Gorses est une commune française située dans le nord-est du département du Lot, en région Occitanie.
Elle est également dans le Ségala lotois, une région naturelle constituant la frange occidentale de la Châtaigneraie, constituant le parent lotois du Ségala aveyronnais et tarnais.
Gorses
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Figeac
Intercommunalité
Communauté de communes Grand-Figeac
Maire Mandat
Claudine Rigal 2020-2026
Code postal
46210
Code commune
46125
Démographie
Population municipale
327 hab. (2019 )
Densité
9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 47′ 43″ nord, 2° 01′ 33″ est
Altitude
Min. 234 m Max. 692 m
Superficie
35,60 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Lacapelle-Marival
Législatives
Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Gorses
Géolocalisation sur la carte: France
Gorses
Géolocalisation sur la carte: Lot
Gorses
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Gorses
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Bave, le Bervezou, le Tolerme, le ruisseau de Frèzes, le ruisseau de Goutepeyrouse, le ruisseau de la Buste et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Gorses est une commune rurale qui compte 327 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 350 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Gorsais ou Gorsaises.
Géographie
Localisation
Commune située dans le Ségala lotois (Massif central) à la source du Bervezou.
La superficie totale de Gorses est de 36 km2, avec une moyenne d'altitude de 620 m.
Communes limitrophes
Communes limitrophes de Gorses
Latouille-Lentillac Ladirat
Sousceyrac-en-Quercy
Sénaillac-Latronquière
Terrou
Latronquière
Montet-et-Bouxal Saint-Médard-Nicourby
Lauresses Saint-Cirgues
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
Moyenne annuelle de température: 10,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Latronquière», sur la commune de Latronquière, mise en service en 1976[6] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,3°C et la hauteur de précipitations de 1 342,5 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Aurillac», sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 36 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,2°C pour la période 1971-2000[10], à 10,2°C pour 1981-2010[11], puis à 10,8°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].
La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[15],[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17]:
les «prairies humides et rivière de la Bave» (141ha), couvrant 11 communes du département[18];
les «zones humides du ruisseau de Combard et du ruisseau de Poutiac» (63ha), couvrant 2 communes du département[19];
les «zones humides du ruisseau de Goutepeyrouse et de l'amont du ruisseau du Bousquet» (180ha), couvrant 3 communes du département[20];
les «zones humides du ruisseau de Laborie et du ruisseau de Brullet» (150ha), couvrant 2 communes du département[21];
le «bassin de la Bave» (8 075ha), couvrant 22 communes dont une dans le Cantal et 21 dans le Lot[22];
le «Ségala lotois: bassin versant du Célé» (12 535ha), couvrant 28 communes dont six dans le Cantal et 22 dans le Lot[23].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Gorses.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Gorses est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[I 1],[25].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,3% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (33,4%), prairies (32,6%), zones agricoles hétérogènes (31,5%), terres arables (1,2%), zones urbanisées (0,7%), eaux continentales[Note 7] (0,5%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Gorses est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Bave, le Bervezou et le Tolerme. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[29]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[30],[27].
Gorses est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[31].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gorses.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[32].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 2,2% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 274 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 sont en en aléa moyen ou fort, soit 1%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[27].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Gorses est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[35].
Toponymie
Attestée sous la forme Gorcias dans un manuscrit du XIesiècle[36].
Comprise entre la vallée de la Bave et du Tolerme, la commune doit son nom au gaulois gortia qui signifie haie, buisson épineux[37].
Histoire
La tradition orale affirme que les premiers habitants se rendirent célèbres lors de la conquête de la Gaule par Jules César en ayant vaillamment défendu Uxellodunum. La localité est mentionnée dans la charte apocryphe non certifiée de la fondation de l'abbaye Saint-Sauveur de Figeac en 755. Son église dépendait de cette abbaye en 1156, puis en 1520, de la commanderie de Malte à Latronquière.
Au XIesiècle, Gorses fait partie de la baronnie de Cardaillac. Hugues 1er de Cardaillac rend hommage pour La terre de Gorses en 1064 à Raymond de Saint-Gilles (Raymond IV) comte de Toulouse, comte de Quercy et de Rouergue[38].
Seconde Guerre mondiale
Le des soldats de la 2edivision SS Das Reich, à la recherche de maquisards, envahissent le village et prennent neuf otages. Ils pillent les maisons et rassemblent tous les habitants, face au foirail, dans un pré. Ils relâchent aussitôt les vieillards, puis au bout de trois heures les femmes et les enfants. Ils vérifient et interrogent ensuite les hommes et en emmènent certains qui leur semblent suspects[39].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].
En 2019, la commune comptait 327 habitants[Note 8], en augmentation de 1,55% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 175
1 109
1 292
1 166
1 174
1 265
1 018
1 200
1 350
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 308
1 280
1 320
1 253
1 283
1 241
1 161
1 161
1 129
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 054
1 009
1 026
875
855
856
813
773
702
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
716
650
535
554
511
355
344
342
319
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
325
327
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique
Au début du XXesiècle, Gorses comptait 1 009 habitants[45].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 159 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 325 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 330 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 179 personnes, parmi lesquelles on compte 82% d'actifs (74,7% ayant un emploi et 7,3% de chômeurs) et 18% d'inactifs[Note 10],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 83 emplois en 2018, contre 67 en 2013 et 79 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 136, soit un indicateur de concentration d'emploi de 60,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,9%[I 10].
Sur ces 136 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 61 travaillent dans la commune, soit 45% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 77% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7% les transports en commun, 7,4% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,8% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
43 établissements[Note 11] sont implantés à Gorses au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
43
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
25
58,1%
(14%)
Construction
3
7%
(13,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
9
20,9%
(29,9%)
Information et communication
1
2,3%
(1,8%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
3
7%
(13,5%)
Autres activités de services
2
4,7%
(8,7%)
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 58,1 % du nombre total d'établissements de la commune (25 sur les 43 entreprises implantées à Gorses), contre 14% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans le Segala», une petite région agricole occupant la frange est du département du Lot[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 67 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 52 en 2000 puis à 35 en 2010[48] et enfin à 31 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 54% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[49],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 1712 ha en 1988 à 1854 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 26 à 60 ha[48].
Culture locale et patrimoine
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Lieux et monuments
Église Notre-Dame-de-l'Assomption
Édifice du XIIIesiècle, remanié à la fin du XIXesiècle, à nef unique. Il est remarquable par les vestiges de l'église romane d'origine et par son bénitier en serpentine rouge. Il abrite une Vierge à l'Enfant classée au titre objet en tant que monument historique[50] du XIIIesiècle provenant de la chapelle de Notre-Dame de Verdale[51].
La voûte en pierre de la nef est sensiblement ogivale, tandis que certaines ouvertures affectent la forme romane. C'est ainsi que la porte, la plupart des fenêtres et les arceaux qui soutiennent l'entrée des deux chapelles, sont en plein cintre.
Le retable est du commencement du XVIIesiècle, on distingue en arrière-plan la coquille de Saint-Jacques. La chapelle de droite montre à la clef de voûte des armoiries inconnues. Derrière le tabernacle, on aperçoit un tableau. Le bénitier Louis XIV, en serpentine rouge, viendrait selon certaines hypothèses de la chapelle du château de Lantuejoul.
Le Lot vers 1850: recueil de monographies cantonales et communales établies par les contrôleurs des contributions directes, Volume 2 Christiane Constant-Le Stum, Archives Départementales du Lot, Cahors, 2002, pages 425 à 427.
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Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Jean-Marie Cassagne - Villes et Villages en pays lotois, page 127.
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.112.
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