Thiel-sur-Acolin est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.
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La commune est traversée d'est en ouest par l'autoroute A79 (portion de la Route Centre-Europe Atlantique, RCEA, et de la route européenne 62, ancienne route nationale 79), en direction de Moulins et de Mâcon. L'accès le plus proche à cette route s'effectue sur les communes voisines de Montbeugny et de Dompierre-sur-Besbre.
Le territoire communal est également traversé par les routes départementales 12 (reliant Yzeure et Montbeugny à Dompierre-sur-Besbre), 31 (reliant Chevagnes à Neuilly-le-Réal et Bessay-sur-Allier) et 164 (vers Saint-Pourçain-sur-Besbre)[2].
Transports ferroviaires
La ligne de Moulins à Mâcon traverse la commune. La gare la plus proche est celle de Dompierre-Sept-Fons.
Urbanisme
Typologie
Thiel-sur-Acolin est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Moulins, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (52,3%), terres arables (24,6%), zones agricoles hétérogènes (15,1%), forêts (5,9%), zones urbanisées (1,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9%)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
De l'ancien français til, teil, tilleul[9]. Acolin est le nom de la rivière arrosant la commune.
Histoire
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Les Templiers et les Hospitaliers
Le hameau de Pontenat[Note 3] est une ancienne maison de l'ordre du Temple (domus Templi de Poncenay)[10], devenue commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[11] avant de passer sous la juridiction de la commanderie de Beugnet au sein du grand prieuré d'Auvergne[12],[13].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[16].
En 2019, la commune comptait 1 065 habitants[Note 4], en augmentation de 0,66% par rapport à 2013 (Allier: −2,17%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 335
1 351
1 135
910
1 172
1 168
1 152
1 165
1 153
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 168
1 202
1 295
1 452
1 544
1 708
1 793
1 839
1 779
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 758
1 761
1 661
1 533
1 411
1 407
1 407
1 355
1 269
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
1 253
1 192
1 168
1 083
1 032
925
951
959
1 001
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 107
1 065
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
46° 32′ 34″ N, 3° 36′ 55″ E
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
46° 33′ 34″ N, 3° 33′ 57″ E
46° 31′ 55″ N, 3° 34′ 14″ E
46° 32′ 21″ N, 3° 35′ 03″ E
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1989
Anatole de Charmasse, Cartulaire de l'évêché d'Autun connu sous le nom de Cartulaire rouge publié d'après un manuscrit du XIIIesiècle, suivi d'une carte et d'un pouillé de l'ancien diocèse d'Autun d'après un manuscrit du XIVesiècle, , p.375,433, lire en ligne sur Gallica
Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790: Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t.I, (lire en ligne), p.197 (H. 244.)
On trouve un commandeur hospitalier de Coulanges et Pontenat (Colongiis et Pontenay) en 1374/75.
A. Bertrand, «L'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Bourbonnais: Commanderie de Beugnay ou Beugnet», Bulletin de la société d'émulation et des beaux-arts du Bourbonnais, t.VII, , p.257, 279-287, lire en ligne sur Gallica
17 mai 1748: visite du membre de «Pontena situé dans la paroisse de Thiel, province du Bourbonnois, éloigné de Beugnay, d'environ sept lieues».
Augustin Vayssière, «L'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Bourbonnais», Archives historiques du Bourbonnais,
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