Ville-d'Avray en rouge sur la carte de Paris et de la Petite Couronne.
Carte de la commune de Ville-d'Avray dans son environnement géographique.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 367 hectares; son altitude varie de 86 à 178mètres[2]
La commune est globalement en surélévation par rapport aux communes limitrophes au sud, territoire vallonné en forme de fer à cheval, orienté selon un axe OSO-ENE, les eaux s'écoulant essentiellement vers Sèvres et Saint Cloud.
Hydrographie
Ville-d'Avray a un sol humide, et il y avait autrefois plusieurs sources ou fontaines, la plus connue étant la Fontaine du Roy. Elles ont été taries par les opérations de drainage qui ont accompagné l'urbanisation. ruisseau de Lesser. Etangs dans la partie "en cuvette". retenues d’écoulement construite pour alimenter les fontaines du parc de Saint-Cloud (pour l'événement des «Grandes Eaux» du parc).[réf.nécessaire]
Voies de communication et transports
Un train de banlieue passe au-dessus de la D 407, à proximité de la gare de Sèvres - Ville-d'Avray.
Voies routières
Les deux voies principales sont la D 407 qui relie Garches à Sèvres en traversant la ville dans le sens nord-ouest à l'est par les rues de Marnes et de Sèvres et la D 985 qui relie Versailles à Suresnes en traversant la ville dans le sens sud-ouest au nord via la forêt de Fausses-Reposes.
Pistes cyclables
Il n'y a une piste cyclable dans la commune qu'entre les étangs de Ville d'Avray et Versailles[3]. Le projet d'une piste cyclable traversant la commune et prolongeant la piste actuelle en direction de Saint-Cloud, sur le trajet de la route D985[4], n'a en effet pas été retenu à ce jour dans le schéma d'aménagement communal établi conjointement avec Saint-Cloud .
La commune est également desservie par les lignes 426 et 471 du réseau de bus RATP, par les lignes 469 et 526 du réseau de bus local GPSO et par la ligne 37 de l'établissement Transdev de Nanterre.
Climat
Article connexe: Géographie de l'Île-de-France.
Urbanisme
Typologie
Ville-d'Avray est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[8] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].
Morphologie urbaine
La commune de Ville d'Avray est découpée en six îlots regroupés pour l'information statistique (IRIS)[13]
Libellé IRIS
code IRIS
type IRIS
Forêt de fausses reposes
0101
divers
Rue de Versailles-Monastère
0102
Habitat
La Ronce
0103
habitat
Côte d'Argent-Desvallières-Gambetta
0104
habitat
Centre-La prairie
0105
habitat
Thierry-Saint Cloud
0106
habitat
Occupation des sols simplifiée
Le territoire de la commune se compose en 2017 de 60,32% d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 8,44 % d'espaces ouverts artificialisés et 31,23% d'espaces construits artificialisés[14].
La forêt de Fausses-Reposes constitue la totalité de la surface boisée de la commune.
Logement
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Projets d'aménagement
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Toponymie
Le lieu est attesté sous les formes Villa Davren au XIIesiècle[15],[16], Villa d’Avrea en 1200, Ville Davrai en 1240, Villa Davrea en 1460, Villadavrei, Villadavreti, Villa davreii, Villa Alberti, Ville Davrai, Ville Davré, Villa Davret en 1527[17].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Ville- au sens ancien de «domaine rural» ou de «village», le mot ville étant issu ultimement du latin villa[15], utilisé initialement au sens de villa rustica «domaine rural». L'appellatif ville est en général placé en position finale dans des composés en -ville, mais on le retrouve aussi souvent placé en première position Ville- dans certaines régions[18], comme c'est le cas ici.
Le second élément -D'Avray représente un anthroponyme[15] selon le cas général. Albert Dauzat suggère le nom de personne de type germanique *Dav-hring[15] (non attesté). La graphie D'Avray résulte d'une mécoupure orthographique d'un scribe qui a vu dans la première syllabe Da- une agglutination de la préposition de réduite à D' apostrophe devant voyelle + Avray (Avrei), nom de lieu ou de personne.
Le nom de Dagoverana repris localement et qui a servi à forger le gentilé Dagovéranien, -ne, n'est pas identifiable en l'état des sources, on le trouve sous la plume de l'archéologue Anatole de Barthélemy[19]. Aucun toponymiste n'associe ce nom de lieu ou cet anthroponyme qui semble hypothétique *Dagoverana avec le nom de Ville-D'Avray.
Histoire
Articles détaillés: Histoire des Hauts-de-Seine et Histoire de l'Île-de-France.
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Préhistoire et Antiquité
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Moyen Âge
Au XIIesiècle, l'expansion démographique qui touche l'Europe occidentale est contrainte par les ressources agricoles. La surface cultivable s'augmente à cette période par défrichage des espaces boisés. De façon contemporaine à la formation de nouveaux villages et hameaux dans l'ouest de Paris, comme Marnes-la-Coquette et Vaucresson, on voit apparaître dans les actes le nom de seigneurs de Villa Davren, dont les possessions relèvent du roi, de l'évêque de Paris ou du seigneur de Marly. Le village se forme sur la colline du Monastère, lieu de l'ancienne église et de la maison seigneuriale. Le village rural et viticole, est placé sous l'autorité seigneuriale des Célestins de Paris qui tenaient justice.[réf.nécessaire]
Temps modernes
En 1709, le territoire de la commune compte 84 foyers. Les constructions primitives sur la colline du monastère ne sont plus visibles, détruites au XIXesiècle. L'installation de la Cour Royale à Versailles a une influence décisive sur le développement de la commune. La forêt de Fausses-Reposes, terrain de chasse pour les rois résidant à Versailles ou à Saint-Cloud, de Louis XIV à Louis Philippe, devient entretenue et en particulier traversée de routes de chasse. En , Ville d'Avray est érigée en baronnie et placée sous l'autorité du premier valet de chambre de Louis XVI, Marc-Antoine Thierry, qui s'est porté acquéreur du château de la Brosse dix ans plus tôt. Le seigneur démolit et fait construire à son emplacement le château de Thierry. Il finance par la suite la construction de l'église Saint-Nicolas-et-Saint-Marc, ouvre une école en juillet 1783 suivie d’une école de filles en 1787.[réf.nécessaire]
Révolution française et Empire
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Époque contemporaine
Entrée du bois à Ville-d'Avray Camille Corot, vers 1825 National Gallery of Scotland, Édimbourg
En 1815, le général Piré de concert avec le général Exelmans y combattent les Prussiens.
Le , un ballon-poste non dénommé s'envole du boulevard d'Italie à Paris alors assiégé et termine sa course, abattu par les Prussiens dans les lignes ennemies à Ville-d'Avray[20] entre le bois de Fausses-Reposes et la route de Versailles, au lieu-dit la Femme-sans-Tête.
À la fin du XIXesiècle de nombreux artistes, écrivains, musiciens sont attirés par le cadre paysager, comme Corot, Dunoyer de Segonzac, Claude Monet ou encore Paul Huet.
La bourgeoisie d'affaires du XIXesiècle constitue de grandes propriétés où elle vient passer la belle saison. La ville se densifie courant XXesiècle. Les grandes propriétés non démembrées forment les parcelles des résidences actuelles avec leurs espaces verts, construites à la fin des années 1960.[réf.nécessaire]
Politique et administration
L'hôtel de ville.
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
Articles détaillés: Liste des cantons des Hauts-de-Seine, Conseil départemental des Hauts-de-Seine et Liste des conseillers départementaux des Hauts-de-Seine.
Antérieurement à la loi du [21], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Hauts-de-Seine, après un transfert administratif effectif au , et, depuis 1972, à son arrondissement de Boulogne-Billancourt.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Sèvres de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Chaville[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette organisation territoriale administrative a disparu, le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Articles détaillés: Liste des circonscriptions législatives des Hauts-de-Seine, Liste des députés de Seine-et-Oise et Liste des députés des Hauts-de-Seine.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Cloud.
Pour les élections législatives, elle fait partie depuis 1986 de la huitième circonscription des Hauts-de-Seine.
Intercommunalité
La commune était membre depuis le de la communauté d'agglomération Arc de Seine. Celle-ci s'unit avec l'intercommunalité voisine communauté d'agglomération Val de Seine pour former, le , la communauté d'agglomération Grand Paris Seine Ouest (GPSO).
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[23].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris Seine Ouest (GPSO), qui succède à la communauté d'agglomération éponyme[24].
Tendances politiques et résultats
Pour les échéances électorales de 2007, Ville-d'Avray fit partie des 82 communes[25],[26] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter. Le référendum du sur la Constitution européenne fut le premier vote à se faire sur machine électronique dans cette ville.
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Article connexe: Élections municipales de 2014 dans les Hauts-de-Seine.
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans les Hauts-de-Seine[27], la liste menée par la maire sortante Aline de Marcillac (MoDem) obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 1 559 voix (53,53%, 26 conseillers municipaux dont 1 conseiller métropolitain élus), devançant celle menée par Jean-Denis Pesty (DVD, 1 353 voix, 46,46%, 7 conseillers municipaux élus)[28]. L'abstention s'est élevée à 59,63%. La contestation des résultats de l'élection a été rejetée par le tribunal administratif de Cergy[29].
Administration municipale
Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 10 000 et 20 000, le nombre de membres du conseil municipal est de 33[30].
UDF puis MoDem[36] puis UDI puis centriste indépendant
Polytechnicien, Ingénieur général du Génie rural, des Eaux et Forêts[37],[38] Sénateur des Hauts-de-Seine (1995 → 2011) Conseiller régional d'Ile-de-France[39] (1992 → 1996) Conseiller général de Chaville (1996 → 2004) Vice-président de l'EPT Grand Paris Seine Ouest (2016 → 2017) Démissionnaire
Psychothérapeute Vice-présidente de l'EPT Grand Paris Seine Ouest (2018 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026
Politique de développement durable
L'eau distribuée dans la ville, provenant de la nappe souterraine de Croissy-sur-Seine, est traitée de manière à faire baisser sa minéralisation, notamment en ce qui concerne le calcium. Elle présente une concentration en nitrates inférieure à la norme de qualité en vigueur et est de bonne qualité organoleptique[42] .
Jumelages
Au , la commune de Ville-d'Avray n'est jumelée à aucune commune[43].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[44],[Note 4]
En 2019, la commune comptait 11 225 habitants[Note 5], en diminution de 0,36% par rapport à 2013 (Hauts-de-Seine: +2,07%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
458
459
471
514
691
768
896
955
1 044
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 063
1 120
1 346
1 294
1 274
1 359
1 559
1 498
1 511
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 532
1 730
1 887
2 316
2 698
3 088
2 915
3 397
4 351
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
5 802
10 365
11 698
11 625
11 616
11 415
11 255
10 733
11 509
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
11 225
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
doublement de la population entre 1960 et 1970 correspond à la construction des grands ensembles de logement de la ronce et de la prairie
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8%, soit en dessous de la moyenne départementale (38,4%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0% la même année, alors qu'il est de 20,0% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 5 210 hommes pour 5 840 femmes, soit un taux de 52,85% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,41%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[46]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,7
7,0
75-89 ans
9,0
12,1
60-74 ans
13,2
23,9
45-59 ans
25,0
18,6
30-44 ans
17,1
17,5
15-29 ans
15,9
20,4
0-14 ans
18,0
Pyramide des âges du département des Hauts-de-Seine en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,6
5,1
75-89 ans
7,2
12
60-74 ans
13,2
19,2
45-59 ans
19,4
22,6
30-44 ans
22,1
20,1
15-29 ans
18,7
20,4
0-14 ans
17,8
Enseignement
Ville-d'Avray est située dans l'académie de Versailles.
Établissements scolaires
La ville administre trois écoles maternelles (école maternelle Jean-Rostand, école maternelle de la Ronce et école maternelle Halphen. L'école maternelle Chanteclerc a été fermée) et deux écoles élémentaires communales (La Ronce et Jean Rostand) toutes les deux situées dans la rue de la Ronce.
Le département gère le collège La Fontaine du Roy, situé rue de Marnes. Il possède des classes à horaires aménagés musique (CHAM) en lien avec le conservatoire de Ville-d'Avray[48].
Les élèves qui en sont issus sont orientés, pour la filière générale, vers le lycée d'État de Sèvres, ou vers le lycée Alexandre-Dumas de Saint-Cloud (anciennement Florent-Schmitt).
Vie universitaire
La ville accueille l'IUT de l'université Paris Ouest Nanterre La Défense (anciennement Paris-X Nanterre). Cet IUT, situé dans les anciennes installations de la SNECMA est consacré aux sciences de l’ingénieur dans les domaines de l’électronique, de la mécanique et de la thermique. Ses étudiants participent régulièrement aux compétitions de robotique et d'écomobilité (transport économe en énergie), avec de petits véhicules monoplaces à très faible consommation.
Manifestations culturelles et festivités
La fête annuelle (fête des étangs de Corot, organisée par le comité des fêtes) se déroule chaque année le 3eweek-end de juin. Nombreuses animations et spectacles sur scène et stands des associations locales qui proposent jeux, restauration... Le comité des fêtes organise également un marché de Noël le premier week-end de décembre[49].
L'ensemble de musique ancienne «La Chapelle harmonique», dirigé par Valentin Tournet, est installé à Ville-d'Avray depuis sa création en . Cette association culturelle organise différentes manifestations musicales tout au long de l'année ainsi qu'une tournée estivale dans toute la France.
Des années 1970 jusqu'aux années 2000, sous la direction de Roger Lévy, une fois sur deux acteur, la MJC de Ville-d'Avray montait annuellement une pièce de théâtre parmi lesquelles: Embrassons-nous Folleville, Un jour dans la mort de Joe Egg, Les poissons rouges ou mon père ce héros, Dix petits nègres, Les sorcières de Salem, Les Vilains, Un otage, Vol au-dessus d'un nid de coucou, La Folle de Chaillot, Le scénario, Caviar ou Lentilles, La visite de la vieille dame, Une drôle de vie, Baroufe à Chioggia, Le Chinois, Les séquestrés d'Altona, Chers Zoiseaux, Mais n'te promène donc pas toute nue, Thérèse Raquin, Squatters d'étoiles, Outrage aux bonnes mœurs, La salle à manger, Le babour, Squatters d'étoiles, L'éloignement, Le Journal d'Anne Frank, Requiem pour une nonne, L'honneur des Cippolino, Douze hommes en colère, Train de nuit, Vol 2037.
Toujours sous la direction de Roger Lévy fonctionnait également un atelier poésie: Jacques Prévert, Verlaine, Boris Vian, Jacques Brel.
La pièce Vol au-dessus d'un nid de coucou, montée en 1977, fut celle qui eut le plus grand succès. Elle fut montée en 1977. Michel Creton qui avait déjà joué au théâtre le rôle principal en acteur professionnel se déplaça. La pièce fut remontée en 1980-1981.
Santé
La commune comprend plusieurs établissements de santé:
la clinique médicale de Ville d’Avray, établissement privé spécialisé en soins psychiatriques[50]; c'était dans l'Entre-deux guerres une clinique privée généraliste, où le philosophe Alain fut soigné[51] au cours du premier semestre 1936, puis de à .
l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) «La Villa des Sources»:
l'Association Centre d'intervention dans la dynamique éducative (CIDE) gère[52]:
le Centre du parc de Saint-Cloud qui contient le centre médico-psycho-pédagogique (C.M.P.P.) et un hôpital de jour pour adolescents du Centre du parc de St-Cloud;
un centre de soins, d'accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA);
l'institut médico-éducatif (IME) Villa d'Avray[53].
Sports
La commune administre un club omnisports, l'Union sportive de Ville-d'Avray. Le club regroupe aussi bien des sections de sports individuels, comme l'escrime, le judo ou le tir à l'arc, que des sections de sport collectif, comme le football.
L'arrivée finale des deux premières éditions du Tour de France, celles de 1903 et 1904, se tenait sur la commune avant d'avoir lieu au stade vélodrome du Parc des Princes, à Paris.
Médias
La municipalité édite le mensuel Ville-d'Avray info[54].
Cultes
Article connexe: Paroisses des Hauts-de-Seine.
Les habitants de Ville-d'Avray disposent d'un lieu de culte catholique. Depuis , la commune de Ville-d'Avray fait partie du doyenné des Collines, l'un des neuf doyennés du diocèse de Nanterre[55]. Au sein de ce doyenné, le lieu de culte catholique est l'église Saint-Nicolas-et-Saint-Marc qui relève de la paroisse Saint-Nicolas-Saint-Marc[56],[57].
La chapelle de Ville-d'Avray est quant à elle un lieu de culte protestant réformé, l'un des deux lieux de culte de la paroisse de Meudon–Sèvres–Ville-d'Avray, rattachée à l'Église protestante unie de France[58]. Cette chapelle, vestige de l'Exposition universelle de 1889 à Paris, se situe au 41 avenue Balzac.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 56 319€, ce qui plaçait Ville-d'Avray au 81erang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[59].
Emploi
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Entreprises et commerces
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Base Mérimée
La villa Augier-Prouvost, œuvre de Mallet-Stevens.
La base Mérimée du ministère de la Culture recense deux monuments classés et trois inscrits à l'inventaire des monuments historiques[60]:
des maisons et immeubles, base Mérimée n°IA00051365
des maisons et immeubles, base Mérimée n°IA00051444
le château dit le Monastère, base Mérimée n°IA00051445
la fontaine dite Fontaine Corot, base Mérimée n°IA00051454
le monument aux morts des Guerres 1914-1918, 1939-1945, Indochine et Algérie, base Mérimée n°IA00051455
le tombeau de Madame Neveux, base Mérimée n°IA00051460
la chapelle funéraire de la famille Colson, base Mérimée n°IA00051466
une maison, base Mérimée n°IA00051476
la garderie d'enfants dite Crèche Fanny, base Mérimée n°IA00051451
une maison, base Mérimée n°IA00051452
l'auberge Cabassud, base Mérimée n°IA00051457
la serre d'horticulteur, base Mérimée n°IA00051458
le monument sépulcral d'Émilie Louise Valtesse de La Bigne, base Mérimée n°IA00051459
le tombeau de la famille Fournier, base Mérimée n°IA00051461
le tombeau de la famille Patay, base Mérimée n°IA00051462
le tombeau de la famille Sarre, base Mérimée n°IA00051464
une maison, base Mérimée n°IA00051474
la maison le Mesnil d'Avray, base Mérimée n°IA00051475
le parc Lesser, base Mérimée n°IA92000542
le parc de la propriété Corot, base Mérimée n°IA92000543
la croix de cimetière, base Mérimée n°IA00051465
la maison de Corot, base Mérimée n°IA00051467
le château de Thierry, base Mérimée n°IA00051449; 1973/07/30: inscrit MH
le tombeau de Jean Jullien, base Mérimée n°IA00051463
l'immeuble dit Immeuble de l'Entreprise Cledat, base Mérimée n°IA00051471.
D'autres informations sont également publiées dans la base Mérimée:
présentation de la commune de Ville-d'Avray, base Mérimée n°IA00051442
présentation de l'étude du patrimoine du canton de Chaville, base Mérimée n°IA00051364
ville, base Mérimée n°IA00051443
Autres lieux et monuments
Lier historique avec Monuments occupation historique du territoire par éléments remarquables de la topographie:
-éléments remarquables de la topographie: centre humain = déplacé du centre historique vers croisement des axes Versailles- Saint-Cloud / Marnes-Sevres
- agriculture et élevage. Prairies culture viticole. La vigne, cultivée sur les coteaux bien exposés, occupe un tiers des surfaces exploitées à la fin du XVIIIème siècle.
-foret: ressource cynégétique pour les cours installées à Versailles ou Saint Cloud; lien vers fausses reposes
-hydrologie: Dans le village se trouve la Fontaine du Roy, construite en 1684 (ou 1723 selon dagoverana, a confirmer avec Merimee), dont les eaux étaient réputées pour être les meilleures des environs de Paris, et que Louis XVI réservait à son usage particulier.Marie Antoinette fut autorisée à en boire à la Conciergerie avant son exécution. restaurée en 1852. classée en 1942.
Le vieil étang, en amont, couvre plus d'un hectare. Il était exploité par les Célestins pour la pêche, avant d'être acheté par le Duc d'Orléans en 1739.
L'étang neuf, qui couvre environ trois hectares, fut aménagé en 1690 par Monsieur, frère de Louis XIV, pour servir de réservoir aux jeux d'eau de son parc à Saint Cloud. Un aqueduc souterrain relie toujours l'étang au Grand réservoir du parc et alimente les bassins et les cascades.
Patrimoine culturel
La maison du peintre Corot et son jardin ont été conservés, à proximité de l'Étang neuf[76].
Ville-d'Avray et les arts
Littérature
Dans Vercoquin et le Plancton, la résidence du héros créé par Boris Vian, dans laquelle se déroulent les fêtes absurdes et folles issues de la révolte du jeune auteur, se trouve à «Ville-d'Avrile», évident clin d'œil à Ville-d'Avray, dans laquelle l'auteur a résidé de nombreuses années. Les participants à ces orgies «viannesques» arrivent d'ailleurs en train de Versailles.
Le héros de la nouvelle de Boris Vian Le Loup-garou habite rue de Versailles, juste avant la côte de Picardie.
Cinéma
Les Dimanches de Ville-d'Avray, un film réalisé par Serge Bourguignon (1962), Oscar 1963 du meilleur film étranger.
Peinture
Étang de Ville-d'Avray par Jean-Baptiste-Camille Corot (1873).
Les étangs de Ville-d'Avray (peints par Jean-Baptiste-Camille Corot) font partie du patrimoine historique d'État. Certains de ces tableaux sont aujourd'hui visibles au MoMA à New York.
Lucien Simonnet a aussi peint Ville-d'Avray, effet de neige (1893), conservée au musée d'Orsay (Paris)[77].
La brasserie Mollard à Paris, inscrite au titre des monuments historiques, détient une mosaïque évoquant Ville d'Avray.
Personnalités liées à la commune
Marc-Antoine Thierry, baron de Ville-d'Avray (1732-1792), premier maire de Versailles.
Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814), écrivain, s'était retiré à Ville-d'Avray.
Augustin Fresnel (1788-1827), physicien, mort à Ville-d'Avray.
Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), peintre, considéré comme le premier impressionniste, a peint à Ville-d'Avray.
Arthur de Gobineau (1816-1882), diplomate et écrivain, né à Ville-d'Avray.
Nicolae Bălcescu (1819-1852), historien, un écrivain et un révolutionnaire roumain, a vécu en exil à Ville-d'Avray.
Cécile Azimont (1827-?), actrice parisienne, y avait une propriété.
Frédéric Chopin (1830-1849), compositeur et pianiste, séjourne en chez son ami Thomas Albrecht, consul de Saxe.
Anatole de Barthélemy (1821-1904), historien, numismate, mort à Ville-d'Avray dans sa propriété, située rue Corot.
Alphonse Lemerre (1838-1912), éditeur, ancien maire de Ville-d'Avray.
Marie Dauguet (1860-1942), poétesse française y est morte.
Victor Boucher (1877-1942), comédien, mort à Ville-d'Avray.
Irène Lagut (1893-1994), peintre, a habité Ville-d'Avray dans les années 1920, 43 route de Versailles.
Jean Rostand (1894-1977), écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences a vécu au 29, rue Pradier de 1922 jusqu'à son décès en 1977 (plaque commémorative). Il est inhumé à Ville-d'Avray.
Gustave Meyrier (1842-1930), diplomate, a vécu, est mort à Ville-d'Avray et y est inhumé.
Hélène Meyrier (1866-1953), héroïne française épouse de Gustave Meyrier, a vécu, est morte à Ville-d'Avray et y est inhumée.
Marcel Cartier (1895-1965), député de la Drôme, décédé dans cette commune.
Jaro Hilbert (1897-1995), peintre, dessinateur et sculpteur, a habité Ville-d'Avray.
Pierre-Henri Simon (1903-1972), intellectuel engagé, historien de la littérature, essayiste, romancier, poète, critique littéraire, membre de l'Académie Française et de l'Académie de Saintonge, a vécu et est mort à Ville-d'Avray.
Édouard Branly (1844-1940), physicien et médecin français, précurseur de la radio, a vécu rue Grange Fontenelle (plaque commémorative).
Charles Brisset (1914-1989), médecin psychiatre, fondateur de l’Association Française de Psychiatrie, du Syndicat des Psychiatres Français et de la revue Psychiatrie française, cofondateur de la clinique médicale de Ville-d'Avray, a vécu et est mort à Ville-d'Avray.
Yehudi Menuhin (1916-1999), violoniste et chef d'orchestre, a vécu de 1930 à 1935 au 33, rue Pradier (plaque commémorative). Il est citoyen d'honneur de Ville-d'Avray.
Georges Baladié (1917-1998), joueur de rugby à XV, y est né.
Boris Vian (1920-1959), écrivain français, poète, parolier, chanteur, critique et musicien de jazz, né à Ville-d'Avray, y a vécu au 33 rue Pradier (plaque commémorative), et y est inhumé.
Espanita Cortez (1921-2014), artiste, y est née.
John William (1922-2011) chanteur, a vécu à Ville-d'Avray.
Sydney Chaplin (1926-2009), acteur, fils de Charles Chaplin, a vécu de 1963 à 1977 à Ville-d'Avray.
André-Jean Smit (1926-2013), compositeur, est né à Ville-d'Avray.
Marie Dubois (1937-2014), actrice, est inhumée à Ville-d'Avray.
Isabelle Aubret (1938), chanteuse, y réside.
Richard Clayderman (1953), pianiste, a passé une partie de sa vie à Ville-d'Avray et y réside.
Isabelle Huppert (1953), actrice, a passé sa jeunesse à Ville-d'Avray
Mylène Farmer (1961), chanteuse, a grandi à Ville-d'Avray.
Patrick Denaud (1953), journaliste et écrivain, a passé sa jeunesse à Ville-d'Avray.
Héraldique, logotype et devise
Les armes de la ville sont celles du baron Marc-Antoine Thierry .
Définition héraldique:
D'azur au chevron d'argent accompagné en chef de deux tours d'or et en pointe d'un lion du même lampassé de gueules.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne], consulté le 2 mai 2020.
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Jean Brunet-Moret, Ville d'Avray et son histoire, (lire en ligne), p.14.
Estelle Dautry, «Municipales à Ville-d’Avray: la rénovation du centre-ville au cœur de la bataille: Aline de Marcillac a succédé à Denis Badré en cours de mandat en octobre 2017 et est tête de liste pour la première fois. Face à elle, Jean-Denis Pesty, novice en politique, compte peser sur l’avenir du centre-ville.», Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le )«Têtes de liste: Aline de Marcillac (DVD), Jean-Denis Pesty (SE)».
Maxime Gil, «Municipales 2020. Ville-d'Avray: la maire sortante Aline de Marcillac élue: Le scrutin des élections municipales a livré son verdict à Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine). Et c'est Aline de Marcillac qui a été élue à la tête de la commune. Les résultats», Actu Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
A.-S.D., «Hauts-de-Seine: les élections municipales de Bagneux et Ville-d’Avray sont validées: Les juges du tribunal de Cergy (Val-d’Oise) ont rejeté les griefs formulés contre l’élection de Marie-Hélène Amiable (PCF) et Aline de Marcillac (DVD). D’autres décisions sont attendues d’ici la fin de l’année», Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le ).
«Hauts-de-Seine: l'U.D.F., le R.P.R. et le C.N.I. sont parvenus à un " accord total " dans 32 communes», Le Monde, (lire en ligne).
«Les nouveaux maires tout frais sortis des urnes - Pedigree express des élus franciliens qui entrent pour la première fois à l'hôtel de ville», Libération, (lire en ligne)«Denis Badré (UDF-CDS), 42 ans, succède au maire sortant, Georgette Sireyjol (DVD), dont il était l'adjoint».
Elia Dahan, «Le maire de Ville-d’Avray passe la main: «je ne déserte pas, je pars serein»: Denis Badré a annoncé sa démission à la tête de la mairie qu’il a dirigée pendant 22 ans», Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne, consulté le )«J’ai été sénateur pendant 11 ans, exercé 34 ans de mandats municipaux et été maire durant 22 ans, il est temps de laisser la place à d’autres».
Municipales 2014: Roberto Cristofoli, «Municipales: Girszonas défie Badré à Ville d'Avray: Elu depuis 1995, le MoDem Denis Badré, 71 ans, rassemble l'ensemble de la droite et du centre contre son challenger socialiste Alexis Girszonas, 25 ans, qui conduit la gauche et les écologistes», Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
«Denis Badré investi par le MoDem», Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine, (lire en ligne).
«Dans les cabinets ministériels», Le Monde, (lire en ligne).
«Le mouvement préfectoral», Le Monde, (lire en ligne).
«Les nouveaux élus», Le Monde, (lire en ligne)«Denis Badré (UDF-CDS). Né le 3 janvier 1943 à Pontarlier (Doubs), ancien élève de l'Ecole polytechnique, ingénieur du génie rural des eaux et forêts, Denis Badré est adjoint au maire de Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine) depuis 1987, maire de cette ville depuis juin 1995, il est aussi conseiller régional d'Ile-de-France depuis 1992».
Elia Dahan, «Ville d’Avray: Aline de Marcillac «chef du village»: L’ancienne première-adjointe de la commune a été élue maire. Elle succède à Denis Baudré qui a présenté, vendredi 6 octobre sa démission», Le Parisien, édition des Hauts de Seine, (lire en ligne, consulté le )«C’est avec émotion que Denis Badré a ensuite remis l’écharpe à sa première adjointe qu’il formait à sa succession depuis le début de son dernier mandat en 2014».
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