world.wikisort.org - France

Search / Calendar

Erquy [ɛʁki] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.

Erquy

Vue aérienne du bourg, du port et du cap d'Erquy.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Lamballe Terre et Mer
Maire
Mandat
Henri Labbé
2020-2026
Code postal 22430
Code commune 22054
Démographie
Gentilé Erquiais, Réginéens, Rhoeginéens.[1],[2]
Population
municipale
3 922 hab. (2019 )
Densité 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 57″ nord, 2° 27′ 47″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 116 m
Superficie 26,46 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pléneuf-Val-André
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Erquy
Géolocalisation sur la carte : France
Erquy
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Erquy
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Erquy
Liens
Site web Mairie d'Erquy

    Le bourg d'Erquy occupe le fond d'une anse de la côte de Penthièvre comprise entre le cap d'Erquy, site naturel acquis par le Conseil général des Côtes-d'Armor, et la pointe de la Houssaye, constituée des vestiges d'une éruption volcanique ; c'est dans cette rade d'Erquy que, le , un combat naval oppose des navires anglais et français.

    Le port d'Erquy qui abrite une flottille d'environ 80 chalutiers est connu comme la « capitale » de la coquille Saint-Jacques, pêchée dans la baie de Saint-Brieuc.

    Erquy abrite des maisons en grès rose.

    On trouve une inscription mentionnant Erquy par un artiste anonyme à Nantes (44000) place Fernand Soil sur un mur.


    Géographie


    Communes limitrophes d’Erquy
    La Manche La Manche La Manche
    La Manche
    Pléneuf-Val-André
    Plurien
    Saint-Alban La Bouillie

    Station balnéaire très active, située à l'ouest de la Côte d'Émeraude, Erquy est aussi un centre de la coquille Saint-Jacques grâce à son port de pêche qui reste l'un des meilleurs des Côtes-d'Armor ainsi que grâce à sa flottille de 80 navires de pêche côtière et 12 navires de haute mer (la Petite Julie ayant coulé en janvier 2008 au large de l'Île Vierge (Finistère-nord)).

    Avec près de 30 000 habitants en période estivale, Erquy reste une ville très attractive grâce à ses nombreuses activités et ses sept plages de sable fin. En quelques années, Erquy est devenue la ville la plus active de la Communauté de communes de la Côte de Penthièvre, autant sur le plan économique, commercial, culturel que sportif.

    La commune d'Erquy est formée des villages : Tuero, le Val, les Hôpitaux, Ville-Josselin, La Ville-Ory, Quelard, Saint-Sépulcre, l'Abbaye, Saint-Aubin, le Verger, la Couture, Ville-Denais, la Ville Renault, le Bois-Regnault, l'Hôtel-Morin, la Marchatte, la Ville-Bourse, la Moinerie, le Pussoir, Caroual. Erquy et ses hameaux abritent de nombreux éléments de patrimoine (chapelles, dolmens, manoirs, phares, châteaux…). Le petit village de Tu-Es-Roc est remarquable grâce à ses maisons en grès rose, tiré des carrières (de grès rose) d'Erquy désormais abandonnées[3]. Mention parmi les villages de Saint-Quereuc, ancienne grange de l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois. En 1234, la villa Saint-Maclou, en Erquy, fut donnée à la même abbaye et est dite : Villa Maclovii de Sancto Carroco. Saint-Aubin possédait une autre grange à Erquy : Saint-Cano ou Saint-Queneuc, ainsi que les deux métairies de la Moinerie.

    Le fleuron de son riche passé est le Château de Bienassis. Sa visite inspirée par les souvenirs d'un amiral, grand explorateur du XIXe siècle, permet de se transporter à l'époque des grandes expéditions maritimes.

    Site paléolithique occupé ensuite par les Romains. Présence au Moyen Âge des chevaliers du Saint-Sépulcre aux hameaux des Hôpitaux, de la Corderie (ancienne léproserie) et du Saint-Sépulcre. La commune a été reconstruite sur les hauteurs après l'engloutissement de la précédente.


    Toponymie


    Le nom de la localité est attesté sous les formes [Parrochia de] Erque en 1167, Erque en 1219, 1223, 1226, 1233, et en 1235, Erqueio en 1235 et en 1260, Arque en 1237, Arqueio en 1245 et en 1256, Herqueio ou Herqueium en 1278 et vers 1330, Erquey en 1282, Herqueyo en 1298, Erqui en 1358, 1420, 1427, 1430, 1480 et en 1514, Erquy en 1458, 1516 et en 1583[4],Site de KerOfis (lire en ligne).

    Reginea ou Reginca (d'où le nom des habitants, les Réginéens et les Réginéennes), ancienne cité gallo-romaine est identifiée à tort à Erquy par des historiens du XIXe siècle qui croient la voir figurer sur des cartes anciennes à l'emplacement d'Erquy (Table de Peutinger, dessiné par un moine en 1265 à partir d'une copie des IIIe – VIe siècles). Plusieurs vestiges archéologiques sont répertoriés à Erquy, mais la continuité de la nappe archéologique de surface ne s'avère ni plus ni moins convaincante qu'en d'autres lieux. On tend plutôt aujourd'hui à placer Reginca sur l'estuaire de la Rance (Ille-et-Vilaine), Rance représentant par ailleurs l'évolution phonétique de Reginca[5].

    L'étymologie est obscure, sans doute brittonique, étant donné l'absence d'homonyme ailleurs et sa localisation sur la côte dans la zone de la toponymie bretonne. Peut-être du breton ar c'herregi « les rochers »[6], à moins d'y voir le gaulois *hercu > *ercu « chêne »[7] que l'on rencontre dans le dérivé ercunia, ercunion « forêt de chêne », d'où le nom de forêt hercynienne, celui de l'Argonne et peut-être Ercolana « plaine des chênes »[8].


    Histoire



    Le XXe siècle



    Les guerres du XXe siècle

    Le monument aux morts porte les noms de 201 soldats morts pour la Patrie[9] :


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 10,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 654 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Quintenic », sur la commune de Quintenic, mise en service en 1984[16] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 743,4 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1950 et à 30 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[20] à 11,6 °C pour 1981-2010[21], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[22].


    Urbanisme



    Typologie


    Erquy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[23],[24],[25]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Erquy, une unité urbaine monocommunale[26] de 3 910 habitants en 2017, constituant une ville isolée[27],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[29],[30].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[31]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[32],[33].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,4 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), zones urbanisées (16,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5 %), prairies (4,1 %), forêts (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), zones humides côtières (0,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[35].


    Héraldique


    Article connexe : Armorial des communes des Côtes-d'Armor.
    Blasonnement :
    De sinople à une sirène d'or, les cheveux flottant, les bras et la queue tournés vers senestre évoquant la lettre E capitale ; au chef d'hermine.
    Commentaires : Devise : Regina fus, Reine demeure.

    Culture locale et patrimoine



    Sites naturels



    Lieux et monuments


    L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
    L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

    Personnalités liées à la commune



    Artistes


    Politique et administration



    Tendances politiques et résultats


    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans les Côtes-d'Armor.
    Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1953 mars 1971 André Cornu Rad. Haut fonctionnaire, secrétaire d'État (1951 → 1954)
    Député des Côtes-du-Nord (1932 → 1936)
    Sénateur des Côtes-du-Nord (1948 → 1971)
    Conseiller général du canton de Pléneuf (1945 → 1964)
    Président du conseil général (1946 → 1947)
    Commandeur de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1914-1918
    mars 1971 mars 1983 Joseph Erhel[44] PCF Instituteur, ancien maire de Saint-Juvat (1965 → 1971)
    mars 1983 mars 1989 André Troël[45],[46]
    (1919-2014)
    RPR Inspecteur des impôts retraité
    mars 1989 juin 1995 Georges Catros[47],[48]
    (1921-2011)
    PS Retraité de l'éducation[Note 7]
    Officier des Palmes académiques
    juin 1995 mars 2007
    (démission)
    Bernard Nonnet[49] SE Retraité de l'Assurance maladie
    mars 2007 4 juillet 2020 Christiane Guervilly UMP-LR[50] Employée
    4 juillet 2020 En cours Henri Labbé[51],[52] DVC Technico-commercial retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5351 6461 6341 8801 9512 0702 0682 1342 292
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3322 3732 4152 4112 5102 6372 7082 9012 906
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6352 9352 9432 9572 9912 9932 9053 0022 812
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    3 0222 9983 3473 4263 5683 7603 7253 7423 802
    2014 2019 - - - - - - -
    3 8913 922-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Associations sportives



    Association artistique



    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[13].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Au cours de sa carrière, il fut professeur d'éducation physique et sportive puis directeur départemental de la jeunesse et des sports et enfin inspecteur principal à l'académie de Rennes.

    Références


    1. « Noms des habitants : Penthi�vre - Villes et communes de Bretagne par pays traditionnel >> Geobreizh.bzh », sur geobreizh.bzh.
    2. Catherine Bizien-Jaglin, Patrick Galliou et Hervé Kerébel, « Carte archéologique de la Gaule: 22. Côtes-d'Armor », sur Google Books, Les Editions de la MSH, .
    3. Louis Chauris, « Saint-Malo : la pierre et la mer », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Bretagne, t. 89, , p. 14.
    4. Archives des Côtes d'Armor, 1E 1529
    5. Georges Minois, Les Côtes-du-Nord: de la préhistoire à nos jours, Editions Bordessoules, , p. 61.
    6. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 268b
    7. Patrice Lajoye, L’Arbre du Monde, Editions du CNRS, 2016
    8. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Errance, Collection des Hespérides, 2003 (ISBN 2-87772-237-6), p. 164 - 165.
    9. Eric Blanchais, « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Quintenic - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Erquy et Quintenic », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Quintenic - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Erquy et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Unité urbaine 2020 d'Erquy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    27. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    28. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    32. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    35. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    36. (en) David J. Went, « Quartzite development in early Palaeozoic nearshore marine environments », Sedimentology, vol. 60, no 4, , p. 1036–1058 (DOI 10.1111/sed.12016, lire en ligne, consulté le ).
    37. « Lithothèque - Erquy-Fréhel », sur espace-svt.ac-rennes.fr.
    38. Jean Cogné, Joël Le Métour, Bernard Auvray, Jean-Pierre Lefort, Daniel Jeannette, Marie-Thérèse Morzadec-Kerfoum, Carte géologique de France à 1/50 000, feuille Saint-Cast (206), Notice géologique sur la Formation de la Heussaye, BRGM, 1980, p. 11-24
    39. (en) Martial Caroff, « Emplacement of lobate sheet flows with hyaloclastites onto soft sediment: The Erquy Neoproterozoic lava pile, Armorican Massif (France) », Precambrian Research, vol. 334, , p. 105454 (ISSN 0301-9268, DOI 10.1016/j.precamres.2019.105454, lire en ligne, consulté le ).
    40. « Dolmen avec cairn », notice no PA00089144, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Ville d'Erquy ».
    42. Marc Déceneux, la Bretagne romane, Editions Ouest France, , p 56.
    43. Trésors de l’Histoire, février-mars 2009, no 230, Reginea, authentique village d'Astérix, par Gilles Lecomte, p. 42-43.
    44. Notice ERHEL Joseph, Louis, Auguste, Édouard par Alain Prigent, version mise en ligne le 5 février 2009, dernière modification le 4 novembre 2014
    45. « André Troël, ancien maire, est décédé », Ouest-France, (lire en ligne).
    46. « Nécrologie. André Troël, ancien maire », Le Télégramme, (lire en ligne).
    47. « Georges Catros, figure du sport costarmoricain et ancien maire, est décédé », Ouest-France, (lire en ligne).
    48. « Nécrologie. Georges Catros maire de 1989 à 1995 », Le Télégramme, (lire en ligne).
    49. « Nécrologie. Bernard Nonnet, ancien maire et vice-président de la CCCP », Le Télégramme, (lire en ligne).
    50. « Erquy - 22430 », sur Le Monde.fr.
    51. « À Erquy, Henri Labbé est élu maire de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
    52. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    Voir aussi



    Bibliographie



    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    На других языках


    [de] Erquy

    Erquy (bretonisch: Erge-ar-Mor, Gallo: Erqi) ist eine Gemeinde im Département Côtes-d’Armor in der Region Bretagne im Nordwesten von Frankreich.

    [en] Erquy

    Erquy (French pronunciation: ​[ɛʁki]; Breton: Erge-ar-Mor; Gallo: Erqi) is a commune in the Côtes-d'Armor department of Brittany in northwestern France.
    - [fr] Erquy

    [ru] Эрки

    Эрки́ (фр. Erquy, брет. Erge-ar-Mor, галло Erqi) — коммуна во Франции, находится в регионе Бретань. Департамент — Кот-д’Армор. Входит в состав кантона Пленёф-Валь-Андре. Округ коммуны — Сен-Бриё.



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2025
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии