Saint-Maurice est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France. Elle s'appelait Charenton-Saint-Maurice jusqu'en 1843[1].
Saint-Maurice s'étend de la Marne à la partie sud du plateau calcaire de Gravelle d'une altitude de 57 à 65 mètres qui domine la vallée d'environ 30 mètres.
Hydrographie
La ville de Saint-Maurice longe la Marne sur plus de 3 km, depuis le pont de la D148 jusqu'à Charenton-le-Pont. La rivière est bordée d'un chemin de halage ouvert aux piétons et aux cyclistes, le chemin du Moulin des Corbeaux.
Un bras secondaire, le bras de Gravelle, longe la rue du Maréchal Leclerc au nord de l'autoroute A 4. Cette autoroute est construite en 1974-1975 à l'emplacement d'un tronçon de la route nationale 4 établie sur le tracé du canal de Saint-Maurice remblayé au début des années 1950.
Climat
Le climat y est le même qu'à Paris, à 1 ou 2 degrés près car la capitale constitue un îlot de chaleur urbain par rapport aux communes de sa banlieue.
Voies de communication et transports
Voies routières
Routes:
Autoroute A4 en provenance / à destination de Paris (boulevard périphérique à 2,5 km), mais pas depuis / vers la province (sortir à Joinville-le-Pont) établie en grande partie à l'emplacement de l'ancien canal de Saint-Maurice.
Autoroute A86: elle traverse la ville, mais bien que sa jonction avec l’A4 empiète largement sur le territoire de Saint-Maurice, elle n’est pas reliée à la commune.
Route départementale D4 (ancienne nationale N4).
Pistes cyclables
La ville de Saint-Maurice est équipée d'une longue piste cyclable sur la rue Maréchal Leclerc (D214) sur sa partie est de Joinville-le-Pont jusqu'au niveau de la passerelle de Charentonneau. Il en existe également dans plusieurs rues des quartiers Montgolfier, Panoramis, ou du centre.
Le chemin de halage goudronné longeant la Marne, également nommé chemin du moulin des corbeaux, accessible aux cycles, permet de relier à vélo le centre de la capitale depuis Saint-Maur à l'écart de la circulation.
Passerelles
Des passerelles piétonnières, passerelle de Saint-Maurice et passerelle du Charentonneau relient la rue du Maréchal Leclerc à la voie verte des bords de Marne en enjambant l'autoroute puis la Marne jusqu'à Maisons-Alfort sur l'autre rive.
RER: Joinville-le-Pont, celle-ci se trouvant sur le territoire de Joinville-le-Pont mais à proximité du quartier de Panoramis, au Nord-Est de la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Maurice est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[5] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].
Les limites de la commune ont la spécificité de créer deux quartiers très peu liés, de part et d'autre d'un fin cordon qui longe la Marne. La partie centrale de Saint-Maurice est ainsi coincée entre le Bois de Vincennes et la Marne, où la majeure partie du territoire communal est constitué de l'autoroute A4 et des berges de la Marne. Cette autoroute, construite au tout début des années 1970, occupe l'emplacement d'un ancien canal nommé le canal de Saint-Maurice.
À l'ouest, le territoire est occupé aux deux-tiers de sa superficie par les hôpitaux Esquirol et de Saint-Maurice, et la zone d'habitat est concentrée à l'extrême ouest, sur la limite communale avec Charenton. Inversement, à l'est, séparé du reste de la commune par l'échangeur A4/A86, on trouve un quartier construit de la continuité de Joinville, et bordé par la Marne. Reliés par ce fin corridor matérialisé par la rue du Maréchal-Leclerc, unique voie communale reliant les deux extrémités, ces deux quartiers n'ont que peu de liens entre eux.
Morphologie urbaine
La ville est divisée en quartiers:
Plateau
Centre
Val d'Osne
Ancienne gendarmerie
Gravelle
Écluse
Panoramis
Logement
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Projets d'aménagements
En 2017 dans le quartier du Panoramis, des logements pavillonnaire ainsi que des bureaux sont détruits pour faire place à des immeubles. En 2018 les travaux sont toujours en cours.
Anciennement Sanctus Mauricius au XIIIesiècle, Saint-Maurice-Montcouronne[10], Charenton-Saint-Maurice.
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Histoire
L'existence de Charenton-Saint-Maurice est attestée dès le XIesiècle.
En 1606, Henri IV permet aux protestants d'y construire un temple, que les catholiques brûlent en 1621. En 1623, il est rétabli (d'après le dessin de Jacques de Brosse, il pouvait contenir 1 500 personnes).
Au mois d'août 1685, les catholiques essaient à nouveau d'y mettre le feu. Louis XIV ayant révoqué l'édit de Nantes le , le 23 octobre le temple est alors démoli en cinq jours.
Le cardinal de Noailles fait venir des religieuses bénédictines du Val d'Osne, qu'il établit sur l'emplacement du temple détruit, et une petite église y est bâtie.
Le , Sébastien Leblanc, conseiller et contrôleur des guerres de Louis XIII, fait donation aux Frères de Saint-Jean de Dieu de maisons et de terres sur la paroisse de Charenton, afin d'accueillir des malades et des aliénés à la «Maison royale de Charenton» (aujourd'hui appelée hôpital Esquirol).
Les terres agricoles de la partie sud du plateau et le coteau planté de vignes dominant la vallée sont expropriés en 1659 pour agrandir le domaine royal du bois de Vincennes. La clôture du parc de Vincennes est étendue en 1667, «la nouvelle enceinte» jusqu'au bord du plateau pour englober les terres nouvellement acquises nommées «le faux parc» où des allées sont tracées, la plus large «la terrasse» dominant la vallée le long du nouveau mur. Des remises à gibier furent créées dans cette partie du bois de Vincennes. Le paiement des indemnités prit beaucoup de retard et les habitants de Saint-Maurice ont déploré cette amputation du territoire de la paroisse[11].
À l'époque de la Révolution et plus tard, l'hôpital est considérablement augmenté et convenablement doté.
Au cours de la Révolution française, la commune - alors nommée Charenton-Saint-Maurice - porte provisoirement les noms de Charenton-Républicain et de Montgravier[1]. En 1843, la commune abandonne la référence à Charenton, pour s'appeler simplement Saint-Maurice[1].
Un hôpital de 411 lits est construit en 1855 dans la partie sud-ouest du bois de Vincennes sur une superficie de 16 hectares pour accueillir les ouvriers victimes d'accidents du travail ou de maladies professionnelles[12]. Cet hôpital devenu l'hôpital national de Saint-Maurice est regroupé avec l'hôpital Esquirol en 2011.
Diminution du territoire de la commune
Le «hameau de Gravelle», espace compris entre la Marne, le canal de Saint-Maur, l'actuel boulevard du Maréchal-Leclerc à Joinville-le-Pont et l'actuelle rue Politzer à Saint-Maur qui faisait partie de Saint-Maurice est rattaché à la commune de Joinville-le-Pont le 2 mai 1868[13].
La partie du bois de Vincennes au nord de la rue du Maréchal Leclerc, de la rue de la Terrasse et de l'avenue de Gravelle compris dans le territoire communal qui était limitrophe de Vincennes et de Saint-Mandé est rattaché à la Ville de Paris par décret du 18 avril 1929.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du [14], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et son arrondissement de Créteil après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la huitième circonscription du Val-de-Marne.
Les communes de Charenton-le-Pont et de Saint-Maurice ont créé en 2003 la communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice, qui ne comptait que ces deux villes.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[15].
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).
La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[16], qui s'est substitué à l'ex-communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice.
Articles détaillés: métropole du Grand Paris, établissement public territorial et Établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois.
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne.
La ville a toujours été politiquement de tendance droite.
Politique locale
Christian Cambon, maire de la ville depuis 28 ans, a annoncé sa démission en , frappé par les règles contre le cumul de mandats, préférant conserver son mandat de sénateur du Val-de-Marne, au bénéfice de son adjoint aux finances, Igor Semo, énarque, responsable des relations institutionnelles de Suez Environnement. Il restera conseiller municipal[17].
Chef d'entreprise Sénateur du Val-de-Marne (2004 → ) Conseiller régional d'Île-de-France (1986[21],[22] →?) Président ou vice-président de l'ex-CC de Charenton-le-Pont Saint-Maurice Vice-président de l'EPT Paris-Est-Marne et Bois (2016 → 2017) Démissionnaire à la suite de sa réélection comme sénateur
En 2008, Saint-Maurice est la 36ecommune la plus peuplée du Val-de-Marne (sur 47) et la 631e au niveau national.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10000habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8% de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[26],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 14 189 habitants[Note 4], en diminution de 4,94% par rapport à 2013 (Val-de-Marne: +3,92%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
659
434
860
428
1 447
1 571
1 805
2 532
2 551
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 160
4 217
4 931
4 340
4 577
5 576
6 506
6 653
6 927
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
7 325
8 320
8 958
9 509
10 497
11 445
11 324
10 133
11 134
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
10 344
10 477
9 221
9 420
11 157
12 748
14 547
14 586
14 312
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
14 189
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
École de Gravelle.
École du Plateau
École du Centre
École de Gravelle
École Delacroix
Annexe Roger-Revet
Collège Edmond-Nocard
CFA SUP 2000
CFA ANDRIEUX
École nationale de kinésithérapie et rééducation (ENKRE)
IFSI J.B. Pussin
Manifestations culturelles et festivités
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Santé
Les Hôpitaux de Saint-Maurice issus du regroupement de l’Hôpital National de Saint-Maurice et de l’EPS Esquirol depuis le sont spécialisés:
en soins de suite et réadaptation de l’enfant et de l’adulte,
en psychiatrie (40 structures extrahospitalières dans les secteurs parisiens et val-de-marnais et une douzaine d’unités d’hospitalisation complète)
et disposent également d’un centre de traitement de l’insuffisance rénale chronique
et d’une maternité de type IIA.
Sports
Association Badminton Saint-Maurice
Rugby Charenton Maisons-Alfort Saint-Maurice
Saint-Maurice Tennis de Table
CAP de Charenton (Football)
Association Badminton Saint-Maurice (ABSM)
SMOC: Saint-Maurice Omnisports Club
Amicale bouliste de Charenton/Saint-Maurice (ABCSM)
Attitude Charenton GRS
Saint Charles Charenton-Saint-Maurice Section Basket
Association Aïkido Riu
Attitude Charenton Danse
Foyer socio-éducatif du collège Edmond-Nocard
Randos des Jumelages
Staps’up
Association sportive du collège Edmond-Nocard
Médias
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Cultes
Catholicisme
Saint-Maurice possède 3 églises
Judaïsme
Saint-Maurice possède une synagogue quartier de l'Ecluse
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Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 581 €, ce qui plaçait Saint-Maurice au 5 822e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[28].
Emploi
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Entreprises et commerces
La commune, mitoyenne de Paris, a hébergé des studios cinématographiques dès le début du cinéma.
Article détaillé: Studios de Saint-Maurice.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments religieux
Église Saint-André, située sur l'avenue de Verdun, face à l'entrée de l'hôpital national.Église Saint-Maurice.
Église Saint-André.
Église des Saints-Anges Gardiens: bâtie par Jean Tandeau de Marsac (1904-1980)[29], labellisée «Patrimoine du XXesiècle».
Église Saint-Maurice.
Cimetière de Saint-Maurice.
Monuments civils
Le Monument à Delacroix de Jules Dalou, qui avait été érigé en 1898[30] devant l'hôtel de ville, a été détruit par la municipalité. Le buste du peintre a été déplacé devant sa maison natale. La stèle, privée de ses ornements en bronze, a été «recyclée» en monument aux morts de Saint-Maurice en 1998.
La maison natale d'Eugène Delacroix, au 29, rue du Maréchal-Leclerc, était située à proximité d'un canal à l'époque. Le canal est devenu l'autoroute de l'Est, mais la maison existe toujours. Dans cette même maison a vécu et est mort le savant Edmond Nocard. Le peintre d'origine chilienne Eudaldo y fut relogé de 1977 à 1985. À la fin des années 1980, la maison a été restaurée par la ville et aménagée en médiathèque[31].
L'ancien «asile d'aliénés» hébergea, entre autres, le prisonnier Latude, puis le marquis de Sade en 1789 et de 1803 à sa mort en 1814. Le peintre et graveur Charles Meryon finit sa vie à l'asile en 1868. Paul Verlaine y fit aussi plusieurs séjours en 1887 et 1890. Le colonel Toussaint-Jean Trefcon, rentré dans cet asile en 1836 y finit ses jours en 1854. Il est enterré à Saint-Maurice. Cet établissement est maintenant devenu l'hôpital Esquirol, mais reste spécialisé dans la médecine psychiatrique. Son médecin-chef Henri Baruk est mort en 1999 à Saint-Maurice.
Passerelle de l'écluse de Saint-Maurice, au-dessus de la Marne, conçue par l'architecte Marc Mimram dont le gros-œuvre a été réalisé par Demathieu Bard et la structure métallique par l'entreprise DMI[32].
Le moulin de la Chaussée, qui date du XVIIesiècle, a inspiré plusieurs tableaux de François Boucher[33].
Hôtel de ville
En 1910, le peintre Henri Marret décore les murs de l'escalier d'honneur de l'hôtel de ville de quatre toiles marouflées, et l'année suivante le plafond d'une fresque allégorique.
Tournages
Les studios de Saint-Maurice ont accueilli de nombreux tournages de cinéma entre 1930 et 1971. Plusieurs classiques du cinéma français y ont été tournés parmi lesquels Pierrot le Fou, Un condamné à mort s'est échappé, Les Diaboliques, Le Journal d'une femme de chambre, La Belle et la Bête, Quai des Orfèvres, La Folie des grandeurs, Les Visiteurs du soir, La Traversée de Paris ou encore Compartiment tueurs[34],[35].
Saint Maurice d'Agaune (IIIesiècle), martyr du Valais.
Vincent Bachet (1978), hockeyeur sur glace, né à Saint-Maurice.
Marguerite Bahuche (vers 1560/1570-1632), artiste peintre, inhumée dans le cimetière protestant de Saint-Meurice.
Jean-Paul Belmondo (1933-2021), acteur, vécut dans l'île aux Corbeaux avec sa compagne Ursula Andress, dans la deuxième moitié des années 1960.
Florence Blot, nom de scène de Marguerite Louise Léontine Digneffe (1912-1994), actrice.
Marthe Chenal (1881-1947), chanteuse lyrique, née dans cette commune où une rue porte son nom.
Maurice Chevit (1923-2012), acteur et dramaturge, mort à Saint-Maurice.
Gérard Courant (1951), cinéaste, écrivain, acteur, poète et producteur, vécut au 103, avenue de Gravelle de 1985 à 2000 et y tourna plusieurs de ses films dont Inventaire filmé des rues de Saint-Maurice.
Émilie Fer (1983), céiste pratiquant le kayak slalom, née à Saint-Maurice.
Laurent Fignon (1960-2010), cycliste, vécut rue du Maréchal-Leclerc.
Evan Fournier (1992) basketteur professionnel évoluant en NBA, né à Saint-Maurice.
Henri Goussé (1872-1914), peintre, affichiste et illustrateur, y est mort.
Charles Monier (1920-1953), aviateur, né à Saint-Maurice.
Frédéric Piquionne (1978), footballeur professionnel ayant évolué en équipe de France, a grandi à Saint-Maurice.
Adrien Rabiot (1995), footballeur français jouant à la Juventus, est né à Saint-Maurice.
Antoine-Louis Romanet (1742 ou 1748-1807), graveur, y est mort.
Jacques Sereys (1928), acteur, né à Saint-Maurice.
Gilbert Trompas (1954), éditeur, né et a grandi à Saint-Maurice.
Hassan Yebda (1984), footballeur algérien, né à Saint-Maurice.
Donatien Alphonse François de Sade (1740-1814) dit Marquis de Sade y est mort.
Karim Ouchikh (1965-), homme politique français.
Héraldique, logotype et devise
Les armes du Saint-Maurice se blasonnent ainsi:
De gueules au saint Maurice (cavalier romain) monté sur un cheval et tenant une banderole chargée d'une croix de gueules, le tout d'argent, et passant sur une terrasse de sinople soutenue d'une rivière aussi d'argent, mouvant de la pointe.
La devise de la ville est: «Gloria Sancto Mauritio», ce qui signifie «Gloire à saint Maurice»[36]
Pour approfondir
Bibliographie
Marie Geneviève Richard, L'Histoire oubliée de Charenton-Saint-Maurice, 1972
Direction des affaires départementales de la Seine, État des communes à la fin du XIXesiècle: Saint-Maurice, 1903 (lire en ligne)
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10000habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10000habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Corinne Nèves, «Saint-Maurice: «Pour être maire, il faut un chromosome en plus… ou en moins»: Christian Cambon (LR), 69 ans, a été réélu sénateur en septembre. Loi sur le non-cumul oblige, il abandonne ce samedi son fauteuil de maire après 28 ans de mandat», Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
«Île-de-France: M. Michel Giraud, RPR, réélu», Le Monde, (lire en ligne).
«L'élection des présidents des conseils régionaux: Île-de-France - M. Michel Giraud (RPR) gouvernera sans majorité», Le Monde, (lire en ligne).
D.C, «Le nouveau maire de Saint-Maurice élu sans surprise», Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Denis Courtine, «Le nouveau maire de Saint-Maurice casse son image: Igor Semo, énarque et premier adjoint chargé des finances, l’a joué décontracté et proche des gens à l’occasion de son élection samedi devant 300 personnes», Le Parisien, édition du Val-de-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
Jean-Baptiste Forray, «Les villes font-elles toutes la même chose?», La Gazette des communes, (lire en ligne, consulté le ).
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