Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Berre et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (les «Corbières orientales») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Villesèque-des-Corbières est une commune rurale qui compte 370 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 882 habitants en 1881. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne. Ses habitants sont appelés les Villeséquois ou Villeséquoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la chapelle de Gléon, inscrite en 1984.
La commune est dans la région hydrographique «Côtiers méditerranéens»[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par la Berre, le ruisseau de Bébèdou, le ruisseau de Fitou, le ruisseau de la Cabayride, le ruisseau de la Font, le ruisseau de la Taillade, le ruisseau de Linas, le ruisseau de Matomègne, le ruisseau de Pech Fourcan, le ruisseau de Ripaud, le ruisseau de Saint-Pierre, le ruisseau de Sajobert, le ruisseau de Teulière, le ruisseau du Génibret et, qui constituent un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[4],[Carte 1].
La Berre, d'une longueur totale de 52,7 km, prend sa source dans la commune de Quintillan et s'écoule d'ouest en est. Elle traverse la commune et se jette dans le golfe du Lion à Port-la-Nouvelle, après avoir traversé 10 communes[5].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 0,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Durban-Corbières», sur la commune de Durban-Corbières, mise en service en 1989[11] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9°C et la hauteur de précipitations de 670 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Perpignan», sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à 35 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 15,4°C pour la période 1971-2000[15], à 15,7°C pour 1981-2010[16], puis à 16,1°C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].
La commune fait partie du parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, créé en 2003 et d'une superficie de 68 350ha, qui s'étend sur 21 communes du département[20]. Composé de la majeure partie des milieux lagunaires du littoral audois et de ses massifs environnants, ce territoire représente en France l’un des rares et derniers grands sites naturels préservés, de cette ampleur et de cette diversité en bordure de Méditerranée (Golfe du Lion)[21].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux: les «Corbières orientales»[23], d'une superficie de 25 371ha, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[25]:
le «cours amont de la rivière de la Berre» (188ha), couvrant 8 communes du département[26];
le «massif de Fontfroide méridional» (1 679ha), couvrant 4 communes du département[27];
le «plateau oriental de Villesèque-des-Corbières» (3 272ha), couvrant 4 communes du département[28];
Villesèque-des-Corbières est une commune rurale[Note 7],[32]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,8% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (74,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (71,7%), cultures permanentes (18,6%), zones agricoles hétérogènes (4,8%), forêts (4,1%), zones urbanisées (0,8%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Villesèque-des-Corbières est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Glandes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1996, 1999, 2003, 2005, 2006, 2009 et 2014[37],[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Villesèque-des-Corbières.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 58,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 288 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 288 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 94% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38],[Carte 3].
Histoire
Héraldique
Blason
D’azur aux trois tours d’or et au lambel de même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2014
avril 2020
Alain Castello
mars 2008
2014
Pierre Vidal
mars 2001
2008
Catherine Coustal
1983
2001
Jean Boyer
PS
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].
En 2019, la commune comptait 370 habitants[Note 9], en diminution de 2,63% par rapport à 2013 (Aude: +2,52%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
297
320
315
467
521
475
470
468
497
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
504
480
481
512
694
882
875
807
804
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
817
716
648
673
620
619
610
486
453
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
456
455
348
310
306
312
372
388
380
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
371
370
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 170 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 354 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 980 €[I 4] (19 240 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 233 personnes, parmi lesquelles on compte 76,4% d'actifs (61,4% ayant un emploi et 15% de chômeurs) et 23,6% d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Narbonne, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 82 emplois en 2018, contre 92 en 2013 et 90 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 145, soit un indicateur de concentration d'emploi de 56,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,9%[I 10].
Sur ces 145 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 57 travaillent dans la commune, soit 39% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,7% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7% les transports en commun, 8,3% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
34 établissements[Note 12] sont implantés à Villesèque-des-Corbières au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
34
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
8
23,5%
(8,8%)
Construction
6
17,6%
(14%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
16
47,1%
(32,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
1
2,9%
(13,3%)
Autres activités de services
3
8,8%
(8,8%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 47,1 % du nombre total d'établissements de la commune (16 sur les 34 entreprises implantées à Villesèque-des-Corbières), contre 32,3% au niveau départemental[I 14].
Entreprises
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[43]:
VHC France, culture de la vigne (153 k€)
La Villesequoise, transports routiers de fret de proximité (96 k€)
Agriculture
La commune est dans la «Région viticole» de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département[44], également dénommée localement «Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin»[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 6].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 65 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 53 en 2000 puis à 25 en 2010[46] et enfin à 16 en 2020[Carte 7], soit une baisse de 75% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[47],[Carte 8]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 593ha en 1988 à 217ha en 2020[Carte 9]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 14ha[46].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Chapelle de Gléon. La Chapelle (à l'exclusion des deux chapelles modernes situées au Nord) a été inscrite au titre des monuments historiques en 1984[48].
Église Saint-André de Villesèque-des-Corbières
Château de Gléon
Forêt de Fontfroide
Gorges de Turi ou de Ripaud sont inscrits au titre des sites naturels depuis 1943[49].
Vie locale
SFYI (Southern France Youth Institute) est un institut privé qui accueille des étudiants principalement des États-Unis pour venir y apprendre la langue et la culture françaises. Elle est dorénavant fermée.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Paul Courrent, «Villesèque-des-Corbières - Seigneurie de Villesèque - La famille de Pompadour du Languedoc», dans Bulletin de la Société d'études scientifiques de l'Aude, 1928, 38e année, tome 32, p.86-104(lire en ligne)
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