagnac[Note 3].
Carte des schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) couvrant le territoire communal de Ribagnac.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Dordogne Atlantique» et «Dropt». Le SAGE «Dordogne Atlantique», dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Le SAGE «Dropt», dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[19]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].
La quasi-totalité du territoire communal dépend du SAGE Dordogne Atlantique. Seule une infime partie à l'extrême sud-est, en limite de Sadillac est rattachée au SAGE Dropt.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]
Moyenne annuelle de température: 12,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[25] complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Laurent Vign», sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[27] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[28],[Note 7], où la température moyenne annuelle est de 13,2°C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[29].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 10 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[31], à 13,1°C pour 1981-2010[32], puis à 13,3°C pour 1991-2020[33].
Urbanisme
Typologie
Ribagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[34],[35],[36].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[37],[38].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (49,2%), terres arables (26,1%), forêts (14,9%), prairies (5,4%), cultures permanentes (4,5%)[39].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Ribagnac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[40]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[41].
Ribagnac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[42]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[43],[44].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ribagnac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[45]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 83% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[47].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1993 et par des mouvements de terrain en 1999[40].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Ribanhac[48].
Histoire
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Politique et administration
Rattachements administratifs
Dès 1790, la commune de Ribagnac a été rattachée au canton de Ribagnac qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la «réduction du nombre de justices de paix», la commune est rattachée au canton de Cunéges (devenu canton de Sigoulès en 1817) dépendant de l'arrondissement de Bergerac[5].
Intercommunalité
Fin 2003, Ribagnac intègre dès sa création la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès. Celle-ci fusionne avec l'ancienne communauté d'agglomération bergeracoise au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[49],[50].
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[55].
En 2019, la commune comptait 310 habitants[Note 13], en diminution de 6,34% par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
340
454
488
500
516
494
491
482
450
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
395
406
402
399
385
403
342
332
325
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
328
320
314
292
310
347
307
280
258
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
246
225
193
224
278
291
305
307
321
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
308
310
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emploi
En 2015[57], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 141 personnes, soit 43,5% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (treize) a diminué par rapport à 2010 (dix-sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,0%.
Établissements
Au , la commune compte quarante-trois établissements[58], dont dix-neuf au niveau des commerces, transports ou services, treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[59].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château de Bridoire, XVeetXVIesiècles, classé monument historique depuis 1992, de même que son pigeonnier[60]
Église Saint-Pierre-ès-Liens d'origine romane, rénovée au XIXesiècle
Labyrinthe végétal avec parcours sur quatre hectares dans le maïs[61].
Patrimoine naturel
Au nord, la Gardonnette borde le territoire communal sur plusieurs kilomètres. En aval de la route départementale 107, le cours d'eau et ses rives, ainsi que la partie aval de son affluent le Grimoudou, font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I où pousse une plante rare, la fritillaire pintade, (Fritillaria meleagris) et fréquentée par trois espèces de chauves-souris: le Grand murin (Myotis myotis), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii) et le Rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale)[62],[63].
Personnalités liées à la commune
Charles de Foucauld, (1858-1916), vint chez son cousin au château de Bridoire en 1913 et 1914[64]
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[23].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[24].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Démissionnaire.
Commission spéciale chargée de gérer la commune après la dissolution du conseil municipal. Source: Article Commission spéciale pour gérer Trélissac, Journal Sud Ouest, édition Périgueux, du 15 janvier 2009.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Carte de la ZNIEFF 720014276, INPN, consulté le 24 décembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche «Métropole: ZNIEFF1» à 0 et augmenter l'opacité de la couche «Cartes IGN» à 1.
Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p.399, éditions Fanlac, 1999, (ISBN2-86577-214-4).
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