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Valdelaume est une commune nouvelle française résultant de la fusion  au   des communes de Ardilleux et Bouin, Hanc et Pioussay située dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine.

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Valdelaume

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté de communes Mellois en Poitou
Maire Emmanuel Caquineau
Code postal 79110
Code commune 79140
Démographie
Population
municipale
828 hab. (2019)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 04′ 34″ nord, 0° 00′ 51″ ouest
Altitude Min. 88 m
Max. 166 m
Superficie 50,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Melle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Valdelaume
Géolocalisation sur la carte : France
Valdelaume
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Valdelaume
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Valdelaume

    Géographie


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    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 912 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1977 à 2014 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records HANC (79) - alt : 125 m 46° 04′ 00″ N, 0° 00′ 12″ O
    Records établis sur la période du 01-01-1977 au 31-12-2014
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 1,9 3,8 5,5 9,1 12,1 14 13,8 11,3 8,9 4,7 2,5 7,5
    Température moyenne (°C) 5,1 6 8,7 10,9 14,9 18,2 20,5 20,4 17,3 13,6 8,4 5,6 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,3 10 13,6 16,4 20,7 24,4 27,1 27 23,4 18,3 12 8,7 17,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −17,1
    16.01.1985
    −12,8
    08.02.1991
    −10
    02.03.05
    −3,5
    07.04.08
    −1,7
    04.05.1979
    2,4
    07.06.1989
    5,4
    03.07.1980
    3,8
    30.08.1986
    2,5
    28.09.08
    −2,5
    25.10.03
    −7,8
    21.11.1993
    −11
    17.12.09
    −17,1
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,9
    15.01.1996
    23,9
    15.02.1998
    26,5
    20.03.05
    32
    30.04.05
    35
    29.05.01
    39
    22.06.03
    39
    13.07.03
    42
    13.08.03
    35,5
    03.09.05
    32,5
    01.10.11
    21,8
    03.11.1994
    18,6
    03.12.1985
    42
    2003
    Précipitations (mm) 87,5 67,1 63,9 74,3 72,6 54,3 55,4 49,8 61,9 93,5 95,5 102,3 878,1
    Source : « Fiche 79140002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme



    Typologie


    Valdelaume est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Valdelaume est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].


    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aume. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[15],[13].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Valdelaume.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Valdelaume.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[16]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 54,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[18]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[19].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].


    Toponymie



    Valdelaume


    Le nom de la commune provient de la rivière Aume qui prend sa source à Bouin. La forme la plus ancienne attestée du nom de la rivière est Lauma en 1312[20],[21],[22]. Sur la carte de Cassini, Losme[22].

    Le L a été ensuite interprété comme un article défini, d'où les formes actuelles : l'Aume, l'Osme[21].

    Ce nom proviendrait d'un pré-latin *lamma « endroit bourbeux »[21],[23].


    Ardilleux


    Ardilleux apparaît en 990 sous le nom d'Arzilocus, issu du latin argilla (argile) avec le suffixe -ossum[23]. Argile se dit ardile en poitevin, la forme actuelle est une francisation partielle du poitevin ardilous (argileux)[24].


    Bouin


    Bouin apparaît sous la forme Bonno en 937 puis Bugnus vers 980[23],[22]. Il provient d'un nom d'homme gallo-romain *Bonius[23],[25] ou *Bondius[23].


    Hanc


    Hanc apparaît sous les formes Aent vers 1039[23],[22], Ayens seu de Hento en 1300[22],[23], Hant en 1769[22], Ham en 1782[23],[22].

    Provient probablement d'une racine gauloise oronymique ag- avec le suffixe -entum[23]. La racine ag- se retrouve dans le nom d'Agen, sous la forme aginnon « hauteur »[23],[26]. On peut aussi penser au gaulois agannus « rocher, butte rocheuse »[25], agannt- « borne, frontière »[27].


    Pioussay


    Pioussay apparaît sous la forme Poziciacus au XIIe siècle, puis Poinçay en 1300, Piossay en 1643[22]. Il peut provenir d'un nom d'homme latin *Posicius voire Ponticus, avec le suffixe -(i)acum[23].


    Histoire


    La commune de Valdelaume est créée par l'arrêté préfectoral du avec effet au [28].


    Histoire d'Ardilleux


    La Motte-Tuffeau (ou Motte-Tuffaud), située en limite de la commune, 40 m de diamètre, 20 m de haut, a été fouillée en 1971 par Raymond Proust. Il y a trouvé au sommet les restes de substructions d'un donjon carré, avec à chaque angle, une saillie arrondie marquant probablement les fondations d'une tour.

    Une charte de Saint-Hilaire de Poitiers, en 990, signale la dotation de deux maisons avec vignes, prés, vergers, terres arables et dépendances, par Folcon à sa fiancée Alba, dans le hameau qui deviendra le bourg d'Ardilleux.

    Dès 1652, Ardilleux avait un maître d'école.

    En 1744, la paroisse comprenait huit domaines. On y trouvait un moulin à vent.

    L'église Saint-Junien dépendait de l'abbaye de Nouaillé. Vendue pendant la Révolution et convertie en grange, elle fut restaurée en 1866.


    Histoire de Bouin


    L'histoire de Bouin est commune à l'histoire du comté de Poitiers, puis à celle de l'Angoumois, puis enfin à celle du département des Deux-Sèvres : peuplement celte des Gaulois, domination de l'Empire romain en -52, expansion du christianisme à partir du IVe siècle, domination du Royaume Wisigoth en 418 puis des Francs en 507, domination des Capétiens en 987 puis des Plantagenêts en 1152, rattachement à la Couronne de France en 1308 et importance du protestantisme au XVIIe siècle.

    La région de Bouin est dévastée à de très nombreuses reprises par les guerres : guerre civile entre Carolingiens, guerre entre Plantagenêts et Capétiens, guerre de Cent Ans et guerres de religion. Par contre, Bouin et ses environs n'auraient pas souffert du passage des Vandales en 407, ni du passage des Maures en 732, ni des raids normands en Poitou et dans la vallée de la Charente de 845 à 868.


    Les dates de l'histoire de Bouin


    Tempêtes de fin décembre 1999 en Europe


    La région de Valdelaume a été frappée par deux tempêtes hivernales intenses : Lothar le 26 décembre 1999, et surtout Martin dans la nuit du 27 au 28 décembre 1999. Des vents ont été enregistrés à environ 200 km/h sur l'île d'Oléron et à Royan, avant de toucher Valdelaume. Plusieurs décès accidentels ont été déplorés aux environs de la commune.


    Politique et administration



    Communes déléguées


    Liste des communes formant Valdelaume
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Hanc
    (siège)
    79140 CC Mellois en Poitou 18,12 258 (2016) 14
    Ardilleux 79011 CC Mellois en Poitou 10,35 179 (2016) 17
    Bouin 79045 CC Mellois en Poitou 8,33 132 (2016) 16
    Pioussay 79211 CC Mellois en Poitou 13,77 297 (2016) 22

    Liste des maires


    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2019 En cours Emmanuel Caquineau   Exploitant agricole

    Population et société



    Démographie


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    Économie


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    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    L'église d'Ardilleux

    Église romane de saint Junien


    L'église de Bouin

    L’église Notre-Dame du Xe siècle, inscrite depuis 1926 à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques ; le chœur abrite la tombe de Jean Turpin, écuyer, décédé en 1663.


    La Motte-Tuffeau

    Ancienne motte féodale. Dénommée Motte-Tuffeau sur la carte de Cassini puis Motte-Tuffaud sur plusieurs cartes (carte de l'état-major, carte IGN de 1950...).

    Culmine à 116 m, elle mesure 20 m de diamètre à son sommet et 40 m à sa base.

    Les fouilles effectuées par Raymond Proust en 1969 et 1971 ont révélé qu'il s'agit d'une motte défensive artificielle dont l'activité s'étend au moins du IXe au XIVe siècle.

    Fouilles de la Motte-Tuffeau
    Fouilles de la Motte-Tuffeau

    Le Bois-Trapaud

    Lieu-dit où saint Junien a séjourné au VIe siècle.


    Logis de Bouin

    Logis du XVIIIe siècle : Il subsiste de l'époque médiévale des vestiges d'une grosse tour (fortification) circulaire, de tourelles d'angle, de courtines et de douves sèches ayant formé une enceinte rectangulaire.


    Le logis seigneurial à Bouin

    Le logis seigneurial construit à l'époque Renaissance dans l'enceinte a été ruiné pendant les guerres de religion, les huguenots tenant le château de Saveille situé à proximité.

    Reconstruit et notablement agrandi en 1766 par les Chabot de Bouin, le logis XVIIIe siècle est une vaste construction classique formée d'un corps de logis cantonné de deux ailes symétriques, au centre de l'ancienne enceinte, accessible par un portail central à l'est (communs, four). Morcelé en 1860, transformé en exploitation agricole et école, il est en cours de restauration partielle depuis 1981.


    Puits de l'Aume

    Source de l'Aume, à l'ouest du bourg ; équipée d'un beau lavoir et d'abreuvoirs à bétail. La source n'est pas alimentée en période d'étiage estival.


    Le méridien de Greenwich

    Le méridien de Greenwich traverse Bouin à l'est du territoire communal. L'intersection du méridien de Greenwich et du 46e parallèle nord à Longré a été reconnue par un habitant de Bouin le 29 août 2004.


    Breuil-Coiffaud

    Jardins et logis seigneurial Renaissance, en cours de restauration.


    Château de Jouhé

    Le château de Jouhé
    Le château de Jouhé

    Le château de Jouhé, au lieu-dit Jouhé à Pioussay, date du XVe et du XVIIe siècle (classé monument historique). Construit en deux parties, relié par un pont-levis datant du XXe siècle. Le donjon est composé de quatre étages.


    Personnalités liées à la commune


    Plusieurs historiens ont publié des articles sur la région et sur Bouin : Henri Beauchet-Filleau (1818-1895), Maurice Poignat (1912-1997), Raymond Proust et André David (enseignant à Longré, en retraite).


    Voir aussi



    Bibliographie


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    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.

    Références


    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Fiche du Poste 79140002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « Les risques près de chez moi - commune de Valdelaume », sur Géorisques (consulté le )
    14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    15. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    16. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    18. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    20. Jacques Duguet, Noms de lieux des Charentes, éd. Bonneton, , 232 p. (ISBN 2-86253-185-5, présentation en ligne), p. 54
    21. Albert Dauzat, Gaston Deslandes et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de rivières et de montagnes en France., Paris 7e, Editions Klincksieck, , 234 p. (ISBN 2-252-02407-0), p23
    22. Bélisaire LEDAIN, Dictionnaire topographique du département des Deux-Sèvres, Poitiers, Société Française d'Imprimerie et de Librairie, , 359 p.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , 738 p..
    24. Henri Beauchet-Filleau, Essai sur le patois poitevin, Niort, L. Clouzot, (lire en ligne).
    25. Jean-Marie Cassagne et Stéphane Seguin, Origine des Noms de villes et de villages des Deux-Sèvres, Saint-Jean-d'Angély, Bordessoules, , 288 p. (ISBN 2-913471-13-7), p. 38
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 1122..
    27. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, Paris, Errance, (ISBN 2-87772-089-6)
    28. « Arrêté portant création de la commune nouvelle de Valdelaume », sur Site de la préfecture des Deux-Sèvres, .

    На других языках


    [de] Valdelaume

    Valdelaume ist eine französische Gemeinde mit 828 Einwohnern (Stand: 1. Januar 2019) im Département Deux-Sèvres in der Region Nouvelle-Aquitaine. Sie gehört zum Arrondissement Niort und zum Kanton Melle.

    [en] Valdelaume

    Valdelaume is a commune in the Deux-Sèvres department in western France. It was established on 1 January 2019 by merger of the former communes of Hanc (the seat), Ardilleux, Bouin and Pioussay.[2]
    - [fr] Valdelaume



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