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Saint-Marcel Écouter [sɛ̃ maʁsɛl] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne.

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Saint-Marcel

La mairie.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Armel Rousselot
2020-2026
Code postal 56140
Code commune 56228
Démographie
Gentilé Marcellais, Marcellaises[1]
Population
municipale
1 106 hab. (2019 )
Densité 86 hab./km2
Population
agglomération
4 675 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 48′ 18″ nord, 2° 25′ 03″ ouest
Altitude 55 m
Min. 12 m
Max. 112 m
Superficie 12,81 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Malestroit
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moréac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Marcel
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Marcel
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Saint-Marcel
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-Marcel

    Géographie



    Situation


    Communes limitrophes de Saint-Marcel
    Serent Saint-Abraham Caro
    Missiriac
    Malestroit
    Bohal Pleucadeuc

    Relief et hydrographie


    Les altitudes au sein du finage communal sont comprises entre 110 mètres (à la limite ouest de la commune, à l'ouest de la chapelle et du hameau Sainte-Geneviève ; c'est le prolongement oriental des Landes de Pinieux) et 15 mètres dans la vallée de l'Oust qui limite au nord-est la commune) ; le bourg, en situation centrale dans la commune, est vers 58 mètres d'altitude.

    Saint-Marcel est compris entre deux cours d'eau : l'Oust, affluent de rive droite de la Vilaine (aménagé en canal de Nantes à Brest) au nord-est, et la Claie à sa limite sud, affluent de rive droite de l'Oust.


    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 839 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pleucadeuc », sur la commune de Pleucadeuc, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 902,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 31 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[12] à 12,4 °C pour 1991-2020[13].


    Transports


    La commune de Saint-Marcel est longée à sa limite ouest par la voie expresse RN 166 allant de Vannes à Ploërmel et desservie par l'échangeur de Bellevue qui se trouve sur le territoire de la commune vosine de Bohal. On accède à Saint-Marcel en empruntant depuis cet échangeur la D 776 (ancienne RN 776), direction Malestroit, qui traverse la partie sud-est du territoire communal, le bourg étant accessible par le D 321.

    La commune est longée par le canal de Nantes à Brest qui emprunte à cet endroit le cours de l'Oust (en recoupant toutefois l'un de ses méandres au niveau de la Née).

    L'ancienne ligne ferroviaire de Questembert à Ploërmel traverse la partie orientale de la commune et a été aménagée en voie verte : c'est désormais un tronçon de la V3 allant de Saint-Malo à la Presqu'île de Rhuys[14]. La commune est aussi traversée par le sentier de grande randonnée 347 (GR 347) allant de Redon à Josselin.


    Urbanisme



    Typologie


    Saint-Marcel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Malestroit, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 4 675 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].


    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42 %), prairies (23,5 %), forêts (13,3 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), zones urbanisées (4,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].


    Toponymie


    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Marcel en 1793 ; Saint-Marcel en 1801[25].

    Saint-Marcel tirerait son nom du pape martyr Saint Marcel[26]. Il est également possible que son nom vienne de « Marc'hell », nom féminin se retrouvant dans les lignées princières bretonnes[27].


    Histoire



    Préhistoire et Antiquité


    La présence de plusieurs mégalithes atteste de la présence humaine dans la région dès la Préhistoire.


    Temps modernes


    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Marcel en 1778 :

    « Saint-Marcel-Bohal ; dans un fond ; à 6 lieues à l'Est-Nord-Est de Vannes, son évêché ; à 14 lieues de Rennes et à 1 lieue de Malestroit, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Ploërmel et compte 600 communiants[Note 6]. Ce territoire, borné au Sud par la rivière de Claye, renferme, de ce côté, beaucoup de terres en labeur et des prairies de bonne qualité ; au nord sont des landes[28]. »


    Le XIXe siècle


    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Marcel en 1853 :

    « Saint-Marcel ou Saint-Marcel-Bohal : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, moins sa trève Bohal, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Lanée, Bennion, la Lande, le Verger, la Vaugace,le Haut et le Bas-Brouais, la Georgelais, les Grands et les Petits-Hardy. Maison notable : la Touche-Kervier. Saint-Marcel a été diminuée de Bohal devenue commune d'abord, puis succursale en 1820. Nous ignorons à quelle époque remonte l'église, mais une réparation, faite en 1608, porte le nom de « Julien Robert, trésorier ». Bohal, ou Bobel en breton, Bwyel ou Bwall en gallois, Beil ou Byl dans les dialectes germaniques, nous dit M. de Blois, signifie coignée, grande hache de bucheron (...). On traverse la Claie sur un pont à Bronais. Géologie : schiste argileux ; grès au sud-est. On parle le français.[29]. »

    En 1863 un décret distrait la commune de Saint-Marcel du canton de Questembert pour l'incorporer au canton de Malestroit[30].


    Le XXe siècle



    La Belle Époque


    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Saint-Marcel porte les noms de 22 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; 20 d'entre eux au moins sont morts sur le sol français (le lieu de décès des 2 autres reste inconnu) et 4 (Joseph Dubois, Joseph Le Brun, François Le Maître et Joseph Molac) ont été décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre[31].


    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Saint-Marcel porte les noms de 9 personnes originaires de la commune mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles 2 sont des soldats tués le même jour () lors de la Débâcle (Félix Piquet à Leschelles (Aisne) et Firmin Rozé à Bussu (Somme) ; 6 sont tués lors des combats du maquis de Saint-Marcel entre le 18 et le dont 4 résistants (Yves Ayoul, Pierre Guil, Jean Morlas, Pierre Moussard) et deux victimes civiles (Suzanne Berthelot, laquelle gardait les vaches dans un champ, et Marie Pellerin, pourtant aveugle et grabataire) ; Émile Morel, résistant arrêté lors des combats, fut exécuté au Fort de Penthièvre le [31].

    Saint-Marcel a été un haut lieu de la résistance bretonne durant la Seconde Guerre mondiale.

    Article détaillé : Maquis de Saint-Marcel.

    Le soir du , deux sticks (18 Français Libres) du 4e Bataillon d’infanterie de l’Air SAS français (4e B.I.A.) sont parachutés dans le cadre de l'opération Dingson près de Plumelec. Après avoir établi une base à Saint-Marcel, et mené une campagne de guérilla assistés par les résistants de la région, ils sont rejoints par plusieurs centaines d'autres SAS, qui continuent le travail commencé. Le , le village de Saint-Marcel est entre les mains des Allemands. Le commandant Chenailler et près de 3 000 soldats (des « Bretons résolus » selon les mots du général de Gaulle), accompagné par un détachement de 200 hommes du 2e régiment de chasseurs parachutistes (SAS soldats français), commandés par le commandant Pierre Bourgoin, résistent avec courage et détermination, mais évacuent la base dans la nuit.

    Affiche de la commémoration du maquis de Saint-Marcel le 27 juillet 1947 en présence du général De Gaulle.
    Affiche de la commémoration du maquis de Saint-Marcel le en présence du général De Gaulle.

    Les FFI encadrés y prennent part et subissent de sérieuses pertes : 116 morts dont 30 à Saint-Marcel. Mais ces maquis retinrent huit divisions allemandes qui manquèrent à la bataille lors du débarquement allié. Une partie des résistants forma, dès 1944, le 41e RI dont le drapeau porte l’inscription : "Saint Marcel 1944".

    Les représailles allemandes furent terribles. Le bourg et les fermes avoisinantes furent pillées et incendiées, quelques habitants exécutés. La commune a été décorée de la Croix de guerre avec palme[32].

    Le , le général de Gaulle rendit hommage aux combattants de Saint-Marcel devant le monument élevé à la mémoire des résistants et des parachutistes tombés dans le Morbihan (Charles de Gaulle, Discours et Messages, Tome II, Dans l'Attente, p. 94).


    Politique et administration


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      mars 2001 Gilles Possémé    
    mars 2001 avril 2013 Henri Briand    
    avril 2013 mars 2014 Armel Rousselot    
    mars 2014 janvier 2017[33] Joël Leveau    
    janvier 2017 24 mars 2017 Didier Thebaud (par intérim)[34]    
    24 mars 2017 mai 2020 Marie-Hervé Jeffroy    
    mai 2020 En cours Armel Rousselot[35]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2019, la commune comptait 1 106 habitants[Note 7], en augmentation de 5,13 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    466418480402388448452456467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    469432476468492505501524508
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    538562538503522503539523531
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    5815585607328458549519511 038
    2014 2019 - - - - - - -
    1 0521 106-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine



    Lieux et monuments



    Monuments historiques

    La commune compte quatre monuments historiques :


    Autres sites d'intérêt


    Héraldique


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    Personnalités liées à la commune



    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Personnes en âge de communier.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. http://www.habitants.fr/habitants_saint-marcel_56228.html
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pleucadeuc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Marcel et Pleucadeuc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pleucadeuc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Marcel et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. https://infolocale.ouest-france.fr/activites/activite-saint-malo-sport-v3-saint-malo-rhuys-156-6-km-305839891
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Malestroit », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. « Étymologie et Histoire de Saint-Marcel », sur infobretagne.com (consulté le ).
    27. « Saint-Marcel / Sant-Marc'hell »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur Geobreizh (consulté le ).
    28. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 4, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 328.
    29. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 831
    30. « Actes officiels », Journal La Presse, (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Saint-Marcel. Monument aux morts », sur MemorialGenWeb, (consulté le ).
    32. https://www.saint-marcel.bzh/accueil_saint_marcel/decouvrir_saint_marcel/histoire.
    33. « Saint-Marcel. Le maire Joël Leveau siffle la fin du match », sur Ouest-France, (consulté le ).
    34. « La parole au maire intérimaire de Saint-Marcel », sur Le Ploërmelais, (consulté le ).
    35. « Saint-Marcel. Revivez l’installation du nouveau conseil municipal », sur Les Infos du pays gallo, (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    39. « Notice n°PA00091691 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Notice n°PA00091692 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Notice n°PA00091693 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Notice n°PA00091694 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Site officiel.
    44. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 134.

    Voir aussi


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    Articles connexes



    Liens externes



    На других языках


    [de] Saint-Marcel (Morbihan)

    Saint-Marcel (Gallo Saent-Marcèu, bretonisch Sant-Marc’hell) ist eine französische Gemeinde mit 1.106 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Morbihan in der Region Bretagne.

    [en] Saint-Marcel, Morbihan

    Saint-Marcel (French pronunciation: [sɛ̃ maʁsɛl] (listen); Breton: Sant-Marc'hell) is a commune in the Morbihan department of Brittany in north-western France.[3]

    [es] Saint-Marcel (Morbihan)

    Saint-Marcel (en bretón Sant-Marc'hell) es una población y comuna francesa, situada en la región de Bretaña, departamento de Morbihan, en el distrito de Vannes y cantón de Malestroit.
    - [fr] Saint-Marcel (Morbihan)



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