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Villeneuve-Saint-Georges est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.

Villeneuve-Saint-Georges

La mairie.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement L'Haÿ-les-Roses
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand-Orly Seine Bièvre
Maire
Mandat
Philippe Gaudin (DVD)
2020-2026
Code postal 94190
Code commune 94078
Démographie
Gentilé Villeneuvois
Population
municipale
34 890 hab. (2019 )
Densité 3 987 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 43′ 57″ nord, 2° 26′ 59″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 93 m
Superficie 8,75 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Cantons de Choisy-le-Roi et de Villeneuve-Saint-Georges
Législatives 3e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Villeneuve-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : France
Villeneuve-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
Villeneuve-Saint-Georges
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Villeneuve-Saint-Georges
Liens
Site web https://www.villeneuve-saint-georges.fr/

    Ses habitants sont appelés les Villeneuvois[1].


    Géographie



    Situation


    Cartographies de la commune
    La commune dans le département
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Villeneuve-Saint-Georges est située au sud du département du Val-de-Marne, partie intégrante de l’agglomération parisienne dans la région Île-de-France. La latitude est de 48.7325 et la longitude de 2.449722. Villeneuve se situe à 16 kilomètres au sud de Paris. La Seine la sépare de la commune de Villeneuve-le-Roi[2]. La ville a une superficie de 8,75 km2 ou de 875 hectares[3]. Villeneuve est limitrophe avec le département voisin de l'Essonne. Villeneuve se trouve dans la Brie française.

    Choisy-le-Roi Valenton Valenton
    Orly N Valenton
    O    Villeneuve-Saint-Georges    E
    S
    Villeneuve-le-Roi, Vigneux-sur-Seine Montgeron Crosne

    Relief et géologie


    Villeneuve est divisée en deux parties principales : la partie du plateau, où se trouvent le fort et l'église Saint-Georges, qui domine Villeneuve et la plaine, avec les ensembles d'habitations comme les HBM, le Foyer villeneuvois, le quartier Nord… Le plus haut point s'élève à 91 m d’altitude et le plus bas à 30 m[4].


    Hydrographie


    Les quais de Seine à Villeneuve-Saint-Georges
    Les quais de Seine à Villeneuve-Saint-Georges

    Deux cours d'eau traversent Villeneuve :


    Climat


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    Voies de communication et transports



    Transports en commun

    La gare de Villeneuve-Saint-Georges.
    La gare de Villeneuve-Saint-Georges.
    La gare de triage de Villeneuve-Saint-Georges, raccordée aux voies ferrées de Paris à Lyon et à la ligne de grande ceinture de Paris.
    La gare de triage de Villeneuve-Saint-Georges, raccordée aux voies ferrées de Paris à Lyon et à la ligne de grande ceinture de Paris.

    La commune est au centre d'un nœud ferroviaire, avec l'axe Paris - Lyon, et par la ligne de Grande Ceinture. Il y a aussi le dépôt de locomotives et de TGV du Sud-Est de l'Île-de-France, et une importante gare de triage.

    Deux gares de la ligne D du RER desservent la commune : Villeneuve-Triage et Villeneuve-Saint-Georges.

    Plusieurs lignes de transports en commun desservent la commune :


    Voies routières

    La N 6 passe par le centre de Villeneuve.


    Câble 1

    Le projet du Câble 1 (ex-Téléval) Créteil - Valenton - Limeil-Brévannes - Villeneuve-Saint-Georges est actuellement à l'étude. Cette liaison par téléphérique urbain de type télécabine pourrait relier le quartier du Bois Matar à la station de la ligne 8 du métro de Paris Pointe du Lac en quatorze minutes[8].


    Urbanisme



    Typologie


    Villeneuve-Saint-Georges est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[12] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

    L'histoire du territoire de Villeneuve-Saint-Georges est intimement liée à la présence du fleuve[17].


    Morphologie urbaine


    Vue aérienne de Villeneuve-Saint-Georges.
    Vue aérienne de Villeneuve-Saint-Georges.

    Villeneuve est divisée en sept quartiers :

    Localisation de Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne.
    Localisation de Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne.

    Habitat et logement


    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 13 739, alors qu'il était de 13 352 en 2013 et de 12 461 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 92,2 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 28,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 67,6 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Villeneuve-Saint-Georges en 2018 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) inférieure à celle du département (1,8 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 33,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (37,2 % en 2013), contre 45 % pour le Val-de-Marne et 57,5 pour la France entière[I 3].

    La commune respecte les dispositions de l'article 55 de la loi SRU, qui prescrit à certaines communes de disposer de 20 % ou 25 % de logements sociaux. En effet, au sens du recensement, la commune en comptait 4 070 en 2008 (37,7 % du parc des résidences principales), nombre qui s'est réduit proportionnellement à 4 130 logements HLM en 2018 (32,6 %)[I 3].

    Le logement à Villeneuve-Saint-Georges en 2018.
    Typologie Villeneuve-Saint-Georges[I 1] Val-de-Marne[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 92,2 92,5 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 1,8 9,7
    Logements vacants (en %) 7,1 5,7 8,2

    Habitations à bon marché « Anatole France »

    Dans l’entre-deux guerres, la crise du logement se fait durement sentir. Pour y remédier des habitations à bon marché (HBM) sont construites. À Villeneuve-Saint-Georges, le conseil municipal du 3 avril 1927, décide l’acquisition du terrain sis avenue Anatole-France, lieu-dit « l’Orme sainte Marie » ; les architectes sont Jean-Charles Moreux et Roger Ginsburger[19].

    Les quatre premiers immeubles sont mis en location en mars 1929. Une deuxième tranche de huit immeubles est disponible à la fin de l’année 1930. Enfin, un troisième groupe de cinq immeubles met ses logements en location dans le courant de l’année 1932. « Le village des "H. B" est né ».


    HBM « Triage »

    Dans le même esprit social qui a conduit à la construction des premiers HBM, le quartier de Triage voit s'ouvrir le les travaux de construction de trois immeubles comprenant quatre-vingt-quinze logements et deux boutiques, auxquels s'ajoutent cinquante boxes et un lavoir pour répondre aux besoins d'une population alors en constante augmentation.


    Toponymie


    Villa nova au VIIIe siècle, Villa nova Sancti Georgii[20].

    En 960, la commune sera placée sous la protection de saint Georges, un chrétien mort en martyr à Cordoue, lorsque ses reliques venues d'Espagne seront données à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés.

    Pendant la Révolution française, Villeneuve-Saint-Georges prendra le nom de Villeneuve-la-Montagne avant de reprendre son ancien nom[21].


    Histoire


    L'histoire de la commune est connue grâce à l'ouvrage de deux historiens locaux[22].


    Préhistoire et Antiquité


    Villeneuve-Saint-Georges est occupée dès le Paléolithique et le Néolithique à la confluence de l'Yerres et de la Seine ainsi qu'à Triage, comme en témoignent les vestiges archéologiques. Francis Martin a trouvé de nombreux silex au XIXe siècle.

    Après la bataille de Melun, Villeneuve est ensuite intégrée à l'Empire romain. C'est à ce moment-là qu'elle est nommée Villa Nova[23].


    Moyen Âge


    Au Moyen Âge, elle est une possession de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Le nom de saint Georges est celui d'un chrétien qui périt en martyr à Cordoue pour avoir insulté l'Islam. Les moines Usuard et Odilard ramenèrent ses restes en 858 et donnèrent son nom à la ville. Elle vit principalement de la viticulture et de l'agriculture. Elle est un lieu de passage très fréquenté par des rois, comme Saint Louis. Villeneuve possède une position particulière qui lui vaut d'être assiégée et pillée à de nombreuses reprises comme lors de la guerre de Cent Ans.


    Renaissance et Temps modernes


    Vision panoramique sur la boucle de la Seine à Villeneuve-Saint-Georges au XVIIIe siècle, depuis les jardins du château de Beauregard
    Vision panoramique sur la boucle de la Seine à Villeneuve-Saint-Georges au XVIIIe siècle, depuis les jardins du château de Beauregard

    Le , afin de délivrer Paris assiégé, le capitaine Saint-Paul[24] entre de force dans Villeneuve-Saint-Georges et passe au fil de l'épée 200 à 300 hommes qui y tenaient garnison au nom du Henri IV roi de Navarre.

    Lors des temps modernes, Villeneuve devient une ville bourgeoise. Des demeures, comme les châteaux de Beauregard et Bellevue, sont construites et des personnalités viennent à Villeneuve, comme Henri IV, Catherine de Médicis ou Mme de Sévigné[21].

    En 1652, une bataille entre l'armée royale dirigée par Turenne et Charles IV de Lorraine a lieu.


    Révolution et XIXe siècle


    Lors de La Révolution, la garde nationale fut créée et l'église fut pillée. Peu après Villeneuve redevint une ville tranquille. De nombreuses personnes vinrent habiter à Villeneuve : des compositeurs (Boieldieu), des peintres (Francesco Casanova, Karl Joseph Kuwasseg) des naturalistes (Charles Athanase Walckenaer), des ministres (Victor Duruy), des céramistes (Jean-Paul Louis Chesnel-Larossière), des ambassadeurs (Louis-Jules Mancini-Mazarini)… De nombreuses personnalités, telles Napoléon, Joachim Murat et le prince Eugène, se sont aussi arrêtés à Villeneuve. En 1876, le fort de Villeneuve est construit pour protéger Paris en prévision d'une future guerre. L’implantation du chemin de fer en 1847 modifie la ville. Le village agricole devient très vite une cité ouvrière[25].


    XXe siècle


    La place de la gare de Villeneuve-Saint-Georges, inondée lors de la crue de la Seine de 1910.
    La place de la gare de Villeneuve-Saint-Georges, inondée lors de la crue de la Seine de 1910.

    L’auberge Au réveil matin sur la commune voisine de Montgeron fut le lieu choisi pour la signature de la feuille d’engagement par les coureurs cyclistes de la première étape du premier Tour de France, le 1er juillet 1903. Mais le départ réel de l’étape sera donnée au-delà de la fourche faisant face à l’auberge soit sur Villeneuve-Saint-Georges.

    À la veille de la Première Guerre mondiale, Villeneuve-Saint-Georges compte plus de 10 000 habitants. C'est la première ville cheminote du pays avec le plus grand triage d’Europe. Les ensembles du Foyer et des HBM sont construits à ce moment-là.

    Le , à la suite de l'appel à une grève générale de 24 heures lancé par la CGT pour demander la journée de 10 heures, le repos hebdomadaire, une augmentation de salaire et la fin du travail à la tâche, des milliers de manifestants se rassemblent à Vigneux et Draveil, puis convergent vers la ville où a lieu une confrontation violente avec la gendarmerie et la troupe. On relèvera quatre morts et plus de 200 blessés parmi les ouvriers, et 69 blessés du côté des forces de l'ordre[26],[27]. Un odonyme local (« Place du 30-Juillet-1908 ») rappelle ces événements. Le lendemain, Georges Clemenceau ordonne l'arrestation de trente dirigeants de la CGT, dont son secrétaire général Victor Griffuelhes, pour neutraliser le syndicat[26].

    La Seine à Villeneuve-Saint-GeorgesThéodore Rousseau (1812-1867)
    La Seine à Villeneuve-Saint-Georges
    Théodore Rousseau (1812-1867)

    Un tableau de Théodore Rousseau qui se trouvait au Palais des Beaux-Arts de Lille a été détruit en 1916 [28]

    Pendant la Première Guerre mondiale, Villeneuve-Saint-Georges accueille le 232e Régiment d'infanterie territoriale (normalement caserné à Argentan)[29]. L'hôpital-école devient l'Hôpital auxiliaire de la société de secours aux blessés militaires (HASSBM) n°42, tandis que le groupe scolaire Ferry devient l'Hôpital auxiliaire de l'association des Dames de France (HAADF) n°248[29].

    Après l'instauration des congés payés, au moment des grands départs en vacances, le déraillement du 30 juillet 1937 fait vingt-neuf morts et cent dix blessés à la bifurcation entre les lignes de Brunoy et de Corbeil.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, la ville est bombardée par l'aviation alliée car la Wehrmacht utilise les installations ferroviaires. De nombreux Résistants sont aussi tués après le « sabotage de Triage ». Après ces événements, une nouvelle poussée démographique voit la construction des grands ensembles au quartier Nord et au Bois Matar[30].

    Au , Villeneuve-Saint-Georges qui faisait jusqu'alors partie du département de Seine-et-Oise, devient l'une des communes du nouveau Val-de-Marne.


    XXIe siècle


    Cette section n’est pas rédigée dans un style encyclopédique. Améliorez sa rédaction !

    De nos jours, elle est la ville la plus bruyante[réf. nécessaire] d’Île-de-France. Elle est placée exactement sous les lignes aériennes de l'aéroport d'Orly, situé à proximité immédiate. Aux bruits incessants des avions s'ajoutent les nuisances d'une gare routière, de la gare RER et d'un important nœud ferroviaire partagé avec Valenton, ainsi que la route nationale 6 traversant la ville dans un axe nord-sud, constamment sujette aux embouteillages.

    Villeneuve-Saint-Georges est également la ville la plus pauvre du Val-de-Marne, accueillant majoritairement une population immigrée ou issue de l'immigration. Elle rencontre des problèmes d'insalubrité et de squats.

    Souvent comparée aux villes cosmopolites et difficiles de Seine-Saint-Denis, Villeneuve-Saint-Georges n'est pas parvenue à conserver son attrait des XVIIIe et XIXe siècles. Depuis 1980, sa population ouvrière à déserté la ville et a été remplacée par une immigration massive des pays du Maghreb, d'Afrique Subsaharienne et des pays de l'Est. Plus de 110 nationalités différentes sont représentées dans la ville, celle-ci devenant l'étape finale du périple de nombreux migrants, et un lieu de regroupement des communautés parfois jugées indésirables dans la Capitale.


    Chronologie



    Antiquité


    Moyen Âge et Renaissance


    XVIIe et XVIIIe siècles


    XIXe siècle


    XXe siècle


    Politique et administration



    Rattachements administratifs et électoraux


    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[69], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et son arrondissement de Créteil, après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie de 1801 à 1919 du canton de Boissy-Saint-Léger, année où elle devient le chef-lieu du canton de Villeneuve-Saint-Georges. Ce canton est scindé par le décret du 24 décembre 1984[70] et la commune répartie entre le canton de Villeneuve-Saint-Georges et le canton de Valenton[71].

    Pour l'élection des députés, la ville fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription du Val-de-Marne.

    Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est répartie entre[72] :


    Intercommunalité


    Jusqu'en 2015, la ville n'était membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[73].

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

    La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre[74].


    Tendances politiques et résultats


    Article détaillé : Élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne.
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    Liste des maires


    Article détaillé : Liste des maires de Villeneuve-Saint-Georges.
    Liste des maires successifs depuis la Libération de la France[75],[76],[77]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1946 Henri Janin[78] PCF Ajusteur-mécanicien
    Conseiller général de Villeneuve-Saint-Georges (1937 → 1940 et 1945 → 1946)
    Décédé en fonction
    1946 1947 Charles Benoist[79] PCF Cheminot
    Député de Seine-et-Oise (1936 → 1940 et 1945 → 1958)
    1947 1957 Roger Vermot-Desroches[80] PCF Administrateur de l'hôpital
    Maire de Seloncourt (1925 → 1929 et 1931 → 1935)
    1957 1977 Marius Faïsse[81] SFIO Cheminot
    Conseiller général de Villeneuve-Saint-Georges (1964 → 1967, 1985 → 1993)
    1977 1983 Roger Gaudon[82] PCF Ouvrier pelletier
    Sénateur du Val-de-Marne (1968 → 1977)
    1983 1989 Marius Faïsse[81] UDF-PSD Cheminot
    Conseiller général de Villeneuve-Saint-Georges (1964 → 1967, 1985 → 1993)
    1989 1995 Roger-Gérard Schwartzenberg PRG Député du Val-de-Marne (3e circ.) (1986 → 2007 et 2012 → 2017)
    Secrétaire d’État (1983 → 1986)
    1995[83] 2001 Roger Grésil UDF Chef d'entreprise d'imprimerie
    mars 2001[84],[85] juillet 2001[86] Roger-Gérard Schwartzenberg PRG Député du Val-de-Marne (3e circ.) (1986 → 2007 et 2012 → 2017)
    Ministre (2000 → 2002)
    Démissionnaire à la suite de sa nomination comme ministre
    juillet 2001[87] mai 2002[88] Gérard Racine PRG Inspecteur de l'Éducation nationale
    Démissionnaire
    mai 2002 mars 2008[89] Roger-Gérard Schwartzenberg PRG Député du Val-de-Marne (3e circ.) (1986 → 2007 et 2012 → 2017)
    mars 2008[90] 3 juillet 2020 Sylvie Altman[91], PCF Attachée principale territoriale
    Conseillère régionale d'Île-de-France (1998 → 2015)
    Chevalier de l'ordre national du Mérite[92]
    4 juillet 2020 En cours Philippe Gaudin DVD  

    Sécurité


    Villeneuve possède un poste de police. Il y a aussi la caserne des sapeurs-pompiers de Paris et le centre d'instruction des sapeurs pompiers au fort de Villeneuve[93].


    Politique environnementale


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    Jumelages


    Villeneuve est jumelée avec Kornwestheim (Allemagne) et Eastleigh (Angleterre)[94].


    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[95],[Note 3].

    En 2019, la commune comptait 34 890 habitants[Note 4], en augmentation de 7,11 % par rapport à 2013 (Val-de-Marne : +3,92 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0889399649531 0901 0831 0351 0711 069
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0311 0691 7581 6272 2622 5884 3155 1936 485
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8 1789 66111 39314 03416 47719 62521 23718 29921 596
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    28 09130 46731 66428 11926 95228 36130 45032 76732 966
    2019 - - - - - - - -
    34 890--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[71] puis Insee à partir de 2006[96].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement



    Maternelles et écoles primaires


    Collèges et lycées

    À la rentrée 2007/2008, le nombre d’élèves scolarisé était de 6 206[100].


    Manifestations culturelles et festivités


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    Santé


    Villeneuve possède un hôpital intercommunal avec un pôle femmes-enfants, une clinique, la clinique du Docteur-Boyer, la résidence de Beauregard et la résidence des vignes[101].


    Sports


    Sur le plateau se trouvent les stades Clément-Ader A et B. Il y a aussi le stade SNCF et une piscine.


    Médias


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    Cultes


    On trouve dans cette ville les différentes composantes religieuses que l'on trouve en France. Les Catholiques ont actuellement cinq lieux de cultes : l'église Notre-Dame-de-Lourdes (av. Anatole France), la chapelle Saint-Louis (quartier nord), la chapelle Saint-Joseph (plateau), l'église Sainte-Geneviève (Triage) et l'église Saint-Georges (la plus ancienne). Les communautés protestantes, juives y sont aussi présentes par différents lieux de cultes.


    Économie



    Revenus de la population et fiscalité


    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 835 , ce qui plaçait Villeneuve-Saint-Georges au 26 669e rang ex-æquo parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole, ainsi qu'au dernier rang des communes du Val-de-Marne[102].


    Emploi


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    Entreprises et commerces


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    Culture locale et patrimoine



    Patrimoine naturel


    Villeneuve a obtenu une fleur au concours des villes et villages fleuris en 2010 et une deuxième en 2016[103].

    Il existe plusieurs parcs et bois à Villeneuve :


    Patrimoine culturel



    Personnalités liées à la commune


    Portrait du compositeur Boieldieu.
    Portrait du compositeur Boieldieu.

    Musiciens


    Écrivains et dessinateurs de bande dessinée


    Sculpteurs et peintres


    Architectes


    Acteurs


    Sportifs


    Politiques et hommes de loi


    Comtes, Comtesse et Marquises


    Autres

    De nombreux rois, ministres ou militaires se sont aussi arrêtés à Villeneuve : Saint Louis, Henri IV, Catherine de Médicis, Sully, Louis XIII, Mazarin, Louis XIV, Louis de France (1661-1711), Louis XV, Louis XVI, Napoléon Bonaparte, Joachim Murat, Eugène de Beauharnais ou encore Louis-Philippe[120],[21].


    Héraldique, logotype et devise


    Blason
    D'azur à saint Georges monté sur un cheval terrassant un dragon couché, le tout contourné d'argent, à la champagne aussi d'azur chargée d'un écusson cousu de sable mouvant en pointe de la partition, surchargé de trois besants d'argent et accompagné de trois fleurs de lys d'or[126].
    Devise
    Sicut Sequena, semper ad planum revertor (Comme la Seine, je reviens toujours à mon niveau)[127].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références



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    83. Patrice Drouin, « Villeneuve-Saint-Georges : Schwartzenberg joue la carte de ministre-maire », Les Échos, (lire en ligne, consulté le ) « En juin 1995, la victoire de la liste de droite conduite par Roger Grésil, un imprimeur alors proche de l'UDF, a donc surpris la plupart des observateurs. D'autant que le maire sortant, Roger-Gérard Schwartzenberg, était déjà l'une des figures de proue de la gauche. Que le Front national se soit maintenu au second tour aurait plus pénalisé l'actuel ministre de la Recherche du gouvernement Jospin que la coalition de droite ».
    84. Fabienne Huger, « Schwartzenberg prend sa revanche », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « L'élection au premier tour, dimanche, du ministre de la Recherche, Roger-Gérard Schwartzenberg (PRG) résonne comme une revanche sur le maire sortant Roger Grésil (DVD) à Villeneuve-Saint-Georges. Battu en 1995 à 183 voix près, le ministre candidat a infligé cette fois-ci une cuisante défaite à son adversaire ».
    85. « Schwartzenberg quitte sa mairie : Le ministre de la Recherche a démissionné du poste de premier magistrat de Villeneuve-Saint-Georges pour respecter les consignes de Lionel Jospin », Le Nouvel Observateur, (lire en ligne, consulté le ).
    86. Fabienne Huger, « Gérard Racine élu maire à la place du ministre », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Désignant Gérard Racine (PRG), comme son successeur, [Roger-Gérard Schwartzenberg] a insisté sur « sa compétence et l'expérience requise », ayant déjà été maire adjoint pendant 6 ans, de 1989 à 1995, et étant premier maire adjoint depuis mars dernier ».
    87. Fabienne Huger, « Le ministre récupère sa mairie à Villeneuve-Saint-Georges », Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Membre d'un gouvernement devenu démissionnaire lundi, l'ex-ministre de la Recherche récupérera logiquement sa mairie le soir même ».
    88. AFP, « Schwartzenberg renonce à briguer un nouveau mandat à Villeneuve-Saint-Georges : L'ancien ministre PRG pointe notamment de "l'attitude stérile" du PCF, qui va présenter sa propre liste aux municipales. », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ) « Il a dénoncé une "attitude stérile" du PCF, qui "fait fi des directives départementales" du parti et a "décidé de rompre l'union de la gauche au bout de sept ans d'union", avec une liste autonome conduite par Sylvie Altman, conseillère municipale sortante et candidate du PCF aux dernières législatives dans la 3e circonscription du Val-de-Marne ». Une circonscription où Roger-Gérard Schwartzenberg, qui en était le député depuis vingt et un ans, a été battu de 139 voix par Didier Gonzalès, maire (UMP) de Villeneuve-le-Roi
    89. « Passage de flambeau glacial entre Schwartzenberg et Altman », Le Parisien, municipales 2014, (lire en ligne, consulté le ) « Arrivée en tête avec 49,5 % des suffrages, l’adjointe PCF à la culture a gagné son pari, rassemblant la gauche après avoir poussé vers la sortie le maire sortant, Roger-Gérard Schwartzenberg (PRG) ».
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    На других языках


    [de] Villeneuve-Saint-Georges

    Villeneuve-Saint-Georges ist eine französische Gemeinde des Départements Val-de-Marne in der Region Île-de-France. Sie ist dem Arrondissement Créteil sowie den Kantonen Choisy-le-Roi und Villeneuve-Saint-Georges, dessen Hauptort sie ist, zugeteilt.

    [en] Villeneuve-Saint-Georges

    Villeneuve-Saint-Georges (French pronunciation: [vilnœv sɛ̃ ʒɔʁʒ] (listen)) is a commune in the southeastern suburbs of Paris, France. It is located 15.5 kilometres (9.6 miles) from the centre of Paris. People from Villeneuve-Saint-Georges are called Villeneuvois in French.

    [es] Villeneuve-Saint-Georges

    Villeneuve-Saint-Georges es una comuna y población de Francia, en la región de Isla de Francia, departamento de Valle del Marne, en el distrito de Créteil. Forma la totalidad del cantón de su nombre y parte del de Valenton.
    - [fr] Villeneuve-Saint-Georges

    [it] Villeneuve-Saint-Georges

    Villeneuve-Saint-Georges è un comune francese di 31.278 abitanti situato nel dipartimento della Valle della Marna nella regione dell'Île-de-France.

    [ru] Вильнёв-Сен-Жорж

    Вильнёв-Сен-Жорж (фр. Villeneuve-Saint-Georges) — город во Франции, в департаменте Валь-де-Марн. Расположен на восточном берегу Сены, в 16 км на юго-восток от Парижа.



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