Localisation de Choisy-le-Roi en région parisienne.
À 12 km de Notre-Dame de Paris et à 7 km de la porte de Choisy, Choisy-le-Roi est, avec la capitale, la seule commune de la petite couronne à s'étendre de part et d'autre de la Seine[1].
Voici ci-dessous une carte représentant le découpage territorial des communes limitrophes:
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Relief, géologie et hydrographie
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La Seine y passe.
Climat
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Voies de communication et transports
La ville fut desservie par les tramways du département de la Seine au début du XXesiècle. On voit ici une motrice du 83, exploité par la STCRP, ancêtre de la RATP.Gare RER de Choisy-le-Roi.
La commune de Choisy-le-Roi est un nœud de communication majeur.
Une rame de la ligne 9 du tramway au niveau de la station Carle - Darthé.
Depuis le 10 avril 2021, la ville est desservie par la ligne 9 du tramway d'Île-de-France (Ligne 9 du tramway d'Île-de-France) sur son l'axe nord-sud de la commune. Quatre stations sont situées sur le territoire de la commune: Verdun - Hoche, Rouget de Lisle, Carle - Darthé et Four - Peary. En plus de ces stations, deux autres sont situées tout près des limites communales: Trois Communes à Thiais et Christophe Colomb à Orly.
Elle est également un carrefour routier important; trois grands axes routiers desservent la commune:
N186;
N305;
A86, axe autoroutier périphérique.
Les transports en commun routiers y sont aussi bien représentés:
RATPTvm103182183185393;
Choisybus: service municipal de transport urbain avec des départs toutes les heures;
Réseau de bus de Seine Grand Orly: ligne 483 de Choisy-le-Roi (RER C) vers Villeneuve-Saint-Georges (RER D);
en 2024, elle sera un des terminus de la ligne 5 du T Zen.
Enfin, une piste cyclable longeant la Seine relie Choisy-le-Roi à Paris.
Urbanisme
Typologie
Choisy-le-Roi est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[7] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Morphologie urbaine
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Logement
Trois immeubles de grande hauteur se trouvent sur la «dalle» de Choisy-le-Roi: la tour de l'Église, la tour de la Seine et la tour du Parc (respectivement 88, 81 et 68 mètres). La ville compte huit autres immeubles de plus de 50 mètres de hauteur, tous consacrés au logement à l'exception de la tour Orix, bâtiment d'inspiration brutaliste construit au cours des années 1960 qui accueille des bureaux.
Projets d'aménagement
Travaux en cours pour le tramway du Grand Paris qui reliera Paris à Orly en passant par Choisy-le-Roi. Une piste cyclable doit être aménagée le long de la voie du tramway.
2018 - 2020: la ville s'engage vers le street art avec la création dans les quartiers de 15 œuvres, les plus symboliques étant les fresques représentant Nelson Mandela ou Louise Michel, ou encore les pylônes RTE du quartier des Hautes-Bornes. Choisy-le-Roi s'inscrit dans la démarche du sentier du street art reliant ainsi la ville à Paris en passant par Vitry-sur-Seine, Ivry-sur-Seine ou Gentilly.
Toponymie
Panneau d'entrée dans la commune.
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Le nom Choisy provient vraisemblablement du latinSosiacum («terre ou villa de Sosius»)[12].
Aux VIIIesiècle et IXesiècle, Choisy est appelée Cauciacum ou Causiacum[13].
En 1739, Louis XV choisit ce domaine afin d'y pratiquer la chasse. C'est pour cela que l'on renomme la ville «Choisy-le-Roi», ou en ancien français «Choisy-le-Roy».
Histoire
Choisy apparaîtrait pour la première fois dans l'histoire lorsque l'armée de César en 52 av. J.-C., conduite par le commandant Labienus, aurait livré bataille sur le territoire actuel de la commune[14]. Son nom viendrait de Sociacum, «villa de Soisus» ou de «Socius»[15].
Choisy n'est connu que depuis 1176, comme faisant partie de la seigneurie de Thiais, laquelle appartient à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés.
En 1207, Jean, abbé de Saint-Germain-des-Prés, donna aux habitants de Choisy avec l'accord de l’évêque de Paris un fonds de terre pour y bâtir une chapelle, dédiée à saint Nicolas, non sans contrepartie puisque les habitants durent tous les ans un minot (34,3 dm3 à Paris) de froment jusqu'à ce qu'il y ait assez pour monter un fond d'entretien[13]. En 1224, l'édifice fut érigé en paroisse.
L'existence d'un bac sur la Seine est attestée dès la fin du XIIIesiècle.
Sous Louis XI en 1482, les seigneurs de Choisy, avaient droit de haute et basse justice.
En 1678, Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier, achète une maison et fait construire, en 1682, un château à Choisy dont l'architecture est de Jacques Gabriel et les sculptures d'extérieur d'Étienne Le Hongre. Choisy devient alors Choisy-Mademoiselle. Elle fait reconstruire le chœur de l'église et réparer la nef. Le bourg se situe alors uniquement en bord de Seine. À sa mort, en 1693, le Grand Dauphin, fils de Louis XIV, hérita de cette terre, qu’il échangea avec Madame de Louvois contre la seigneurie et le château de Meudon.
La population se développe tout au long du XVIIIesiècle. En 1738, une liaison fluviale Paris-Moret, autorisée par Michel-Étienne Turgot, prévôt des marchands de Paris, dessert Choisy deux fois par semaine.
Le château appartient alors à la princesse douairière de Conti, fille légitimée de Louis XIV et de la duchesse de La Vallière. Peut-être en hommage à la princesse son élève, François Couperin cite Choisy dans une page pour deux clavecins de son Troisième Livre (1722), une musette tendre et champêtre.
En 1739, à la mort de la princesse, Louis XV fait l'acquisition du château pour disposer d'une résidence à proximité de la forêt de Sénart où il va chasser et décide que le village sera nommé désormais Choisy-le-Roi. La paroisse tire un gros avantage de la présence du roi, qui fait agrandir l'ancien château et le prolonge par des constructions neuves. Madame de Pompadour y est installée en 1746: les fêtes s'y multiplient. Ainsi, le roi Louis XV, avec la participation de la marquise de Pompadour, y organise à partir de 1750 des soupers fins où seuls les intimes du roi, et quelques courtisans, sont invités à partager un repas respectant un service à la française: poissons de mer et de rivière, gibiers à plume et à poil, blanquette de veau, bœuf, légumes verts, fruits, glaces y sont servis avec profusion et délicatesse dans la porcelaine de Sèvres créée sous l'impulsion de la marquise de Pompadour. Une partie des menus de ces repas gastronomiques a été conservée par la Bibliothèque nationale de France, et étudiée par des historiens de l'alimentation. De 1775 à 1780, Marie-Antoinette y organise des amusements de toutes sortes[16].
Pour remplacer le vieux village partiellement englobé dans ces transformations, et pour faire de Choisy une véritable résidence royale, un nouveau village est projeté dès 1746. Dessiné sur une trame orthogonale, il est situé entre le chemin de Paris (devenu depuis rue de Vitry) et l'avenue de Paris. Les terrains, de grandeur raisonnable, et les moellons de meulière sont donnés aux habitants par Louis XV, en priorité aux habitants du vieux bourg ainsi qu'à ceux liés au domaine royal par leur fonction. Les actuelles rues Louise-Michel, Georges-Clemenceau, Auguste-Franchot et Auguste-Blanqui datent de cette époque.
Une nouvelle église paroissiale et royale, dédiée à saint Louis et saint Nicolas, est élevée de 1748 à 1760. Son clocher est moins élevé que le comble, à cause de l'aversion que Louis XV avait pour le son des cloches[17]. La vieille église est démolie en 1759.
De 1748 à 1757 est percée la route royale de Versailles qui permet en faisant des fouilles d'y trouver des tombeaux antiques.
En 1750, la route de Choisy à Paris est pavée et le pont sur la Seine est construit. Le presbytère est construit de 1763 à 1766.
Louis XV confirme sa présence à Choisy par l'acquisition en 1764 de la seigneurie de Thiais, Choisy et Grignon en partie, qu'il sépare en deux pour revendre celle de Thiais et Grignon. Peu à peu le champ des Étendoirs, situé au nord de l'avenue de Versailles, est également construit. Le port joue un rôle de relais entre le Sud du Bassin parisien et Versailles. Un marché hebdomadaire est instauré. Hormis les activités liées à la présence royale, l'agriculture est l'activité principale. La population s'accroît régulièrement depuis le début du XVIIIesiècle.
La Révolution a la même intensité à Choisy qu'à Paris, le maire de la ville entretenant des liens étroits avec Robespierre. Danton séjourne à Choisy tout comme Rouget de Lisle, l'auteur de La Marseillaise. Choisy-le-Roi porte le nom révolutionnaire de Choisy-sur-Seine et le domaine royal, dont il ne reste aujourd'hui que l'entrée, est vendu comme bien national et tombe doucement en ruine.
De 1790 à 1795 Choisy était un canton du district de Bourg-de-l'Égalité (Bourg-la-Reine).
À partir de 1809, le pont de Navier remplace enfin le bac. Au XIXesiècle, Choisy-le-Roi connaît un essor industriel avec l'implantation de la faïencerie Boulenger, de la tuilerie et de la cristallerie.
La CGPT met en service en 1876 sa ligne 4 Villejuif - Paris, qui deviendra la ligne 3 (Châtelet – Pont au Double – R. Monge – Av. des Gobelins – Pl. d’Italie – Av. de Choisy – Porte de Choisy – Choisy-le-Roi), puis sera intégrée en 1921 dans le réseau de la STCRP sous le no83 (Thiais - Choisy-le-Roi - Châtelet) jusqu'en 1933[18].
Un service d'omnibus en 1829 et une ligne de tramways en 1892 relient Choisy à Paris. 1840 voit l'arrivée du train à Choisy-le-Roi avec l'inauguration de la ligne Paris-Corbeil qui sera l'amorce de la ligne Paris-Orléans.
La ville subit de gros dégâts lors des combats franco-prussiens dans une tentative de libération de Paris le 30 septembre 1870.
La municipalité, en expansion, achète en 1903 la maison de M. Lagoutte construite sous Napoléon III dans l'ancienne grande avant-cour du château. Le reste du parc est loti avec construction des écoles en 1910. Le lotissement du Nid Rouge s'étend à l'ouest de l'avenue de la République.
En 1912, Choisy-le-Roi revient sous les feux de l'actualité avec la fin tragique du chef de bande anarchiste Jules Bonnot[19].
De 1968 à 1973, Choisy-le-Roi accueille la délégation vietnamienne pour les négociations de Paris, originellement prévues pour quatre mois, dans le bâtiment, avenue de Versailles, qui était à cette époque le siège de l'école centrale du Parti communiste français et l'ancienne résidence de Maurice Thorez et de Jeannette Vermeersch[20].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[21], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et à son arrondissement de Créteil après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1801 à 1893 du canton de Villejuif, année où elle intègre le canton d'Ivry-sur-Seine du département de la Seine. Lors de la mise en place du Val-de-Marne, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Choisy-le-Roi[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié en intégrant une fraction de Villeneuve-Saint-Georges.
Intercommunalité
La ville faisait partie de l'association Seine-Amont développement depuis sa création en 2001 jusqu'à sa dissolution en 2014, aux côtés des communes d'Alfortville, Ivry-sur-Seine, Vitry-sur-Seine et Orly[23].
La ville intègre en 2013 la communauté d'agglomération Seine Amont (CASA) aux côtés des communes de Vitry-sur-Seine et d'Ivry-sur-Seine, cette intercommunalité regroupant ainsi plus de 170 000 habitants[24].
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[25].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015 prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre, qui succède notamment à la communauté d'agglomération Seine Amont[26].
Articles détaillés: métropole du Grand Paris, établissement public territorial et Établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre.
Tendances politiques et résultats
Lors du second tour des élections municipales de 2014, la liste PCF-PS-EELV menée par Didier Guillaume —qui bénéficiait de la fusion avec la liste EELV de Ali Id Elouali et du soutien du maire sortant, qui ne se représentait pas — obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 5 149 voix, 47,79%, 32 conseillers municipaux élus dont 9 conseillers communautaires)[27];
- Tonino Panetta (UMP-UDI, 4 910 voix, 10 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires);
- Monique Baron (DVD, 714 voix, 6,62%, 1 conseiller municipal élu)
lors d'un scrutin où 44,37% des électeurs se sont abstenus.
Article détaillé: Élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne.
Lors du second tour des élections municipales de 2020, la liste DVD-SL menée par Tonino Panetta (LR) remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 531 voix (55,31%, 34 conseillers municipaux élus, dont 1 métropolitain), devançant largement les listes menées respectivement par[28],[29]:
- Didier Guillaume, maire sortant (PCF-PS, 3 074 voix, 8 conseillers municipaux élus);
- Nathalie Lemoine (LREM-MR, 587 voix, 1 conseiller municipal élu);
lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 60% des électeurs se sont abstenus, marquant la fin de la direction du PCF sur la ville depuis 75 ans.
Article détaillé: Élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne.
Directeur commercial Nommé Conseiller départemental de Choisy-le-Roi par le gouvernement de Vichy (1941 → 1943) Nommé vice-président du conseil départemental de la Seine (1943[34] → 1943) Maintenu dans sa fonction de maire par le gouvernement de Vichy[35]. Décédé en fonction.
Chef de cabinet du ministre des Transports (1981 → 1984) Conseiller général de Choisy-le-Roi (2004 → 2011) Vice-président du conseil général du Val-de-Marne (2004 → 2011)
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La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[47].
Distinctions et labels
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En 2020, la commune de Choisy-le-Roi a été récompensée par le label «Ville Internet @@@@»[48].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[49],[Note 3].
En 2019, la commune comptait 46 150 habitants[Note 4], en augmentation de 7,91% par rapport à 2013 (Val-de-Marne: +3,92%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 150
990
1 383
1 320
3 055
3 110
3 119
3 612
3 271
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 907
4 648
5 172
5 099
5 821
6 978
7 853
8 449
9 909
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
11 607
13 067
15 908
20 309
23 634
27 584
28 476
27 333
31 789
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
41 522
41 440
38 705
35 476
34 068
34 336
36 198
41 355
44 450
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
46 150
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
École du Parc.
École Paul-Langevin
Collège Henri-Matisse
École-collège-lycée Saint-André
École Marcel-Cachin
École Saint-Louis-Blaise-Pascal
École Nelson-Mandela
École Victor-Hugo
Collège Jules-Vallès
Collège Émile-Zola
Lycée professionnel Jean-Macé
Lycée professionnel Jacques-Brel
École Jean-Macé
École Auguste-Blanqui
École du Parc
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Culture
Théâtre-cinéma Paul-Éluard;
Conservatoire des Arts regroupant les écoles de musique, de danse et d'arts plastiques;
Ensemble polyphonique de Choisy-le-Roi;
Compagnie La Rumeur, Usine Hollander;
Festival de Marne;
Festival Sons d'hiver;
Festival de l'Oh!;
Médiathèques: Aragon, Gondoles, Maison pour tous.
Manifestations et festivités
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Santé
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Sports
La ville de Choisy-le-Roi est une ville historiquement tournée vers le sport, possédant de nombreuses infrastructures et disposant du parc interdépartemental des sports sur son territoire. Elle ne compte pas moins de 39 clubs et 28 disciplines sportives y sont pratiquées (football, tir, aviron…).[réf.nécessaire] Ces disciplines rassemblent près de 6 000 licenciés soit un habitant sur six.
Parmi ces clubs ou associations sportives se trouvent:
Sporting club des nageurs de Choisy-le-Roi (water-polo et natation);
AS Choisy-le-Roi;
Quartier libre;
Sporting club de Choisy-le-Roi (SCCR). Ce club dispose de plusieurs sections: handball, basket-ball, football (FSGT), badminton, tennis de table;
Déclic (association du quartier des navigateurs);
Groupement amical des tireurs de Choisy-le-Roi, Thiais et environs (GAT) - Tir sportif 10, 25 et 50 mètres;
Football Américain.
De plus, le siège de la Fédération française de volley-ball se trouve à Choisy-le-Roi.
Cultes
L'ancienne cathédrale Saint-Louis-Saint-Nicolas, au cœur de la vieille ville.
Catholique (diocèse de Créteil):
Ancienne cathédrale Saint-Louis-Saint-Nicolas, place de l'Église
Église Saint-Martin, confiée aux oblats de Marie-Immaculée (la paroisse couvre aussi une partie d'Orly), 2, rue Vasco-de-Gama
Église Saint-Esprit (dite chapelle des Gondoles), 5, rue de la Paix
Chapelle Notre-Dame-de-Lourdes, 1, rue Adolphe-Sannier
Protestant:
Temple réformé, 22, rue Georges-Clemenceau
Église évangélique, 5, rue de l'Est
Musulman:
Mosquée Tawhid, 6, voie des Roses;
Plusieurs salles de prière.
Juif:
Synagogue de Choisy, Orly et Thiais, 28, avenue de Newburn.
Témoins de Jéhovah:
Salle du royaume, 31 rue Lamarck.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
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Emploi
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Entreprises et commerces
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Cathédrale Saint-Louis-et-Saint-Nicolas: construite par Gabriel sur ordre de Louis XV pour remplacer l'ancienne église, trop petite et trop proche de la Seine. La nouvelle église devait être le centre du nouveau village projeté dès 1746. En 1748, Gabriel donne deux projets: le premier avec un ordre toscan à l'intérieur et à l'extérieur, le second, qui fut réalisé, sans cet ordre. L'absence d'ordre fait l'originalité de cette église, où la monumentalité sobre est atteinte par le travail des surfaces. La tour clocher est détachée à droite de la nef et ne comporte que deux niveaux (alors que le premier projet en avait prévu trois). De ce fait, les cloches, très basses, ne portent pas très loin, ce dont les villageois se plaignirent au XVIIIesiècle. L'anecdote selon laquelle Louis XV aurait interdit l'usage des cloches est sans fondement (seul le glas était prohibé lors des séjours royaux). L'intérieur de l'église abrite deux statues de Jacques Rousseau représentant saint Louis et saint Maurice (1729). Le cul-de-four et les chapelles latérales sont décorées de peintures de Jacques Pauthe (1878). Elle fut l'église cathédrale du diocèse de Créteil de 1966 à 1987, date à laquelle Notre-Dame de Créteil devint la nouvelle cathédrale;
Du château de Choisy ne subsiste que l'entrée (saut-de-loup, fossé sec et deux pavillons de gardiens), qui a servi à la mise en scène[Quoi ?] de la mairie, dans un parc paysager de style Napoléon III, ainsi qu'une aile de communs (cité Anatole-France);
Maison des Pages (13, boulevard des Alliés): construite en 1792 pour François Courrejoles, remarquable par sa façade ornée d'un ordre colossal;
Pavillon des Gardes;
Maison et statue de Rouget de Lisle. Son monument a été inauguré le dimanche 6 juillet 1902 par Justin Germain Casimir de Selves;
Ancienne gare: un des rares exemples conservés des gares de la compagnie des Chemins de fer d'Orléans, décorée de céramiques de Choisy-le-Roi (1875);
Bords de Seine;
Ferme pédagogique présentant de nombreux animaux et un parc de jeux pour enfants au quartier des Gondoles;
Cimetière de Choisy-le-Roi, ouvert en 1851.
Pavillon de l'ancien château.
Pont de Choisy-le-Roi la nuit (vue sur la tour Eiffel et la tour Montparnasse).
Quai des Gondoles de Choisy-le-Roi.
Ferme du parc des Gondoles de Choisy-le-Roi.
Patrimoine naturel
Parc interdépartemental des sports;
Parc des Gondoles;
Parc de la Mairie;
Parc Maurice-Thorez.
Parc interdépartemental des sports.
Parc des Gondoles de Choisy-le-Roi.
Parc interdépartemental des sports base nautique.
Personnalités liées à la commune
La statue de Rouget de Lisle.
Jacques Dutruy (1762-1836 à Choisy-le-Roi), général suisse, né à Genève, général des armées de la République et de l'Empire.
Rouget de Lisle a vécu à Choisy-le-Roi et y est mort le .
Charles Feil (1824-1887), chimiste et verrier, y est mort.
Hippolyte Boulenger, industriel de la céramique, y avait sa faïencerie.
La bande à Bonnot prend fin avec le siège de Jules Bonnot, dans un garage situé avenue de la République à Choisy-le-Roi, et sa mort en 1912[19].
Marcel Cachin a vécu à Choisy-le-Roi et y est mort en 1958.
Ernest Chaplet, sculpteur et céramiste, avait son atelier à Choisy-le Roi, où il est mort en 1909.
Maurice Thorez, politique, dirigeant du PCF, y vécu[20].
Ipoustéguy (1920-2006), sculpteur dont l'atelier se situait quai des Gondoles.
Antonio Ferrara, figure du grand banditisme français qui a passé son adolescence à Choisy-le-Roi.
Olivier Kapo[pourquoi?], footballeur français d'origine ivoirienne.
Émile Lenoble (1875-1940), céramiste, a vécu et exercé son activité à Choisy-le-Roi.
Pierre Lescure, journaliste et ancien dirigeant de Canal+., a vécu son enfance à Choisy-le-Roi
Alain Frontier, poète et grammairien, a vécu à Choisy-le-Roi de 1960 à 1978.
Intouchable (groupe) groupe de hip-hop français originaire de Choisy-le-Roi et Orly, affilié à la Mafia K'1 Fry avec Demon One, Las Montana (1977-1999), ainsi que MS et Mokem (anciens membres).
Pro176, rappeur et graffeur, a passé son enfance à Choisy-le-Roi.
Yves Léger (1919-1944), résistant français, Compagnon de la Libération, Mort pour la France. Fils de Georges Léger, maire de Choisy-le-Roi en 1944, il est inhumé dans la commune où une rue a été baptisée en son honneur.
Choisy-le-Roi est le lieu de naissance de:
Anatole Roujou (1841-1904), naturaliste, géologue, archéologue et anthropologue français.
Emmanuel Chaptal (1861-1943), prélat catholique, évêque auxiliaire de Paris.
Pierre Mille (-12 janvier 1941), écrivain et journaliste.
Jean-Pierre Petit (-), chercheur scientifique, astrophysicien et vulgarisateur.
Héraldique, logotype et devise
Les armes de Choisy-le-Roi se blasonnent ainsi:
De gueules au pont d'or, soutenu d'une rivière d'argent, accompagné en pointe de cinq annelets entrelacés d'or[51] et surmonté d'un écu posé en abîme d'azur à trois fleurs de lys d'or, timbré de la couronne royale de France, la pointe de l'écu brochant sur le pont (création de Robert Louis)[52]
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Jacques Hillairet et Georges Poisson, Évocation du grand Paris, t.1: La banlieue sud, Les Éditions de minuit, , p.245.
Histoire du diocèse de Pairs, tome douzième. Contenant la fin des paroisses du Doyenné de Montlhery, & les onze premieres du Doyenné du Vieux Corbeil, Prault, , 312p. (lire en ligne), Page 162.
Julien Lefour, La marée lors des soupers de Louis XV avec la marquise de Pompadour, dans Élisabeth Ridel, Éric Barré, André Zysberg, sous la direction de, «Les nourritures de la mer, de la criée à l'assiette», Actes du colloque, Centre de recherche d'histoire quantitative, Histoire maritime, no4, Caen, 2007, 25 p.
Docteur Ermete Pierotti, Dictionnaire historique des environs de Paris.
Jean Robert, Les tramways parisiens, Jean Robert (réimpr.3e édition 1992).
David Leduc, «Municipales 2020. Tonino Panetta devient maire de Choisy-le-Roi: Dans la triangulaire qui l'opposait au maire sortant Didier Guillaume (PCF) et Nathalie Lemoine (LREM), Tonino Panetta (LR) a remporté le fauteuil de maire à Choisy-le-Roi (LR)», Actu Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
«Municipales 2020: à Choisy-le-Roi la fin de l’ère communiste: Ce dimanche 28 juin les électeurs étaient appelés à choisir leur édile pour les six prochaines années. Les Choisyens ont élu le candidat divers droite, Tonino Panetta. La défaite de Didier Guillaume marque la fin du PCF dans la ville», France 3 Paris Île-de-France, (lire en ligne, consulté le ).
«Les maires de Choisy-le-Roi depuis 1790», L'actualité du patrimoine - A la découverte de l'histoire, de la mémoire, des archives et du patrimoine de Choisy-le-Roi, no15, , p.5 (lire en ligne[PDF], consulté le ).
«Arrêté du chef du gouvernement de l'Etat français du 30 avril 1943», Journal officiel de l'État français, no113, , p.1313 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
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«Arrêté du chef du gouvernement de l'Etat français du 11 novembre 1943», Journal officiel de l'État français, no272, , p.2916 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
Marion Kremp, «Choisy-le-Roi: figure du PCF, l’ancien maire Daniel Davisse emporté par le coronavirus: Il avait dirigé la ville durant 18 ans. Le maire honoraire de Choisy-le-Roi est mort à 82 ans ce dimanche, à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil», Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
«Municipales à Choisy: Didier Guillaume (PC) peut souffler», Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le )«Dimanche soir, après l'annonce des résultats du second tour à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), le sourire de Didier Guillaume (PC, 47,8%) était à la hauteur de son soulagement. Malgré la grosse campagne de son parti, malgré l'accord avec Ali Id Elouali (EELV) entre les deux tours, et malgré la désunion à droite, le successeur désigné de Daniel Davisse n'a été élu qu'avec 239 voix d'avance sur le candidat UMP Tonino Panetta (45,6%).».
Marine Legrand, «Départementales dans le Val-de-Marne: Choisy-Villeneuve transforme l’essai des municipales et bascule à droite: Au terme d’une campagne ardue, le binôme Panetta-Niasme (DVD-LR) est parvenu à remporter le canton qui était aux mains de la gauche, avec 55,94%.», Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )«Après un premier tour serré et remué par de multiples rebondissements (premiers résultats erronés, plaintes pour fraude, etc.), le second n’a pas laissé place au doute: 55,94% pour le binôme de droite et 44,06% pour le binôme présenté par l’extrême gauche Katiana René et Robin Alber».
Ces anneaux olympiques s'expliquent par la présence du Parc interdépartemental des sports qui, lors de sa création vers 1930, avait fait naître l'idée d'un Choisy-le-Roi, ville olympique. Cité dans Choisy-le-Roi, images d'hier et d'aujourd'hui, Maury imprimeur, 1970.
R. Louis, «Du blason au logo», Guide pratique - Choisy-le-Roi, nos2010/11,.
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