Èze (Esa en niçois, Eza en italien) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Ézasques.
Pour les articles homonymes, voir Èze (homonymie).
Pour les articles ayant des titres homophones, voir Aise et Aize.
Située à 4 km de La Turbie, 8 km de Monaco et 12 km de Nice.
Géologie et relief
La commune s'étend sur un territoire escarpé, allant du bord de mer Méditerranée où un hameau forme Èze-sur-Mer (appellation reprenant le nom de la gare d'Èze-sur-Mer tandis que le panneau routier indique Èze-Bord-de-Mer), jusqu'au piton escarpé où de vieilles maisons pittoresques et médiévales forment Èze-Village à 429 mètres d'altitude.
La commune d'Èze, située sur le Parc de la Grande Corniche, est classée en loi littoral[1].
La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[4].
Typologie
Èze est une commune rurale[Note 1],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7].
Elle appartient à l'unité urbaine de Menton-Monaco (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 9 communes[8] et 70 439 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Monaco - Menton (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14],[15].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (53%), zones urbanisées (25,4%), forêts (10,4%), zones agricoles hétérogènes (9,7%), eaux maritimes (1%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5%)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].
Lotissements
Lotissement concerté dit Lotissement de la Mer [18].
Quartiers
Le quartier Saint-Laurent-d'Èze relie le bord de mer au village. À Saint-Laurent-d'Èze, après les feux volontaires et terribles des années 1980, beaucoup d'habitants locaux y firent construire leurs villas.
Planification de l'aménagement
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[19].
Voies de communications et transports
Voies routières
L'accès à Èze est possible par les routes des trois corniches M 6007, M 6098, M 45[20].
Transports en commun
Parmisles transports en Provence-Alpes-Côte d'Azur, la commune desservie par le réseau Lignes d'Azur.
La ville dispose de la gare d'Èze-sur-Mer sur la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière), desservie par des trains TER PACA qui effectuent des missions entre les gares de Grasse et Vintimille. La gare de Nice-Ville, plus importante, est mieux desservie
Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende…) sont fortement impactés par un «épisode méditerranéen» de grande ampleur[21]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Èze, au titre des «Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020»[22]. La commune est située dans une zone de sismicité moyenne[23].
Toponymie
La première mention écrite dont nous disposons date du IVesiècle sous la forme ab Avisione (dans la section maritime de l'Itinéraire d'Antonin). Les formes suivantes, du XIesiècle jusqu'au Moyen Âge, sont du type Esa, Eza, Isia, Isie, etc. La première mention de Ese date de 1241 mais ne durera pas: on retrouve ensuite de nouveau Isia, Isie, Ysia, Esia, etc. Le nom semble enfin se fixer sous la forme Esa après son passage à la Maison de Savoie en 1388, nom qui sera repris en provençal Ezo par Mistral et traduit en français Èze.
Èze remonte donc à Avisione avec aphérèse de l'initiale av sentie comme la préposition occitane ab, «chez», et chute du suffixe, ce qui a conduit à Isia, conservé par les formes du Moyen Âge. Le même phénomène s'est produit non loin de là à La Bollène-Vésubie qui s'appelait Abolena en 1146 (du nom d'homme germanique Abbolenus): le A initial, pris pour la préposition est tombé puis l'article «la» a complété le nom, sans doute l'analogie avec le niçois boulina, «éboulement», y est-elle pour quelque chose. La vauclusienne Bollène s'appelait aussi Abolena en 640. Les exemples de ce type sont nombreux en toponymie.
Reste à connaître la signification de cet Avisione. Il s'agit sans doute du nom de personne gaulois Aviso correspondant au romain Avitius. Ce dernier est à l'origine de quelques toponymes dont un Avèze (Puy-de-Dôme), une ancienne Avitia villa, qui a conservé son - av- initial. Très probablement, ce nom devait à l'origine s'appliquer à la petite anse que les premiers marins avaient dû apprécier comme lieu de mouillage puis qui est devenu un petit port que l'on a nommé d'après son fondateur. Il s'agit de l'endroit qu'on appelle aujourd’hui Èze-Bord-de-Mer[24].
Histoire
Comme le reste du littoral des Alpes-Maritimes, le territoire de la commune d'Èze est occupé depuis des temps anciens.
Le monument le plus remarquable est celui du Mont-Bastide qui surplombe Beaulieu-sur-Mer et la baie de Saint-Jean, sur un éperon rocheux bordant la grande corniche.
La tradition locale, fondée sur les élucubrations des érudits du XIXesiècle et du début du XXesiècle, en fit une fondation phénicienne, un palais mycénien ou un oppidum ligure remontant au premier âge du fer.
Les recherches récentes ont permis de mettre au jour un gros bourg agricole protégé par une solide enceinte. L'organisation urbaine est très serrée. De grandes habitations en pierre sèche supportant un étage s'organisent autour d'une grande rue qui traverse le village de part en part. Le rez-de-chaussée de chaque habitation abrite des structures de pressage destinées à la fabrication du vin ou de l'huile.
Les traces d'occupation les plus anciennes remontent au IIesiècleav. J.-C., mais la plus forte période d'activité se situe entre l'époque d'Auguste et l'époque des Flaviens[25].
Le Moyen Âge
Bruno Riquerii, chevalier, originaire de Nice, viguier d'Hyères (1328), fut coseigneur d'Èze. Comme pour les Badat, la famille Riquerii, ancienne famille consulaire niçoise, aurait été anoblie au XIIIesiècle grâce à leur richesse et à la faveur des Génois que cette famille soutenait[26]. Familier du roi Robert, Bruno était le fils de Jean Riquier, coseigneur d'Èze, et de Béatrice Badat[27]. En 1333, avec son frère Marin, il possédait une part de la seigneurie d'Èze tandis que quelques années plus tard, la part de Marin semblait être passée dans les mains de Bruno[28]. Selon A. Venturini, il aurait eu pour successeur son fils, Honoré, coseigneur d'Èze. Le 24 juillet 1316, le roi Robert demanda au sénéchal de remettre, s'il y a lieu Boniface Riquier, dit Brunoz, et ses frères, fils de feu Jean Riquier, d'Èze, en possession des châteaux de Menton et de Peypin et de faire cesser le trouble qui leur était apporté par Balianus Ventus et consortes sui[29].
Le 27 mai 1348, le frère du sous-viguier d'Aix (1325) et du viguier de Grasse (1340-41), Jean, Louis Rebuffelli fut nommé châtelain d'Èze[30].
Honorat Riquerii, viguier d'Hyères (1376), succéda à Bruno et devint coseigneur d'Èze[31].
La période contemporaine
Jusqu'au début du XIXesiècle, Èze englobait La Trinité, qui en a été détachée en 1818[32].
Èze était desservie, de 1900 à 1929, par une des lignes du Tramway de Nice et du Littoral.
Une stèle a été inaugurée en 1960 pour célébrer le centenaire du rattachement d'Èze à la France[33].
Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Èze.
Intérieur de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Èze.
Une ruelle pittoresque d'Èze-Village.
L'ancien Tramway de Nice et du Littoral circulait sur la Corniche de 1900 à 1929.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis l'Annexion du comté de Nice à la France de l'arrondissement de Nice du département des Alpes-Maritimes.
Elle faisait partie du canton de Villefranche-sur-Mer[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Beausoleil
Articles détaillés: Liste des cantons des Alpes-Maritimes, Conseil départemental des Alpes-Maritimes et Liste des conseillers départementaux des Alpes-Maritimes.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription des Alpes-Maritimes.
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives des Alpes-Maritimes et Liste des députés des Alpes-Maritimes.
Intercommunalité
Èze était membre de la communauté urbaine Nice Côte d'Azur, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2002 sous le statut de communauté d'agglomération et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité a fusionné avec plusieurs petites intercommunalités voisines pour former, le , la métropole Nice Côte d'Azur dont est désormais membre la commune.
Tendances politiques et résultats
Lors des élections municipales de 2014 dans les Alpes-Maritimes, la liste DVD menée par le maire sortant Stéphane Cherki est la seule candidate, et obtient donc la totalité des 1 059 suffrages exprimés et est élue en totalité. Lors de ce scrutin, 43,21% des électeurs se sont abstenus et 18,54% des votants ont placé un bulletin blanc ou nul dans l'urne[34]
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans les Alpes-Maritimes.
Lors des élections municipales de 2020 dans les Alpes-Maritimes, la liste menée par le maire sortant Stéphane Cherki est la seule candidate, et obtient donc la totalité des 591 suffrages exprimés, lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 69,75% des électeurs se sont abstenus et 11,40% des votants ont placé un bulletin blanc ou nul dans l'urne[35].
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans les Alpes-Maritimes.
Le 23 février 2022, le maire Stéphane Cherki a apporté son parrainage au candidat Eric Zemmour. Il a expliqué son choix par "l'urgence démocratique" mais a affirmé ne pas partager les idées du candidat.[36]
Les enfants poursuivent leur scolarité aux collèges de Beaulieu-sur-Mer, La Trinité, Beausoleil, et aux lycées de Drap, Monaco et Nice.
Santé
Les professionnels et établissements de santé peuvent être consultés à[Quand?][47],[48]:
Médecins à Èze, Cap-d'Ail, Beaulieu-sur-Mer,
Pharmacies à Èze, Cap-d'Ail, Beaulieu-sur-Mer,
Hôpitaux à Cap-d'Ail, Beaulieu-sur-Mer, Nice.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].
En 2019, la commune comptait 2 256 habitants[Note 3], en diminution de 10,69% par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes: +1,25%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1822
1838
1848
1858
1861
1866
724
1 127
1 212
463
487
566
589
570
594
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
521
680
764
558
728
674
640
710
797
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
633
728
911
1 038
710
1 440
1 494
1 792
1 860
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1982
1990
1999
2006
2011
2016
2019
-
-
2 063
2 446
2 509
2 932
2 550
2 252
2 256
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,1%, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,6% la même année, alors qu'il est de 30,6% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 081 hommes pour 1 144 femmes, soit un taux de 51,42% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,72%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[52]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
1,5
8,6
75-89 ans
8,6
18,0
60-74 ans
18,1
26,9
45-59 ans
26,8
17,2
30-44 ans
17,7
12,7
15-29 ans
14,6
16,2
0-14 ans
12,7
Pyramide des âges du département des Alpes-Maritimes en 2018 en pourcentage[53]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1
90 ou +
2,5
9,2
75-89 ans
12
17,4
60-74 ans
18,7
20,4
45-59 ans
19,9
18,5
30-44 ans
17,6
16,6
15-29 ans
14,7
17
0-14 ans
14,6
Cultes
Culte catholique, Paroisse Notre-Dame de l'Espérance[54], Diocèse de Nice.
Le village propose au sein de ses ruelles labyrinthiques, de nombreuses boutiques d'artisanat d'art.
Le chemin de Nietzsche partant du bord de mer, serpente sur une pente raide jusqu'au village perché. On dit que Nietzsche, logeant à la fin de sa vie à Nice, malade, fréquenta ce chemin, et s'en inspira pour écrire la troisième partie d'Ainsi parlait Zarathoustra.
Article détaillé: chemin de Nietzsche.
À proximité se trouve l'oppidum du Castellar ou de Brasca, inscrit au titre des monuments historiques en 1996[63].
Moulin à eau: ancien moulin à farine des Pissarelles[75].
Édifices religieux
Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Èze[76], reconstruite au XVIIIesiècle[77], classée en 1984 au titre des monuments historiques[78],[79],[80],[81],[82].
Chapelle de la Sainte-Croix, dite des Pénitents blancs, restaurée en 1953[83],[84].
Maurice Blanchot: il y vécut après la Seconde Guerre mondiale.
Georgette Piccon (1920-2004): artiste peintre française, elle vécut à Èze de 1984 à 2003 et a réalisé de nombreuses œuvres représentant les paysages de la commune.
The Edge, guitariste chanteur du groupe U2 a épousé en secondes noces sa compagne de longue date Morleigh Steinberg, à Èze en 2002.
Héraldique
.
Blason
D’azur à l’os de jambe en pal sommé d’un phénix sur son immortalité et accosté de deux pampres fruités, chacun de deux pièces le tout d’argent[91].
Devise
Isia Moriendo Renascor Son emblème est un phénix perché sur un os. Elle a pour signification: en mourant, je renais
Détails
Les armes de la cité sont en réalité celles des Fighiera, famille notable de la commune; elles ont été arbitrairement attribuées à Èze par Charles-Alexandre Fighiera dans les années 60, au moment de l'anniversaire du rattachement du Comté à la France
Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol.II: Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll.«Le Patrimoine des Communes de France», , 574p. (ISBN2-84234-071-X)
Canton de Villefranche-sur-Mer: pp. 1020 à 1024: Èze
Eze sur archeo-alpi-maritimi.com/: arraisonnement de 1761, bénédictins de Saint Laurent d'Èze, bossages erratiques, chapelle de Saint Laurent d'Èze, chapelle Sainte Brigitte, château de Saint Laurent d'Èze, chemins anciens autour de la Turbie, chemin Èze St Laurent en 1788, Dom Félix Vaggioli, fontaines et sexualité, gibets piloris potences, généalogie Renaud de Falicon, grotte de saint Laurent, le Comté de Nice en 1850, histoire de Saint Laurent, meurtrieres à redans, moulins, murs et linteaux, sites militaires, souvenirs champêtres 1842, tours à signaux, voie nikaia monoikos
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
Coordination générale: René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices: CRMH: Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP): Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH): Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide: Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198p. (ISBN978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Èze, p. 65
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Pascal Arnaud et Michiel Gazenbeek, Habitat rural antique dans les Alpes-Maritimes: Actes de la table ronde Valbonne, Centre d'études Préhistoire, Antiquité, Moyen Âge, 22 mars 1999, Antibes, 2001.
Réélu pour le mandat 2014-2020: «Stéphane Cherki réélu maire d'Eze à l'unanimité par son conseil municipal: Stéphane Cherki à[sic] été élu maire d'Eze à l'unanimité par son conseil municipal, ce samedi», Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le ).
Jean-Michel Poupart, «Le maire-candidat Stéphane Cherki veut s’inscrire dans la continuité à Èze: Le maire sortant, unique candidat aux élections municipales 2020 à Èze, a présenté sa liste vendredi soir. Ici, pas de pression…», Nice-Matin, (lire en ligne, consulté le ).
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии