Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hérault, le Rieutort, la rivière de Gourdouman et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (la «plaine de Villeveyrac-Montagnac») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Ses habitants sont appelés les Saint-Ponais.
Saint-Pons-de-Mauchiens est une commune rurale qui compte 638 habitants en 2019. .
Géographie
Carte
Commune de 1357 hectares, à vocation viticole. Terroir comprenant des terres alluvionnaires (en bordure de l'Hérault), des tènements de coteaux les Soubergues, la garrigue occupant une partie non négligeable du terrain.
La cave coopérative Les Soubergues de St Pons de Mauchiens construite en 1939 traitait une partie des vendanges, le reste étant l'apanage de viticulteurs possédant leur propre cave.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 14,5 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,5 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Le Pouget», sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,6°C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Sete», sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 19 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15°C pour la période 1971-2000[10], à 15,4°C pour 1981-2010[11], puis à 15,8°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux: la «plaine de Villeveyrac-Montagnac»[14], d'une superficie de 5 265ha, constituée d'une mosaïque de milieux particulièrement favorable à de nombreuses espèces d'oiseaux à forte valeur patrimoniale. Pour certains de ces oiseaux, le Languedoc-Roussillon a une forte responsabilité, accueillant une part importante de leur effectif national: Pie-grièche à poitrine rose, Faucon crécerellette, notamment.[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[16]:
les «coteaux viticoles de Saint-Pons-de-Mauchiens et Saint-Pargoire» (3 006ha), couvrant 4 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[16]:
la «plaine de Villeveyrac-Montagnac» (5 793ha), couvrant 5 communes du département[18].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-Pons-de-Mauchiens.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Pons-de-Mauchiens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[19],[I 1],[20].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (60,7%), zones agricoles hétérogènes (19,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,5%), forêts (6%), zones urbanisées (2,1%), terres arables (1,5%)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Pons-de-Mauchiens est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hérault. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1994, 1996, 1997, 1999, 2002, 2014 et 2019[24],[22].
Saint-Pons-de-Mauchiens est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8],[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pons-de-Mauchiens.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 369 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 369 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du Barrage du Salagou, un ouvrage de classe A[Note 9] sur le Salagou, mis en service en 1968 et disposant d'une retenue de 102 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[29].
Histoire
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Saint-Pons de Mauchiens (contraction de mauvais chiens, selon une légende) ou de las Mascas (sorcières) ou mas cos (mauvais chiens, paroles qu'aurait prononcées le seigneur du château au moment où ses chiens ne l'ayant pas reconnu, l'égorgeaient) est un village circulade dont la structure date du Moyen Âge.
Il est bâti sur un cône rocheux avec à son sommet un castrum féodal autour duquel sont venues se blottir les maisons des habitants du terroir. En l'an 975 une grande disette sévit dans la région s'ajoutant aux difficultés des paysans disséminés dans la campagne. Ils sont souvent victimes des pillards qui incendient leurs maisons et volent leurs maigres biens. Pour se défendre ils demandent protection et asile au seigneur du château. C'est ainsi que vers l'an 989, la chapelle de la demeure seigneuriale fut agrandie afin d'accueillir l'ensemble de la population: l'évêque d'Agde vint consacrer la nouvelle église, dédiée à saint Pons, évêque de Cimiez.
L'édifice actuel date de la fin du XIIesiècle, il est de style roman.
Au XIVesiècle une enceinte de remparts, avec deux portes d'accès encore existantes vint fermer et protéger l'ensemble de l'agglomération.
Au moment de la Révolution de 1789, le village fut baptisé Mont Ventôse. Il a repris son nom actuel en 1793.
Le millénaire du village a été célébré en 1989 par des fêtes les Malicanes, au cours desquelles a été présenté un diaporama montrant l'évolution du village.
L'animal symbolique est le chien (lou chin) dont l'histoire serait connue depuis l'an 400 de notre ère.
«L’animal pourvu d’une grande gueule représente un grand chien monté sur des roulettes animé par 4 ou 5 pousseurs; il est promené dans les rues sans musicien ni musique tenu par une laisse.»
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
2014
Jean-Pierre Soulier
mars 2014
En cours
Christine Pradel
SE
Cadre supérieure
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2019, la commune comptait 638 habitants[Note 10], en diminution de 3,63% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
412
449
527
527
620
610
616
607
709
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
664
699
692
700
766
621
573
619
704
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
782
814
803
760
761
690
594
605
591
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
523
511
416
411
399
513
551
581
638
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
662
638
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église.
Vue générale du village: carte postale (1910)Église Sainte-Marie et Saint-Pons Xe-XIesiècles. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2005[34].
Article détaillé: Église Sainte-Marie-et-Saint-Pons de Saint-Pons-de-Mauchiens.
Chapelle de Saint-Pons-de-Mauchiens.
Chapelle Notre-Dame-de-l'Espérance du Pic.
Maisons anciennes, maison des Émigrants, des Consuls.
Remparts et chemin de ronde.
Monuments aux morts
Personnalités liées à la commune
Père Jules Pargoire (1872-1907), assomptionniste, historien et orientaliste: Histoire de Byzance de 527 à 847, Le début du monachisme à Constantinople, Vie de saint Auxence, participation au Recueil des inscriptions chrétiennes de l'Athos, nombreux articles dans Les Echos d'Orient, Revue des Etudes Byzantines, Dictionnaire de Liturgie et d'Archéologie et Dictionnaire de théologie catholique. Il est un de ceux qui ont ouvert le dialogue entre catholiques et orthodoxes. Il est inhumé au cimetière de St Pons[35].
Marie Sagnier (1898-1996), juste parmi les nations qui, directrice du collège de Murat dans le Cantal, a caché et sauvé pendant les années 1941, 1942, 1943, 1944 de nombreuses juives[36]. Un hommage lui a été rendu le 15 mai 2008 au lycée de Clermont l'Hérault où elle a terminé sa carrière. :Le 16 juillet 2008, une plaque a été apposée sur sa maison dans laquelle elle est née et où elle est morte.
Francesca-Yvonne Caroutch (1937-), essayiste, romancière et poète, membre de l'Académie européenne des Sciences, des Arts et des Lettres.
Régis Pouget (1930-), fils d'un instituteur du village. Professeur à la faculté de Médecine de Montpellier, expert de la cour d'appel A inauguré l'enseignement de la musicothérapie à l'université Paul Valéry de Montpellier, fondateur d'un des premiers centres d'aide par le travail pour malades mentaux. A écrit plusieurs ouvrages dont Les médicaments génériques et la dangerosité. Commandeur des palmes académiques, chevalier de l'ordre national du Mérite, chevalier du mérite agricole[37].
Héraldique
Blason
D'azur, à la ville d'or, qui est St Pons, sur un mont de même, de sept coupeaux. Le canton dextre, de gueules, à la Vierge du Bosquet d'argent. Soutenu par deux chiens furieux, contournés d'argent, lampassés et colletés de gueules; surmonté de la couronne murale, d'argent. Devise: Supra Firmam Petram (bâtie sur le roc)
Explications: La ville de Saint Pons représentée dans le blason par son église est bâtie sur un monticule rocheux symbolisé ici par les sept coupeaux. La Vierge du Bosquet rappelle la très ancienne dévotion des Saint Ponais pour la sainte Vierge. La couronne murale fait revivre des vieux remparts. les deux chiens furieux sont ceux qui, d'après la légende, auraient dévoré, de nuit, le seigneur, leur maître, qu'ils n'avaient pas reconnu, d'où l'appellation donnée à notre village de St Pons des Mauvais Chiens ou plus simplement de Mauchiens.
Sources: Notre vieux clocher, bulletin paroissial de Saint Pons de Mauchiens, Mai 1940 - article de l'abbé Joseph Souche, curé de St Pons, qui a créé les armoiries
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
Constant Blaquière, Histoire de Saint-Pons-de-Mauchiens, Montpellier, Impr. de la manufacture de la Charité, , 116p.
Pierre David et Jean-Claude Richard Ralite, «La vente des terres et seigneuries de Lavagnac, Saint-Pons-de-Mauchiens, Belarga, Plaissan et Roquemengarde en 1781», Cahiers d'Arts et traditions rurales, nos8-9, 1995-1996, p.148-169
Alain Garcia, Études toponymiques sur les territoires de Montagnac, Aumes, Saint-Pons-de-Mauchien, Montagnac, éd. Les Amis de Montagnac, , 110p.
Jean Guilaine, «L'habitat néolithique de Roquemengarde à Saint-Pons-de-Mauchiens (Hérault)», Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nouvelle nos2-3, 1986-1987, p.1-10 (lire en ligne)
Jean-Paul Grimal, «L'habitat perché de Montredon (Saint-Pons-de-Mauchiens, Hérault) au tournant du IIIemillénaireav. J.-C. dans la moyenne vallée de l'Hérault», Archéologie en Languedoc, no27, , p.33-47
J.-G.-P Maurel, Saint Pons de Cimiez, martyr, patron des paroisses de Saint-Pons-de-Thomières et de Saint-Pons-de-Mauchiens au diocèse de Montpellier (Hérault), avec une courte notice historique sur ces deux localités, Montpellier, éd. Grollier, , 102p. (lire en ligne)
Denis Nepipvoda, «Le moulin de Roquemengarde, Saint-Pons-de-Mauchiens (Hérault)», Les Moulins de l'Hérault, nos26-29, , p.87-101
monographie de l'abbé Blaquière vers la fin du XIXesiècle.
Andrée Bringuier-Guillaume, Trois-quarts de siècle dans un village de l'Hérault, Saint-Pons-de-Mauchiens, 1996
Une série de photos de St Ponais (entre 1992 et 1993) par Andrée et Jean Guillaume.
Fonds d'archives
Fonds: Archives communales de Saint-Pons-de-Mauchiens (1569-1889) [0,25 ml]. Cote: 285 EDT. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
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Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[28].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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