Tréveneuc[tʁevənœk] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France. Tréveneuc appartient au pays historique du Goëlo.
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La commune de Tréveneuc se situe dans la baie de Saint-Brieuc, sur la côte du Goëlo, à égale distance de Saint-Brieuc (préfecture, 23 km au sud-est) et de Paimpol (23 km au nord-ouest).
Le village est traversé par l'ancienne route nationale D 786 de Saint-Malo (95 km à l'est) et Saint-Brieuc à Lannion (sous-préfecture, 54 km à l'ouest) et Morlaix (81 km au sud-ouest en passant par Guingamp).
Le littoral se caractérise par de hautes falaises dont la pointe du "Bec de Vir" avec panorama sur la baie de Saint-Brieuc, et plusieurs plages et grèves. Les falaises sont longées par le "sentier des douaniers" (sentier de grande randonnée GR34). L'anse de Saint-Marc abrite une zone de mouillage pour petits bateaux de pêcheurs plaisanciers locaux, ainsi qu'une grève facilement accessible aux personnes à mobilité réduite. La plage de Port Goret offre un très vaste estran à marée basse.
Carte géologique du Massif armoricain, avec au nord-est le batholite mancellien et ses nombreux plutons de granite cadomien (Trégor, Lanhélin, Louvigné, Vire, Avranches…). Ce batholite dessine une ellipse de 150 km (d'Alençon à la Rance) sur 90 km (de Vitré à Vire)[2].
Tréveneuc est localisée dans la partie médiane du domaine nord armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Tréveneuc se situe plus précisément dans un bassin sédimentaire essentiellement briovérien (constitué de formations volcano-sédimentaires) limité au nord-est par un important massif granitique cadomien, le batholite du Trégor, et au sud-ouest le pluton de Lanhélin qui font partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[Note 1],[3].
L'histoire géologique de la région est marquée par le cycle cadomien (entre 750 et 540 Ma) qui se traduit par la surrection de la chaîne cadomienne qui devait culminer à environ 4 000 m[4]. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par l'orogenèse cadomienne, formant essentiellement des schistes et des gneiss[5]. Les massifs granitiques du Mancellien[6] scellent la fin de la déformation ductile de l'orogenèse cadomienne[7].
L'unité de Saint-Brieuc comporte ainsi, au-dessus d'un socle granitique (750-650 Ma), une épaisse séquence volcanique et sédimentaire (600 Ma)[8], elle-même intrudée par de nombreux plutons gabbro-dioritiques (580 Ma) contemporains de la déformation[9]. Cette unité correspond à la subduction d'un domaine océanique au nord avec la marge septentrionale du Gondwana, ayant formé soit un bassin intra-arc, soit une zone de chevauchement, les deux hypothèses restant débattues[10].
La qualité des affleurements, excellente sur le littoral[11], permet d'observer au niveau de la grève de Port Goret la diorite quartzique traversée de filons d'hématite (rouge) et de l'épidote, formations secondaires dues à la circulation de l'eau dans les fractures de la roche. La texture grenue de la diorite (plagioclases blancs, amphiboles noires nettement visibles à l'œil nu), essentiellement isotrope, est caractéristique[12]. En suivant la grève vers l'Ouest pendant 300 m (à marée suffisamment basse), on observe la zone de contact entre le pluton de diorite et son encaissant, la formation de Binic constituée ici de grès fins très métamorphisés, d'abord cataclasés (broyage tectonique sur près de 40 m) puis migmatisés (couches orientées nord-est sud-ouest, à pendage 70 °, localement recoupées par des failles décrochantes senestres). Ces couches sont traversées de lentilles et filonnets de quartz et feldspath qui évoquent une fusion partielle indiquant une migmatisation de contact[13].
Touristiquement, les principaux aspects de la géologie de cette bande côtière peuvent être abordés au cours de promenades géologiques qui permettent d'observer sur un espace réduit des roches d'âge et de nature différents, des structures géologiques (cisaillement, faille, pli, schistosité) témoins de phénomènes géologiques d'ampleur (magmatisme, tectogenèse, métamorphisme, érosion…)[14].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[16].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]
Moyenne annuelle de température: 11,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 0,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lanleff», sur la commune de Lanleff, mise en service en 1987[21] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[22],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,6°C et la hauteur de précipitations de 839,3 mm pour la période 1981-2010[23].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], «Saint-Brieuc», sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à 16 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 11°C pour la période 1971-2000[25] à 11,2°C pour 1981-2010[26], puis à 11,4°C pour 1991-2020[27].
Urbanisme
Typologie
Tréveneuc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[29],[30].
Elle appartient à l'unité urbaine de Binic-Étables-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[31] et 12 855 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[34],[35].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[36]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[37],[38].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (47,9%), zones agricoles hétérogènes (20,5%), zones urbanisées (12,9%), forêts (12,5%), prairies (5,3%), zones humides côtières (0,9%)[39].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[40].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Trevenech en 1224 et en 1225[41], Trevenoc en 1231 et en 1277 et Trevenec en 1240[42].
On trouve l'appellation Trevenec en 1414[43] et Treveneuc dès 1428[44].
Le nom de la commune viendrait du breton treb (village) et de Venec ou Veneuc, variante de Saint Guéthénoc le frère de Saint Guénolé. Il s'agit du fondateur du monastère de Landévennec au VIIesiècle[45].
«Les "Crapauds rouges", c'est le sobriquet donné aux enfants nés dans la commune. Depuis que l'accouchement à l'hôpital est devenu la norme, les quelques héritiers du titre se font rares». Ce surnom proviendrait d'un jeu de palets que des marins auraient ramené des Flandres: «il fallait lancer le palet dans la gueule d'un crapaud en métal (...) peint en rouge» dit Christiane Carré, ancienne secrétaire de mairie[46].
Sous l’ancien régime, Tréveneuc était une paroisse appartenant à l’évêché de Saint-Brieuc et au comté du Goëlo.
Le XXesiècle
Les guerres du XXesiècle
Le monument aux morts porte les noms des 38 soldats morts pour la Patrie[48]:
19 sont morts durant la Première Guerre mondiale;
13 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale;
3 sont morts durant la guerre d'Algérie;
2 sont morts durant la guerre d'Indochine;
1 est mort hors conflit.
Politique et administration
La commune fait partie de Saint-Brieuc Armor Agglomération depuis sa création, le .
Administration municipale
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1953
1965
Arthur Comte Espivent de La Villesboisnet (1906-1966)
avant 1981
?
Henri Garel
mars 1989
mars 2001
Yves Chuinard
PCF
Enseignant, maire-honoraire
mars 2001
mars 2008
Alain Le Cornec
DVG
mars 2008
mars 2014
Louis Gauffeny
Retraité
mars 2014
En cours
Marcel Serandour
DVD
Agriculteur retraité
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].
En 2019, la commune comptait 797 habitants[Note 9], en augmentation de 3,1% par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor: +0,59%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
514
470
506
669
690
760
787
817
878
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
865
933
918
808
853
809
726
722
697
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
712
743
641
636
657
703
648
628
634
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
592
546
553
599
607
593
716
737
779
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
775
797
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
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Manifestations culturelles et festivités
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Santé
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Sports
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Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Colomban qui date XIVesiècle,
Le château de Pommorio de la même époque,
La chapelle Saint-Marc près de l'anse du même nom, également du XIVe.
caption=La chapelle Saint-Marc
Chapelle Saint-Marc
Patrimoine naturel
L'inventaire national du patrimoine naturel comprend plusieurs sites de la commune, sous deux classifications différentes[53].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) Tréveneuc est concerné par trois ZNIEFF.
La ZNIEFF continentale de type 1 de la «Pointe de Saint-Marc»[55], soit 15,96 hectares sur les deux communes de Saint-Quay-Portrieux et Tréveneuc. Elle vise les côtes rocheuses (les rochers de l'estran) et les falaises maritimes entre la plage Saint-Marc sur Tréveneux et la Grève de Fonteny sur Saint-Quay-Portrieux.
La ZNIEFF continentale de type 1 du «Bec de Vir»[56], soit 15,54 hectares sur Tréveneuc. Elle prolonge vers le nord-ouest la ZNIEFF de la Pointe de Saint-Marc, visant elle aussi les côtes rocheuses dont les rochers de l'estran et les falaises maritimes; elle entoure complètement la pointe du Bec de Vir, s'étendant depuis la plage Saint-Marc au sud-est jusqu'à la plage de Port Goret sur le côté nord-ouest de la pointe.
L'espace protégé et géré des «Falaises du Goëlo»[57] est un ensemble de terrains acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une surface totale de 148 287 hectares soumis à un arrêté préfectoral de protection de biotope passé le . Il s'agit de petits terrains isolés et disséminés le long des falaises et des cours d'eau de la région, et sur les plateaux en bord de falaises. Sur la commune, six terrains se regroupent en deux lieux: le plateau et la falaise de la plage de Port Goret (terrain d'environ 180 m de large descendant le long de la falaise, incluant l'estran en bas et environ 100 m de plateau), et le même type de terrain à Saint-Marc.
Cyprès de Tréveneuc
Le cyprès de la chapelle Saint-Marc.
Près de la chapelle Saint-Marc de Tréveneuc se trouve un grand cyprès de Lambert (Cupressus macrocarpa). Cette espèce est originaire de la côte centrale de la Californie. L'arbre aurait été planté en 1875 +/- 30 ans. En 2018, on mesurait une circonférence de 7,20 m et une hauteur de 13,50 m. Sa circonférence croit de 5cm par an.
Ses longues branches retombantes se sont marcottées au sol et forment comme des tentes[58],[59].
Personnalités liées à la commune
Robert de Treveneuc (1860-1940): homme politique né à Tréveneuc.
Hervé Chrétien de Tréveneuc: son portrait figure dans la galerie des croisades du château de Versailles.
Armand Maloumian, rescapé du Goulag qui vînt finir ses jours à Tréveneuc.
Héraldique
Les armoiries de Tréveneuc se blasonnent ainsi: «De sinople à la fasce d’or accompagnée de trois casques du même tarés de profil.»
De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[17].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[18].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
La cartographie de l'INPN montre une zone qui inclut aussi une petite partie de la commune de Lanloup, vers Kerjolis.
François de Beaulieu, La Bretagne. La géologie, les milieux, la faune, la flore, les hommes, Delachaux et Niestlé, , p.15.
(en) Richard Simon D'Lemos, The Cadomian Orogeny, Geological Society Publishing House, , p.128.
Hubert Lardeux et Claude Audren, Bretagne, Masson, , p.30.
La formation de Lanvollon, en rive gauche de la baie de Saint-Brieuc, est une formation volcano-sédimentaire essentiellement constituée de volcanites (micaschistes, leptynites et amphibolites de Lanvollon dont les faciès les moins métamorphisés s'observent de part et d'autre de l'anse d'Yffiniac). La formation d'Erquy est son équivalent en rive droite. Ces roches sont surmontées par les sédiments détritiques de la formation de Binic.
Michel Ballèvre, Valérie Bosse, Marie-Pierre Dabard, Céline Ducassou, Serge Fourcade, et al, «Histoire Géologique du massif Armoricain: Actualité de la recherche», Bulletin de la Société Géologique et Minéralogique de Bretagne, nos10-11, , p.12.
Michel Ballèvre, p. 21
Cette qualité décroît rapidement à l'intérieur des terres, par suite de l'altération du socle et des placages limoneux.
Bernard Le Gall et Martial Caroff, Curiosités géologiques de la baie de Saint-Brieuc au Mont-Saint-Michel, éditions Apogée, , p.44.
Bernard Le Gall et Martial Caroff, Curiosités géologiques de la baie de Saint-Brieuc au Mont-Saint-Michel, éditions Apogée, , p.7.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Dans les chartes de l'abbaye de Beauport et dans un acte de donation du quartier de la Ville Hailech.
Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC63764620, lire en ligne), p.229
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