Vaux-en-Bugey est une commune française située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Vaux-en-Bugey fut le premier gisement de gaz naturel exploité en France et la première commune française administrée par un maire écologiste.
Pour les articles homonymes, voir Vaux.
Vaux-en-Bugey | |
Vaux-en-Bugey en novembre 2014. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Ain |
Arrondissement | Belley |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Plaine de l'Ain |
Maire Mandat |
Françoise Rabilloud-Veysset 2020-2026 |
Code postal | 01150 |
Code commune | 01431 |
Démographie | |
Gentilé | Vauxois |
Population municipale |
1 227 hab. (2019 ![]() |
Densité | 149 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 55′ 41″ nord, 5° 21′ 21″ est |
Altitude | Min. 252 m Max. 681 m |
Superficie | 8,22 km2 |
Aire d'attraction | Ambérieu-en-Bugey (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Ambérieu-en-Bugey |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | vauxenbugey.com |
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Vaux-en-Bugey est située dans la région naturelle du Bugey et appartenait au canton de Lagnieu jusqu'à 2015. Elle appartient maintenant au Canton d'Ambérieu-en-Bugey. Elle est située à 3 km de Lagnieu et de Saint-Denis-en-Bugey, 5 km d'Ambérieu-en-Bugey et de Leyment, 36 km de Bourg-en-Bresse et 44 km de Lyon.
Ambutrix | Ambutrix, Bettant | Bettant |
Leyment, Lagnieu | ![]() |
Bettant, Torcieu |
Lagnieu | Lagnieu, Saint-Sorlin-en-Bugey | Souclin |
La superficie de la commune est de 822 hectares et son altitude varie entre 252 et 681 mètres[2].
Le village, construit au débouché de la vallée de Vaux Fevroux, le hameau de Vaux-en-Bugey, est traversé par le Buizin, un ruisseau de 12 km qui prend sa source à Souclin puis qui se jette dans l'Albarine[3].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −1,4 | −0,5 | 2,4 | 5,4 | 8,5 | 12,5 | 14,3 | 13,9 | 11,5 | 7,1 | 3,1 | −0,1 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 1,8 | 3,4 | 7,5 | 10,7 | 14,5 | 18,2 | 20,3 | 19,7 | 16,9 | 11,6 | 6,5 | 2,7 | 11,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 4,6 | 7,4 | 11,9 | 16,1 | 19,5 | 23,9 | 26,4 | 25 | 22,3 | 15,5 | 10 | 5,6 | 15,7 |
Nombre de jours avec gel | 11 | 10 | 5 | 2 | 1 | 0 | 0 | 0 | 1 | 1 | 5 | 10 | 3,8 |
Ensoleillement (h) | 71,7 | 96,9 | 166,5 | 187,7 | 215,6 | 250,1 | 284,9 | 252,2 | 183,6 | 120 | 63,9 | 50,2 | 1 943,3 |
Précipitations (mm) | 71 | 54 | 64 | 81 | 103 | 66 | 46 | 72 | 149 | 124 | 85 | 62 | 977 |
Nombre de jours avec précipitations | 12 | 10 | 11 | 13 | 13 | 10 | 8 | 8 | 11 | 12 | 12 | 12 | 11 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
4,6 −1,4 71 | 7,4 −0,5 54 | 11,9 2,4 64 | 16,1 5,4 81 | 19,5 8,5 103 | 23,9 12,5 66 | 26,4 14,3 46 | 25 13,9 72 | 22,3 11,5 149 | 15,5 7,1 124 | 10 3,1 85 | 5,6 −0,1 62 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Vaux a été desservie par la ligne d'Ambérieu à Montalieu-Vercieu et possédait sa propre gare, la gare de Vaux. Elle a beaucoup servi pour le transport de marchandises ; d'abord pour l'activité viticole puis relativement à l'activité de la verrerie de Saint-Gobain à Lagnieu[6]. La gare existe toujours mais elle n'est plus active.
Vaux-en-Bugey est une commune urbaine[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Ambérieu-en-Bugey, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), zones urbanisées (9,5 %), terres arables (8,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Outre le bourg, la commune comprend le hameau de Vaux-Fevroux, situé entre Vaux-en-Bugey et Torcieu et entre deux montagnes.
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 565, alors qu'il était de 460 en 1999[I 1].
Parmi ces logements, 84,4 % étaient des résidences principales, 5,7 % des résidences secondaires et 9,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8 % des appartements[I 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 77,5 %, en légère hausse par rapport à 1999 (75,5 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était en baisse : 5 % contre 5,9 % en 1999[I 3].
Le nom de Vaux semble être un nom dérivé du latin vallis désignant une vallée, un creux ou un enfoncement. D'autres théories étymologiques font intervenir les mots latins vallus (pieu, échallas) ou vallum (palissade formé de pieux)[13]. Vaux-en-Bugey était connu sous les noms de Vallis au VIIIe siècle, Vals en 1049, De Vallibus en 1128, Valles en 1213, Vauz en 1225, Vaux en 1325[14]. Le changement du nom officiel, pour des raisons postales et administrative, en « Vaux-en-Bugey » date de 1928 et officialise une appellation de pratique ancienne[13].
Le nom Bugey provient de l'adjectif latin Bellicensis formé sur Bellicium, ancien nom de la ville de Belley, et rappelle que Vaux-en-Bugey faisait partie du « Pagus Bellicencis », c'est-à-dire de l'évêché de Belley[15].
Pour ce qui est de son hameau, Vaux-Févroux, la tradition fait provenir le nom de « Févroux » du latin febris (fièvre), qui indiquerait un pays insalubre, mais peut également, entre autres suppositions, être une contraction de feverole, qui désigne un champ de fèves[13].
Il a été trouvé dans les jardins du village quelques monnaies romaines de Claude II, Maximien et Maximin, ainsi que diverses sépultures et des vases funéraires datant du Ve siècle dans une carrière proche de la mairie[16].
Vaux-en-Bugey est un ancien village médiéval fortifié. À partir du Xe ou XIe siècle, la région de Vaux-en-Bugey fait partie de la sirerie de Coligny, puis de Coligny-le-Neuf. Elle passe vers 1220 à la famille de La Tour du Pin, à la suite du mariage de Béatrice de Coligny avec Albert III de la Tour.
En 1282, Humbert Ier de Viennois, fils des précédents et époux d'Anne d'Albon, la fille de Guigues VII du Viennois, devient dauphin à la mort de son beau-frère Jean Ier et intègre sa baronnie, dont fait partie Vaux, au Dauphiné. Les conflits delphino-savoyards font connaitre à la région un état de guerre quasi-continu de 1142 à 1355.
Le 30 mars 1349, par le traité de Romans, le Dauphiné intègre le royaume de France jusqu'en 1355, date d'un échange de territoire entre le royaume de France et le comté de Savoie, visant à mettre un peu d'ordre dans les enclaves des deux puissances. Le Rhône constitue désormais la frontière et Vaux-en-Bugey devient savoyard.
Le 17 janvier 1601 est signé le traité de Lyon qui met fin à la guerre franco-savoyarde (1600-1601) entre Charles-Emmanuel Ier, duc de Savoie et le roi de France Henri IV. Aux termes de cet accord, la Bresse, le Bugey, le Valromey et le pays de Gex sont cédés à la couronne de France.
Le curé Grumet de Vaux-en-Bugey rapporte dans son registre paroissial, un évènement « miraculeux » survenu le 7 avril 1760 à Montferrand, hameau de Torcieu[17],[18] : le fils de Joseph Rigolet et Simone Billon Bontems, mort-né est enterré près de la chapelle de Nièvre. Le soir de son enterrement Étienne Prévôt pense entendre une voix issue du sol. Le jour de Pâques (deux jours après), Benoît Duport entend également le même type de son. La population décide alors d'exhumer l'enfant. Le curé Grumet écrit :
« Plus de cent personnes virent qu’il ouvrit l’œil gauche, le tint ouvert près d’un quart d’heure et le referma. Il remua les doigts de la main droite. On vit encore couler abondamment des gouttes de sueur de son visage[18]. »
À la suite d'un sondage destiné à chercher de la houille, entrepris sur la commune en 1904, il est découvert vers Vaux-Févroux un gisement de gaz naturel. Il faut plus de trois mois pour maîtriser l'éruption de ce gisement[19]. Ce gisement est le premier à avoir été exploité en France. Le gaz naturel a été exploité pendant plusieurs dizaines d’années et a alimenté la ville d’Ambérieu[20] et la verrerie Saint-Gobain de Lagnieu, spécialement construite en 1922, afin de profiter de ce gisement qu'on supposait prometteur[21].
Le nombre d'habitants au dernier recensement était d'environ 1300 habitants, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[22].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1983 | 2001 | Éric Gilbert[24] | Les Verts | Instituteur Premier maire écologiste de France[24] |
2001 | 2014 | Hubert Chanet | ||
2014 | En cours (au 31 mars 2014[25]) |
Françoise Rabilloud-Veysset |
Vaux-en-Bugey relève du conseil de prud'hommes de Belley, de la Cour administrative d'appel de Lyon, de la Cour d'appel de Lyon, de la Cour d'assises de l'Ain, du tribunal administratif de Lyon, du tribunal d'instance de Belley, du tribunal de commerce de Bourg-en-Bresse, du tribunal de grande instance de Bourg-en-Bresse et du tribunal pour enfants de Bourg-en-Bresse[26].
En 2014, le budget de la commune s'élève à 705 000 euros pour un taux d'endettement à 7,7 %[27].
La commune est jumelée avec Redavalle (Italie)[28]. L'association Amibop (Amitiés Bugey Oltrepo Pavese) gère ce jumelage.
Les habitants sont appelés les Vauxois et Vauxoises[29].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2019, la commune comptait 1 227 habitants[Note 3], en augmentation de 0,99 % par rapport à 2013 (Ain : +5,32 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
888 | 1 054 | 1 048 | 1 090 | 1 057 | 1 007 | 992 | 990 | 976 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
908 | 743 | 950 | 850 | 823 | 844 | 857 | 848 | 847 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
816 | 770 | 704 | 627 | 669 | 702 | 658 | 620 | 652 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
687 | 738 | 762 | 798 | 881 | 1 003 | 1 090 | 1 115 | 1 215 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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1 221 | 1 227 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 23,4 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 624 hommes pour 597 femmes, soit un taux de 51,11 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,33 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,5 |
7,9 | 75-89 ans | 8,9 |
14,6 | 60-74 ans | 15,6 |
22,0 | 45-59 ans | 21,6 |
20,0 | 30-44 ans | 20,9 |
13,1 | 15-29 ans | 14,1 |
22,0 | 0-14 ans | 17,4 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,6 |
5,9 | 75-89 ans | 7,9 |
15,1 | 60-74 ans | 15,7 |
21,1 | 45-59 ans | 20,5 |
19,9 | 30-44 ans | 19,8 |
16,6 | 15-29 ans | 15,3 |
20,8 | 0-14 ans | 19,1 |
Vaux-en-Bugey est située dans l'académie de Lyon.
Elle administre une école maternelle et une école élémentaire regroupant 138 élèves en 2014-2015[36].
Chaque année, Vaux-en-Bugey accueille des forains sur la place des Terreaux, au centre du village, pour une vogue et des conscrits volontaires sont chargés de tenir une buvette.
Vaux-en-Bugey compte deux professionnels de santé, un médecin et un naturopathe. Pourtant, le village ne compte aucun hôpital.
Le bowling « BCube » accueille le club BBB (Bowling Ball Bugey) dont sont issus les champions de France Laurent Cinquin et Yves Petit-Laurent[37].
Vaux-en-Bugey compte aussi un stade de football et un terrain de basket-ball.
Au sein de l'archidiaconé « Saint-Jean-Marie Vianney (Dombes, Plaine de l’Ain, Côtière, Val de Saône) » du diocèse de Belley-Ars dans l'archidiocèse de Lyon, le territoire de la commune dépend de la paroisse de Lagnieu[38]. Le culte catholique n'est plus célébré dans l'église de la commune mais dans les communes voisines[39].
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 32 703 €, ce qui plaçait Vaux-en-Bugey au 11 209e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[40].
En 2009, 35,8 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 4].
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 734 personnes, parmi lesquelles on comptait 78,7 % d'actifs dont 73,5 % ayant un emploi et 5,2 % de chômeurs[I 5].
On comptait 252 emplois dans la zone d'emploi, contre 236 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 541, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 4] est de 46,6 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins d'un emploi pour deux habitants actifs[I 6].
Au , Vaux-en-Bugey comptait 70 établissements : 6 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 7 dans l'industrie, 14 dans la construction, 38 dans le commerce-transports-services divers et 5 étaient relatifs au secteur administratif[I 7].
En 2011, 10 entreprises ont été créées à Vaux-en-Bugey[I 8], dont 8 par des autoentrepreneurs[I 9].
Le village se trouve dans les zones de fabrication du comté, un fromage de lait cru de vache à pâte pressée cuite[41], et de la roussette du Bugey, un vin blanc d'appellation d'origine contrôlée produit dans le Bugey à partir du cépage altesse[42]. Le village de Vaux-en-Bugey possède une longue tradition viticole[13].
La commune ne compte ni monument, ni objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[43],[44] et aucun lieu, monument ou objet répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[45],[46].
Du vieux village fortifié autour de l'église Saint-Martin, il subsiste des morceaux de remparts, deux portes et une tour de gué sur les quais du Buizin[47]. Autour du cimetière se trouve la chapelle de Nièvre du XIIe siècle et son oratoire[48]. Se trouve également à cet endroit le monument aux morts[49] restauré en 2014. Citons également le Musée de la vigne[50] (un musée de la vigne et du vin) situé dans le local de l'alambic, le long des quais du Buizin et le château de Verneaux et son pigeonnier[51].
Au hameau de Vaux-Fevroux se trouvent des maisons typiques de la région[48].
La partie du Buizin sous Vaux-Févroux est classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type I. Cette partie du ruisseau abrite l’écrevisse à pattes blanches, un excellent indicateur de la qualité de l'eau[52].
Les « cuves du Buizin » sont une série de marmites plus ou moins profondes situées sous un enchaînement de cascades et formant une curiosité naturelle visitée par les touristes et les adeptes de canyoning[53].En février 2012, des pratiquants d’escalade glaciaire ont pu pratiquer leur activité sur les cascades gelées du Buizin[54].
L'espace culturel René-Panis organise des événements culturels et artistiques, à la suite des dernières volontés du sculpteur René Panis[55],[56]. L'association culturelle « la Maison Panis » est installée depuis sa disparition dans sa maison, léguée avec une partie de son parc à la commune de Vaux-en-Bugey[56]
La chorale Ainsol’hit, créée en 1994, est basée à Vaux-en-Bugey[57].
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La commune de Vaux-en-Bugey porte :
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