Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Aussou, le ruisseau de la Caminade, le ruisseau de Saint-Estève et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (les «Corbières orientales») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-André-de-Roquelongue est une commune rurale qui compte 1 369 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne. Ses habitants sont appelés les Saint-Andrélongois ou Saint-Andrélongoises.
Géographie
Représentations cartographiques de la commune
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Avec les communes environnantes
1: carte dynamique; 2. carte OpenStreetMap; 3: carte topographique; 4: avec les communes environnantes
Commune de l'aire urbaine de Narbonne située dans les Corbières.
Communes limitrophes
Saint-André-de-Roquelongue est limitrophe de neuf autres communes.
Communes limitrophes de Saint-André-de-Roquelongue[1]
La superficie de la commune est de 3 081 hectares; son altitude varie de 48 à 291mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec l'ancienne route nationale 613.
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique «Côtiers méditerranéens»[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par l'Aussou, le ruisseau de la Caminade, le ruisseau de Saint-Estève, le ruisseau d'Alvern, le ruisseau de Font-Sainte, le ruisseau de la Grave, le ruisseau de la Lauzade, le ruisseau de la Piale, le ruisseau de la Pinède, le ruisseau de l'Oustesse, le ruisseau de Pradines, le ruisseau de Saint-Romé, le ruisseau des Aragnés, le ruisseau des Clauses,, qui constituent un réseau hydrographique de 40 km de longueur totale[5],[Carte 1].
L'Aussou, d'une longueur totale de 17,4 km, prend sa source dans la commune de Thézan-des-Corbières et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Orbieu à Ornaisons, après avoir traversé 6 communes[6].
Le ruisseau de la Caminade, d'une longueur totale de 10,5 km, est entièrement situé sur la commune. Il prend sa source au niveau du bois du Vicomte à 239 m d'altitude. Il s'écoule au sud, contourne le bois de la Vernède, où se situe l'ancienne chapelle romane de Saint-Martin-de-la-Vernède pour se jeter dans l'Aussou aux abords nord du bourg[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[8].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,9°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 0,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 12,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Portel-des-Corbières», sur la commune de Portel-des-Corbières, mise en service en 1971[13] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,2°C et la hauteur de précipitations de 640,4 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Carcassonne», sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 41 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,7°C pour la période 1971-2000[17], à 14,1°C pour 1981-2010[18], puis à 14,5°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].
La commune fait partie du parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée, créé en 2003 et d'une superficie de 68 350ha, qui s'étend sur 21 communes du département[22]. Composé de la majeure partie des milieux lagunaires du littoral audois et de ses massifs environnants, ce territoire représente en France l’un des rares et derniers grands sites naturels préservés, de cette ampleur et de cette diversité en bordure de Méditerranée (Golfe du Lion)[23].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux: les «Corbières orientales»[25], d'une superficie de 25 371ha, correspondant à la partie la plus orientale du massif des Corbières audoises. Ce site inclut, dans sa partie la plus orientale, le couloir de migration majeur du littoral languedocien, d'où la présence régulière d'espèces en étape migratoire[26].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[27]:
le «massif de Fontfroide méridional» (1 679ha), couvrant 4 communes du département[28] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[27]:
le «massif de Fontfroide» (7 712ha), couvrant 10 communes du département[29].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-André-de-Roquelongue.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-André-de-Roquelongue est une commune rurale[Note 7],[30]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Narbonne, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,2% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (35,3%), cultures permanentes (34,3%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,9%), zones agricoles hétérogènes (4,2%), zones urbanisées (2,2%)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-André-de-Roquelongue est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Glandes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1992, 1996, 1999, 2009, 2012, 2014 et 2017[35],[33].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-André-de-Roquelongue.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,6% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 760 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 760 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 94% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 3].
Toponymie
Histoire
Héraldique
Lorsque, par un édit de 1696, Louis XIV veut remédier aux abus héraldiques, ses conseillers n'oublient pas de faire créer de nouveaux offices et d'imposer l'enregistrement des armoiries.
Il est probable que la communauté de Saint-André ne pouvait financer un tel projet dont elle ne voyait pas l'utilité puisqu'elle n'hébergeait pas un seigneur particulier, et qu'elle partageait les affaires communales avec celle de Montséret.
Voici quelques années, un spécialiste en héraldique a imaginé un blason pour la commune en utilisant les armes de Fontfroide.
Blason
D’argent au sautoir ancrée de gueules, à l’écusson d’or chargé d’une croix cléchée et pommetée de douze pièces (croix occitane) aussi de gueules, brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[37],[38].
Rattachements administratifs et électoraux
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans l'Aude.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].
En 2019, la commune comptait 1 369 habitants[Note 9], en augmentation de 5,47% par rapport à 2013 (Aude: +2,52%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
200
320
368
363
368
403
405
397
448
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
425
417
493
523
624
958
1 111
1 228
1 190
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 194
1 123
1 023
1 125
1 103
1 125
1 092
903
903
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
866
813
756
680
755
828
959
1 003
1 092
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 354
1 369
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 582 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 1 375 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 800 €[I 4] (19 240 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 781 personnes, parmi lesquelles on compte 77% d'actifs (65,9% ayant un emploi et 11,1% de chômeurs) et 23% d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Narbonne, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 163 emplois en 2018, contre 163 en 2013 et 140 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 526, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,9% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,9%[I 10].
Sur ces 526 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 110 travaillent dans la commune, soit 21% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,2% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5% les transports en commun, 3,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
92 établissements[Note 12] sont implantés à Saint-André-de-Roquelongue au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
92
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
8
8,7%
(8,8%)
Construction
27
29,3%
(14%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
23
25%
(32,3%)
Information et communication
1
1,1%
(1,6%)
Activités financières et d'assurance
1
1,1%
(2,7%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
10
10,9%
(13,3%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
12
13%
(13,2%)
Autres activités de services
10
10,9%
(8,8%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,3 % du nombre total d'établissements de la commune (27 sur les 92 entreprises implantées à Saint-André-de-Roquelongue), contre 14% au niveau départemental[I 14].
Entreprises
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48]:
Saint-Andre Construction, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (390 k€)
Domaine Du Bugua Daniel Abadie, culture de la vigne (182 k€)
SARL Sandhuce, commerce de détail d'habillement en magasin spécialisé (148 k€)
Markus Berres SARL, travaux de menuiserie bois et PVC (130 k€)
EURL Menuiserie Sanchez, travaux de menuiserie bois et PVC (72 k€)
Viticulture: Languedoc (AOC), Coteaux-de-narbonne
Agriculture
La commune est dans la «Région viticole» de l'Aude, une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département[49], également dénommée localement «Corbeilles Minervois et Carcasses-Limouxin»[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 6].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 124 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 72 en 2000 puis à 42 en 2010[51] et enfin à 38 en 2020[Carte 7], soit une baisse de 69% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[52],[Carte 8]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 005ha en 1988 à 682ha en 2020[Carte 9]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 8 à 18ha[51].
Enseignement
Saint-André-de-Roquelongue fait partie de l'académie de Montpellier.
Culture et festivités
Activités sportives
Randonnée pédestre, chasse,
Rugby à XV
Football Club de Saint-André créé en 1913 devenu Rugby Club Saint Andréen en 1920, Étoile de Saint-André en 1974, Étoile de Saint-André Durban en 1994, Union des Corbières Cathares en 1996 après l'entente avec Montséret et Bizanet puis Étoile Sportive de Saint-André Bizanet en 2001[53].
Vice-champion de France de 1resérie en 2006
Champion du Languedoc de 1resérie en 2006
Champion du Languedoc de 1resérie en 1998
Vice-champion de France de 2esérie en 1997
Champion de France de 3esérie en 1996
Vice-champion de France de 4esérie en 1995
Vice-champion de France de 4esérie en 1989
Champion du Languedoc de 4esérie en 1989
Champion de France Honneur en 1982
Vice-champion de France de 1resérie en 1980
Vice-champion de France de 2esérie en 1979
Écologie et recyclage
Forêt de Fontfroide
Culture locale et patrimoine
L'église du XIIesiècle de Saint-André-de-Roquelongue.
Lieux et monuments
Église Saint-André de Saint-André-de-Roquelongue (XIIesiècle).
Chapelle Saint-Martin de la Vernède: Cette chapelle en ruine, située sur la colline de la Vernède, à 225 m d'altitude, est un édifice de style romano-lombard, qui remonte peut-être à l'époque wisigothique (VIIIe siècle). Elle est devenue ermitage, prenant le nom de Saint-Jacques, au XVIIe siècle.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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