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Verlhac-Tescou [vɛʁlak tɛsku] est une commune française située dans le sud-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.

Verlhac-Tescou

Église Notre-Dame de l'Assomption.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Quercy Vert-Aveyron
Maire
Mandat
Michel Regambert
2020-2026
Code postal 82230
Code commune 82192
Démographie
Gentilé Verlhacois
Population
municipale
522 hab. (2019 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 49″ nord, 1° 32′ 20″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 220 m
Superficie 22,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tarn-Tescou-Quercy vert
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Verlhac-Tescou
Géolocalisation sur la carte : France
Verlhac-Tescou
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Verlhac-Tescou
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Verlhac-Tescou

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tescou, le Tescounet, le ruisseau de Nadalou et par divers autres petits cours d'eau.

    Verlhac-Tescou est une commune rurale qui compte 522 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Verlhacois ou Verlhacoises.


    Géographie


    La commune est située dans le sud du Quercy. Elle est située à 18 km au sud-est de Montauban et à 38 km au nord de Toulouse.

    Verlhac-Tescou est limitrophe des départements du Tarn et de la Haute-Garonne.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Verlhac-Tescou[1]
    Saint-Nauphary La Salvetat-Belmontet Montdurausse (Tarn)
    Varennes Saint-Urcisse (Tarn)
    Villemur-sur-Tarn
    (Haute-Garonne)
    Le Born
    (Haute-Garonne)
    Montgaillard (Tarn),
    Beauvais-sur-Tescou (Tarn)
    Carte de la commune de Verlhac-Tescou et des proches communes.
    Carte de la commune de Verlhac-Tescou et des proches communes.

    Géologie et relief


    La superficie de la commune est de 2269 hectares, son altitude varie de 110 à 220 mètres.


    Voies de communication et transports


    La commune est accessible par l'A20  63 (Albi-Gaillac) puis par la RD999 (ex-RN99).

    La gare la plus proche de Verlhac-Tescou est la gare de Montauban-Villebourbon.

    A noter qu'une ligne du réseau de bus TER Midi-Pyrénées, reliant Montauban à Albi (ligne 921), s'arrête à proximité de la commune (à Saint-Nauphary et à Beauvais-sur-Tescou).


    Hydrographie


    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Tescou, le Tescounet, le ruisseau de Nadalou, un bras du Tescounet, le ruisseau de Binagret, le ruisseau de Danisou, le ruisseau de la Barrabie, le ruisseau de la Bruguette, le ruisseau de Pébril, le ruisseau de Pouty, le ruisseau des cadèles, le ruisseau des Camparnals, le ruisseau des Tils, le ruisseau des Vergnes et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[3],[Carte 1].

    Le Tescou, d'une longueur totale de 48,8 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-de-Montmiral et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Montauban, après avoir traversé 13 communes[4].

    Le Tescounet, d'une longueur totale de 21,7 km, prend sa source dans la commune de Salvagnac et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tescou à Saint-Nauphary, après avoir traversé 8 communes[5].

    Réseaux hydrographique et routier de Verlhac-Tescou.
    Réseaux hydrographique et routier de Verlhac-Tescou.

    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 775 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Corbarieu », sur la commune de Corbarieu, mise en service en 1993[12] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 711,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 18 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[16] à 14 °C pour 1991-2020[17].


    Milieux naturels et biodiversité


    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].


    Urbanisme



    Typologie


    Verlhac-Tescou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[I 1],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,4 %), zones agricoles hétérogènes (29,2 %), forêts (20,5 %), prairies (3 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Verlhac-Tescou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tescou et le Tescounet. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[27],[24].

    Verlhac-Tescou est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 7],[28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Verlhac-Tescou.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Verlhac-Tescou.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[29].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 244 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 233 sont en en aléa moyen ou fort, soit 95 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 1998, 2003, 2010, 2011, 2012, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].


    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].


    Histoire



    Origine du nom de Verlhac-Tescou


    Ver(g)iliacum. Peut-être du nom de personne gallo-romain Vergilius + suffixe d'appartenance -acum ; du nom du cours d'eau près duquel le village est établi. L'étymologie tasconium (terre argileuse)[33] est peu convaincante (tascos signifie « blaireau » en gaulois).

    Le terme apparaît dans les textes au Xe siècle. Son alleu (fonds de terre, soit noble, soit roturier, exempt de tous les droits et devoirs féodaux) et son église située dans la vallée, près du Tescou, sont évoqués dans le testament de Raymond 1er, comte de Rouergue qui les lègue, à ce moment-là, à l’abbaye de Montauriol.


    La bastide au XIIIe siècle


    Une bastide fut fondée avant 1249 par Raymond VII comte de Toulouse. Cette bastide ne fut pas une simple juridiction, mais donna certainement naissance à un pôle d’habitat regroupé. Elle fut implantée à proximité d’un château seigneurial préexistant, en sommet de coteau, à un emplacement dominant la vallée du Tescou. Elle se trouvait à proximité de l’actuel lieu-dit le Château. Il n’en subsiste aucun vestige visible aujourd’hui sauf peut-être une partie des fossés[34].


    Les coutumes de 1306


    Des coutumes furent octroyées en 1306 aux habitants de Verlhac par Hélie de Talleyrand, comte de Périgord. Dans les coutumes il est, entre autres, question de la taille des parcelles à bâtir ce qui laisse supposer que la bastide ne s’est pas limitée à une juridiction mais entraîna bien l’agglomération d’un habitat : « cascun hostal o casal que ara sies stadis de largessa et dozze de lonc ». Il y est question de la communauté, mais aussi des franchises économiques ou encore de la justice[34].


    Refuge des derniers Cathares


    Peire Authié s'est réfugié en 1308 à Verlhac-Tescou[35] chez Pierre de Clairac et Bertrand Salès[36],[37], il échappa longtemps aux poursuites, mais fut dénoncé, arrêté par l'Inquisition et brûlé vif à Toulouse le .


    Un fort villageois au XVIe siècle


    Très probablement au milieu du XVIe siècle, au moment des guerres de religion, un fort villageois a été fondé à Verlhac. Un fort villageois est une «fortification collective de faible superficie, d’abord destinée à être utilisée temporairement en cas de danger par les habitants». La bastide, dans laquelle il ne subsistait presque plus de maison, a été mise en défense pour créer le fort. Celui-ci est connu notamment grâce au compoix de 1582. Il y est question du « fort de Verlhac » et du « faubourg de Verlhac». Il y avait à cette date une soixantaine de maisons dans le fort et une cinquantaine dans le faubourg. Tous les tenanciers de maisons dans le fort possédaient aussi au moins une maison à l’extérieur du fort, dans le faubourg, dans un hameau ou isolée. Le fort villageois était fortifié. Il est question à de nombreuses reprises dans ce document de la «muralha du fort[34].


    Le déplacement du village au XVIIe siècle


    Au début de l’époque moderne Verlhac a été marquée par le protestantisme. Il y aurait eu un temple dans le faubourg et les seigneurs du lieu, les du Bousquet, étaient protestants. Jacques du Bousquet est quant à lui victime de la répression anti-protestante en 1685. Son château est saisi et il est exilé en 1687. Le village disparaît donc très certainement du lieu-dit le Château au cours du XVIIe siècle et se déplace progressivement vers son emplacement actuel appelé dans le compoix de 1651 : «les Forests de Saint Barthélemy[34].

    En 1811, le village est composé d’un petit regroupement d’habitats au lieu-dit Fourest et à côté duquel se trouve le presbytère. L’église et le cimetière sont relégués à l’écart, au sud du hameau. Vers 1820, une nouvelle église est édifiée à proximité du hameau, légèrement au sud de celui-ci, et l’ancienne est démolie. Le village se constitue réellement au cours de la seconde moitié du XIXe siècle et dans les premières décennies du XXe siècle. À cette période sont construits plusieurs ateliers et commerces, mais aussi des édifices publics. Parmi les ateliers et commerces, il est intéressant de signaler l’épicerie et l’atelier de charron, qui faisait aussi office de café un jour par semaine. Vers 1886, l’église est reconstruite et devant elle, au nord du parvis, est construit un bâtiment abritant la mairie et une école de garçons. L’installation de ces commerces et édifices publics donne naissance au village en tant que pôle administratif et économique de la commune. Ces maisons de village n’ont pas de fonction agricole. Leurs habitants sont alors artisans ou travaillent dans des fermes[34]


    Politique et administration



    Administration municipale


    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[38],[39].


    Rattachements administratifs et électoraux


    La commune fait partie de la Première Circonscription de Tarn-et-Garonne, de la Communauté de Communes Quercy-Vert-Aveyron et du canton de Tarn-Tescou-Quercy-Vert. La commune fait aussi partie de l'Arrondissement de Montauban.


    Tendances politiques et résultats


    Article détaillé : Élections municipales de 2014 en Tarn-et-Garonne.

    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1805 Antoine Couderc    
    1805 1812 Pierre Lala    
    1812 1843 Jean Lala    
    1843 1848 Antoine Marty    
    1848 1855 Etienne Marty    
    1855 1876 Jean-Pierre Prebosc    
    1876 1884 Antoine Lala    
    1884 1896 Raymond Edouard Segur    
    1896 1897 Casimir Segur    
    1897 1924 Pierre Talabot    
    1924 1925 Antoine Mauquie    
    1925 1943 Casimir Segur    
    1943 1943 Lucien Alric    
    1944 1947 Lucien Alric    
    1947 1983 Fernand Vern    
    mars 1983 En cours
    (au 16 juillet 2014[40])
    Michel Regambert    

    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

    En 2019, la commune comptait 522 habitants[Note 8], en augmentation de 2,96 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    620475538851953924891953951
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    948970935896901881864813785
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    763732654567570565518492478
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    421435406409411421416402470
    2014 2019 - - - - - - -
    519522-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


    Verlhac-Tescou fait partie de l'Académie de Toulouse.

    La commune possède une école maternelle, dans laquelle se rendent les élèves de La-Salvetat-Belmontet. L'école élémentaire se trouve donc dans cette même commune voisine.

    L'éducation est assurée par le collège Olympe de Gouges de Montauban.


    Culture et festivités


    Sur la commune, il existe un comité des fêtes, organisant notamment la fête annuelle du village, une association responsable du Centre des loisirs, une association pour la défense du patrimoine matériel et immatériel de la commune, un club des Ainés.


    Sports


    La commune est prisée pour des randonnées, à pied ou à vélo.


    Écologie et recyclage


    La collecte et le traitement des déchets ménagers et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la Communauté de Communes Quercy-Vert-Aveyron.


    Économie



    Revenus


    En 2018, la commune compte 205 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 521 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 990 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).


    Emploi


    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]4,4 %9,1 %9,6 %
    Département[I 7]8,4 %10,2 %10,3 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 312 personnes, parmi lesquelles on compte 78 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 9,6 % de chômeurs) et 22 % d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 57 emplois en 2018, contre 55 en 2013 et 78 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 216, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,7 %[I 10].

    Sur ces 216 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].


    Activités hors agriculture


    25 établissements[Note 11] sont implantés à Verlhac-Tescou au [I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 25 entreprises implantées à Verlhac-Tescou), contre 14,9 % au niveau départemental[I 14].


    Agriculture


    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole située dans le sud-est du département de Tarn-et-Garonne[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations55343227
    SAU[Note 13] (ha)1 3111 2771 2701 251

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 55 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 34 en 2000 puis à 32 en 2010[47] et enfin à 27 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 51 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[48],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 311 ha en 1988 à 1 251 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à 46 ha[47].


    Culture locale et patrimoine



    Association Hiaude


    L'association HIer AUjourd'hui DEmain à Verlhac, s'est donné pour but de : faire connaître, préserver et promouvoir le patrimoine bâti, naturel et culturel de la commune. Elle s'investit sur 3 projets principaux :


    Lieux et monuments



    Église de La Vinouse

    Église Notre-Dame-de-l'Assomption de la Vinouze - Anciennement Beata Maria Vinosa - (référence à la vigne, prépondante sur des terres argileuses et peu fertiles).

    La paroisse de la Vinouse est mentionnée dès le XIIIe siècle[50]. Elle appartenait à la seigneurie du Bourguet à la fin du Moyen Âge et à l'époque moderne. Elle a été une annexe de Montdurausse au cours de l'époque moderne. L'église a été rattachée à la paroisse de Verlhac-Tescou au XVIIIe siècle. Il n'y a plus actuellement de service régulier à la Vinouze.

    Cet édifice est une des rares églises du département, bâtie en terre massive et en adobe, et un très rare exemple régional et national encore conservé. D'après la bibliographie, l'église semble avoir été en partie reconstruite à la fin du XVIIe siècle[51]. L’église de la Vinouse a reçu en 2011 le label européen « Architecture européenne de terre remarquable » créé dans le cadre du projet «Terra Incognita», et grâce au soutien du Pays Midi-Quercy. Créée en 2013, l’association HIAUDE a entrepris et mené à bien la restauration complète de ce bâtiment avec l’aide de la municipalité, de la région Occitanie, du programme européen Leader avec l’appui du Pays Midi-Quercy.


    Héraldique


    Blason
    De sinople à deux pals d'or, au chef du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Personnalités liées à la commune



    Pour approfondir



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
    1. « Carte hydrographique de Verlhac-Tescou » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références



    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montauban » (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Verlhac-Tescou » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Verlhac-Tescou » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Verlhac-Tescou » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Verlhac-Tescou » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    3. « Fiche communale de Verlhac-Tescou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    4. Sandre, « le Tescou »
    5. Sandre, « le Tescounet »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Corbarieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Verlhac-Tescou et Corbarieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Corbarieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Verlhac-Tescou et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Verlhac-Tescou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Verlhac-Tescou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des espaces protégés sur la commune de Verlhac-Tescou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    28. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur www.tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    29. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur www.tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    33. D’après G. Payne in Dictionnaire des paroisses du Diocèse de Montauban.
    34. COMET Anaïs, Inventaire du patrimoine de la commune de Verlhac-Tescou, réalisé dans le cadre de l’inventaire du patrimoine du pays Midi-Quercy, 2010
    35. Jean de Viguerie, Un village en Quercy, Verlhac-Tescou, Verlhac-Tescou, Ass HIAUDE, , 24-25 p. (ISBN 978-2-9560312-0-8), Verlhac, dernier refuge du catharisme persécuté.
    36. Bernard Gui, Le livre des sentences de l'inquisiteur Bernard Gui 1308-1323,, CNRS éditions, , Vol 1.
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    38. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    39. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    40. Tableau des électeurs pour les élections sénatoriales, Préfecture de Tarn-et-Garonne, 16 juillet 2014, [lire en ligne], p. 14.
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    45. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    46. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    47. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Verlhac-Tescou - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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    49. « Église paroissiale Saint-Barthélemy », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    50. Saisimentum comitatus Tholosani. Procès-verbaux de prise de possession du comté de Toulouse en 1271.
    51. Inventaire général du patrimoine culturel, Région Midi-Pyrénées

    На других языках


    [de] Verlhac-Tescou

    Verlhac-Tescou (okzitanisch: Verlhac) ist eine französische Gemeinde mit 522 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Département Tarn-et-Garonne in der Region Okzitanien. Sie gehört zum Arrondissement Montauban und zum Kanton Tarn-Tescou-Quercy vert (bis 2015: Kanton Villebrumier). Die Einwohner werden Verlhacois genannt.

    [en] Verlhac-Tescou

    Verlhac-Tescou (French pronunciation: ​[vɛʁlak tɛsku]; Occitan: Verlhac) is a commune in the Tarn-et-Garonne department in the Occitanie region in southern France.

    [es] Verlhac-Tescou

    Verlhac-Tescou es una población y comuna francesa, en la región de Mediodía-Pirineos, departamento de Tarn y Garona, en el distrito de Montauban y cantón de Villebrumier.
    - [fr] Verlhac-Tescou



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