Villepinte Écouter est une commune française, située dans le nord-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.
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Villepinte | |
![]() Centre-ville. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Carcassonne |
Intercommunalité | Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère |
Maire Mandat |
Alain Rouquet 2020-2026 |
Code postal | 11150 |
Code commune | 11434 |
Démographie | |
Gentilé | Villepintois |
Population municipale |
1 276 hab. (2019 ![]() |
Densité | 83 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 16′ 57″ nord, 2° 05′ 14″ est |
Altitude | Min. 124 m Max. 202 m |
Superficie | 15,4 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Castelnaudary (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de la Piège au Razès |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.villepinte11.fr |
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Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal du Midi, le Fresquel, le ruisseau de Tenten, le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de Mézeran et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Villepinte est une commune rurale qui compte 1 276 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Villepintois ou Villepintoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Jean-Baptiste, inscrite en 1949.
Commune située dans le Lauragais au nord de Bram, dans l'aire d'attraction de Castelnaudary.
Villepinte est limitrophe de cinq autres communes.
Lasbordes | Villespy | Carlipa |
Pexiora | ![]() |
Saint-Martin-le-Vieil |
Villasavary | Bram |
La superficie de la commune est de 1 540 hectares ; son altitude varie de 124 à 202 mètres[2].
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par le canal du Midi, le Fresquel, le ruisseau de Tenten, le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de Mézeran, Rec Danise, le ruisseau de l'Abreuvoir et le ruisseau de la Goutine, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[5],[Carte 1].
Le canal du Midi, d'une longueur totale de 239,8 km, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le xviie siècle[6].
Le Fresquel, d'une longueur totale de 63 km, prend sa source dans la commune de Baraigne et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans l'Aude à Carcassonne, après avoir traversé 22 communes[7].
Le ruisseau de Tenten, d'une longueur totale de 21 km, prend sa source dans la commune des Cammazes et s'écoule vers le sud-est. Il traverse la commune et se jette dans le Lampy à Saint-Martin-le-Vieil, après avoir traversé 9 communes[8].
Le ruisseau de Tréboul, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune de Mas-Saintes-Puelles et s'écoule vers le sud-est. Il traverse la commune et se jette dans le Fresquel sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[9].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[10].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bram », sur la commune de Bram, mise en service en 1970[15] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 679 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 23 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[19], à 14,1 °C pour 1981-2010[20], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[21].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[22] : les « gravières et plaine de Bram » (2 381 ha), couvrant 6 communes du département[23].
Villepinte est une commune rurale[Note 5],[24]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,5 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), zones urbanisées (5,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Villepinte est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Glandes. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2000 et 2009[29],[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 581 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 581 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 3].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].
Dans l'Antiquité, cent ans avant notre ère, le village portait le nom d'Aricie, identique au nom d'une ville romaine du nom d'Aricia, près de Rome ; en est resté le nom de la rivière qui traverse le territoire du nord au sud : l'Arize.
Vers 430, les Wisigoths occupent le pays.
Villepinte apparaît, dans les sources historiques à notre disposition, au début du IXe siècle, en 816 : c'est une des deux villae (l'autre étant Villemagne) données à l'abbaye de Sorèze par le roi Pépin d'Aquitaine. Dans cette période, le village prend le nom de Villa Pictis ou Villa Picta (vers 1120).
Villepinte est une étape systématiquement mentionnée sur les itinéraires routiers du XIVe au XVIIe siècle et a été un centre économique important lié au commerce du drap en Languedoc. Témoin son blason 'de gueules, à un peigne d'or posé en fasce', d'après les archives commerciales de 1400 d'un marchand italien, monsieur Dantini.
Du 26 août 816 et jusqu'à la Révolution, les commanditaires de l'abbaye de Sorèze en sont les seigneurs, dont le plus connu, François de Rogier, baron de Ferrals, transige avec la communauté villageoise en 1646 et laisse en outre la liberté de pêcher et de chasser.
Une étape sur la voie romaine
L'origine du nom est gallo-romaine : villa pinta ou villa picta, c'est-à-dire ville peinte. Le long des routes romaines, les tavernes étaient peintes en rouge.
Villepinte est l'une des villae du haut Moyen Âge, attestée par les textes : elle apparaît dans les sources historiques au début du IXe siècle.
Une possession ecclésiale
Villepinte reste toute son histoire médiévale possession de l'abbaye bénédictine de Sorèze. Un château y est néanmoins établi et le village est fortifié, laissant à l'extérieur le site ecclésial.
Le village se trouve sur le tracé du 'chemin français' parallèle à la voie antique d'Aquitaine, à l'endroit où ce dernier franchit le Fresquel. On en déduit l'ancienneté de cette voie, qui passe aussi à Villarzens (actuellement à hauteur de la Leude, à l'intersection de la RD 6123 et de la route conduisant à Bram).
Les plans et les compoix permettent de caractériser nettement les trois parties de l'agglomération : à l'est, le cimetière et l'église, à l'ouest, le château et au centre le village castral avec son enceinte.
Les Pénitents noirs
La chapelle Saint-Laurent ou chapelle des Pénitents noirs, orientée nord-sud, était le seul édifice religieux dans le village, sans qu'il soit possible de situer aucun.
L'église Saint-Jean-Baptiste
C'est vers la fin du XVe et au début du XVIe siècle que l'église a été transférée à son emplacement actuel, hors de l'ancienne enceinte fortifiée et sur l'emplacement d'une chapelle rurale d'origine romane dédiée à Notre-Dame conservée et englobée dans le nouvel édifice flamboyant.
L'église ne possédait pas de clocher, celui-ci se trouvant à proximité sur une de portes dé la ville. Le clocher, ainsi qu'un porche aux proportions excessives, ont été édifiés en 1807.
Un village rural
En l'an 1789, il est recensé à Villepinte 236 feux, soit, à raison de 4,5 habitants par feu, 995 habitants et en 1896, la commune compte 986 habitants. Durant cette période de deux siècles, la moyenne se situera plutôt autour de 1080/1100 habitants (avec une pointe de 1247 habitants au milieu du XIXe siècle, en 1841).
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Blason | De gueules au peigne d’or posé en fasce. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[32],[33].
Commune faisant partie de la communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère et du canton de la Piège au Razès (avant le redécoupage départemental de 2014, Villepinte faisait partie de l'ex-canton de Castelnaudary-Sud).
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 2001 | En cours | Alain Rouquet | PS | Vice-Président de la communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2019, la commune comptait 1 276 habitants[Note 7], en augmentation de 0,71 % par rapport à 2013 (Aude : +2,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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1 013 | 1 016 | 1 159 | 1 123 | 1 195 | 1 231 | 1 247 | 1 204 | 1 216 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 158 | 1 078 | 1 000 | 1 076 | 1 032 | 1 090 | 1 159 | 1 002 | 986 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
952 | 942 | 905 | 789 | 758 | 733 | 805 | 777 | 807 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
820 | 771 | 762 | 916 | 1 017 | 1 024 | 1 180 | 1 212 | 1 228 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 284 | 1 276 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[38] | 1975[38] | 1982[38] | 1990[38] | 1999[38] | 2006[39] | 2009[40] | 2013[41] |
Rang de la commune dans le département | 57 | 68 | 48 | 49 | 50 | 44 | 47 | 50 |
Nombre de communes du département | 439 | 436 | 435 | 437 | 438 | 438 | 438 | 438 |
Villepinte fait partie de l'académie de Montpellier.
Chasse, pétanque, randonnée pédestre,
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 522 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 203 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 230 €[I 4] (19 240 € dans le département[I 5]).
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 11,7 % | 16,7 % | 14,8 % |
Département[I 7] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 784 personnes, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (60,8 % ayant un emploi et 14,8 % de chômeurs) et 24,4 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 174 emplois en 2018, contre 224 en 2013 et 255 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 483, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,3 %[I 10].
Sur ces 483 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 74 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 5,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
74 établissements[Note 10] sont implantés à Villepinte au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 74 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 6 | 8,1 % | (8,8 %) |
Construction | 14 | 18,9 % | (14 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 24 | 32,4 % | (32,3 %) |
Information et communication | 1 | 1,4 % | (1,6 %) |
Activités financières et d'assurance | 1 | 1,4 % | (2,7 %) |
Activités immobilières | 3 | 4,1 % | (5,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 9 | 12,2 % | (13,3 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 9 | 12,2 % | (13,2 %) |
Autres activités de services | 7 | 9,5 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,4 % du nombre total d'établissements de la commune (24 sur les 74 entreprises implantées à Villepinte), contre 32,3 % au niveau départemental[I 14].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :
En 2019, la commune possède quelques commerces dont : une station-service complétée d'une supérette avec un four boulanger, un coiffeur, une auto-école, une boulangerie, une pizzeria, une agence immobilière, un tabac-presse, un restaurant, une poste (horaires limités)...
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 32 | 18 | 11 | 9 |
SAU[Note 12] (ha) | 1 233 | 933 | 1034 | 732 |
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude[43],[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 6]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (32 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 732 ha[45],[Carte 7],[Carte 8].
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