Soturac est une commune française, située dans le sud-ouest du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans la Bouriane, une région naturelle sablonneuse et collinaire couverte de forêt avec comme essence principale des châtaigniers.
Cet article est une ébauche concernant une commune du Lot.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Soturac
Vue générale.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Cahors
Intercommunalité
Communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble
Maire Mandat
Jérôme Belmonte 2020-2026
Code postal
46700
Code commune
46307
Démographie
Gentilé
Soturacois
Population municipale
640 hab. (2019 )
Densité
33 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 29′ 22″ nord, 1° 01′ 03″ est
Altitude
79 m Min. 65 m Max. 234 m
Superficie
19,55 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Puy-l'Évêque
Législatives
Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Soturac
Géolocalisation sur la carte: France
Soturac
Géolocalisation sur la carte: Lot
Soturac
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Soturac
modifier
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Lot, la Thèze, le ruisseau la petite thèze et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Soturac est une commune rurale qui compte 640 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Soturacois ou Soturacoises.
Géographie
Entrée dans Soturac.
Soturac est une commune du Quercy aux confins de la Bouriane limitrophe avec le département de Lot-et-Garonne entre Fumel et Touzac.
Communes limitrophes
Soturac est limitrophe de sept autres communes donc trois en Lot-et-Garonne.
Carte de la commune de Soturac et de ses proches communes.
La commune est arrosée par la Thèze en limite nord et le Lot en limite sud.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 955 hectares; son altitude varie de 65 à 234mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec la RD 811 (ex RN 111) et les routes départementales D 673.
Voir aussi: l'ancienne ligne de Monsempron-Libos à Cahors.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 12,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 9,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Anglars», sur la commune d'Anglars-Juillac, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4°C et la hauteur de précipitations de 796,6 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 40 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[12], à 12,7°C pour 1981-2010[13], puis à 13,1°C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[15]:
le «cours inférieur du Lot» (1 209ha), couvrant 25 communes dont 23 dans le Lot et deux dans le Lot-et-Garonne[16] et
les «pelouses calcicoles des coteaux de la Thèze» (102ha), couvrant 2 communes dont une dans le Lot et une dans le Lot-et-Garonne[17]
et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[15]:
la «vallée et coteaux de la Thèze» (1 007ha), couvrant 2 communes dont une dans le Lot et une dans le Lot-et-Garonne[18].
Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Soturac.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Soturac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[19],[I 1],[20].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,3% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (36,4%), forêts (32,6%), terres arables (17,6%), prairies (7,5%), cultures permanentes (2,8%), eaux continentales[Note 7] (2,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6%), zones urbanisées (0,5%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Soturac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et la Thèze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1999, 2003 et 2021[25],[22].
Soturac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[26].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Soturac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[27]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 408 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 333 sont en en aléa moyen ou fort, soit 82%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval et de Sarrans, des ouvrages de classe A[Note 8] disposant d'une retenue de respectivement 270,6 millions[32] et 296 millions de mètres cubes[33],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[34].
Toponymie
Le toponyme Soturac d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Saturus. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois-acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. C'est le domaine de Saturus[35].
Histoire
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[36],[37].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Cahors de la communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble et du canton de Puy-l'Évêque.
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2014 dans le Lot.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
juin 1995
mai 2020
Jacques Laymond
mai 2020
En cours
Jerôme Belmonte
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2019, la commune comptait 640 habitants[Note 9], en augmentation de 0,79% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
802
983
973
1 012
1 110
1 232
1 201
1 183
1 131
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 091
1 099
1 102
1 076
1 012
962
972
930
892
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
882
818
763
680
703
664
631
596
594
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
629
749
765
733
711
670
657
653
635
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
640
640
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SYDED[47].
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 280 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 603 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 120 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 366 personnes, parmi lesquelles on compte 69,7% d'actifs (57,1% ayant un emploi et 12,6% de chômeurs) et 30,3% d'inactifs[Note 11],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 96 emplois en 2018, contre 98 en 2013 et 111 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 215, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,7% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,5%[I 10].
Sur ces 215 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 61 travaillent dans la commune, soit 28% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,8% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,8% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
33 établissements[Note 12] sont implantés à Soturac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
33
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
3
9,1%
(14%)
Construction
8
24,2%
(13,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
6
18,2%
(29,9%)
Information et communication
1
3%
(1,8%)
Activités financières et d'assurance
1
3%
(2,8%)
Activités immobilières
3
9,1%
(3,5%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
7
21,2%
(13,5%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
1
3%
(12%)
Autres activités de services
3
9,1%
(8,7%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,2 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 33 entreprises implantées à Soturac), contre 13,9% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[48]:
Sagenum, commerce de gros (commerce interentreprises) de mobilier de bureau (45 k€)
SAS Gayraud, activités des sociétés holding (43 k€)
Agriculture
La commune est dans la vallée du Lot», une petite région agricole s'étendant d'est en ouest et de part et d'autre du cours du Lot, particulièrement réputée pour ses vignes, celles du vignoble de Cahors plus précisément[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 54 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 44 en 2000 puis à 26 en 2010[51] et enfin à 21 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 61% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[52],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 882 ha en 1988 à 1006 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 48 ha[51].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Notre-Dame-de-la-Nativité de Couvert. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[53]. Procession à Notre-Dame-des-Champs le (Fête de l'Assomption).
Église Saint-Pierre de Soturac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[54].
Église Saint-Pierre-ès-Liens de Cavagnac. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[55].
Église Saint-Vincent d'Aglan.
Maison forte de Ségadènes.
Personnalités liées à la commune
Louis Astier de Villatte, né à Soturac le 25 janvier 1897 (officier de l’Armée de l’air qui, le 19 août 1936, peu après minuit, à Brienne-le-Château dans l’Aube, trouva la mort à bord de son bombardier Bloch 200, après avoir réussi à organiser le sauvetage des quatre sous-officiers composant son équipage).
Jean Astier de Villatte (1900-1985), frère cadet du précédent, né à Soturac le , officier des forces aériennes françaises libres, Compagnon de la Libération[56].
Jean-Louis Nembrini, inspecteur général de l’Éducation nationale, directeur général de l'enseignement scolaire puis recteur de l'académie de Bordeaux, a vécu à Soturac[57].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[31].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.124.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии