Saint-Paul-et-Valmalle[sɛ̃pɔleval.ma.lə] (en occitanSant Pau e Valmala['sant 'paweβal'ma.lo̞]) est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie.
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Saint-Paul-et-Valmalle
Saint-Paul-et-Valmalle contourné par l'autoroute A750.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Mosson, le ruisseau du Coulazou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (la «montagne de la Moure et Causse d'Aumelas» et les «garrigues de la Moure et d'Aumelas») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Paul-et-Valmalle est une commune rurale qui compte 1 248 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier.
Ses habitants sont appelés les Saint-Paulais.
Géographie
Carte
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Cadastre napoléonien: plan de la section B1 du Village (1828)
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Le territoire de la commune est partagé selon une faille Est-Ouest départageant deux époques:
des terrains du Tertiaire au nord;
des terrains du Jurassique au sud.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[3].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 15,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 6,5 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Montarnaud», sur la commune de Montarnaud, mise en service en 1980[8] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1°C et la hauteur de précipitations de 869,9 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Sete», sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 15°C pour la période 1971-2000[12], à 15,4°C pour 1981-2010[13], puis à 15,8°C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[16]:
la «montagne de la Moure et Causse d'Aumelas», d'une superficie de 10 694ha, présentant sur 20% de son territoire un couvert de pelouses méditerranéennes à brachypode rameux (Brachypodium ramosum) bien entretenues grâce à une pratique pastorale encore très fréquente. Des landes, broussailles, recrus, maquis et garrigues et phrygana couvrent 45%, et des forêts sempervirentes non-résineuses (chênaie verte et blanche avec de grands houx arborescents) pour 25%. Sept espèces de chauve-souris, dont 3 d'intérêt communautaire, présentes sur le site[17]
les «garrigues de la Moure et d'Aumelas», d'une superficie de 9 015ha, abritant un couple nicheur d'Aigles de Bonelli. Ce site est aussi important pour l'aigle royal, comme zone d'alimentation des individus erratiques et d'un couple nicheur à proximité[18].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[19]:
les «contreforts septentrionaux du causse d'Aumelas» (219ha)[20] et
la «garrigue du Mas Dieu» (248ha), couvrant 3 communes du département[21]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[19]:
le «causse d'Aumelas et montagne de la Moure» (16 237ha), couvrant 16 communes du département[22];
les «garrigues boisées du nord-ouest du Montpelliérais» (16 219ha), couvrant 17 communes du département[23].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Saint-Paul-et-Valmalle.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Paul-et-Valmalle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[I 1],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,2% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (42,9%), forêts (36,3%), cultures permanentes (10,7%), zones urbanisées (6,3%), zones agricoles hétérogènes (3,8%)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Paul-et-Valmalle est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers: le risque minier et le risque de radon[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau du Coulazou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003, 2011, 2014 et 2016[29],[27].
Saint-Paul-et-Valmalle est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[30].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Paul-et-Valmalle.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,3% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 423 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 423 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].
Risque particulier
L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[34]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[35].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Paul-et-Valmalle est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[36].
Histoire
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Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Paul-le-Montagnard[37].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].
En 2019, la commune comptait 1 248 habitants[Note 10], en augmentation de 17,96% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
176
159
197
266
276
296
302
298
284
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
252
301
322
304
302
284
285
272
317
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
326
313
318
322
318
315
302
289
233
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
267
272
315
385
593
754
807
831
1 020
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 091
1 248
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 476 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 1 242 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 140 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 726 personnes, parmi lesquelles on compte 80,7% d'actifs (72,7% ayant un emploi et 8% de chômeurs) et 19,3% d'inactifs[Note 12],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 124 emplois en 2018, contre 141 en 2013 et 92 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 536, soit un indicateur de concentration d'emploi de 23,2% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,1%[I 10].
Sur ces 536 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 57 travaillent dans la commune, soit 11% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7% les transports en commun, 3,8% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,9% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
124 établissements[Note 13] sont implantés à Saint-Paul-et-Valmalle au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
124
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
9
7,3%
(6,7%)
Construction
28
22,6%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
30
24,2%
(28%)
Information et communication
2
1,6%
(3,3%)
Activités financières et d'assurance
2
1,6%
(3,2%)
Activités immobilières
2
1,6%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
29
23,4%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
13
10,5%
(14,2%)
Autres activités de services
9
7,3%
(8,1%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,2 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 124 entreprises implantées à Saint-Paul-et-Valmalle), contre 28% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42]:
Ase, travaux d'installation électrique dans tous locaux (918 k€)
Financiere De Jade Conseil, activités des sociétés holding (679 k€)
Licseo, formation continue d'adultes (120 k€)
Gregorio, débits de boissons (116 k€)
Labintest - Itd, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits pharmaceutiques (0 k€)
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (22 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 107ha[45],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église de la Conversion-de-Saint-Paul de Saint-Paul-et-Valmalle. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[46]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[46].
Le hameau de Valmalle, situé au sud du village près des limites communales avec les communes de Cournonterral et Aumelas. Ce lieu-dit est accessible par la D 111E1 au départ du village.
Héraldique
Les armoiries de Saint-Paul-et-Valmalle se blasonnent ainsi: «D'azur à Saint Paul d'or mouvant de la pointe et tenant dans sa senestre un livre d'argent et dans sa dextre une épée du même versée en bande».
Personnalités liées à la commune
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Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Altitude des rives du Coulazou au sud à la limite avec Cournonterral d'après les courbes de niveau sur la carte topographique n°2643E, titrée Clermont-l'Hérault, au 1/25 000e, Institut géographique national, 5eédition, 2004.
Au sud-ouest de la commune, 319 mètres est l'altitude indiquée de la Serre Longue, sur la carte topographique n°2643E, titrée Clermont-l'Hérault, au 1/25 000e, Institut géographique national, 5eédition, 2004.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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