Terrou est une commune française, située dans le nord-est du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans la Limargue, une région naturelle occupant une dépression verdoyante entre les causses du Quercy et le Ségala quercynois.
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Terrou
Vue de Terrou.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Figeac
Intercommunalité
Communauté de communes Grand-Figeac
Maire Mandat
Jean-Pierre Dufourcq 2020-2026
Code postal
46120
Code commune
46314
Démographie
Population municipale
174 hab. (2019 )
Densité
18 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 47′ 05″ nord, 1° 59′ 04″ est
Altitude
Min. 273 m Max. 570 m
Superficie
9,94 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Lacapelle-Marival
Législatives
Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Terrou
Géolocalisation sur la carte: France
Terrou
Géolocalisation sur la carte: Lot
Terrou
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Terrou
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Bave, le ruisseau de Frèzes et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Terrou est une commune rurale qui compte 174 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 264 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Terronais ou Terronaises.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 11,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,3 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Latronquière», sur la commune de Latronquière, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,3°C et la hauteur de précipitations de 1 342,5 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Aurillac», sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2°C pour la période 1971-2000[11], à 10,2°C pour 1981-2010[12], puis à 10,8°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[18]:
le «coteau du Champs de Lafage» (9ha)[19] et
les «prairies humides et rivière de la Bave» (141ha), couvrant 11 communes du département[20]
et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[18]:
le «bassin de la Bave» (8 075ha), couvrant 22 communes dont une dans le Cantal et 21 dans le Lot[21].
Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Terrou.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Terrou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,9% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (41,7%), prairies (34,3%), zones agricoles hétérogènes (21,6%), zones urbanisées (2,5%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Terrou est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Bave. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2000[28],[25].
Terrou est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[29].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Terrou.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 121 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en en aléa moyen ou fort, soit 0%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Terrou est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].
Toponymie
Le toponyme Terrou est basé soit sur l'Hydronyme occitanTeron issu du pré-indo-européen tor qui désigne une fontaine ou une source, soit sur Oronyme occitanterron qui désigne une parcelle de terre[34].
Histoire
Le , un détachement de cinq chenillettes de la 2edivision SS Das Reich provenant de Gorses met le feu avec des balles incendiaires à cinquante hectares de forêts. Les soldats entrent dans Terrou, barrent les routes et pillent les maisons. Ils interrogent les seuls femmes, enfants et vieillards qu'ils trouvent sur place pour recueillir des renseignements sur les maquisards. Vers midi, quelques soldats, qui cherchent en vain le maire et le curé, bombardent avec des canons de 77 mm le hameau de las Descargues. La troupe reprend ensuite la route vers Figeac[35],[36].
Le au soir, des maquisards en voiture annoncent que des Allemands se dirigent vers le village. Les hommes disparaissent dans les forêts environnantes. Le lendemain matin, un premier convoi passe sans s'arrêter, mais à 9 heures un second s'arrête. Les soldats SS de la division Das Reich font sortir la directrice de l'école privée puis incendient et détruisent systématiquement la trentaine de maisons du village qui brûle toute la journée[35],[36].
Le village a reçu en la médaille de la Résistance; il est l'une des 17 communes de France qui furent ainsi distinguées[37].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2019, la commune comptait 174 habitants[Note 7], en diminution de 3,87% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 087
910
917
904
1 167
1 236
1 117
1 252
1 215
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 220
1 264
1 159
1 041
1 052
1 067
1 070
1 022
1 062
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
910
895
860
749
409
369
351
310
288
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
291
271
253
214
197
202
202
193
189
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
174
174
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 19,6%, soit en dessous de la moyenne départementale (26,4%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,2% la même année, alors qu'il est de 37,6% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 88 hommes pour 84 femmes, soit un taux de 51,16% d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,57%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 4]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
2,2
90 ou +
4,6
4,4
75-89 ans
12,7
27,8
60-74 ans
28,9
31,1
45-59 ans
24,2
13,3
30-44 ans
11,5
11,1
15-29 ans
11,1
10,0
0-14 ans
6,9
Pyramide des âges du département du Lot en 2018 en pourcentage[43]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,3
90 ou +
2,9
10,8
75-89 ans
13,6
23,3
60-74 ans
23,1
21,2
45-59 ans
20,9
15,2
30-44 ans
14,7
13,4
15-29 ans
11,3
14,8
0-14 ans
13,3
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 79 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 164 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 510 €[I 5] (20 740 € dans le département[I 6]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 109 personnes, parmi lesquelles on compte 75,3% d'actifs (67,2% ayant un emploi et 8,1% de chômeurs) et 24,7% d'inactifs[Note 9],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 72 emplois en 2018, contre 70 en 2013 et 54 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 74, soit un indicateur de concentration d'emploi de 97,2% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,6%[I 11].
Sur ces 74 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 33% des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 73,7% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3% les transports en commun, 6,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 18,4% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
23 établissements[Note 10] sont implantés à Terrou au [I 14].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,8 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 23 entreprises implantées à Terrou), contre 14% au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans le Segala», une petite région agricole occupant la frange est du département du Lot[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 32 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 23 en 2000 puis à 18 en 2010[46] et enfin à 18 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 44% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[47],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 633 ha en 1988 à 604 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 34 ha[46].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château de Saint-Thamar, à l'ouest du bourg (XVeauXVIIIesiècle). Inscrit MH (arrêté du )[48]: façades et toitures.
Église Saint-Pierre-ès-Liens.
Nécropole du haut Moyen Âge au Pasquié, au bord de la route Prés de la rivière, fouillé de 1984 à 1986 par R. Mounier[49].
Un des sarcophages du Pasquié.
L'école primaire de Terrou.
L'église de Terrou.
Personnalités liées à la commune
Roger Lecherbonier, instituteur à Terrou, résistant[50].
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.124.
Gilbert Lacan, Figeac en Quercy: sous la terreur allemande, Paris, Union Amicale des Enfants de l'Arrondissement de Figeac, , 99p., p.35-38.
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