Vielle-Tursan est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Cet article est une ébauche concernant une commune des Landes.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Vielle-Tursan
Rue principale et clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste. Carte postale, début XXe s.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Landes
Arrondissement
Mont-de-Marsan
Intercommunalité
Communauté de communes d'Aire-sur-l'Adour
Maire Mandat
Benoît Laborde 2020-2026
Code postal
40320
Code commune
40325
Démographie
Population municipale
271 hab. (2019 )
Densité
21 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 40′ 35″ nord, 0° 26′ 57″ ouest
Altitude
Min. 64 m Max. 142 m
Superficie
12,81 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Mont-de-Marsan (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton d'Adour Armagnac
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Vielle-Tursan
Géolocalisation sur la carte: France
Vielle-Tursan
Géolocalisation sur la carte: Landes
Vielle-Tursan
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Vielle-Tursan
modifier
Géographie
Localisation
Commune située dans le Tursan, dans le vignoble de Tursan, à la limite de la Chalosse à l'ouest, à 9 km des Pyrénées-Atlantiques au sud.
Sa préfecture Mont-de-Marsan est à 24 km au nord,
Aire-sur-l'Adour à 15 km à l'est,
Hagetmau à 11 km à l'ouest,
Pau (Pyrénées-Atlantiques) à 42 km au sud-sud-est[1] (distances à vol d'oiseau).
Le Bas, affluent de rive droite du Gabas, traverse les terres de la commune[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 13,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Bahus Fleton», sur la commune de Bahus-Soubiran, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9°C et la hauteur de précipitations de 997,3 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Mont-de-Marsan», sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour la période 1971-2000[12], à 13,5°C pour 1981-2010[13], puis à 13,9°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Vielle-Tursan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (62,4%), zones agricoles hétérogènes (19,9%), forêts (17,7%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Vielle-Tursan est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Vielle-Tursan est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[23],[24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vielle-Tursan.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 54,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 151 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 70 sont en en aléa moyen ou fort, soit 46%, à comparer aux 17% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].
Toponymie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Histoire
Pour un article plus général, voir Histoire des Landes.
Protohistoire
Article détaillé: Tumulus de Vielle-Aubagnan.
Inscription ibère, tumulus de la lande Mesplède
Les tumulus de la lande Mesplède, souvent cités comme "les tumulus de Vielle-Aubagnan"[28], se trouvent sur Vielle[29], entre Vielle à l'est et Aubagnan à l'ouest[30].
L'un de ces tumulus, exploré en 1914 par Pierre-Eudoxe Dubalen[31], a livré parmi son mobilier les restes de deux fragments que l'on interprète aujourd’hui comme deux phiales en argent avec des inscriptions ibériques[32] particulièrement intrigantes. La sépulture a été datée par son mobilier de l'époque du second âge du fer, et vraisemblablement de la fin du IIesiècleav. J.-C.[33].
Les phiales auraient été fabriquées dans un atelier de la basse vallée de l'Èbre à la fin du IIIesiècleav. J.-C.[29]. Ces inscriptions ont fait l'objet d'une abondante littérature scientifique[33]; à ce jour les débats ont toujours cours quant à l'interprétation de cette découverte pour déterminer la part et les modalités de l'influence ibérique en Aquitaine avant la conquête romaine[34],[35],[36].
Époque gallo-romaine, Moyen-Âge
Probablement occupé dès la période gallo-romaine, le site de Vielle-Tursan s'est développé autour d'un castrum dont l'existence était mentionnée en 1279 et qui fut construit sur une pointe du promontoire où est le village. Vielle-Tursan fut avec Urgons une des seigneuries de la famille Castelnau. Par son testament du , Raymond Bernard de Castelnau, se préparant à partir pour l'Angleterre, désire être enseveli en l'église de Vielle, s'il vienne à mourir en pays étranger.
Temps modernes
Au XVIesiècle, Vielle n'appartient plus au Castelnau. On y trouve en 1566, Antoine de Montesquieu, seigneur de Sainte-Colombe, ensuite Jehan d'Artiguenave, originaire de Mont-de-Marsan. Pierre d'Artiguenave épousa Thérèse de Chambre. Plus tard, la baronnie de Vielle passa aux d'Antin, de Sauveterre-de-Béarn. Pierre d'Antin prit part à l'assemblée des Trois Ordres en 1789 à Tartas.
À un certain moment, Vielle fut en possession de l'abbaye de Saint-Sever. C'est sans doute alors que les moines bénédictins ont mis à l'honneur la culture en Tursan. Vielle fut renommée pour ses crus dont la gloire atteint son apogée au XVIIesiècle.
En 1759, Vielle-Tursan est désigné sous le nom de Vielle-en-Chalosse, la Chalosse prise ici dans un sens extensif.
Politique et administration
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1995
2014
Annie Darracq
PS
Agricultrice
avril 2014
En cours
Benoit Laborde
PS
Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2019, la commune comptait 271 habitants[Note 7], en diminution de 2,52% par rapport à 2013 (Landes: +4,14%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
776
740
858
678
855
855
895
890
807
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
802
770
745
700
678
674
641
649
620
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
615
624
531
461
448
434
418
367
349
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
371
345
339
310
301
291
302
302
289
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
263
271
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Lieux et monuments
Église Saint-Jean-Baptiste de Vielle-Tursan.
Le lavoir: la source qui l'alimente date de l'époque quaternaire. Le lavoir date de 1891. On y accède très aisément depuis la place de la Mairie. Le linge était lavé avec des cendres. Le lavoir était considéré comme un lieu de rencontre entre les habitants du village. Ses abords sont fleuris et invitent au repos ou à la méditation. Son entretien est assuré par les adhérents du Club du 3eâge et la municipalité.
Personnalités liées à la commune
Le général Castaing (1858), né à Vielle avait commandé la 122edivision à Salonique (Expédition de Salonique) pendant la Première Guerre mondiale. Il est l'auteur des Méditations et pensées de guerre.
Le hameau d'Aydren est le berceau de la famille Daydren, né en 1863 et qui fit une brillante carrière militaire au Tonkin et Madagascar sous Hubert Lyautey et Joseph Gallieni. Général de brigade en 1917, il s'est illustré dans la région de Verdun et devient général de division en 1919. Il est mort en 1940 à Mont-de-Marsan.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
«Vielle-Tursan, carte interactive» sur Géoportail. Couches «Cartes IGN classiques» et «Hydrographie» activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle sur l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
[Dubalen 1926] Pierre-Eudoxe Dubalen, «Tumulus de Vielle-Aubagnan», Bulletin de la Société préhistorique française, vol.23, no12, , p.315-316 (lire en ligne[sur persee]).
[Hébert 1990] Jean-Claude Hébert, «Les deux phiales à inscriptions ibériques du tumulus n° 3 de la lande «Mesplède» à Vielle-Aubagnan (Landes)», Bulletin de la Société de Borda, no417, , p.1-40 (lire en ligne[PDF] sur archeolandes.com, consulté en ).
[Dubalen 1914] Pierre-Eudoxe Dubalen, «Tombes aquitaniques», Revue des Études Anciennes, vol.16, no2, , p.217-218 (lire en ligne[sur persee]).
[Gorrochategui 2013] Joaquín Gorrochategui, «Linguistique et peuplement en Aquitania», dans Anne Colin & Florence Verdin, L'âge du Fer en Aquitaine et sur ses marges. Mobilité des hommes, diffusion des idées, circulation des biens dans l'espace européen à l'âge du Fer (Actes du 35e colloque de l'Association Française pour l'Étude de l'Âge du Fer, Bordeaux, 2-5 juin 2011), éd. Ausonius, coll.«Aquitania» (no30 (supplément)), (lire en ligne[PDF] sur aquitania.u-bordeaux-montaigne.fr), p.17-, p.20.
[Gorrochategui 2002] (es) Joaquin Gorrochategui, «Nota sobre las inscripciones ibericas de Aubagnan (Landas, Francia)», dans X. Artiagoitia, P. Goenaga et J.A. Lakarra, Erramu boneta: Festschrift for Rudolf P.G. De Rijk [«Note sur les inscriptions ibériques d'Aubagnan (Landes, France)»], Bilbao, (lire en ligne[PDF] sur ojs.ehu.eus), p.229-301.
[Iglesias 2008] Hector Iglesias, «Observations concernant les récentes critiques et omissions de Joseba Lakarra à propos des recherches d'Hector Iglesias sur la problématique ”basco-ibérique” suivies d'une hypothèse inédite concernant l'inscription de Liria», Arse boletin anual del Centro Arqueologico Saguntino, Sagunto, , p.35-104 (lire en ligne[PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consulté en ), p.90.
[Lafon 1956] René Lafon, «Protohistoire des Landes. Les inscriptions en caractères ibères d'Aubagnan et les inscriptions latines d'Aire-sur-l'Adour, Landes de Gascogne et Chalosse» (Actes du IXe Congrès d'Études Régionales tenu à Saint-Sever les 28 et 29 avril 1956), Bulletin de la Société de Borda, , p.5-10.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии