Vaux-sur-Seine est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, elle se situe le long de la Seine, dans l'agglomération proche et aisée de Paris. Elle fait partie du Grand Paris.
La ville appartient au parc naturel régional du Vexin français.
La commune est desservie par la ligne J du transilien (Mantes-la-Jolie - Paris-Saint-Lazare).
C'est une commune dont le territoire s'étend sur quatre kilomètres, le long de la rive droite de la Seine et dans le massif boisé de l'Hautil à la limite sud du Vexin français. Il englobe également une île de la Seine, l'île de Vaux, en face de Verneuil-sur-Seine. En 1999, l'espace urbain construit représente 21% du territoire, le non-construit 12% et l'espace rural 67% de la superficie de la commune.
Les sous-sols de Vaux-sur-Seine contiennent des galeries, carrières, anciennes exploitations de gypse.
La forêt de l'Hautil est parsemée de fontis, entonnoirs d'effondrement liés à l'exploitation passée du gypse par des carrières souterraines, qui présentent un danger permanent. Le comblement de ces trous est entrepris afin de permettre une exploitation et une fréquentation sans risque de la forêt.
Il n'y a pas eu de risques majeurs depuis 2001.
(Source 1)
La commune est traversée par un sentier de grande randonnée, le GR1, qui relie Évecquemont au nord ouest à Triel-sur-Seine au sud est.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Vals en 1099[1], Valles, Vaux de Jousis Meullent en 1273[2].
Le nom de «Vaux» dérive du latinvallis (vallée, vallon)[3].
La Seine est le seul cours d'eau traversant Vaux-sur-Seine.
Héraldique
Les armes de Vaux-sur-Seine se blasonnent ainsi:
Divisé en chevron renversé, au premier d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au second d'argent au dragon de sable colleté de l'étole de saint Nicaise d'or à dextre, à la grappe de raisin d'or pamprée de trois feuilles de sable à senestre et à la trangle ondée d'azur en pointe, à l'étai renversé de sinople brochant sur la ligne de partition.
Histoire
Publicité pour les lotissements de Vaux, début du XXesiècle.
Le site est habité depuis l'époque paléolithique[réf.nécessaire].
La fondation du village de Vaux remonte à une période très reculée, son existence est attestée vers l'an 250 sous le consulat de Decius et de Gratus, par la légende de Saint Nicaise[4]:
«Accompagné du prêtre Quirin et du diacre Scunicule, Nicaise avait résolu de porter la lumière évangélique dans le nord des Gaules où florissaient d'importantes cités. Ce fut dans un village du Vexin que l'apôtre Nicaise commença ses prédications. Près du village de Vaux, un horrible serpent avait fait sa demeure d'une caverne d’où jaillissait une fontaine, dont les eaux empoisonnées par cet immonde voisinage n'était plus qu'un foyer d'infection. L'arrivée de Nicaise fut saluée des bénédictions de tous les pauvres habitants de ce pays. Plein de foi dans la protection divine, le ministre du Christ envoya vers le repaire du dragon son disciple Quirin, qui courba le monstre sous son commandement et l'amena à Saint Nicaise, lié avec son étole. Tous les habitants confondus d'admiration, se prosternèrent en demandant à embrasser la nouvelle religion. 318 personnes reçurent le baptême à la fontaine même du dragon, redevenue claire et saine comme elle l'était autrefois.»
Ce lieu est la fontaine, le lavoir Saint Nicaise[5].
La terre de Vaux fut possession des comtes de Meulan jusqu'en 1118 date de la mort de Robert Ier de Meulan.
Elle fut apportée en mariage par Jeanne de Fontenay-Mauvoisin, qui était vivante en 1296, à Robert de La Roche-Guyon, fils cadet de Jean de La Roche-Guyon. Leur fille, Marguerite de La Roche-Guyon, dame de Vaux, était en 1342, mariée à Jean de Nesle seigneur d'Offemont[6],[7],[8].
À la suite d'un procès qui eut lieu de 1342 à 1345, un arrêt de justice leur enleva la terre de Vaux au profit de Philippe de La Roche-Guyon, fils cadet de Gui III de La Roche-Guyon, car il avait hérité en 1331 de son oncle Robert de La Roche[9],[10].
Philippe de La Roche-Guyon, mort en 1372, prenait alors le titre de seigneur de La Roche-Guyon, de Bennecourt, de Saint-Martin-la-Garenne, de Chantemerle, de Francourt, de La Faluère, de Maudétour-en-Vexin, de Fontenay-Mauvoisin et de Vaux épousa vers 1335 Marguerite de Laval dame et baronne d'Acquigny, fille de Bouchard de Laval, seigneur d’Attichy. De son mariageil eut:
Béatrix de La Roche-Guyon, dame de Vaux, épouse de Pierre seigneur de Tournebu morte sans enfant
Marie et Idoine de La Roche-Guyon mortes sans alliance empoisonnées, avec leur mère, à l'instigation sur seigneur de Tournebu, ainsi que le constate un arrêt criminel du .
Jeanne de La Roche-Guyon, héritière de son père et de ses sœurs, laquelle épousa en premières noces Jean de Chambly dit La Haze avec lequel elle vivait en 1374 et dont elle eut une fille, Jacqueline de Chambly mariée à Jean de Linières seigneur de Rezé, et en secondes noces son cousin germain Gui V seigneur de La Roche-Guyon fils de Gui IV.
La seigneurie de Vaux passe ensuite à la famille Vion[11].
Pierre de Vion, écuyer, cadet d'une très ancienne famille établie dans les états du duc de Bourgogne, vint s'établir en France en 1478, sous Louis XI, après la mort de Charles le Hardi, dernier duc de Bourgogne[11]. Seigneur de la Barre en la châtellenie de Poissy, il meurt en 1492. De son mariage avec Colette de Maqueret († 1493) il eut notamment:
Jean de Vion, tige de la branche des seigneurs de Tessancourt[12]
Louis de Vion, seigneur de Vaux, Montbine et Saucourt, capitaine d'une compagnie d'arbalétriers à cheval, fut fait chevalier par Louis VIII à la prise de Thérouane le [13] et commanda 1 000 hommes à pied à la bataille de Fornoue en 1495. Il acquit la terre de Vaux suivant décret passé aux requêtes du palais à Paris le . Le , par décret passé à Chaumont-en-Vexin lui furent adjugés les terres de Montbine et de Saucourt, le fief d'Articule sis à Boury-en-Vexin et le fief de Maignenville en la paroisse de Marquemont. En 1489 il bailla au seigneur de La Roche-Guyon, Bertin de Silly, son aveu de la terre de Vaux, par lequel il avoue tenir à une seule foi et hommage, au us et coutumes du Vexin français à cause du châtel et seigneurie de La Roche-Guyon, ladite terre et seigneurie de Vaux et le châtel auquel il y a un pont-levis et place forte d'ancienneté, en laquelle il a droit de guet et de garde de ses habitants et sujets et celle de la châtellenie.
Anciennement «Vaux de Jouste» jusqu'en 1902.
Ancienne possession des comtes de Meulan, des abbayes de Jumièges et de Cernay.
Seigneurie au XVIIe du comte de Saint-Simon, favori de Louis XIII et père du mémorialiste.
Possession à la Révolution des célestins de Limay.
L'exploitation du gypse a été importante du XVIeauXXesiècles. Elle a totalement cessé en 1980.
À la fin du XVIIIesiècle on construit une manufacture de faïence puis de porcelaine en activité pendant une quinzaine d’années. L’endroit où elle se situait s’appelle aujourd’hui «La Manufacture».
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Liste des maires de 1790 à 1945
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1790
1791
Jean-Baptiste Charpentier
1791
1792
Jacques Louis Trude
1792
1795
Jean-François Dieulefit Beaulieu
1795
1796
Louis Barthélémy Drouet
Maire par intérim
1796
1800
Jean Hilaire Sassony
1800
1808
Louis Barthélémy Vautier
Maire nommé
1808
1810
Pierre Martin Ramousse
Maire nommé
1810
1810
Claude Balthazar Pigoreau
Maire nommé
1810
1813
Louis Barthélémy Vautier
Maire nommé
1813
1820
Paul Charles Réant
Maire nommé
1820
1822
Vincent Marochetti
Maire nommé. Décédé le 9 septembre 1822 au château de Vaux-sur-Seine
1822
1826
Louis Barthélémy Vautier
Maire nommé
1826
1831
Fulcran Valère Cailleau
Maire nommé
1831
1831
Charles Marochetti
Maire nommé
1831
1832
Louis Barthélémy Vautier
Maire nommé
1832
1834
François Hommery
Maire nommé
1834
1847
Thomas Dauvergne
Maire nommé
1847
1848
Charles Marochetti
Maire nommé
1848
1849
Gabriel Violet
1849
1852
François Thevenon
1852
1865
Alexandre Parvery
Maire nommé par le préfet de Seine & Oise
1865
1876
François Thevenon
Maire nommé par le préfet de Seine & Oise
1876
1887
Louis Turlin
1887
1892
Jean-Louis Bouture
1892
1894
Anatole Rétif
1894
1904
Armand Raulet
1904
1908
Auguste Dolnet
1908
1912
Charles Rétif
1912
1912
Auguste Dolnet
1912
1913
Louis Gallet
1913
1929
Auguste Dolnet
1929
1935
Émile Delachartre
1935
1940
Armand Bizouard
1940
1944
André Micat
Maire par intérim
1944
1944
Charles Valentin
Maire par intérim nommé par le préfet de Seine & Oise
Retraité secteur privé Réélu pour le mandat 2020-2026
Instances administratives et judiciaires
La commune de Vaux-sur-Seine appartient au canton des Mureaux et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise. Elle est aussi incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[18].
Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la septième circonscription des Yvelines, dont la députée est Michèle de Vaucouleurs (MoDem).
Sur le plan judiciaire, Vaux-sur-Seine fait partie de la juridiction du Tribunal de proximité de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du Tribunal judiciaire ainsi que du tribunal de commerce de Versailles[19],[20].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2019, la commune comptait 5 010 habitants[Note 1], en augmentation de 5,5% par rapport à 2013 (Yvelines: +2,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
929
935
952
969
1 050
1 077
1 077
1 130
1 096
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 066
1 137
1 143
1 164
1 187
1 121
1 149
1 423
1 127
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 183
1 192
1 181
1 230
1 568
1 635
1 538
1 459
1 996
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
2 152
2 736
2 851
3 105
3 790
4 369
4 745
4 800
4 782
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 927
5 010
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6%, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0% la même année, alors qu'il est de 21,7% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 439 hommes pour 2 490 femmes, soit un taux de 50,52% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
2,1
4,4
75-89 ans
6,6
15,0
60-74 ans
15,5
23,4
45-59 ans
21,3
18,0
30-44 ans
20,0
17,7
15-29 ans
16,4
21,1
0-14 ans
18,0
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2018 en pourcentage[26]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,6
90 ou +
1,3
5,7
75-89 ans
7,7
13,4
60-74 ans
14,5
20,6
45-59 ans
20,3
19,8
30-44 ans
19,9
18,4
15-29 ans
17
21,5
0-14 ans
19,4
Économie
Commune résidentielle.
Il y a 65 entreprises référencées sur la commune[réf.souhaitée].
Culture
Lieux et monuments
Monuments historiques
Église Saint-Pierre-ès-Liens.Château de Vaux-sur-Seine.
Vaux-sur-Seine compte quatre monuments historiques sur son territoire.
Article détaillé: Église Saint-Pierre-ès-Liens de Vaux-sur-Seine.
L'Église Saint-Pierre-ès-Liens, rue du Château (inscrite monument historique par arrêté du [27]): De la première église paroissiale fondée en 1154, reste le portail occidental roman. À partir de la fin du XIIesiècle, l'ancienne chapelle remaniée lors de l'érection de la paroisse est successivement remplacée par l'édifice gothique actuel. Le chantier démarre par l'abside, caractérisée par un chevet en hémicycle, et se termine par la nef, qui est initialement accostée de deux collatéraux voûtés à la même hauteur. C'est là aussi une particularité de l'église de Vaux. Sa grande homogénéité stylistique, abstraction faite des remaniements ultérieurs, et le soin apporté à sa décoration, sont tout à fait remarquables. Mais l'église subit apparemment d'importants dégâts pendant la guerre de Cent Ans. Son collatéral sud est démoli, son clocher est réparé de manière simplifié, et la nef et son collatéral nord sont revoûtés vers le milieu du XVIesiècle ou peu après. Les anciens supports sont endommagés ou remplacés par de nouveaux piliers engagés, et les nouvelles voûtes s'accordent mal avec l'architecture d'origine. Plus dommageable encore pour l'esthétique de l'église est la reprise en sous-œuvre de la pile nord-est de la croisée du transept, qui est remplacé par un volumineux massif de maçonnerie, et rompt l'harmonie des parties orientales. Restaurée en 1970, l'église Saint-Pierre conserve toutefois assez d'éléments authentiques pour que l'on puisse se faire une idée de ce qu'elle fût au XIIIesiècle, et son chevet notamment est de grand intérêt[28]. La fondation Maxime-Goury-Laffont a participé à la restauration d'une Vierge à l'Enfant du XVIIesiècle conservée dans cette église[réf.souhaitée].
Le Pavillon d'Artois, 187 Grande-Rue (inscrit monument historique par arrêté du )[29])
La Villa «La Martinière», anciennement bibliothèque municipale , 87 rue du Général-de-Gaulle (inscrit monument historique par arrêté du )[30]): Les parties les plus anciennes ont été bâties sous la direction de l'architecte Lucien Roy en 1880. L'aile de droite est une œuvre de Paul Lagrave de 1897. Le décor en bois gravé réalisé en 1898 est signé Oscar Lavau[31]. Les deux peintures principales (1899) sont d'Alphonse-Alexis Morlot[32].
Le Château de Vaux, rue du Château (inscrit monument historique partiellement par arrêté du )[33]): édifice du XVIesiècle et du milieu du XIXesiècle.
2019: Le Voyageur (épisode 1) de Stéphanie Murat, téléfilm tourné à la gare de Vaux-sur-Seine et au Café de la Gare.
2021: Attention au départ! de Benjamin Euvrard, film tourné à la gare de Vaux-sur-Seine, maquillée pour ressembler à la gare de Beaune.
2021: Je voudrais parler de Duras de Claire Simon, film tourné dans une propriété privée vauxoise[34].
2021: Les aventures de Panacloc de Pierre-François Martin-Laval, film tourné à la gare de Vaux-sur-Seine[35].
Divers
La faculté libre de théologie évangélique est implantée dans la commune depuis 1965.
Personnalités liées à la commune
Léon Bailby (1867-1954), directeur du journal l'Intransigeant, a habité à Vaux-sur-Seine
Charles Oggé Barbaroux (1792-1867), magistrat, Conseiller d'Etat, Député de la Réunion, Sénateur, mort à Vaux-sur-Seine
Robert Bengel (1905-1987), abbé, résistant, Juste parmi les nations, a vécu et est décédé à Vaux-sur-Seine
Emilio Boggio (1857-1920), artiste peintre vénézuélien, a vécu et travaillé à Vaux-sur-Seine
Jean Olivier Hucleux (1923-2012), artiste peintre et dessinateur contemporain, a vécu et travaillé à Vaux-sur-Seine
Olivier Leborgne (évêque) (1963-), prélat catholique français, évêque d'Arras, a grandi à Vaux-sur-Seine
Lekain (1729-1778), tragédien, a vécu à Vaux-sur-Seine
Raymond Thibésart (1874-1968), artiste peintre français qui a peint des paysages vauxois
Le site inspira le peintre Gen Paul.
Voir aussi
Bibliographie
Jean-Fred Prost, Une île entre la Seine et Vaux: ou la petite histoire illustrée de l'île à Vaux-sur-Seine, Vaux-sur-Seine, Jean-Fred Prost, 2002`, 215p. (ISBN978-2-9519345-0-4, OCLC470220287)
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, Volume 2, page 1142.
Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 23.
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