Sers est une commune française située dans le sud du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
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Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Bastan, le Bastan de Sers, le ruisseau de la Glère et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (le «lac Bleu Léviste») et six zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Sers est une commune rurale qui compte 117 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 343 habitants en 1806. Elle est dans l'unité urbaine de Luz-Saint-Sauveur..
Ses habitants sont appelés les Sersois.
Géographie
Localisation
La commune de Sers se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 38 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 17 km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3]:
Betpouey (0,8 km), Viey (1,3 km), Viella (2,3 km), Barèges (2,4 km), Esterre (2,9 km), Esquièze-Sère (3,5 km), Luz-Saint-Sauveur (3,7 km), Vizos (4,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Sers fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Toy, qui s'étend sur 43 302 hectares des gorges de Pierrefitte au col du Tourmalet et au cirque de Gavarnie[4],[5].
Sers est limitrophe de sept autres communes dont Chèze au nord-ouest par un simple quadripoint, à la Soum de Coume de Port.
Carte de la commune de Sers et des proches communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat de montagne», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]
Moyenne annuelle de température: 8,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 6,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Barèges Ville», sur la commune de Barèges, mise en service en 1944[12] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 8,9°C et la hauteur de précipitations de 1 235,3 mm pour la période 1981-2010[14].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Tarbes-Lourdes-Pyrénées», sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 33 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[16], à 12,6°C pour 1981-2010[17], puis à 12,9°C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[19],[20].
Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées[Note 5]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante: importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[21],[22],[23].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: le «lac Bleu Léviste»[25], d'une superficie de 6 942ha, présente une végétation caractéristique de la haute montagne pyrénéenne sur schistes et calcaires[26].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Article connexe: Liste des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique des Hautes-Pyrénées.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[27]:
le «cours moyen du Gave de Pau (Gave de Luz) et ruisseau de Bastan» (109ha), couvrant 15 communes du département[28];
le «massif du pic du Midi de Bigorre - lac Bleu» (4 075ha), couvrant 5 communes du département[29];
la «vallée d'Isaby» (2 648ha), couvrant 4 communes du département[30];
le «versant sud du Soum d´Arrouy, du Gave au pic de Barbe» (4 507ha), couvrant 9 communes du département[31];
le «bassin du Haut Adour» (27 303ha), couvrant 18 communes du département[32];
les «vallées de Barèges et de Luz» (22 843ha), couvrant 24 communes du département[33].
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Sers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[34],[I 2],[35].
Elle appartient à l'unité urbaine de Luz-Saint-Sauveur, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[I 3] et 2 263 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[I 4],[I 5].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 6],[I 7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (58,7%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (33%), forêts (5,8%), prairies (2,3%), zones urbanisées (0,2%)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 199[I 8].
Parmi ces logements, 21,6% sont des résidences principales, 76,4% des résidences secondaires et 2,0% des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par la route départementale D918 et par la route départementale D147.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sers est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Bastan. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[39]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2013, 2018 et 2019[40],[37].
Sers est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[41]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sers.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[42].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 101 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 sont en en aléa moyen ou fort, soit 1%, à comparer aux 75% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[43],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[44].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999, 2009, 2013 et 2019[37].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[45],[46].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Sers est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[47].
Toponymie
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Sers à l'est de Luz-Saint-Sauveur.
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[48] qui rapporte les dénominations historiques du village:
Dénominations historiques:
de Serciis, De Cerciis, latin (XIIesiècle, cartulaire de Bigorre);
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[54].
En 2019, la commune comptait 117 habitants[Note 10], en augmentation de 11,43% par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées: +0,31%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
214
228
343
232
283
308
312
326
293
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
294
283
285
273
265
278
276
249
230
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
227
234
202
186
170
185
193
157
171
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
156
139
122
125
104
102
92
91
105
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
114
117
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[57].
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 70 personnes, parmi lesquelles on compte 79,7% d'actifs (76,8% ayant un emploi et 2,9% de chômeurs) et 20,3% d'inactifs[Note 11],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 12]. Elle compte 9 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 15 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 53, soit un indicateur de concentration d'emploi de 16,8% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,7%[I 13].
Sur ces 53 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 7 travaillent dans la commune, soit 13% des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 92,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,7% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Selinum Oreosolinum (Jean-Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck, Augustin Pyramus de Candolle, 1857)[61].
Personnalités liées à la commune
Général Henri Pennette (1871 - 1959).
Saint-Justin - Sanctus Justinius, premier évêque de Tarbes au Vesiècle[62].
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes des Hautes-Pyrénées.
Blason
D'azur au mont de trois coupeaux de sinople et à la crosse épiscopale de gueules brochant, senestrée d'un soleil non figuré de même.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs: ces armes sont fautives (pas un seul métal sur ce blason!).
Voir aussi
Bibliographie
Vincent Chausenque - Les Pyrénées; ou, Voyages pédestres dans toutes les régions de ces montagnes depuis l'océan jusqu'à la Méditerranée, Volume 1 - 1834 -lire en ligne
Pierre Bernard Palassou - Suite des mémoires pour servir a l'histoire naturelle des Pyrénées, et des pays adjacens - 1819 - lire en ligne
Gustave Bascle Lagrèze - Histoire du droit dans les Pyrénées (comté de Bigorre) - arrestation de Bertrand, Ramond et Vital de Pujol - 1867 - lire en ligne
François Pasumot - Voyages physiques dans les Pyrénées en 1788 et 1789: Histoire naturelle d'une partie de ces montagnes; particulièrement des environs de Barege, Bagneres, Cauterès et Gavarnie. Avec des cartes géographiques - 1797 - lire en ligne
Revue d'Aquitaine: journal historique de Guienne, Gascogne, Béarn, Navarre, etc, Volume 11 - 1867 - sur Saint-Justin lire en ligne
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Hautes-Pyrénées de plaines en vallées, Éditions de Plaines en Vallées, janvier 2007 (ISBN2-9528222-0-4)
Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN2-213-59961-0), p.330-333.
Carte IGN sous Géoportail
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348p. (ISBN2-9514810-1-2, BNF37213307)..
Bulletin des lois de l'Empire français, Volume 25, page 47.
Revue d'Aquitaine et du Languedoc, 1867, lire en ligne
Johan Emanuel Zetterstedt, Plantes vasculaires Pyrénées principales, p. 298, lire en ligne
Jean-Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck, Augustin Pyramus de Candolle, Flore française ou descriptions succinctes de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, p. 511, lire en ligne
Adolphe Laurent Joanne, Itinéraire général de la France: Les Pyrénées et le réseau des chemins de fer du Midi et des Pyrénées, Volume 3, 1862, lire en ligne
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