Sainte-Livrade-sur-Lot (en occitan: Senta Liurada d'Òlt) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Bastide de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot située dans la large vallée du Lot (à une trentaine de kilomètres de son confluent avec la Garonne), sur la D 811 (ex-route nationale 111) et RD 667 (ex-route nationale 667) au cœur du pays du pruneau d'Agen, à une dizaine de kilomètres de Villeneuve-sur-Lot et dans l'ancienne province de Guyenne.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat du Bassin du Sud-Ouest», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 13,2°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1989 à 2015 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records SAINTE-LIVRADE-SUR-LOT (47) - alt: 49 m 44° 25′ 48″ N, 0° 36′ 48″ E Statistiques établies sur la période 1989-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1989 au 11-11-2015
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
2,1
2,3
4,5
6,6
10,6
13,6
15,2
15,2
11,7
9,4
5,2
2,6
8,3
Température moyenne (°C)
6
7,3
10,2
12,3
16,7
19,9
21,8
22
18,2
14,7
9,3
6,4
13,8
Température maximale moyenne (°C)
10
12,2
16
18
22,8
26,1
28,5
28,7
24,8
19,9
13,5
10,1
19,3
Record de froid (°C) date du record
−9,1 13.01.03
−13 09.02.12
−9,7 01.03.05
−3,4 22.04.1991
0,8 06.05.02
4 01.06.06
7,5 04.07.1990
6,2 29.08.1998
1,4 25.09.02
−4,5 25.10.03
−9 17.11.07
−11,2 25.12.01
−13 2012
Record de chaleur (°C) date du record
18,9 02.01.03
24,6 15.02.1998
27,1 20.03.05
30,7 30.04.05
34,7 30.05.01
39,7 25.06.01
40,2 21.07.1990
41,6 04.08.03
37 03.09.05
32,1 04.10.04
25,6 07.11.15
20,1 15.12.1989
41,6 2003
Ensoleillement (h)
78
119,5
167,7
190,9
213,9
259
268,9
239,6
214,2
136,8
83,7
75
2 047,2
Précipitations (mm)
58,3
48,2
49,5
75,6
68,6
60,8
59,3
60
63,5
68,5
80,4
64,9
757,6
Source: «Fiche 47252002» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
Sainte-Livrade-sur-Lot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11].
Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[12] et 48 287 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
zones agricoles hétérogènes (46%), cultures permanentes (27,5%), zones urbanisées (12,3%), terres arables (4,2%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1%), prairies (3,1%), eaux continentales[Note 6] (2,5%), forêts (1,3%)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sainte-Livrade-sur-Lot est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et le Ruisseau du Pic. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2006, 2009, 2018 et 2021[20],[18].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Livrade-sur-Lot.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[24].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2003, 2005, 2009, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2009[18].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 8]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].
Toponymie
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Histoire
Sainte livrade à droite sur le tableau de Carpaccio.
Le territoire actuel de la commune a été occupé par l'homme dès la plus haute Antiquité et plus particulièrement depuis le premier âge du fer. Les origines du village de Sainte-Livrade d'Olt remontent à la période gallo-romaine et il fut érigé en bastide en l'an 1289.
La dénomination occitane Santa Liurada disparut, après avec la conquête de l'Occitanie par la croisade des albigeois[réf.nécessaire], par l'application de l'édit de 1539 qui imposa le français; ainsi Santa Liurada devint Sainte-Livrade-d'Agenais ou Sainte-Livrade. En , pour différencier de deux ou trois autres hameaux et villages de Haute-Garonne et Tarn-et-Garonne portant aussi le nom de Sainte-Livrade, le gouvernement français imposa la dénomination de Sainte-Livrade-sur-Lot.
Sainte-Livrade est devenue une ville multiculturelle étant la terre d'accueil de nombreux:
Italiens ayant fui la misère ou le fascisme mussolinien dans les années 1920-1930;
Espagnols ayant fui le fascisme franquiste dans les années 1930-années 1940-années 1950;
Portugais ayant fui la misère ou le fascisme salazariste dans les années 1950-1960;
1200 Français d'Indochine (soldats et supplétifs indochinois des armées françaises) rapatriés, à la fin de la guerre d'Indochine au printemps 1956. Ils sont installés au Centre d'accueil des Français d'Indochine (CAFI), aménagé dans une ancienne poudrerie[27];
Français d'Algérie (Pieds-Noirs, soldats et supplétifs algériens (Camps de transit et de reclassement pour les harkis) des armées françaises) rapatriés, en 1962-1963, à la fin de la guerre d'Algérie;
travailleurs émigrés qui vinrent du Maghreb dans les années 1970-années 1980-années 1990;
et aussi à présent de Néerlandais et de Britanniques.
La ville est le berceau du pruneau d'Agen (comme son nom ne l'indique pas)[réf.nécessaire].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2020 en Lot-et-Garonne.
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Liste des maires
Liste des maires de 1790 à 1965
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1790
1792
Sarrazy l'aîné
1792
1794
Dangeros
1794
1794
Jacobet
1794
1800
Cocquard
1800
1802
Frayssengues
1802
1808
Jacoubet-Cezerac
1808
1830
Gme Tardieu
1830
1838
Frayssengues
1838
1843
J. E. Verriere
1843
1851
Pelissie Ainé
1851
1852
N. Cocquard
nommé
1852
1855
Coutarel-Lagreze
nommé
1855
1859
G. Venaud
nommé
1859
1860
De Ranse
nommé
1860
1862
Verriere
1862
1865
Dalidou
1865
1870
Lacombe
1870
1884
Couyba
nommé
1884
1891
Blaquiere
1891
1913
René Bouchon
Conseiller général
1913
1919
P. Menaud
1919
août 1936 (décès)
Gaston Carrère
Sénateur
1936
1941
Maurel
1941
1944
Gal de Conchard
nommé
1944
1945
Dupuy
nommé
1945
1954
Y. Maurel
1954
(décès)
A. Boudard
1963
mars 1965
F. Guirmandie
Liste des maires depuis 1965
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965
mars 2001
Charles de Cacqueray
Rad. puis UDF
Conseiller général (1963-1998) Conseiller régional (1986-1998) Premier vice-président du conseil général de Lot-et-Garonne Vice-président du conseil régional d'Aquitaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2019, la commune comptait 6 456 habitants[Note 9], en augmentation de 5,28% par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne: −0,57%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 627
2 566
2 750
2 875
3 143
3 087
3 209
3 111
2 993
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 058
3 018
2 902
2 864
2 818
2 749
2 762
2 644
2 565
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 612
2 671
2 680
2 449
2 598
2 780
2 892
3 474
3 624
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
5 289
5 926
5 787
5 785
5 938
5 865
6 118
6 142
6 074
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
6 459
6 456
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
L'agriculture et notamment l'arboriculture sont très présentes dans le secteur de Sainte-Livrade. L'industrie agro-alimentaire (à préciser) représente une part importante de l'activité industrielle.
Sports
Rugby à XV
Le Stade saint-livradais XV engagé en championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale 2020-2021.
Lieux et monuments
L'église Sainte-Livrade de Sainte-Livrade-sur-Lot. Chœur roman (XIIesiècle) de l'église Sainte-Livrade, remaniée au XIVesiècle. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1908[35].
Église Saints-Martyrs-du-Vietnam du centre d'accueil aux Français d'Indochine de Centre d'accueil du Moulin du Lot.
La Tour du Roy (XIIesiècle): survivance d'une enceinte édifiée par Richard Cœur de Lion.
Un des plus imposants et majestueux platanes d'Europe.
Au nord, le camp du Moulin du Lot qui a remplacé les camps d'accueil des rapatriés d'Indochine installés depuis 1954[36],[37], inscrit au titre des monuments historiques en 2012[38],[39].
La statue de la Déesse de la Prune[40] sculptée dans la pierre par Paul Belmondo a été installée à la fin des années 1950 au lieu-dit Saint-Martin. Cette statue représente une femme en position semi allongée tenant dans sa main gauche un bouquet de branches de Prunier d'ente. Inscrite dans la Base Palissy[41] de l'Inventaire général du Patrimoine culturel d'Aquitaine sous la référence IM47003627, elle a été injustement nommée La femme à l'oiseau. Dans les années 1980 la statue a subi des dégradations, son pied droit a été brisé ainsi que la partie supérieure du bouquet de branches de prunier. Il en résulte qu'en observant la partie inférieure du bouquet on peut penser qu'il s'agit du plumage de la queue d'un oiseau mais les photos antérieures à la dégradation (Photo1, Photo 2) montrent bien qu'il s'agit d'un bouquet de branches portant feuilles et fruits (prune d'ente).
Personnalités liées à la commune
Cardinal Bernard Del Garn (1285-1328), membre du Sacré Collège à Avignon.
Jean-Baptiste d'Aurière (1741-1797), militaire.
Alphonse Loubat (1799-1866), créateur du tramway parisien[42].
Docteur Louis Couyba (1845-1909), écrivain.
Gaston Carrère (1877-1936), sénateur-maire de Sainte-Livrade sous la Troisième République[43].
Louis Dollot (1915-1997), diplomate et homme de lettres.
Pierre Fournier alias Pierre Gascar (1916-1997), écrivain et prix Goncourt[44].
Jacques Bordeneuve (1908-1981): sénateur, député, président du conseil général, secrétaire d'État, ministre durant les Quatrième et Cinquième République.
Pierre Boz (1925-2013): évêque, exarque patriarcal de l'Église grecque-catholique melkite (chrétiens du Moyen-Orient), Père blanc, aumônier militaire, officier SAS (section administrative spécialisée) de l'Armée française, écrivain, conférencier, professeur d'université, spécialiste de l'islam et des cultures arabophones, diplomate, officier de la Légion d'honneur.
Antoni Maria (1987-), joueur international de rugby à XIII.
Bambou (1959-), chanteuse, mannequin, actrice, conjointe de Serge Gainsbourg, a grandi au CAFI (centre d'accueil des français d'Indochine) de Sainte-Livrade-sur-Lot.
Selma Kouchy née à Ste Livrade
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes du Lot.
Blason
D’azur à Sainte Livrade auréolée d’or tenant dans sa dextre une palme du même.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[25].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Catherine Rollot, « Indochine-sur-Lot », Le Monde magazine, no 83, 16 avril 2011, p. 26-29
Claire Pasut, élue en mars 2008 face à la candidate UMP Marthe Geoffroy avec plus de 58% des voix, est la première femme élue maire de la ville. C'est également le premier maire de gauche depuis la Révolution.
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