Montayral est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Église de Perricard.
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Montayral
Mairie.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Lot-et-Garonne
Arrondissement
Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité
Communauté de communes Fumel Vallée du Lot
Maire Mandat
Jean-François Ségala 2020-2026
Code postal
47500
Code commune
47185
Démographie
Population municipale
2 652 hab. (2019 )
Densité
108 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 28′ 49″ nord, 0° 59′ 17″ est
Altitude
90 m Min. 57 m Max. 227 m
Superficie
24,54 km2
Type
Commune rurale
Unité urbaine
Fumel (ville-centre)
Aire d'attraction
Fumel (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton du Fumélois
Législatives
Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Montayral
Géolocalisation sur la carte: France
Montayral
Géolocalisation sur la carte: Lot-et-Garonne
Montayral
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Montayral
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Géographie
Commune de l'aire urbaine de Fumel située dans son unité urbaine sur le Lot, Montayral est aux limites du Quercy et de l'Agenais. Le Lot forme un trait d'union entre ces deux pays.
C'est une commune limitrophe avec le département du Lot (46).
Communes limitrophes
Montayral est limitrophe de sept autres communes dont deux dans le département du Lot.
Carte de la commune de Montayral et de ses proches communes.
La commune est arrosée par le Lot qui sert de frontière naturelle dans sa partie nord etavec la commune de Fumel et avec la commune de Soturac dans sa partie nord-est.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 454 hectares; son altitude varie de 57 à 227mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec les routes départementales RD 911, D 139.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 13°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Lacapelle-Biron-Pailloles», sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[9] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,8°C et la hauteur de précipitations de 903,6 mm pour la période 1981-2010[11].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Agen-La Garenne», sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 49 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1°C pour la période 1971-2000[13], à 13,4°C pour 1981-2010[14], puis à 13,8°C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Montayral est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].
Elle appartient à l'unité urbaine de Fumel, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[19] et 12 854 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fumel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,9% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (28,4%), prairies (17,9%), terres arables (14,6%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,2%), forêts (12,1%), zones urbanisées (9,1%), eaux continentales[Note 7] (1,8%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7%), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2%), cultures permanentes (1%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montayral est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et la Thèze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2007, 2009 et 2021[27],[25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[28]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[29].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montayral.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 91,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2003, 2006, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].
Toponymie
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Histoire
Les quatre châteaux de Ladhuie, Cézerac, Salomon et Montayral accompagnés de leurs hameaux, auxquels s’adjoignent la paroisse de Perricard et son château, sont à l’origine de la commune de Montayral (Source REGION AQUITAINE).
Bien que l’histoire médiévale marque fortement le paysage urbain, des découvertes archéologiques attestent une occupation beaucoup plus ancienne des lieux. En effet, la terre fertile du site en bordure du Lot constitue un emplacement idéal pour l’installation sédentaire de l’homme.
La première occupation des lieux à la Préhistoire se poursuit durant l’Antiquité. Il est vraisemblable que les Romains, au moment de la conquête de la Gaule, aient installé une cité sur les bords du Lot, au lieu-dit Cadamas.
Au Moyen Âge, le territoire de Montayral s’étend sur trois paroisses. On y retrouve celle de Saint-Germain de Montayral et de Marie-Madeleine de Cézérac dans la vallée ainsi que la paroisse Saint-Martin de Mazières sur les coteaux. Sur chacune de ces paroisses sont installées des églises qui contribuent au développement d’un habitat diffus à proximité.
L’activité économique est liée à l’installation de barrages et de moulins sur le Lot. Ils sont exploités par des seigneurs locaux qui s’installent dans des maisons fortes. Après la Révolution, les hameaux qui jalonnent le territoire sont regroupés dans la commune de Montayral.
À la fin du XIXesiècle, Montayral se dote d’un chef-lieu sur le site de Pellery. C’est à cet emplacement que les locaux de la mairie sont transférés dans les années 1930. Trente ans plus tard, la commune se modernise et s’agrandit grâce à la construction d’un nouveau secteur urbain.
Montayral conserve l’image d’un village médiéval à travers la présence de ses deux églises paroissiales et de ses nombreuses demeures seigneuriales. Cependant, il montre également l’image d’un centre urbain moderne grâce à l’aménagement de sa ville neuve dans les années 1960[34].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[35],[36].
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la 3ecirconscription de Lot-et-Garonne de la communauté de communes Fumel Vallée du Lot et du canton du Fumélois (avant le redécoupage départemental de 2014, Montayral faisait partie de l'ex-canton de Fumel) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Fumel Communauté.
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Lot-et-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Mars 1983
1990
Jean-Jacques Laffore
PS
Conseiller général (1983-1990)
Mars 1990
2004
Jean-Pierre Nembrini
PS
Professeur
Mai 2004
2014
Jean-Michel Egretaud
PS
Retraité Éducation nationale
Mars 2014
En cours
Jean-François Ségala
PS
Contremaître
De 1837 (création de la commune) à 1983
PINEDE Auguste, Pierre septembre 1837 à janvier 1840
JARNOLE Jean février 1840 à août 1840
DE LAMARTINIE Joseph, félix septembre 1840 à août 1846
ANTENET Pierre octobre 1846 à mars 1848
JARNOLE Jean avril 1848 à décembre 1853
PLANARD Jean février 1854 à février 1859
CAUMONT Jean, Mathieu février 1859 à février 1868
PECHOUTRE DE LA MARTINIE Jean-Baptiste, Henri février 1868 à septembre 1870
ISSARTIER Emmanuel septembre 1870 à mai 1871
PECHOUTRE DE LA MARTINIE Jean-Baptiste, Henri mai 1871 à avril 1873
DUROU Jean, Maurice mai 1873 à février 1879
DELRIEU Jean-Baptiste février 1879 à août 1891
CAUMONT Jean novembre 1891 à mai 1912
CAUMONT Marc, Jean, Mathieu mai 1912 à mai 1953
CAUMONT André, Julien, Pierre mai 1953 à août 1968
FAYDEL Marcel août 1968 à mars 1983
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1841. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2019, la commune comptait 2 652 habitants[Note 10], en diminution de 6,69% par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne: −0,57%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1841
1846
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1 388
1 350
1 336
1 336
1 258
1 257
1 206
1 188
1 132
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1886
1891
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1 121
1 060
1 022
954
940
1 028
964
960
989
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
930
1 040
1 200
1 668
2 557
3 000
3 200
3 094
2 936
Évolution de la population [modifier], suite (3)
2006
2011
2016
2019
-
-
-
-
-
2 971
2 817
2 686
2 652
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Située dans la plaine du Lot, elle bénéficie de la proximité de Fumel pour recevoir les grandes surfaces (Intermarché, E.Leclerc, McDonald's...) sur son territoire.
Toutes ces grandes surfaces se situent les deux zones d’activités intercommunautaires Zone du Haut-Agenais et Zone Porte du Quercy
une fromagerie labellisée agriculture biologique: la Fromagerie de la Lémance[45],[46];
des entreprises de travaux publics et construction (berceau des résidences Malardeau, ancien sponsor des Girondins de Bordeaux) et des entreprises de matériaux de construction.
Agriculture à dominance céréalière (blé, maïs...).
Viticulture Thézac-Perricard (VDP).
Manoir dit château de Ladhuie sur le bord du Lot.Château de Perricard.
Enseignement
Montayral fait partie de l'académie de Bordeaux.
Culture et festivités
Activités sportives
Chasse, pétanque, randonnée pédestre,
Écologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Fumel Vallée du Lot[47].
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[32].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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