Villefranche-sur-Mer (Vilafranca de Mar en provençal, Villafranca en nissart, Villafranca en italien) est une commune française, limitrophe de Nice, située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Villefranchois, comme dans la plupart des communes portant le nom de Villefranche, et lu Vilafranquié en niçois. Par dérision, ils avaient aussi reçu le sobriquet de Suça-carouba[1].
Villefranche-sur-Mer est située sur la Côte d'Azur, entre Nice et Monaco, au bord de la mer Méditerranée.
Séparée de Nice dont elle est limitrophe par le mont Boron, le mont Alban et le mont Vinaigrier et distante d’environ 10 km de Monaco, la ville s’étale en gradin sur les flancs de la rade de Villefranche, un des mouillages naturels les plus profonds de la Méditerranée occidentale.
La superficie de la commune, située sur l'aire du Parc de la Grande Corniche, est de 488 hectares; son altitude varie entre 0 et 575 mètres[2].
La rade de Villefranche offre un mouillage sûr à l’abri des vents d’est et accueille de nombreux navires de croisière. Avec une profondeur moyenne de 17 m, elle atteint 95 m à son entrée et se prolonge au large à environ un mille par le canyon de Villefranche, un abysse de plus de 500 m au large de la baie des Anges.
Les limites de la commune s’étendent aux collines avoisinantes passant du niveau de la mer à 577 mètres au mont Leuze, son point culminant, le relief terrestre reflétant ainsi les fonds sous-marins.
Hydrographie et les eaux souterraines
Villefranche-sur-Mer dispose de la station d'épuration intercommunale de Nice d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants[3].
Climat
Villefranche-sur-Mer, nichée au fond de sa rade, jouit d'un climat très doux: De hautes falaises l'abritent des vents d'est, d'ouest et de nord. Le sud, ouvert au large est malgré tout protégé par l'étroitesse de la rade, sauf durant de rares mais spectaculaires coups de vent d'hiver.
Article détaillé: Climat des Alpes-Maritimes.
Voies de communication et transports
Le quai Ponchardier, port de la Santé.La rade de Villefranche.
Voies routières
Villefranche-sur-Mer est traversée par les trois Corniches, trois routes principales menant de Nice à Monaco et Menton vers la frontière italienne, offrant des panoramas sur le littoral.
Voies ferroviaires
La commune est traversée par la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille et est desservie par une gare[4].
Ports
Port de la Santé: Port de pêche, gare maritime pour les paquebots en rade de Villefranche
Port de la Darse: Ancien arsenal militaire, actuellement port de plaisance
Article détaillé: Darse de Villefranche-sur-Mer.
Transports en commun
Des liaisons par autocar avec les principales villes de la Route du bord de mer de la Côte d'Azur, (Nice en particulier) sont effectuées régulièrement dans le cadre des transports du Département.
Urbanisme
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[5].
La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le [6].
Typologie
Villefranche-sur-Mer est une commune urbaine[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].
Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[10] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[11],[12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16],[17].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (60,1% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (26,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones urbanisées (57,5%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,9%), forêts (12%), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6%), eaux maritimes (0,9%)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Morphologie urbaine
Vue générale de Villefranche-sur-Mer.
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 5 150, alors qu'il était de 5 123 en 1999[Insee 1].
Parmi ces logements, 53,8% étaient des résidences principales, 39,7% des résidences secondaires et 6,5% des logements vacants. Ces logements étaient pour 25,2% d'entre eux des maisons individuelles et pour 74,5% des appartements[Insee 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 59,5%, en hausse sensible par rapport à 1999 (53,7%). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 3,1% contre 3,6% en 1999, leur nombre ayant nettement diminué de 115 à 86[Insee 3].
Par décret du , Journal officiel du avec effet au , Villefranche devient Villefranche-sur-Mer.
Dans d'autres langues
Le nom de la commune en italienVillafranca ou Villafranca Marittima, (gentilé: Villafranchesi), fut notamment en usage sous la Restauration savoisienne. Il est Vilafranca de Mar en nissart.
Histoire
Carte ancienne de la rade de Villefranche.
La rade de Villefranche est fréquentée dès l'Antiquité par les marins grecs et romains. Ceux-ci s'en servent comme mouillage et lui donnent le nom d'Olivula Portus. Le site est cependant victime d'attaques barbares répétées. Au IXesiècle, les pirates sarrasins tenaient à l'emplacement de Villefranche-sur-Mer une forteresse[25]. Les habitants délaissent le bord de mer et se réfugient sur les hauteurs; ils y fondent un autre village, Montolivo.
Fondation de Villefranche
En 1295, Charles II d'Anjou, comte de Provence, comprend l'importance stratégique de ce site, situé aux frontières de son territoire. Afin d'encourager les habitants à revenir peupler le bord de mer, il leur octroie une franchise de taxes. Le village est ainsi baptisé Villa Franca.
Le Moyen Âge
Daniel Marquesani fut un familier du roi Robert; il connut une ascension rapide puisque de simple notaire immigré à Nice à la fin du XIIIesiècle[26], il devint coseigneur de La Turbie (1329-1331) puis seigneur de Coaraze et Castellan à vie de Villefranche[27]. Raymond Marquesani succéda à son père comme castellan de Villefranche et son frère, Louis, hérita de la seigneurie de Coaraze. Le , il acheta tout ce que le damoiseau Boniface Chabaudi, seigneur de Roquebrune possédait dans les territoires de Roquebrune, Palayson et Villepey[28].
Le port de la maison de Savoie
Le port de la Darse.
Article détaillé: Darse de Villefranche-sur-Mer.
Lors de la dédition du Comté de Nice au Duc de Savoie, en 1388, Villefranche est dédiée au duché de Savoie. La ville devient ainsi la seule porte maritime des États de Savoie jusqu'à la construction du port de Nice au XVIIIesiècle et tire ses revenus de tous les navires marchands accostant au port (droit de Villefranche).
À la suite de l'occupation, en 1543, de la rade de Villefranche par la flotte franco-turque commandée par Khayr ad-Din Barberousse, le duc Emmanuel-Philibert de Savoie (1528-1580) ordonne sa fortification.
Le duc Emmanuel-Philibert ne possédait plus que Verceil et le comté de Nice au début de son règne, en 1553. Il s'est engagé au côté de l'Espagne de Philippe II. Il a gagné la bataille de Saint-Quentin, le . Il a retrouvé son duché de Savoie en 1559, à la signature du second traité de Cateau-Cambrésis. Il décide de s'engager dans la lutte opposant le monde chrétien et l'Empire ottoman en Méditerranée. Les conflits annuels peuvent opposer des flottes de deux cents à trois cents galères. Pour participer à ce conflit, il décide de faire de Villefranche un port bien protégé permettant de construire et d'entretenir des galères. Le fort du mont Alban, le fort de Saint-Hospice et la citadelle Saint-Elme sont ainsi construits. Cette dernière sera achevée en 1557. Une première flotte de guerre est construite dans le port de la Darse[29].
Article détaillé: Bataille de Villafranca (1744).
Les Français occupent le comté de Nice plusieurs fois entre 1710 et 1722 et à nouveau en 1744, pendant la guerre de Succession d'Autriche, quand le prince de Conti prend d'assaut le mont Alban avec ses troupes franco-espagnoles, chassant les Savoisiens de Charles-Emmanuel III. Au cours du XVIIIesiècle, la ville perd de son importance maritime et portuaire avec la construction du port Lympia de Nice.
En 1793, les troupes françaises révolutionnaires envahissent à nouveau le comté de Nice et Villefranche en Piémont passe sous administration française jusqu'en 1814 qui verra le retour à son statut particulier sous dédition et protection du duc de Savoie.
En 1856, le duc de Savoie donne à bail le lazaret de Villefranche à la marine impériale russe qui fera du port une base navale de premier plan pour ses navires en Méditerranée, notamment l'année suivante, avec le ravitaillement en charbon des bateaux. Cette arrivée provoquera la construction d'infrastructures importantes par Victor Emmanuel II, notamment la route de la rade.
Seigneurie de Villefranche
La Citadelle Saint-Elme de Villefranche (XVIesiècle).
Au XVIIIesiècle, la seigneurie de Villefranche fut attribuée aux Germano, avec érection en comté (1700), aux Auda (1743), puis aux Dani (1743).
En 1705, la ville est prise par les troupes françaises du maréchal de La Feuillade qui assiège également Nice[30]
Révolution, Consulat et Empire
À la suite de l'entrée en guerre de la France contre l'Autriche et la Prusse, en avril 1792, Villefranche-en-Piémont est prise, le , par le général D'Anselme, après la reddition sans combat du gouverneur François Daviet de Foncenex, lui permettant d'être entièrement maître du comté de Nice.
La présence russe à Villefranche-sur-Mer
Article principal: Présence de la marine russe en baie de Villefranche-sur-Mer.
Elle remonte à la fin du XVIIIesiècle et a fait preuve depuis d'une originale constance. L'intérêt stratégique de la rade de Villefranche n'avait pas échappé aux autorités maritimes russes de l'époque qui y mouillaient à chaque conflit avec la Turquie. Elle leur devient essentielle quand, au lendemain de la guerre de Crimée en 1856, la Marine impériale russe est privée d'accès à la Méditerranée par le Bosphore: le duc de Savoie, roi de Chypre, de Jérusalem et de Sardaigne qui est aussi vicaire impérial pour toute l'Europe méditerranéenne accepte alors de céder à la Russie le lazaret et la Darse de Villefranche qui lui servent de dépôt à vivres et à combustibles. La rade de Villefranche devient alors le port d'attache de la noblesse impériale en villégiature dans les états de Savoie, ce qui durera encore un peu après malgré l'annexion du comté de Nice par les autorités françaises en 1860. En 1893, une équipe de scientifiques russes de Kiev remplace les militaires pour pratiquer des recherches océanographiques en profitant de la présence d'un courant ascendant de la rade. Ces études, malgré les aléas politiques entre les deux nations, se poursuivent jusqu'aux années 1930.
Annexion à la France
Façades colorées sur la place Amélie-Pollonais.
En 1860 le Comté de Nice est à nouveau annexé à la France à la suite du Traité de Turin et du plébiscite (contesté par les nationalistes niçois en raison de preuves avérées comme, entre autres, la présence du seul bulletin oui, le bourrage des urnes, l'interdiction de vote pour certains Niçois, la surveillance du vote par les militaires français).
Jusqu’en 1891, Beaulieu, et jusqu’en 1904, Saint-Jean, font partie de Villefranche dont elles se détachent pour prendre leur autonomie municipale.
Lieu de villégiature prisé dès 1816 par les aristocraties russe et anglaise, la rade de Villefranche abrite la sixième flotte des États-Unis à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre de l’Organisation du traité de l'Atlantique nord entre 1945 et 1966.
Villefranche-sur-Mer n'est plus aujourd’hui le premier port de croisière de France, dépassé par Marseille depuis 2008.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[31].
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans les Alpes-Maritimes.
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 5 033 habitants[Note 3], en diminution de 5,5% par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes: +1,25%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1822
1838
1848
1858
1861
1866
2 117
2 035
2 177
2 491
2 574
2 363
2 949
2 911
3 344
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
3 093
3 002
3 489
4 299
4 407
4 430
5 042
4 425
4 741
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
3 184
5 323
5 152
5 014
4 407
5 039
5 953
6 790
7 200
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2015
2019
-
7 363
8 080
6 833
6 649
6 610
5 419
5 112
5 033
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
En fin février, le Combat naval fleuri rassemble au port de la Santé les pointus de Villefranche et la yole décorés de fleurs qui lancent des bouquets à la foule massée sur les quais. La manifestation se déroule chaque année depuis 1902.
Article détaillé: Combat naval fleuri de Villefranche-sur-Mer.
Depuis 2009, la ville de Villefranche-sur-Mer organise avec l'association NICEXPO le salon Franchement Art dans la Citadelle de Villefranche-sur-Mer.
Depuis quelques années, le Trophée Pasqui[43], rassemblement des plus beaux yachts de tradition, est organisé à Villefranche-sur-Mer: manifestation phare, mettant en valeur les métiers de l'artisanat maritime et plus particulièrement le chantier naval Gilbert Pasqui, formant de grands charpentiers de marine.
La rade de Villefranche est le site de compétitions d'apnée. Le premier «championnat du monde d'apnée par équipe» s'y est déroulé en 1996. Elle fut le lieu d'évolution préféré de Loïc Leferme qui y a battu plusieurs reprises le record du monde d'apnée no limit. En 2010, Aurore Asso y a battu le record de France féminin d'apnée en poids constant à -70 mètres. Le huitième championnat du monde d'apnée a eu lieu à Villefranche-sur-Mer en septembre 2012.
L’Etablissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes (EHPAD)[45].
Sports et activités nautiques
Laïssa Ana, la Yole de Villefranche, devant la citadelle de Villefranche-sur-Mer.
De nombreuses activités sportives sont pratiquées à Villefranche sous l’égide de l’Union Sportive de Villefranche (U.S.V.), association multisports.
La pratique de la voile ou de l’aviron s’effectuent au sein du Club de la Voile ou du Club d’aviron, tous deux implantés dans le port de la Darse.
En 2014 une épreuve nautique alliant la nage, le paddle et l'aviron a été créée en rade de Villefranche: le "Triathlon des Mers"[46]
Depuis , la Darse de Villefranche-sur-Mer est le port d'attache de la réplique historique d'une embarcation de 1796: la yole de Bantry Laïssa Ana. Gérée par une association locale et naviguant toute l’année, la Yole accueille volontiers de nouveaux équipiers pour des initiations.
De nombreux pointus traditionnels sont regroupés dans la Darse par l’Association des Bateliers – Plaisanciers de Villefranche (ABPV)[47] qui organise chaque automne une série de régates, la «Resquilhada».
La liste détaillée des associations sportives locales se trouve sur le site de la Ville[48].
L'aéroceanaute Stephane Rousson installé depuis 2010 au port de la Darse, effectue régulièrement les essais de ses véhicules dans la rade que ce soit avec ses sous-marins Scubster[49], ou ses ballons à propulsion humaine comme le Zeppy en [50], et la restauration de la pilotine Trait-d'union de 1948[51].
La Villefranche Paddle race fait partie du circuit Fédéral de la Coupe de France de Stand up Paddle 14'[52].
Scubster Nemo
Pilotine Trait d'Union 1948 en restauration au port de la Darse
Yole de Villefranche sur Mer
Zeppy de Stephane Belgrand Rousson le
Médias
Biologie du Développement de Villefranche-sur-Mer[53].
Médias - AARV - Association Les Amis de la Rade de Villefranche-sur-Mer[54].
Cultes
Église Saint-Michel de Villefranche-sur-Mer.
Villefranche-sur-Mer dispose de deux lieux de culte catholique: L'Église Saint-Michel dans la vieille ville et la chapelle Notre-Dame-de-France au col de Villefranche. Toutes deux font partie de la paroisse "Notre Dame de l'Espérance".
Économie
Pendant le XIXesiècle, la culture du caroubier par une grande partie de la population a fourni le bois dont la belle couleur rouge était appréciée dans la marqueterie locale. La chanson traditionnelle et les dictons populaires en portent encore témoignage[55].
Budget et fiscalité 2019
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[56]:
total des produits de fonctionnement: 10 880 000 €, soit 2 114 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 10 434 000 €, soit 2 028 € par habitant;
total des ressources d'investissement: 3 326 000 €, soit 648 € par habitant;
total des emplois d'investissement: 4 521 000 €, soit 879 € par habitant;
endettement: 7 869 000 €, soit 1 529 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d'habitation: 16,03%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 13,97%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 9,04%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 30 908€, ce qui plaçait Villefranche-sur-Mer au 12 464e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[57].
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017: médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation: 24 300 €[58].
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3 374 personnes, parmi lesquelles on comptait 68,9% d'actifs dont 62,0% ayant un emploi et 6,8% de chômeurs[Insee 4].
On comptait 1 878 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 711 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 161, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 86,9%, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins d'un emploi par habitant actif[Insee 5].
Entreprises-services et commerces
Au , Villefranche-sur-Mer comptait 847 établissements: 10 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 28 dans l'industrie, 76 dans la construction, 634 dans le commerce-transports-services divers et 99 étaient relatifs au secteur administratif[Insee 6].
En 2011, 69 entreprises ont été créées à Villefranche-sur-Mer[Insee 7], dont 43 par des autoentrepreneurs[Insee 8].
La commune compte sept monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[73] et 160 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[74].
Elle compte par ailleurs 66 objets répertoriés sur l'inventaire des monuments historiques[75] et 95 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[76].
Édifices religieux
La chapelle Saint-Pierre décorée par Jean Cocteau.
Église Saint-Michel, rue de l'église, au cœur de la vieille ville, fut érigée dans le premier quart du XIVesiècle puis fut transformée à la fin du XVIIIesiècle. Cette église a pris les traits de style baroque savoyard. Elle héberge plusieurs pièces d’art, dont une toile représentant saint Michel, un Christ sculpté du XVIIIesiècle (dit Christ du galérien) et une statue polychrome en bois de saint Roch et son chien. Cet édifice est classé au titre des monuments historiques le [77].
Chapelle Saint-Pierre (XVIesiècle)[91], située sur le port de pêche, place Amélie Pollonais. En 1957, Jean Cocteau[92], avec l'aide du peintre Jean-Paul Brusset[93], la décore de fresques murales évoquant la Méditerranée et des périodes de la vie de saint Pierre. La chapelle appartient à la prud’homie des pêcheurs de Villefranche. Elle est classée au titre des monuments historiques le . Près la chapelle Saint-Pierre, buste en bronze représentant Jean Cocteau, œuvre du sculpteur Cyril de La Patellière (1989), inauguré en présence de Jean Marais et d'Edouard Dermit. Le socle est une pierre monolithique provenant de la citadelle.
Chapelle Sainte-Élisabeth[95], rue du Vallons 1595[96].
Chapelle de L'Ange-Gardien, avenue de l'Ange Gardien 1716.
Chapelle sous le vocable de Notre-Dame des Neiges, appelée la Madone noire, boulevard de Suède XVIIesiècle[97].
Chapelle Saint-Grat, avenue Olivula 1817.
Chapelle Saint-Elme, à la citadelle XVIesiècle.
Chapelle de l'ancien hospice, avenue Clemenceau XVIIIesiècle.
Bâtiments et lieux publics
Vue d'un bâtiment de l'Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer, ancien hôpital des galériens.
La Citadelle Saint-Elme classée monument historique[98],[99], elle abrite aujourd'hui l'hôtel de ville ainsi que les musées Volti, Goetz-Boumesteer, la salle souvenir du 24e BCA et la collection Roux.
Article détaillé: Citadelle Saint-Elme.
Le port de la Darse est l'ancien port militaire[100]. Il abrite de nombreuses activités (port de plaisance, chantier naval, etc.). Il est géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Nice-Côte d'Azur. L'Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer[101] y est situé. Dépendant de l'université Pierre-et-Marie-Curie (université de Paris VI) et placé également sous la tutelle du CNRS, il est le siège d'activités de recherche avec trois laboratoires (océanologie, géosciences marines et biologie cellulaire). Environ 150 personnes y travaillent. Les bâtiments et les éléments d’infrastructure sont inscrits aux monuments historiques le .
Article détaillé: Darse de Villefranche-sur-Mer.
Le port de la Santé, port de pêche de Villefranche, au pied de la vieille ville, abrite la gare maritime pour les paquebots ancrés en rade de Villefranche. Il est le site du Combat naval fleuri chaque année en février.
la Rue Obscure, au cœur de la vieille ville, est une rue couverte de 130 mètres datant de 1260, située le long du premier rempart. Elle a été inscrite aux monuments historiques le [102].
Article détaillé: Rue Obscure de Villefranche-sur-Mer.
Le musée Goetz-Boumeester, situé dans la Citadelle, qui contient une centaine d'œuvres du peintre-graveur Henri Goetz (1909-1989) et de son épouse Christine Boumeester (1904-1971) qui donnèrent leur collection à la ville.
Le Musée dit Musée des Ruines, puis maison de villégiature dite Villa [103].
La Villa Léopolda[104],[105], qui semble être la demeure la plus chère du monde.
Dalle funéraire de frère Jérôme Cacherano de Osasco[114],[115].
Cénotaphe d'Octave-Emmanuel Scarampo de Caire [116].
Héraldique
Blason
D’argent à l’arbre terrassé au naturel accosté des lettres capitales V et F de sable, au chef parti au 1er d’azur à trois fleurs de lis d’or rangées en fasce et surmontées d’un lambel de gueules et au 2e de gueules à la croix d’argent[117].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Artisanat
Le port de la Darse est réputé au niveau international pour la restauration de navires du patrimoine où sont présents de nombreux charpentiers spécialisés. Le chantier naval Pasqui est renommé dans la restauration des vieux gréements et la fabrication des grands mâts en bois[118].
Pilotine Trait d'union en restauration à Villefranche-sur-Mer.
Personnalités liées à la commune
Dans le passé, Villefranche a hébergé de nombreuses personnalités de l'art ou du show business, parmi lesquelles:
La rue de l'Église, Villefranche-sur-Mer par Henri-Eugène Le Sidaner (1928).
Honoré Boniface Papachin, ou Honorato Bonifazio Papacino en italien, corsaire puis amiral de la flotte espagnole au service du roi Charles II, mort en 1692. Il combattit l'amiral de Tourville en 1688 près d'Alicante durant la guerre de la ligue d'Augsbourg. Son nom a été donné au quai Papacino du port Lympia de Nice.
François Daviet de Foncenex, mathématicien, gouverneur de Villefranche en ;
Le peintre Eugène Boudin, s'installe à Villefranche en 1892
Jean-Marie Missud, compositeur, chef d'orchestre, clarinettiste franco-américain né à Villefranche-sur-Mer le , décédé le à Marblehead, comté d'Essex, Massachusetts, États-Unis;
Volti, sculpteur peintre auquel la ville a consacré un musée;
Keith Richards, guitariste des Rolling Stones, avec sa compagne Anita Pallenberg en 1971 à la villa Nellcôte où les Rolling Stones enregistrèrent l'album Exile on Main Street;
Michel Ocelot, réalisateur français, né à Villefranche-sur-Mer en 1943;
Dado Pršo, ancien footballeur, international croate né en 1974, y réside;
La dépouille mortelle de Niccolò Paganini, en mal de sépulture en raison de sa réputation sulfureuse (il était suspecté de pacte avec le diable), fut conservée quelques mois dans la darse du port, avant de trouver une terre de repos définitive en Italie;
Honoré d'Urfé est mort à Villefranche-sur-Mer le .
Auguste Maïcon, né à Villefranche-sur-Mer le et mort le à Fréjus, pionnier de l'aviation.
Pierre Ponchardier, 1909-1961, résistant et contre-amiral français, y est inhumé.
Films tournés à Villefranche-sur-Mer
(Voir: Catégorie:Film tourné à Villefranche-sur-Mer)
Cinéma
La liste est très loin d'être exhaustive, plus d'une centaine de films répertoriés: la proximité des studios de la Victorine, à Nice, facilitant les choses... Notamment, on ne compte plus les tournages publicitaires.
Plusieurs scènes de films ont été tournées dans la rue Obscure de Villefranche-sur-Mer.
1899: Harbor of Villefranche[119] de William K.L. Dickson
1930: À propos de Nice, de Jean Vigo.
1942: Macao, l'enfer du jeu, de Jean Delannoy avec Eric von Stroheim et Mireille Balin.
1947: Les Maudits de René Clément avec Henri Vidal, Michel Auclair et Dalio.
1951: Capitaine sans peur (Captain Horatio Hornblower), de Raoul Walsh avec Gregory Peck et Virginia Mayo.
1953: Un acte d'amour, d'Anatole Litvak avec Kirk Douglas
1955: La Main au collet, d'Alfred Hitchcock, avec Cary Grant, Grace Kelly et Charles Vanel.
1957: Elle et lui, de Leo McCarey, avec Cary Grant et Deborah Kerr.
1959: Les Régates de San Francisco, de Claude Autant-Lara avec Danièle Gaubert et Laurent Terzieff.
1961: Le Comte de Monte-Cristo, de Claude Autant-Lara avec Louis Jourdan et Yvonne Furneaux
1965: Ne nous fâchons pas, de Georges Lautner avec Lino Ventura, Jean Lefebvre, Michel Constantin et Mireille Darc.
1971: Il était une fois un flic, de Georges Lautner avec Michel Constantin et Mireille Darc.
1980: Les Fourberies de Scapin, de Roger Coggio, avec Michel Galabru, Jean-Pierre Darras.
1983: Jamais plus jamais, avec Sean Connery et Kim Basinger.
1983: Les Compères, de Francis Veber avec Pierre Richard et Gérard Depardieu
1986: Le Diamant du Nil, de Lewis Teague, avec Michael Douglas.
1993: Le Fils de la Panthère rose, de Blake Edwards, Roberto Benigni, Herbert Lom et Claudia Cardinale.
1998: Ronin, de John Frankenheimer, avec Robert De Niro et Jean Reno.
2006: Brice de Nice, de James Huth, avec Jean Dujardin et Clovis Cornillac, Élodie Bouchez et Bruno Salomone.
2009: Kiss and Kill, de Robert Luketic, avec Ashton Kutcher, Katherine Heigl et Tom Selleck.
2010: Stones in Exile, de Stephen Kijak, avec Mick Jagger, Keith Richards, Charlie Watts, Bill Wyman et Mick Taylor.
2010: W.E., de Madonna, avec Andrea Riseborough, James d'Arcy et Abbie Cornish[120].
Télévision
2006: Laura, saga estivale télévisée de M6 avec Delphine Chanéac, Yannick Soulier, Christophe Malavoy, Sophie Duez...
Panorama de la rade de Villefranche.Villefranche-sur-Mer et la rade de Villefranche vus du Mont Boron.
Notes et références
Notes
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
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