Wissembourg[visɑ̃buʁ] (prononcé Waïssebouaïsch[pasclair][réf.souhaitée] en francique méridional, le dialecte germanique local) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Ses habitants sont appelés les Wissembourgeois.
Elle avait le statut de sous-préfecture jusqu'au , date du rattachement de l'arrondissement avec celui de Haguenau pour former l'arrondissement de Haguenau-Wissembourg[1].
Géographie
Situation
Vue de Wissembourg et du clocher de l'église Saint-Pierre-et-Paul.
Wissembourg est située à l'extrême nord de l'Alsace, à la pointe nord-est de la France. Elle possède une frontière commune avec l'Allemagne (Land de Rhénanie-Palatinat). La commune est traversée par la Lauter, affluent gauche du Rhin, qui prend sa source en Allemagne.
Wissembourg est aussi éloigné à vol d'oiseau de Kaliningrad (Russie) que de Hendaye dans les Pyrénées-Atlantiques, soit 987 km.
Le centre-ville, ainsi que la partie ouest du ban communal, sont rattachés au parc naturel régional des Vosges du Nord, ce qui confère à la commune le titre de «ville-porte du parc».
Wissembourg administre également la forêt du Mundat, située en territoire allemand[réf.souhaitée].
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.
Écarts et lieux-dits
Altenstadt, un village à part entière de 1 012 habitants et qui a fusionné avec Wissembourg en 1974;
Lors de l'effondrement du fossé rhénan, les terrains jurassiques ont été érodés. Au sud des Vosges, l'érosion s'est poursuivie, s'attaquant également aux terrains triasiques, mettant le socle hercynien à nu, alors qu'au nord des Vosges, les terrains triasiques recouvrent encore le socle.
Seuls des affleurements de granite à Windstein, et des affleurements de grauwacke à Weiler, lieu-dit de Wissembourg, laissent entrevoir le socle[2].
Urbanisme
Typologie
Wissembourg est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Wissembourg (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 1 communes[6] et 7 487 habitants en 2019, constituant une ville isolée[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Wissembourg (partie française), dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,1% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (52,1%), terres arables (22,1%), zones agricoles hétérogènes (9,3%), zones urbanisées (5,7%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2%), cultures permanentes (3,4%), prairies (2%), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7%), mines, décharges et chantiers (0,6%)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Mobilités
Article connexe: Communauté de communes du Pays de Wissembourg: Transports.
Traversée par l'itinéraire cyclable de la Lauter (Lauterbourg – Dahn) et par un des chemins de Compostelle en provenance de Rhénanie-Palatinat, elle est ville départ du sentier de grande randonnée 53 (rectangle rouge) qui, par les crêtes des Vosges, rallie Masevaux, à l'extrémité sud.
Toponymie
Le nom latin, utilisé dans les sources ecclésiastiques, était Sebusium[13].
D'un nom de personne germanique Wizzo(n) + burg[14].
Au XVIIIesiècle, les Allemands, pour distinguer ce Wissembourg de plusieurs autres endroits du même nom, l'appelait Kronweissenbourg[16].
Waisseburch ou Weisseburch en francique méridional, Wisseburi en alémanique, Weißenburg en allemand.[réf.nécessaire]
Histoire
Wissembourg au XVIIesiècle.
L'abbaye Saint-Pierre-et-Saint-Paul est fondée sur le site au VIIesiècle par des nobles austrasiens sur une île de la Lauter. Saint Pirmin y a introduit la règle de saint Benoît. Elle s'éleva bientôt à la tête d'un vaste domaine de plus de 200 km2, et s’enrichit au point de devenir l’abbaye la plus riche d’Alsace et d'obtenir le rang de principauté en 974.
Le XIesiècle est marqué par la construction d’une église romane, dont il subsiste le clocher-beffroi.
Pendant le XIIesiècle et le XIIIesiècle, le village qui naît autour de l'abbaye s'étend rapidement et cherche à s'émanciper de sa tutelle, d'où de nombreux conflits.
La ville obtient d'avoir des membres au conseil et atteint alors son apogée. Sa richesse lui vient de la production de draps, de vins et de châtaignes.
Au XIVesiècle, Wissembourg accentue son indépendance vis-à-vis de l’abbaye, et la ville devient membre de la Décapole en 1354. Ses dirigeants refusent alors de prêter allégeance au nouvel abbé.
À la mort de l'abbé Philippe d'Erpach, en 1469, il laissa l'abbaye considérablement endettée. Le nouvel abbé, Jean de Bruck, essaya de relever l'abbaye. Cependant le comte palatin Frédéric Ier le Victorieux, landvogt de Haguenau, décida d'intervenir en tant que préfet de la Décapole. Il envoya dans l'abbaye des inspecteurs et des moines de la congrégation de Burckfeld. Mais l'abbé décida de se retirer au château de Drachenfels avec le prieur Antoine de Linange. Les interventions des moines remirent en cause les biens-fonds que possédaient des bourgeois de Wissembourg qui se révoltèrent et chassèrent les hommes du comte palatin. Ils demandèrent alors à l'abbé de revenir à Wissembourg. Les dégâts importants qui en résultèrent sur les biens poussèrent les deux partis à discuter en février 1470. Cependant l'empereur Frédéric III attisa le conflit. En décembre 1471, la paix fut conclue. L'abbé Jean de Bruck et son prieur restèrent en place, mais aussi les moines réformateurs.
Ces différents conflits mènent au XVesiècle à la destruction de la ville par le comte Palatin, allié de l’abbaye. Le comte palatin décida d'assiéger la ville et de la bombarder.
De 1485 à 1503, le chevalierie Hans von Trotha, grand maréchal du comte palatin Philippe l'Ingénu, tyrannisa les habitants de Wissembourg. Il est à l'origine de la légende de Hans Trapp.
Au XVIesiècle, la Réforme fait son apparition dans la ville et connaît un grand succès. Arrive alors une période sombre: Guerre des paysans en Alsace et en Lorraine (1525), guerre de Trente Ans et les passages des multiples armées. En 1648, il ne lui reste plus alors que 140 habitants.
À la signature du deuxième traité de Westphalie en 1648, qui clôt cette guerre de Trente Ans, la France considère que les villes de la Décapole, dont Wissembourg, passent sous sa domination (avec les possessions des Habsbourg en Alsace, et non toute l'Alsace comme on le voit souvent écrit). Ce traité de Münster, en effet, est ambigu et sujet à interprétation. Cependant, la Décapole n'entend nullement se soumettre aux Français, et ses villes refusent de reconnaître Louis XIV comme leur souverain. Il s'ensuivra une sévère campagne militaire de mise au pas, et Wissembourg sera prise, incendiée et pillée le . Elle finira alors, avec ses consœurs de la Décapole, par se soumettre à la France en 1680, le Saint-Empire romain germanique n'ayant pas pu les secourir.
Stanislas Leszczynski, roi de Pologne en exil, séjourne à Wissembourg de 1719 à 1725, avec sa famille, notamment sa fille Marie. Ils sont hébergés dans une maison prêtée par le bailli Weber, ensuite appelée palais Stanislas. Protégé par le duc de Bourbon, principal ministre depuis la mort du Régent, Stanislas envisage de lui faire épouser Marie. Mais, en 1725, le duc d'Antin arrive de Paris et annonce que c'est Louis XV, le roi de France (âgé de 15 ans), qui a pour se marier fixé son choix sur Marie (22 ans). Un mariage par procuration (le roi est représenté par Louis d'Orléans) a lieu à la cathédrale de Strasbourg le (Marie devient dès cette date la reine), avant la cérémonie définitive, le , à Fontainebleau.
À la Révolution, les moines sont expulsés et les biens de l’abbaye sont vendus.
La bataille de Wissembourg (décembre 1793) fut une bataille de la Révolution française. Elle est inscrite en hommage sur l'Arc de Triomphe.
Wissembourg au XIXesiècle (plan du commandant Delaperche, vers 1853).
La bataille de Wissembourg (1870), qui fut la première des batailles de la guerre de 1870, a lieu sur les hauteurs au sud de la ville, le , sur le Geisberg. À l'issue de la guerre et de la défaite de la France, l’Alsace et la ville deviennent allemandes. La ville recouvre alors une certaine prospérité[réf.nécessaire]. Son histoire suit depuis lors celle du reste de l’Alsace.
Pendant l'hiver 1944-1945, Wissembourg a été endommagée par les tirs d'artillerie et les combats qui se sont déroulés dans la région. Libérée une première fois le , puis reprise par les Allemands, la ville n'a été définitivement reconquise que le , par l'opération Undertone de la 7e armée du général Patch.
Vue panoramique partielle de Wissembourg avec, tout à droite, la maison du Sel (XVesiècle).
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes du Bas-Rhin.
Gobelet de magistrat aux armes de Wissembourg (Michael Widder, 1695).
Les armes de Wissembourg se blasonnent ainsi: «De gueules au château coulissé d'argent, ouvert du champ, ajouré et maçonné de sable.»[17].
Le village d'Altenstadt a son propre blason.
Les armes d'Altenstadt se blasonnent ainsi: «d'argent à un fer à cheval de sable».
L'entreprise Bruker fabrique des spectromètres et des appareils de résonance magnétique.
Personnalités liées à la commune
Stanislas Leszczyński, roi de Pologne.
Le moine Otfried de Wissembourg (790–870), écrivain. Le collège de la ville porte aujourd'hui son nom.
Stanislas Leszczyński, roi de Pologne de 1704 à 1709, s'exila à Wissembourg et y vécut de 1719 à 1725. Le lycée de la ville porte aujourd'hui son nom.
Pierre-Paul Botta, général né à Wissembourg en 1741 et mort à Vannes en 1795.
Jacob Job Elie (1746-1825), général ayant participé à la prise de la Bastille.
Jean-Gotthard Grimmer (1749-1820), pasteur à Wissembourg puis député à la Convention nationale le 10 ventôse an III () en remplacement de Philibert Simond.
Ferdinand Daniel Marx (1761-1839), général de cavalerie français et baron du Premier Empire.
Frédéric Michel Lajolais, général né à Wissembourg en 1765 et mort au château d'If en 1809.
Georges Michel Léopold Labbé de Waudré, général né à Wissembourg en 1766 et mort à Toulouse en 1815.
Louis Apffel (1777-1847), avocat, maire, conseiller général et amateur d'art, né à Wissembourg.
Charles Westercamp (1799-1871), député du Bas-Rhin, né à Wissembourg.
Jean Frédéric Wentzel (1807-1869) et l'Imagerie de Wissembourg.
Louis Moll, agronome né à Wissembourg en 1809 et décédé en 1880.
Joseph Guerber, écrivain et député protestataire, né à Wissembourg en 1824 et décédé en 1909.
Philippe Gaspard Gauckler (1826-1905) ingénieur en génie civil, officier de la Légion d’honneur auteur de la formule de Gauckler-Manning-Strickler.
Auguste Dreyfus (1827-1897), grand financier et homme d'affaires français.
Joseph von Stichaner (1838-1889), Kreisdirektor à Wissembourg (monument au sud de la ville), président du Bas-Rhin.
Ludwig Bossler (1838-1913), philologue allemand, botaniste alsacien et directeur de gymnasium Wissembourg 1871-1874.
Charles-Emile Matthis travailla comme lithographe dès 1863 pour l'imprimerie Wentzel de Wissembourg[20].
Charles Marbach Karl Marbach, (1841-1916), Évêque de Paphus et membre du clergé de Strasbourg de 1891 à 1901.
Charles Mewès (1858-1914), architecte.
Charles de Foucauld (1858-1916), explorateur et religieux, habita quelques années de son enfance à Wissembourg.
Alexander zu Hohenlohe-Schillingsfürst, (1862-1924) député du Reichstag pour la circonscription électorale du Reichsland Elsaß-Lothringen 10 (Alsace-Lorraine) de 1893 à 1903, diplomate, éditeur, nommé citoyen d'honneur de Wissembourg en 1903.
André Bloch (1873–1960), compositeur français.
Heinrich Boell (1890–1947), musicien allemand organiste et chef de chœur.
Oskar Joost (1898–1941), musicien allemand.
Marie Gross née Krebs (1899-1964), résistante ayant permis l'évasion d'une soixantaine de prisonniers de guerre français pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les monuments classés «Monuments historiques» de Wissembourg
Monuments classés monuments historiques
Église Saint-Pierre-et-Paul, ancienne abbatiale et dernier vestige de l'abbaye du XIIIesiècle, classée en 1930[21]. Cette église est le deuxième plus grand bâtiment de style gothique original en Alsace après la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg. On y a trouvé le Christ de Wissembourg, plus ancien vitrail figuratif connu, exposé au musée de l'Œuvre Notre-Dame à Strasbourg. La tour carrée côté ouest est datée de 1075. Côté nord se trouvent les restes du cloître de l'abbaye, jamais achevé, qui permet d'accéder à une chapelle romane du XIesiècle. L'église contient également une monumentale peinture murale de 11 mètres de haut, datant probablement du XIVesiècle et représentant saint Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras. D'autres fresques anciennes et vitraux sont également visibles.
L'intersection du 49e parallèle nord et du 8e méridien à l'est de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir aussi le Degree Confluence Project).
Synagogue la première datée de 1805, remplacée par une nouvelle en 1872 et détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale. Une troisième fut construite après la guerre[48].
Cimetières: cimetière de l'église paroissiale Saint-Ulrich, cimetière chrétien, cimetière juif[49],[50],[51].
Église Saints-Pierre-et-Paul.
Tour romane de l'église Saints-Pierre-et-Paul.
Fresque Saint Christophe tenant l'enfant Jésus dans ses bras (XIVesiècle).
Chef d'entreprise Conseiller général du canton de Wissembourg (1985 → 2015) 1er vice-président du conseil général du Bas-Rhin (2001 → 2008) Vice-président du conseil général du Bas-Rhin (1992 → 2015)
Infirmière libérale 1re vice-présidente de la CC du Pays de Wissembourg (2020 → )
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[58].
En 2019, la commune comptait 7 487 habitants[Note 3], en diminution de 3,48% par rapport à 2013 (Bas-Rhin: +2,76%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
3 685
4 097
4 763
5 696
6 097
6 245
6 811
6 884
6 550
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1871
1875
1880
1885
1890
1895
5 784
5 376
5 570
5 886
6 152
6 185
5 968
5 846
6 260
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1900
1905
1910
1921
1926
1931
1936
1946
1954
6 946
6 788
6 772
5 116
5 332
5 336
5 738
4 779
4 940
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
5 278
5 704
6 784
7 311
7 443
8 170
8 008
7 978
7 757
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
7 537
7 487
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[59].)
Histogramme de l'évolution démographique
Histoire postale
Lettre de 1868 avec le cachet Gros Chiffre 4345.
Un bureau de poste a été créé à Wissembourg en 1648[60].
À partir de 1792, ce bureau utilise des marques postales linéaires qui sont libellées avec le numéro 67 (par exemple 67WISSEMBOURG - on trouve également des marques un peu plus rares avec l'orthographe 67WEISSEMBOURG)[60]. Les premiers cachets à date apparaissent en 1831[61].
En 1852, la poste affecte le numéro de cachet petit chiffre 3693 à Wissembourg. En 1862, ce numéro est remplacé par le cachet «Gros Chiffres» 4345 (voir figure). En 1872, à la suite de l'annexion par l'Allemagne, ce numéro est affecté à la commune de Saint-Just-la-Pendue[62].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jaucourt, L'Encyclopédie, édition 1re, (1751), Vol. XVII, pp. 595-96.
Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, Volume 2 (1996)
François Lotz, Artistes-peintres alsaciens décédés avant 1800: Avec un complément concernant des artistes-peintres alsaciens ayant œuvré après 1800 (Artistes-peintres alsaciens.), Printek, , 383p., p.223.
Christian Gliech a été candidat du mouvement La République en marche aux élections législatives des 11 et 18 juin 2017 dans la 8e circonscription du Bas-Rhin
Jean et Vincent Pothion, Catalogue des marques postales linéaires France 1792-1832. La poste aux lettres Paris 1987
Jean Chevalier, Catalogue des cachets à date, types 11-12-13-14-15, Bureaux de direction, Départements français et Algérie, 1829-1869, Jean Chevalier, Paris, 1995
Vincent Pothion, Nomenclature des bureaux de poste français 1852-1876, La poste aux lettres, Paris, 1998
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии